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Avenir compromis

Il s’est empêtré dans de beaux draps. Promis à un bel avenir, sur tous les plans, il s’égare en s’engageant sur une fausse piste. Raoul Rabekoto Arizaka, car il s’agit bien de lui, compromet son brillant avenir par des imprudences malheureuses.

 

Débarquées à Ivato hier, 165 vaches laitières améliorées de race pure, importées de France, ont été accueillies par les autorités de l’Etat. L’objectif de cette importation étant d’améliorer la production de lait de bonne qualité et en quantité suffisante pour assurer l’autosuffisance alimentaire en protéine animale et l’émergence d’un secteur élevage.

 

La sanction est tombée hier, après une succession de descentes sur terrain effectuées par les autorités compétentes. « Toutes les activités de la Société de production d’articles hygiéniques (SPAH) à Ambohimanambola, l’entreprise concernée, seront suspendues jusqu’à nouvel ordre » a annoncé le Docteur Salama Jean Claude, directeur de gestion des pollutions, des déchets et de l’intégration de la dimension environnementale au sein du ministère de l’Environnement et du Développement durable, hier, contacté au téléphone.

Une nomination très attendue par les natifs de la Région ! Pour la première fois de son histoire, Vatovavy se dotera d’un gouverneur dont le nom sera connu à l’issue du Conseil des ministres ce jour. Sitôt nommé, ce numéro un de la 23ème Région du pays sera officiellement installé au cours d’une cérémonie en fanfare demain à Mananjary, en présence du Président Andry Rajoelina. Le Chef de l’Etat qui, de retour de son périple dans le Sud, entamera donc une nouvelle tournée dans cette partie Sud – est du pays et honorera de sa présence cette cérémonie d’installation du gouverneur de la Région.

 

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LA UNE DU 06 0CTOBRE 2021

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La une du 5 octobre 2021


Avoir un logement salubre et sécurisé, où la famille peut bénéficier des services essentiels, est un droit fondamental. Cependant, beaucoup de gens n'ont ni toit, ni installations sanitaires. Et c’est le cas de Madagascar. Il s’avère que dans notre pays, 70 % des logements ne sont pas conformes à la norme internationale. Certaines maisons sont insalubres, ne disposant pas d’équipements sanitaires nécessaires, tandis que d’autres sont des constructions illicites. La majorité d’entre elles se trouvent dans les bas-quartiers. Ce rapport a été publié par le secrétaire d’Etat en charge des Nouvelles villes et de l’Habitat, Gérard Andriamanohisoa, dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de l’habitat, hier.
Un logement convenable doit offrir un minimum de confort, outre ses quatre murs et un toit. Il doit assurer la sécurité des occupants, avoir accès à l’eau potable, disposer des équipements servant à l’hygiène, une source d’énergie, un système de chauffage, d’éclairage et de dispositifs d’évacuation des ordures ménagères.
Afin d’offrir aux habitants issus des quartiers défavorisées un logement convenable, le projet d'amélioration des bidonvilles a été lancé officiellement, hier. A cet effet, le maire de la Capitale, Naina Andriantsitohaina et le secrétaire d’Etat en charge des Nouvelles Villes et de l’Habitat, Gérard Andriamanohisoa, ont effectué une descente dans les Fokontany de Manarintsoa-Isotry et Andavamamba. En collaboration avec le Programme des Nations unies pour les établissements humains, également appelé ONU-Habitat, le département en charge des Nouvelles villes et de l’Habitat ainsi que la Commune urbaine d'Antananarivo, la première phase du projet concerne 4 Fokontany, à savoir Anatihazo, Andavamamba, Manarintsoa-Isotry et Andranomanalina. Il s’agit de la construction de maisons communautaires pour la population.
Ce programme vise à encourager la communauté à contribuer à l'amélioration des communautés dans lesquelles elle vit, mais également à bénéficier de nombreux services dans les domaines de la santé, la culture et l'assainissement. « Dès maintenant, nous devons agir, puisque le nombre de la population ne cesse d’augmenter, notamment dans les grandes villes de Madagascar », soutient Gérard Andriamanohisoa. D’ailleurs, sept grandes villes de Madagascar figurent parmi celles situées dans les pays africains où une explosion démographique est à craindre. Selon les estimations, dans 10 ans, le nombre d’habitants serait multiplié par deux dans la Grande île. Actuellement, les autorités misent sur la concrétisation de l’objectif de l’ONU-habitat, lequel consiste à accélérer l’action urbaine pour un monde sans carbone. Quelques pas ont déjà été franchis dont la mise en place des projets « train urbain » et « téléphériques », ainsi que la construction de logements sociaux à bas prix.
Anatra R.




