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L’ambiance après la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019 s’avère tumultueuse pour la sélection nationale malagasy, les Barea. C’est à travers la presse internationale que des joueurs des Barea « qui veulent garder leur anonymat » se sont exprimés sur leur frustration et déception envers les dirigeants du football malagasy. Ces éléments des Barea qui ont disputé la phase finale de la CAN en Egypte s’insurgent du fait qu’ils n’ont pas encore reçu leur « prize money » émanant de la Confédération Africaine de Football (CAF) et versé par cette dernière à la FMF. Face à ce non-paiement de leurs dus, ces Barea refusent de disputer le match amical annoncé officieusement se tenir dans le courant de ce mois durant les dates FIFA.

 

Un passage obligé. Naina Andriantsitohaina, le candidat à la mairie de la municipalité d'Antananarivo arpente les rues pour aller à la rencontre des Tananariviens. L'objectif est de rencontrer la population à la base et d'écouter leurs doléances et desiderata. Lundi, le porte-fanion de l'Isika rehetra Kaominina miaraka amin'i Andry Rajoelina, accompagné de la députée Lanto Rakotomanga, a sillonné les rues des Fokontany d'Ampamantanana, Ambohitsoa, Saropody et Androndrakely, dans le second Arrondissement de la Capitale.

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LA UNE DU 02 OCTOBRE 2019

La nouvelle équipe de la fédération malagasy de football devra revoir la copie laissée par le comité de normalisation (CDN) notamment sur la formule de compétition. La magie de la perception  proposée  par le CDN n’a pas opéré, vu  les résultats des deux équipes malagasy en lice dans les campagnes africaines. Fosa Juniors a été éliminé (0-0, 1-3) par le TP Mazembe en ligue des champions de la Confédération africaine (CAF) mais devra encore disputer le repêchage en 16e de finale de la coupe de la CAF.

5 parmi les 35 candidats ont quitté l’aventure à l’issue de la 2ème escale de Kopi Kolé qui s’est déroulée le samedi 28 septembre 2019 au siège de TV Plus Madagascar, situé à Ivanja Ambohitsoa. Il s’agissait de Kopi Kolé Elidiot, Lico Kininike venant de Majunga et Joyce Mena Makoa. Quant aux candidats de la catégorie « découvertes », l’aventure de Gasy Mamy de Toliara et Gasy Astro venant de Mananjary ont également pris fin samedi dernier. A chaque escale, 5 candidats quittent définitivement le jeu suite à la délibération des membres du jury.

Actuellement, la peur s’empare vraiment du personnel de la morgue de l’HJRA Ampefiloha. Une peur qui découle des propos très « durs » et accusateurs  émanant de certains facebookers de la place pour inciter les autres à s’en prendre « physiquement » à ce même personnel, accusé de vol d’organes présumé, malgré une absence de preuve. « Nous nous taisons depuis longtemps. Maintenant, nous jugeons qu’il serait trop injuste de croiser les bras devant tant de diffamations », apprend-on du côté de l’HJRA. La dernière affaire en date, remonte le week-end dernier à la suite du décès d’une jeune mère de famille dans un accident de moto, vendredi soir.

600. Tel est le nombre de femmes et de jeunes femmes qui meurent tous les ans après avoir rencontré une complication au cours d'un avortement à Madagascar. En effet, d'après Mireille Rabenoro, présidente de la Commission nationale indépendante des droits de l'Homme (CNIDH), près de 7 500 femmes ont recours à cette pratique qui est punie par la loi dans la Grande île. Selon elle, différents paramètres amènent les femmes et jeunes femmes à avorter. L'article rédigé par l'Agence de presse francophone (AFP) intitulé « A Madagascar, le cimetière aux fœtus de Volatiana », souligne des aspects de la vie qui favorisent l'avortement et l'interruption volontaire de grossesse. Un passage signé par Lalaina Razafinirinasoa indique que les barrières liées à l'usage des contraceptifs sont d'ordre financier et culturel.

 

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Les atouts de Naina

Les déclarations de soutien pleuvent. Les comités d'appui s'organisent. Des soutiens et des appuis affluent autour du candidat n° 4 portant le dossard de l'IRD aux élections à la mairie d'Antananarivo Naina Andriantsitohaina. Des partis politiques, des mouvements associatifs, des collectifs d'opérateurs économiques et de simples citoyens manifestent leur adhésion à la cause de Naina en vue du redressement de la Capitale. Compte tenu de l'état délabrement avancé de la Ville des Mille, un élan de solidarité se mobilise et se propose d'apporter sa contribution à la réussite de Naina, l'homme qu'il faut à la place qu'il faut, pour siéger à l'Hôtel de ville ( Analakely) .

Un secteur florissant. Travailler dans les « call center » est la dernière tendance en vogue actuellement. Ces trois dernières années, les entreprises dites « offshore » se sont multipliées à grande vitesse dans le pays. Et pour cause, le faible coût de la main-d’œuvre estimé aux alentours de 130 euros ou près de 500 000 ariary, soit deux fois moins cher qu’au Maroc ou en Tunisie. Toutefois, ces salaires restent toujours attrayants pour la jeunesse malagasy. Pourtant, un bon nombre de sociétés opèrent encore clandestinement dans le pays.

Un cocktail explosif ! Tel pourrait - on qualifier la rencontre de plusieurs détenus qui croupissent depuis quelques temps à la maison de Force de Tsiafahy. Cette prison est, en effet, récemment devenue le repaire de plusieurs anciens dignitaires du régime HVM. Parmi eux figure en premier lieu l'opérateur économique, Mbola Rajaonah qui fut un membre du cercle très fermé des anciens conseillers de l'ex - président Hery Rajaonarimampianina. Rappelons que ce transitaire est suspecté comme étant à l'origine de plusieurs délits dont du blanchiment de capitaux et fraude douanière. L'homme d'affaires est placé sous mandat de dépôt au sein de cet établissement pénitentiaire depuis le mois de février après sa comparution devant le Pôle anti - corruption.  

 

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Editorial

  • L’autre Sommet !
     « Un train peut cacher un autre ! » Au mois d’août prochain, le pays s’apprête à accueillir un autre Sommet, celui de la SADC (South African for the Development Community), Communauté pour le développement de l’Afrique australe. Madagasikara, de sa situation géographique, fait partie intégrante de l’Organisation sous-régionale regroupant les Etats de la partie australe de l’Afrique. La SADC, créée en 1992, regroupe 16 Etats membres dont la République de l’Afrique du Sud, l’Angola, le Botswana, Comores, la République démocratique du Congo, Eswatini, Lesotho, Madagasikara, Malawi, Mozambique, Namibie, Seychelles, la République Unie de Tanzanie, Zambie, et Zimbabwe. C’est une organisation régionale à vocation économique et politique. Elle vise à promouvoir le développement économique, la paix, la sécurité et l’intégration régionale des pays de la région australe de l’Afrique. A ses débuts, la SADC incarnait la lutte contre la ségrégation raciale, contre le colonialisme et l’impérialisme de l’Occident. Presque les…

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