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L'intensité du cyclone augmente. Toute la Région d’Atsimo-Andrefana a été ruinée par les vents violents accompagnant le cyclone tropical Honde. Par ailleurs, les fortes pluies ont causé une inondation dans plusieurs localités. Selon une source locale, les dégâts sont énormes. Les digues sont en rupture, sans parler de la destruction des habitants, bureaux, écoles et d’autres infrastructures. Dans la Commune d'Isalo, District de Morondava, Région du Menabe, environ 461 hectares de champs et rizières sont inondés. Toujours dans cette même Région, dans la Commune de Manambina, plus de 124 hectares de rizières sont également submergées par l’eau. Et dans la Commune d'Ankiliabo, District de Manja, environ 50 hectares de rizières sont inondées.

Ramadan 2025 - Début du mois sacré le 2 mars 

Publié le vendredi, 28 février 2025

« Madagascar n’a pas encore eu la chance de voir l’apparition de croissant lunaire aujourd’hui. Ainsi, le début du mois de Ramadan se fera le dimanche 2 mars ». Tel est le message envoyé par le Comité de la lune auprès de l’association des musulmans de Madagascar (FSM), hier. Ainsi, les pratiquants de l’Islam commenceront les 30 jours de jeûne à partir de demain, même si certains débuteront les leur dès ce jour. Il s’agit du quatrième pilier de l’Islam, une occasion pour les pratiquants de renouveler leur foi en Allah et de se purifier, notamment avec un jeûne obligatoire entre la levée et le coucher du soleil.

Suicide !

Publié le vendredi, 28 février 2025

Madagasikara serait-il en train de se … donner la mort ? De se suicider ! Les évènements tragiques survenus ces derniers temps semblent le corroborer. Des meurtres ciblés à des endroits différents inquiètent au plus point plus d’un dont les ondes de choc pourront dépasser les limites de nos frontières. Attention !

Rasazy Narindra, sage-femme de son état, maire nouvellement élue de la Commune rurale de Mangataboahangy, District d’Ambatofinandrahana, Région Amoron’iMania, a été mortellement touchée par balle en cours de route vers sa localité. Alors que Ranivoarivony Narindraniaina alias Narindra rasazy, une jeune sage-femme dans la fleur de l’âge, regagnait la localité, dont elle est élue,  une bande d’assassins armée tendait une embuscade entre Ambavalozakely et Ankafotra à 20 km de la Commune rurale d’Itremo et la tue de sang-froid. Elle rentrait de la cérémonie de son installation avec d’autres nouveaux maires à Antampon’ny Vinany Ambositra.

La récente implantation d’un établissement financier de renommée internationale au pays, accompagnée d’une décision drastique de révision à la baisse des salaires de ses employés, a jeté un froid dans le secteur. Les salariés, déjà en alerte, menacent de recourir à une grève pour se faire entendre, estimant que la mesure est injuste et déstabilisante. Selon leurs témoignages, la Direction justifie cette décision par la nécessité de faire face à un redressement fiscal inopiné, imposé dès leur installation. Pour les employés, ces arguments ne suffisent pas à calmer la grogne, surtout après les promesses initiales d’un avenir stable et prospère au sein de cette nouvelle institution. 

La scène musicale malagasy s'apprête à briller sur la scène internationale grâce à la participation de Mashmanjaka au Marché des musiques de l’océan Indien (IOMMa - « Indian Ocean Music Market ») qui se tiendra cette année les 3, 4 et 5 juin à Saint-Pierre, île de La Réunion. Cet événement d'envergure, qui en est à sa 11e édition, offrira une occasion unique aux artistes de la région de se faire connaître sur le plan mondial. Mashmanjaka, dont le style musical fusionne habilement le reggae, le hip-hop, la « roots music », la « soul music » et la soca, attire un public toujours plus large. Sa musique, à la fois entraînante et riche en émotions, reflète la diversité culturelle de Madagascar. 

La politique n’est pas un jeu où l’on peut sacrifier l’intérêt national sur l’autel des ambitions personnelles. Pourtant, c’est exactement ce que fait l’Opposition malgache. La dernière révélation de la ministre de l’Economie et des Finances, Rindra Rabarinirinarison, en est une preuve éclatante. En effet, le grand argentier de l’Etat a indiqué que des manœuvres ont été entreprises pour tenter de bloquer les financements du FMI, mettant ainsi Madagascar en difficulté. Heureusement, ces tentatives ont échoué. Mais elles en disent long sur les méthodes d’une Opposition prête à tout, quitte à pénaliser la population.

la Une du 010325

Publié le vendredi, 28 février 2025

La une du 28 février 2025

Publié le jeudi, 27 février 2025

En chute libre !

Publié le jeudi, 27 février 2025

Jirama trébuche et touche le fond.

Il est temps qu’on crève l’abcès. Rien ne va plus chez la Compagnie nationale d’eau et d’électricité d’Ambohijatovo-Ambony. L’approvisionnement en eau se détériore. Il va de mal en pis. Les délestages s’éternisent. Tout comme si le tourment causé par les intempéries ne suffisent pas qu’il faille en rajouter et souffrir davantage. Le calvaire de la population atteint son paroxysme !

Durant la période sèche prolongée, les robinets des ménages et les bonnes fontaines des quartiers de la capitale et les communes environnantes sont à sec. Les citernes d’eau faisaient le tour des quartiers jusque dans les communes périphériques. Certes, le problème s’atténue mais entre les deux livraisons, pour quelques jours, c’est l’attente interminable. On comprend la situation par le fait que Dame pluie se fait attendre et qu’il fallait disposer de carburant suffisant. Et quand les flottes viennent à tomber, à grosses gouttes. Déception, pas encore d’approvisionnement en eau ! Comme  explication de la JIRAMA, la montée des eaux ! Que la JIRAMA dise la vérité ! Quel est vraiment le fond du problème ? En période sèche, pas d’eau à la pompe. En période de pluie, pas d’eau non plus à la pompe. Les usagers en ont assez d’être menés en bateau !