« Banky Foiben’i Madagasikara (BFM) porte à la connaissance du public que les faits d’usurpation d’identité numérique à son préjudice sont constatés ces derniers temps sur Internet. BFM n’a aucun lien avec le message circulant actuellement, informant le public d’une importante somme d’argent à gagner. »
« Il s’agit d’actes malveillants dont BFM condamne fermement la pratique. L’auteur induit l’internaute en erreur et essaie de lui soutirer des informations et/ou de l’argent. Les usagers d’Internet sont invités à faire attention à ce type de message en n’y répondant sous aucun prétexte.
« Par prudence, il est recommandé de ne pas cliquer sur ces liens et de ne pas ouvrir les documents contenus, de ne fournir aucune information personnelle confidentielle (identifiants, mots de passe, coordonnées bancaires) et d’activer les protections anti-phishing fournies dans les navigateurs web. »
Telle est la teneur d’un communiqué de mise en garde émis par la Banque centrale de Madagascar qui était en circulation le 30 septembre dernier. Le jour précédent, une réunion importante sur la cybercriminalité s’est tenue à Johannesburg, Afrique du Sud, à l’occasion du mois de la sensibilisation à la cybersécurité par un moment où la sensibilisation à la cybersécurité devrait être à l’esprit de tous.
Faux bonus
Le rendez-vous a mis en exergue que le risque d’attaque a grimpé en flèche. Près de 45% des organisations dans le monde ont été touchées par des cyberattaques récurrentes, des logiciels malveillants en hausse de 358% et des ransomwares de 435%. Anna Collard, évangéliste et vice présidente sénior de la supervision chez KnowBe4 Africa, avertit que l’ingénierie sociale demeure la cause principale utilisée par les ransomwares et autres attaques de logiciels malveillants pour obtenir un accès initial.
Il est devenu absolument essentiel de gérer les risques humains efficacement étant le vecteur d’attaque le plus utilisé par les cybercriminels. « Il y a des façons d’atténuer le facteur de risque humain et de communiquer plus en profondeur avec vos employés », a-t-elle ajouté. « Abordez la formation avec sensibilité, assurez-vous que vos employés sont engagés et que leurs préoccupations sont reconnues. »
Bien que les campagnes d’hameçonnage simulées soient très efficaces pour éduquer le personnel à ce sujet, une erreur courante commise par les entreprises lorsqu’elles se lancent dans ces campagnes est d’utiliser des sujets qui sont sensibles ou qui peuvent causer des bouleversements. Même si les escrocs utilisent des sujets tels qu’un faux bonus ou des mises à pied avec beaucoup de succès dans leurs campagnes, il n’est pas conseillé de les utiliser dans le cadre de la formation.
Vue de base
La meilleure façon d’aborder les sujets sensibles de l’hameçonnage est de fournir aux gens les outils dont ils ont besoin pour reconnaître les attaques potentielles et, ce qui est peut-être le plus important, de s’assurer que les employés soient heureux. Les personnes heureuses et responsables sont la meilleure protection. Autant alors travailler à créer ce genre de culture pour réussir à long terme en matière de sécurité.
« Un autre point critique est de s’assurer que vous commencez votre campagne avec une base de référence claire. Vous ne pouvez pas gérer ce que vous ne pouvez pas mesurer. Alors créez une vue de base de votre statu quo actuel en matière de sécurité en effectuant une évaluation des compétences ou de la culture de sécurité et faites en le suivi chaque année. Cela vous aidera à présenter les améliorations et à gérer la formation plus efficacement. Enfin, rendez tout amusant, particulièrement en cette période de crise sanitaire », a insisté l’évangéliste.
Recueillis par M.R.

