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Un événement assez particulier. La seconde saison de Hakanto Contemporary à Ankadimbahoaka a récemment été inaugurée sous le signe de l'émotion et de la diversité avec l'œuvre « Sentimental ». Ce projet audacieux fusionne monographies et expositions collectives, permettant aux visiteurs de plonger dans le monde envoûtant des artistes malagasy et internationaux. Avec pour objectif de révéler la vitalité et la richesse de la scène artistique contemporaine locale, l'initiative tisse également un dialogue entre diverses sensibilités.

Plein feu sur Nosy Be. Le joyau touristique par excellence de Madagascar s’impose, cette semaine, comme le véritable épicentre de la vie politique nationale. Le Président de la République a foulé le sol de l’île aux parfums hier, ce qui marque le coup d’envoi d’une série d’événements d’envergure, à commencer par la tenue exceptionnelle d’un Conseil des ministres délocalisé.

A Antananarivo, la colère monte, surtout à Tanjombato et Andraharo. En effet, les habitants en ont assez des coupures d’électricité et d’eau. Selon Tantely Andriamalala, « A Andraharo, dès 18 heures, les riverains ont commencé à brûler des pneus. Certains ont même menacé de brûler des voitures. Ces manifestations montrent leur profond mécontentement ». Cette situation découle des délestages tournants qui durent depuis plusieurs jours. D’abord, la JIRAMA a expliqué que la centrale hydroélectrique d’Andekaleka est la principale source d’électricité. Or, le niveau d’eau du barrage baisse dangereusement.

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La UNE du 220525

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La une du 21 mai 2025

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Actu-brèves

La rencontre de quatre ministres avec l’Opposition ajournée.

La session parlementaire prévue à l'Assemblée nationale pour ce mardi 20 mai, et consacrée à l'ordre du jour proposé par l'Opposition, a été reportée sine die. Cette décision, émanant de la Chambre basse, motive ce report par la nécessité de trouver une date plus opportune. L'Opposition souhaitait profiter de cette séance pour s'entretenir avec quatre ministres clés du Gouvernement. Plus précisément, le groupe parlementaire de l'Opposition avait convoqué les ministres de l'Environnement et du Développement durable, de l'Intérieur, des Affaires étrangères, ainsi que de l'Economie et des Finances. L'objectif était d'obtenir des éclaircissements et des réponses sur une série de questions cruciales concernant la situation nationale. Il est important de souligner que la Constitution et le règlement intérieur de l'Assemblée nationale garantissent à l'Opposition et aux groupes minoritaires un espace dédié. En effet, trois jours de séance par mois sont spécifiquement réservés à un ordre du jour défini par l'Assemblée à l'initiative de ces groupes, leur offrant ainsi une plateforme pour exercer leur rôle de contrôle et de proposition.

Des invités de marque invités au défilé du 26 juin. Madagascar s'apprête à célébrer en grande pompe le 65ème anniversaire de son indépendance le 26 juin prochain. Le ministère des Forces armées a annoncé l’invitation de plusieurs Chefs d’Etat et ministres de la Défense étrangers pour participer aux festivités. Si l'identité précise des invités n'a pas été révélée, l'évènement promet une participation internationale notable. L'organisation attend actuellement les confirmations de présence de ces dignitaires. Le traditionnel défilé militaire au stade de Mahamasina constituera un point fort de la célébration, auquel les Chefs d'Etat présents devraient assister. Par ailleurs, les festivités prévoient un spectacle pyrotechnique d'envergure le 25 juin au soir, tiré depuis le lac d'Ivato, site qui accueille les prémisses du futur parc urbain Lac Iarivo. L'ampleur de la participation étrangère témoigne de l'importance accordée à cet anniversaire et de la place de Madagascar sur la scène internationale.

 

Madagascar a apporté son soutien à la candidature de la Suisse, représentée par Christine Schraner Burgener, pour le poste de Haut-commissaire des Nations unies pour les réfugiés (HCR) pour le mandat 2026-2030. Cette déclaration de soutien, exprimée par la ministre des Affaires étrangères malgache, Rasata Rafaravavitafika, lors d'une visioconférence avec Christine Burgener, souligne l'importance de la coopération entre Madagascar et le HCR. L'entretien a permis de discuter des axes de collaboration bilatérale, notamment l'accompagnement des réfugiés et demandeurs d'asile à Madagascar, où le centre de documentation et d’accueil, partenaire du HCR depuis 2017, joue un rôle essentiel dans l'insertion sociale de ces populations vulnérables. Le soutien de Madagascar met en avant la nécessité d'une réponse concertée aux défis migratoires régionaux et reflète une solidarité internationale face aux crises humanitaires. La candidature de Christine Burgener, forte de son expérience diplomatique, notamment au Myanmar, est perçue par Madagascar comme une garantie d'une action humanitaire efficace et engagée au sein du HCR. L'élection du prochain Haut-commissaire aura lieu à New York lors de la 80ème session de l'assemblée générale des Nations unies.