Les délestages reviennent au galop au grand dam des ménages, des petites unités de production, des usines et des entreprises. L’année nouvelle 2025 commence mal. Il ne s’agit pas parle plus de simples coupures ou de délestages mais d’absence prolongée de courant. Dès le début de février, les délestages allaient de 15 à 35 %. Et vers la fin de ce mois, lesquels délestages durent 24 heures. A travers RIA, Fenoarivo jusqu’à Ampefy et au-delà, le courant est absent toute la journée, nuit et jour, pour deux fois, en espace de quelques heures. Bref, les coupures s’éternisent. Et on tombe des nues ! Le plus dur à avaler dans tout cela vient de l’absence totale d’explication plausible de la part de la JIRAMA. La direction générale ne daigne même pas aviser ou plutôt donner des explications valables par voie de presse officielle. Aucun communiqué digne de foi. Ambohijatovo se contente des avis par réseaux sociaux interposés. Des explications ou plutôt des excuses bidon ! Mais pour qui nous prenne-t-elle ! La direction générale sait pertinemment que l’usage de Facebook n’est pas l’apanage du commun des mortels.

On veut bien admettre les raisons avancées.Le bas niveau de l’étiage et la baisse de l’ensoleillement. Et concernant les longues coupures ces derniers jours, il y aurait des incidents techniques. Soit ! A se demander, les techniciens de la JIRAMA ne maitrisent-ils pas leur travail. Sinon, ils savent parfaitement leur métier, seulement ils auraient bâclé. Ou enfin, peut-être, les équipements de la Compagnie nationale sont … irréparables !

Jusqu’à quand la JIRAMA va-t-elle nous créer des ennuis ? Nous mener à chaque coup en bateau ? Les  questionnements  sont légitimes. On fait payer des factures « salées » après une longue queue alors que le service en retour laisse à désirer.

Ndrianaivo

 

«  A l’instant où l’on ceint votre hanche avec une écharpe aux couleurs nationales, le mandat, qui fait de vous maire de la Commune où l’on vous a élu dernièrement, commence », devait déclarer solennellement dans son discours, la ministre de l’Intérieur, Rahajavololoniaina Herintsoa, lors de la cérémonie du 22 février 2025, qui a eu lieu sur la Grande Place du Chef-lieu de la Région d’Alaotra-Mangoro où était présente une grande foule constituée notamment par des ressortissants des 53 Communes dont la présence effective a été « requise », selon nos sources. Du côté du Gouvernement, une délégation a été dépêchée pour participer à la cérémonie, à la tête de laquelle le ministre de la Justice, accompagné de la ministre de l’Intérieur, du ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, de la ministre de la Population et de la Solidarité, du ministre-Délégué de la Gendarmerie nationale. Côté parlementaire, un membre du Sénat et les députés respectivement d’Andilamena, d’Amparafaravola et d’Ambatondrazaka, ont honoré la cérémonie.

 Il convient aussi de souligner que les 53 maires dont ceux qui sont militants du Tiako i Madagasikara, en l’occurrence celui de Didy et de Tanambao-Besakay et du parti Freedom de la Commune suburbaine d’Ambatondrazaka, se sont impliqués volontairement à cette cérémonie officielle. La délégation gouvernementale, par le truchement de la ministre de l’Intérieur rappela qu’un maire n’est pas seulement quelqu’un dont l’unique obligation est de revendiquer au Gouvernement. Un bon maire fait preuve d’esprit d’initiative, d’ouverture et d’entreprise…contrairement aux fonctionnaires  des services déconcentrés. 

 Quant au sénateur en provenance d’Amparafaravola, elle souhaite que chaque maire  fasse en sorte qu’il  mérite la confiance de ses électeurs donc de la communauté de sa circonscription. Quant au député Andry d’Ambatondrazaka qui partage les mêmes recommandations faites, déplora que la ponctualité – promise au public dans le programme, n’ait pas été tenue ! 

Au nom de ses confrères, le maire Pascal Rabearimanana demanda à ce que diligence soit mise  pour le remboursement du droit payé par chaque candidat et qu’à chaque fois les demandes d’audience soient reçues.

Les membres du Gouvernement et les maires ont partagé un repas commun à l’issue de la cérémonie. Gageons que multiples « audiences » ont eu lieu à cette occasion. Faute de quoi ce « repas » n’a pas sa raison d’être !?

Nandrasana

 

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Editorial

  • Assez !
    « La maison brûle, nous regardons ailleurs ! ». Par cette célèbre phrase devenue légendaire et historique que Jacques Chirac, alors Président de la République française, devait entamer son discours lors de l’ouverture de l’Assemblée plénière du IV ème Sommet de la Terre le 2 septembre 2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Le Président français voulait faire allusion sur le danger réel que le monde encourt à cause du réchauffement climatique mais les hommes affichent leur indifférence sinon leurs attentions s’orientent ailleurs. Alors que le pays traverse une zone de forte turbulence, nous les concitoyens, les compatriotes, nous passons le clair de notre temps à nous chamailler. La tempête si puissante risque d’emporter le navire, les passagers à bord, trop occupés à se quereller, ne sont pas conscients du péril en la demeure. Jacques Chirac interpelle les « occupants » de la maison de leur ignorance et leur indifférence…

A bout portant

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