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Pour une noble cause

Le couple présidentiel se mobilise. Des indiscrets ou des curieux parfois profanes dans l’observation des faits et gestes des personnages publics s’interrogent : « Rajoelina et son épouse Mialy ont-ils le temps de se reposer ? ». Infatigables, il paraît qu’ils se lancent dans une course-marathon plutôt qu’une course contre la montre en raison d’urgence quelconque qui presse.
Dans l’Atsinanana, il descend sur terrain pour constater de visu l’état de délabrement avancé de la RN2, cette artère vitale qui relie le cœur du pays (la Capitale) au Grand port de l’Est et cela pour nourrir et réguler la vie des millions de malagasy. Pénuries et inflation résultent de la dégradation de cet axe essentiel.
A Itasy (Ampefy et Analavory) au Centre, le Chef de l’Etat rend visite aux populations rurales et relance leurs activités autour du célèbre et historique Lac Itasy notamment la pêche et l’hôtellerie. A Analavory, il inaugure le marché « manarapenitra ».
Dans le Nord, le couple présidentiel donne le coup d’envoi des réparations de la RN6, le tronçon reliant Diégo à Ambilobe, qui se trouve également dans un état de dégradation critique. Par un jogging ayant l’allure d’une course pédestre, Rajoelina et son épouse inaugurent la route menant à Ramena, ce site touristique à proximité d’Antsiranana-ville, de renommée mondiale.
De Paris (France) à Washington en passant par New York (USA), le Président malagasy accompagné de son épouse s’active auprès de groupements d’opérateurs, des investisseurs potentiels, sur la tribune mondiale des Nations unies et face aux décideurs de la Finance internationale (FMI) et tout cela pour défendre la cause des intérêts vitaux de la Nation. Apparemment, le périple a rapporté gros entre autres ce prêt spécial (non remboursable) de 332 millions de dollars pour Madagasikara octroyé gracieusement par le FMI et disponible dans l’immédiat pour les besoins urgents du pays.
De retour au pays, le couple présidentiel se dirige immédiatement vers le grand Sud où le kere continue de faire des ravages. Il y a urgence ! Rajoelina annonce qu’une partie non négligeable de la « manne » du FMI sera affectée aux besoins urgents de la population de cette partie en lutte permanente contre la malédiction.
La Première dame, très impliquée voire pleinement engagée dans ce « marathon » pour prêter secours aux femmes et enfants en détresse, ne ménage pas ses efforts pour que des vieshumaines soient sauvées. Une noble cause à laquelle Mialy, pour les intimes, considère comme son combat personnel ! A la différence des Premières dames précédentes, notre « Lady Di » nationale fonce corps et âme de manière à ce que mères et enfants (filles surtout) recouvrent leurs droits que la Constitution garantit en leur faveur. Lutte contre les VBG ! Combat pour l’égalité du genre ! Eradiquer les insuffisances alimentaires ! Des thèmes chers à la Première dame de la République. Le défi dépasse les normes et l’enjeu est difficile à cerner. De la mobilisation contre les insuffisances alimentaires à la campagne de vaccination en passant par la lutte contre les VBG, la Première dame aura fort à faire.
Le couple présidentiel, Rajoelina et son épouse, se battra et continuera à se battre pour la noble cause et ce en dépit des tirs croisés du camp d’en face.
Ndrianaivo