 

Le Président de la République de Madagascar, Andry Rajoelina, a récemment reçu une délégation turque de haut niveau, marquant ainsi une étape importante dans le renforcement des relations bilatérales entre Madagascar et la Turquie. Cette rencontre a rassemblé des personnalités influentes, notamment l'ambassadeur İshak Ebrar Çubukçu, le président de la société İstanbul Gold Refinery (IGR), M. Özcan Halaç, ainsi que sa PDG, Mme Ayşen Esen. La présence de SEM Aivo Andrianarivelo, président de la Banque centrale de Madagascar, a également ajouté une dimension économique à cet échange. Les discussions ont porté sur les opportunités de coopération dans des secteurs stratégiques, notamment la raffinerie d'or, domaine dans lequel la société IGR possède une expertise reconnue. Cet aspect de la rencontre souligne l'importance des ressources naturelles pour Madagascar, ainsi que l'opportunité d'attirer des investissements étrangers. Cette audience s'inscrit dans une dynamique de renforcement des relations économiques et diplomatiques entre les deux nations. Les deux parties ont manifesté un intérêt réciproque à explorer de nouvelles avenues de collaboration, ce qui pourrait ouvrir la voie à des projets concrets profitant à l'économie malgache tout en consolidant les liens entre Madagascar et la Turquie.

Ni à l’Assemblée nationale ni au Sénat, aucune action concrète ni initiative ne semble avoir été entreprise dans le but d’ébranler ou de remettre en question la stabilité du régime en vigueur. L’ambiance générale, au sein des différentes institutions de la République, penche plutôt vers le calme. 

En effet, les bruits de couloir et spéculations relayées la semaine dernière, faisant état d’une possible motion de censure dirigée contre le Gouvernement conduit par Christian Ntsay, se sont peu à peu dissipés, faute d’éléments crédibles ou de démarches officielles venant corroborer ces rumeurs. 

Le député Fetra Rakotondrasoa, issu des rangs de la majorité présidentielle, concède l’existence d’un certain malaise perceptible parmi les parlementaires, notamment en raison du non-respect de certaines clauses du règlement intérieur de l’Assemblée nationale. Toutefois, il affirme n’avoir jamais eu connaissance d’un quelconque texte de motion et considère que toute cette agitation s’apparentait davantage à un simple « ballon d’essai » qu’à une véritable initiative politique mûrie. Pour lui, il s’agissait avant tout d’une manœuvre pour tester les réactions, sans réelle intention de déstabiliser.

Un discours tout aussi mesuré est tenu dans les rangs de l’Opposition. Le député Narson Rafidimanana déclare ne pas avoir été sollicité ni impliqué dans une quelconque entreprise visant à renverser le Gouvernement actuel par le biais d’une motion. Il laisse entendre que la conjoncture politique ne s’y prête pas et souligne qu’il aurait sans doute décliné toute participation à une telle opération, même si celle-ci avait vu le jour.

 

Du côté du Sénat, la posture est également empreinte de sérénité. Le président de la Chambre haute, le Général Richard Ravalomanana, est intervenu publiquement hier, à l’occasion de l’adoption de l’ordre du jour. Il a voulu rassurer quant à la position de l’institution qu’il dirige, en appelant à la cohésion entre les sénateurs et en les exhortant à ne pas céder aux pressions diverses ni aux tentatives d’intimidation diffusées sur les réseaux sociaux.

 Il a tenu à préciser que le Sénat n’entretient aucun différend avec le pouvoir exécutif, et qu’il reste résolument solidaire du régime en place. Son message a été sans équivoque, à savoir faire primer l’intérêt général et œuvrer collectivement à la sauvegarde de la paix et de la stabilité nationales.

La Rédaction

 

 

Aucune nouvelle détection signalée depuis septembre 2023. Madagascar a accompli un grand pas vers l’éradication de la poliomyélite, en réussissant d’interrompre la transmission du variant du poliovirus de type 1. Un combat gagné grâce aux recommandations issues d’une évaluation rigoureuse et indépendante visant à déclarer la fin de l'épidémie. Aussi, l’engagement politique ferme aux plus hauts niveaux, notamment du Président de la République Andry Rajoelina, et de la Première dame Mialy Rajoelina, a porté ses fruits. Un engagement qui s’est concrétisé par la tenue d’une série de campagnes de vaccination d’urgence, menée depuis 2021 d’abord auprès des Districts à haut risque et ensuite au niveau national. Cette initiative a permis d’administrer les vaccins contre la poliomyélite d’importance vitale à plus de 19 millions de personnes, selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Le système de surveillance renforcée du pays, ayant permis la détection rapide du poliovirus tant chez l’homme que dans les échantillons environnementaux, a joué un rôle déterminant dans l’interruption de la transmission de la poliomyélite à Madagascar. L’intensification des enquêtes sur les cas, la participation communautaire et les stratégies novatrices de vaccination, principalement les campagnes porte-à-porte, ont été essentielles pour enrayer la propagation.

