Publié dans Société

Catastrophe naturelle en Inde - Message de condoléances du Dr. Prasannan Nediyath

Publié le dimanche, 04 août 2024

Un terrible drame. Une grande inondation et un glissement de terrain ont fait plus de 100 morts et de nombreux blessés dans le District de Wayanad, situé dans le nord-est de l'Inde. Cette semaine, le docteur Prasannan Nediyath, CEO du groupe Vantage International, une compagnie privée enregistrée à Madagascar, à travers Vantage International Human Charity (Afrique) et MMFLP, a lancé un message de condoléances et de compassion à toutes les victimes. « Les mots nous manquent pour exprimer notre tristesse face à la catastrophe naturelle dévastatrice qui a frappé le District de Wayanad, dans l'Etat du Kerala.

Les pertes sont énormes et la douleur des parents et des proches des habitants de Wayanad est inimaginable. Alors que les habitants de cette ville traversent les jours et les semaines difficiles à venir, vous serez présents dans nos pensées et nos prières », lance le directeur administratif dudit groupe. « Nous vous souhaitons la meilleure issue possible dans cette période très difficile. Nous sommes profondément désolés d'apprendre les pertes énormes causées par la calamité naturelle et ses terribles conséquences. Soyez rassurés que nous sommes avec vous. Je présente mes sincères condoléances à toutes les familles endeuillées par la catastrophe de Wayanad et j'espère que vous guérirez et que vous retrouverez une vie normale », regrette-t-il.
Rappelons que Vantage International Human Charity mène diverses actions de charité pour aider au mieux les enfants démunis et les personnes âgées à Madagascar. Ladite compagnie s’active aussi au chevet des familles nécessiteuses et apporte des réponses humanitaires d’urgence. De plus, elle aide les plus vulnérables à mieux se préparer au cyclone dans les trois Régions du sud de Madagascar depuis maintenant 16 ans.
E.F.

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Editorial

  • Quid d’une volonté politique
    En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie.…

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