Méconnaissance des tenants et aboutissants de la question (dont les textes qui la régissent) ou mauvaise foi manifeste ? On serait tenté de répondre les deux à la fois, face aux déclarations de la « cellule de crise » créée par certains confrères dimanche dernier lors d’une conférence de presse. Ceci, dans l’objectif de s’opposer à l’élection des membres du bureau de l’Ordre des journalistes de Madagascar (OJM) prévue se tenir le 16 octobre prochain après plus de 10 mois de préparation. Dans tous les cas, à voir point par point les griefs énoncés par les initiateurs de cette démarche, il est difficile de ne pas y voir une volonté manifeste d’induire l’opinion publique en erreur.
C’est ainsi que, dans leurs déclarations, les conférenciers de marteler que les membres des commissions paritaires à différents niveaux (régional, provincial et central), chargées  -entre autres  - de l’organisation  de l’élection suscitée, auraient été nommés directement par le ministère de la Communication et sont donc sous la coupe de celui-ci. C’est ignorer sciemment que ce ministère, conformément aux lois et règlements en vigueur, n’a fait qu’appeler les entités prévues composer  lesdites commissions à désigner ou à élire leurs représentants. Et c’est ce qui s’est passé, les lettres officielles de saisine en ce sens en font foi.
Il faut savoir que tout ceci est en stricte conformité avec l’article 11 du décret 2021-307 du 17 mars 2021 portant organisation, attribution et fonctionnement de l’Ordre des journalistes de Madagascar (voir encadré). S’il est vrai que ce texte émane de l’Exécutif, il n’en demeure pas moins qu’il ne fait que venir en application d’une loi, plus précisément de l’article 55 (nouveau) de la loi 2016-029 du 24 août 2016, modifiée par la loi n°2020-006 du 1er septembre 2020 relative à la communication médiatisée en son alinéa 4, lequel stipule que « l’organisation, le fonctionnement et les attributions de ladite commission (commission paritaire, ndlr) sont fixés par voie règlementaire ».
Ni éligibles ni électeurs
De même, la « cellule de crise » de pointer du doigt le nombre pléthorique des membres du bureau de l’OJM à élire dans le cadre de l’élection à venir, nombre qui est passé de 25 à 93. Une augmentation que cette cellule est prompte à mettre à l’actif du ministère de la Communication, tout en prêtant à ce dernier la volonté de favoriser ses propres candidats et en même temps de compliquer la tâche -  sinon barrer la route  -  aux autres prétendants. Malgré plusieurs précisions émises sur ce point, les membres de la « cellule de crise » continuent ou feignent d’ignorer que ce changement découle d’amendements apportés par le Sénat de l’ancienne mandature (voir facsimilés ci-contre). Quoi qu’il en soit, si l’on s’en tient à cette objection, il faudra donc attendre une énième modification de la loi avant de pouvoir renouveler le bureau de l’OJM, alors que
l’actuel est déjà « périmé » depuis
4 ans (2017).
Comme autre argument pour s’opposer à l’élection du 16 octobre prochain, les conférenciers de dimanche dernier de prétendre avoir été pris de court, par manque de transparence, quant aux différentes échéances se rapportant à ladite élection (date du scrutin, début et fin de dépôt de candidature,…). Or, toutes ces informations ont été rendues publiques par la commission paritaire centrale lors d’un point de presse et par voie de communiqué dès le 1er septembre de cette année, dans la foulée de la publication de la liste des 1509 journalistes professionnels retenus après examen de leurs dossiers par les trois niveaux de commissions paritaires.
En ce qui concerne particulièrement ce dernier point, il convient de signaler que les ténors de la « cellule de crise », dans leur quasi-totalité,  ne figurent pas dans la liste en question. Ceci, pour la simple et bonne raison qu’ils ont choisi de boycotter la démarche entamée par les commissions paritaires depuis décembre 2020, dont l’objectif annoncé était d’établir la liste électorale en vue du renouvellement des membres du bureau de l’OJM. Résultat des courses : ces absents volontaires ne sont, ni éligibles ni électeurs lors de l’élection du 16 octobre prochain. Et c’est ce qui explique sans doute cette demande de remise à zéro des compteurs… 10 mois après le début d’un processus pourtant superbement snobé. « Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude », dit-on.
La Rédaction

Article 11 du décret 2021-307 du 17 mars 2021 portant organisation, attribution et
fonctionnement de l’Ordre des journalistes de Madagascar
« La nomination des membres des commissions paritaires est constatée par décision du ministre en charge de la Communication.
A cet effet, chaque entité propose au ministre en charge de la Communication selon ses procédures internes respectives la/les personne(s) qui la représente(nt) au sein de la commission paritaire dans un délai de quinze (15) jours au plus tard avant l’échéance du mandat
des membres de la commission paritaire centrale ou à compter de la notification de la délibération portant mise en place des commissions régionales.
A défaut pour les entités concernées de présenter leurs représentants dans le délai imparti, la carence de ces représentants au sein de la commission paritaire sera constatée dans la décision de nomination des membres de la commission paritaire centrale ou régionale.
EN AUCUN CAS, CETTE CARENCE NE PEUT CONSTITUER UN OBSTACLE AU
FONCTIONNEMENT DE LA COMMISSION PARITAIRE. »
NDLR. Pour ce qui concerne l’actuelle commission paritaire centrale, seul l’OJM n’a pas désigné ses représentants et la carence a donc été constatée.

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Editorial

  • Un défi colossal !
    La ministre de la Fonction publique, du Travail et des Lois sociales (MFPTLS) Hanitra Fitiavana Razakaboana a inauguré à Toamasina, ce mardi 12 août, la Maison de l’emploi et de la Formation de Région Atsinanana (MEFRA) qui s’inscrit dans la stratégie gouvernementale visant à promouvoir l’emploi. Le Gouvernement pleinement obnubilé par les contraintes pour assurer le bon déroulement des assises du Sommet de la SADC ne perd pas le Nord. Il faut gérer sans faute le parcours du Sommet tout en n’occultant nullement la gestion des affaires de l’Etat. Le Sommet avance et parallèlement la vie de la Nation avec ses priorités et urgences continue. En effet, il y a des priorités et des urgences à ne pas négliger ni mettre de côté. L’employabilité des jeunes se trouve au cœur des préoccupations des tenants du pouvoir. Elle figure parmi les obligations sinon des contraintes que l’Etat n’a pas le droit…

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