 

Des progrès porteurs d’espoir

En 2023, quatre campagnes de vaccination de grande envergure ont été menées, permettant à la Grande île d’atteindre une couverture vaccinale de 95 %, un facteur essentiel dans l’interruption de la transmission et de la fin de l'épidémie de poliomyélite. « Les progrès réalisés ces dernières années dans la vaccination et la lutte contre la polio sont porteurs d’espoir. Aujourd’hui, l’épidémie est déclarée finie. Ensemble, nous avons prouvé qu’il est possible de dépasser les limites et de bâtir un changement durable. Continuons d’agir, de sensibiliser et d’unir nos forces pour offrir à chaque enfant un avenir en bonne santé », s’est exprimé la Première dame Mialy Rajoelina, et non moins ambassadrice de la vaccination dans le pays.

 

« Ce succès prouve qu’avec une volonté politique, des partenariats solides et la participation communautaire, les épidémies de poliomyélite peuvent être rapidement maîtrisées. Il est maintenant primordial de poursuivre ces efforts afin de prévenir toute recrudescence à l’avenir », a déclaré le Dr Chikwe Ihekweazu, directeur régional par intérim de l’OMS pour l’Afrique. « Madagascar incarne un symbole d’espoir pour l’éradication de la poliomyélite en Afrique, mais la vigilance doit rester de mise pour prévenir toute nouvelle épidémie. La vaccination constitue un droit fondamental pour chaque enfant, où qu’il se trouve », a ajouté Etleva Kadilli, directrice régionale du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) pour l’Afrique de l’Est et australe. La riposte réussie, ayant permis de mettre fin à cette épidémie, met en lumière le pouvoir de l’action collective au service de la protection des enfants contre les maladies évitables.

 

Recueillis par Patricia R.

 

 

La résurgence de la polio à Madagascar en 2020 constituait une menace réelle pour la santé publique, notamment pour les enfants âgés de moins de 5 ans ainsi que les cas de ceux non vaccinés. Au pic de l'épidémie en septembre 2023, un total de 287 cas avait été confirmé, soit 45 cas de paralysie flasque aiguë, 44 cas communautaires et 198 échantillons testés positifs, issus de la surveillance environnementale des eaux usées. Les cas ont été recensés dans 30 Districts couvrant 13 Régions du pays et, en janvier 2023, deux cas de paralysie ont été signalés chez des adultes, plaçant ainsi le pays dans une situation exceptionnelle exigeant des réponses innovantes. Mais la riposte du Gouvernement, par l’intermédiaire du centre d’opérations d’urgence, en partenariat avec l’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite (IMEP), a aussitôt été mise en œuvre. Les autorités sanitaires, soutenues par GAVI - l’Alliance du vaccin, l’UNICEF, l’OMS, Le Rotary et la Fondation Gates, continuent de renforcer la vaccination de routine, d’améliorer la surveillance et de mettre en œuvre des mesures rigoureuses de préparation aux épidémies, afin de réduire le risque de réémergence de la poliomyélite et d’autres maladies à prévention vaccinale. Les partenaires de l’IMEP ont renouvelé leur engagement à soutenir Madagascar dans le maintien de son statut de pays exempt de poliomyélite et dans le renforcement général de la couverture vaccinale.

 

Une expédition mise à rude épreuve pour la famille originaire de Madagascar. Zouzar Bouka et son fils Raïs ont dû abandonner l’ascension finale de l’Everest, une montagne située dans la chaîne de l'Himalaya, à la frontière entre le Népal et la Chine. Le père de famille, affaibli par un virus contracté au camp de base, a dû interrompre son ascension dès le Camp 1. Malgré une volonté farouche de continuer, des problèmes respiratoires liés à l’altitude ont imposé son évacuation vers Katmandou. Son fils est, quant à lui, parvenu jusqu’à l’ultime barrière : le ressaut Hillary, à seulement 150 mètres du sommet. Mais dans la nuit du 17 au 18 mai, les conditions extrêmes, entre autres le froid mordant, l’affluence sur la voie, la lenteur de la progression et l’épuisement des équipes, ont rendu la suite de l’ascension trop dangereuse. Trois alpinistes ont perdu la vie cette nuit-là, victimes du froid et du manque d’oxygène.

Raïs et ses coéquipiers ont dû redescendre d’urgence au Camp 4. A son arrivée, le premier découvre l’ampleur des dégâts, à savoir de sérieuses engelures aux pieds. Une heure de plus là-haut, et il perdait probablement plusieurs orteils. Il a été évacué immédiatement à Katmandou pour recevoir des soins intensifs. Mais une fois à l’hôpital, son premier réflexe était de demander s’il pourrait repartir tenter le sommet. La réponse médicale a été sans appel : « Trop risqué. Trop dangereux ». Raj-Alexandre Bouka, seul en haute montagne, est redescendu au Camp 2 pour se reposer. Si les conditions et son état physique le permettent, il pourrait envisager une nouvelle tentative d’ascension dans les prochains jours. La situation reste évolutive, et son équipe suit l’évolution de la cascade de glace du Khumbu, laquelle devient de plus en plus instable à cette période.

Malgré la déception, la famille Bouka garde la tête haute. « Nous savions que ce serait difficile. Nous savions qu’il n’y avait aucune garantie de réussite. Et aujourd’hui, la montagne nous le rappelle avec force. Sur l’Everest, chaque pas représente un combat, et chaque souffle une victoire », ont déclaré le père de famille et son fils qui ont dû arrêter l’expédition. « Ce n’est pas une fin, mais une étape. Si ce n’est pas réussi cette année, nous reviendrons plus tard. Le rêve ne s’arrête pas là ! », ont-ils lancé. Cette famille malagasy n’a pas manqué d’exprimer sa reconnaissance aux nombreux soutiens venus de Madagascar et d’ailleurs, un élan collectif émouvant. Désormais, les yeux sont tournés vers l’autre fils, encore dans l’expédition. Il a besoin d’énergie, des pensées et du soutien venant de tous puisque chaque mot et chaque message l’encourage davantage à atteindre le sommet !

 

 

 

 

Les trois naufragés mauriciens, secourus sur la côte Nord-est de la Grande île, se retrouvent désormais derrière les barreaux, suite à des éléments troublants entourant leur périple. Après plus de vingt jours en mer, leur arrivée en bonne santé soulève des interrogations, d'autant plus que les Forces de l'ordre ont jugé leurs témoignages à propos de leur mésaventure peu convaincants. En conséquence, ces hommes ont été placés en détention provisoire dans la prison de Maroantsetra.

Après avoir été remis devant la Justice, ils sont accusés de ne pas disposer de documents et de visas nécessaires, ainsi que d'un titre de voyage valable. Le flou persistant quant à la nature de leur incursion maritime, couplé à la présence d'un bateau suspect, renforce les soupçons à leur égard. La vedette rapide, jugé approprié pour le transport de stupéfiants entre les deux îles, est d'autant plus problématique que son propriétaire n'a signalé sa disparition que le 16 mai, alors que l'embarcation était déjà aperçue sur les côtes malagasy à ce moment-là. Ce délai soulève des questions, notamment sur les véritables intentions de son propriétaire.

Les enquêteurs au sein de la « Division of Criminal Intelligence Unit » et de la « Maritime Intelligence Cell » n'écartent pas la possibilité que ces naufragés soient impliqués dans un réseau de trafic de drogue entre l’île Maurice et Madagascar. Les Forces de l'ordre, tant mauriciennes que malagasy, tentent de démêler les fils de cette affaire où les soupçons de trafic illicite pèsent lourdement. Enfin, un rapatriement des trois marins vers Maurice est prévu cette semaine afin d'éclaircir les circonstances de leur voyage et d'obtenir des informations complémentaires provenant des enquêtes réalisée par la partie malagasy. Le Gouvernement mauricien prend en main cette affaire, indiquant ainsi la volonté des autorités de faire toute la lumière sur cette situation troublante. Les développements à venir promettent d'être décisifs pour comprendre l'enchevêtrement d'événements qui entoure la mystérieuse affaire de naufrage et cette éventuelle activité illicite.

Nikki Razaf

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La Une

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Editorial

  • Problématique !
    La Grande île se lance dans une campagne de mobilisation afin de revigorer le tourisme. Un secteur d’activités sensiblement et potentiellement prometteur pour Madagasikara. Le tourisme jouit d’une capacité de rayonnement incontestable pour un pays comme le nôtre. Bien encadré et bénéficiant d’un ensemble d’infrastructures opérationnelles, le tourisme peut bien être un atout pour la relance de l’économie nationale. Seulement, il n’y a pas trente-six issues pour y parvenir autre que faire appel aux investisseurs nationaux et internationaux. Des activités touristiques de haut niveau et compétitives exigent la disposition entre les mains de gros sous. Des pays avancés économiquement et dont le tourisme occupe une place prépondérante disposent d’importantes infrastructures hôtelières et des réseaux de communication d’envergure. En France, le tourisme joue un rôle de premier plan dans la consolidation de la force de frappe d’une économie développée du pays. La France entretient jalousement tous les patrimoines culturels et artistiques…

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