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Une légère amélioration par rapport aux résultats de 2019. 51,74% des candidats qui se sont présentés à l’examen pour l’obtention du Brevet d’étude de premier cycle (BEPC) dans la Circonscription scolaire (CISCO) d’Antananarivo- ville viennent de décrocher leur diplôme. Ce taux de réussite a augmenté de 14,83% par rapport à celui de l’année dernière, lequel était de 36,91%. Il a tourné autour de 48% en 2017 et 2018. « Malgré les semaines de suspension des cours à cause du confinement lié à la pandémie de coronavirus, les candidats ont quand même eu le temps de réviser chez eux et de revenir en classe pendant quelques semaines, avant de passer à la session. D’un autre côté, les sujets uniques dans tout Madagascar étaient plus ou moins faciles à traiter, d’après les candidats.

Naina Andriantsitohaina, essai concluant !

Publié le jeudi, 01 octobre 2020

Dans toute grande entreprise digne de son rang, le recrutement pour un poste quelconque en particulier celui d’un cadre respecte un processus d’évaluation strict et parfois même sévère. Les jeunes postulants, frais et émoulus sortants d’école à même bradés de diplôme, subissent obligatoirement une série de tests d’embauche qu’ils doivent passer nécessairement avec succès entre autres l’implacable « entretien d’embauche ». Ceci étant, il va falloir entamer l’incontournable « période d’essai ». Une période délicate durant laquelle le prétendant n’a pas le droit de rater. Les réalités sur les bancs de l’école diffèrent totalement de celles du travail. On pourrait bien réussir en classe mais échouer dans les applications au travail. D’où l’importance de la période d’essai de six mois en général. Eventuellement, pour une fonction spécifique, le postulant doit subir le « grand oral » après quoi, la direction se prononcera.

Enthousiasme. La compagnie aérienne sud-africaine, Air Link, reprendra bientôt ses vols à destination de Nosy Be. Les responsables au niveau de la compagnie ont, en effet, effectué une descente à l’île aux parfums et aux fleurs hier, à l’occasion de la reprise limitée des vols internationaux. «Ils ont voulu constater de visu les dispositions sanitaires mises en place afin de contenir la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays mais aussi pour discuter avec les autorités sur place. Ils prévoient alors un retour sur la desserte au début du mois de décembre prochain.

Une base de données nationale d’identité. La Banque mondiale a approuvé, mardi dernier, un crédit à hauteur de 140 millions de dollars du mécanisme de financement complémentaire de l'Association internationale de développement (IDA) ainsi qu’une subvention de 3 millions de dollars du Mécanisme de financement mondial (GFF) pour digitaliser les registres de l’Etat civil du pays. Selon les explications reçues, un département auprès de la Présidence de la République se chargera du projet. Il faut savoir que sur 26 millions d’habitants, 25% ne sont pas enregistrés pour diverses raisons. Mais dans la majorité des cas, ces personnes naissent dans des zones éloignées de l’administration publique et des centres de santé.

 

Après les sorties des organisations de la Société civile qui n’ont eu de cesse de réclamer une soi-disant transparence dans l’utilisation des fonds destinés à la lutte contre la Covid-19, la porte-parole du Gouvernement Lalatiana Andriatongarivo sort de son silence et réplique. 

Dans un communiqué publié mardi dernier, des membres de la Société civile affirment, en effet, d’avoir constaté l’opacité sur les fonds Covid-19, « notamment sur les caisses d’avance uniques et exceptionnelles mises en place au niveau du Centre de commandement opérationnel ». « La Société civile est invitée à prendre connaissance en profondeur les textes en vigueur sur certains principes de la caisse d’avance avant de se livrer à de telles accusations », a répondu d’emblée la ministre de la Communication et de la Culture.

Après plusieurs mois de préparation, l'usine PHARMALAGASY voit enfin le jour. L'inauguration de ce nouveau- né de l'industrie pharmaceutique se tiendra ce jour à Tanjombato sous la houlette du Président, Andry Rajoelina. Il y a quelques mois de cela, cette usine n'était encore qu'au stade de projet. Aujourd'hui, le projet se concrétise. Ce que plusieurs malagasy connaissaient sous le nom d'OFAFA (Orinasa Fanamboarana Fanafody) renaît de ses cendres à travers l'usine « PHARMALAGASY ». Cette unité de production sera des plus sophistiqués puisque les matériels utilisés pour sa mise en place ont été importés depuis l'Allemagne et la Chine. 

La une du 02 octobre 2020

Publié le jeudi, 01 octobre 2020

La une du 1er octobre 2020

Publié le mercredi, 30 septembre 2020

Une semaine après sa comparution au tribunal d’Anosy, le verdict est tombé hier : Berija Ravelomanantsoa, alias Berija, ce président d’association d’étudiants, a écopé d’une peine d’emprisonnement de 44 mois ferme pour diffamation, atteinte à la sûreté de l’Etat. En revanche, ses trois co-accusés ont été purement relaxés, faute de preuve pour les retenir. Enfin, un quatrième a été acquitté au bénéfice du doute.

Berija a déjà été placé sous mandat de dépôt pendant mois, période ayant préludé à sa récente comparution. Son avocat envisage de faire appel à cette décision de la Justice. Selon toujours l’avocat, son client est inculpé à la fois  de diffamation de personnalités dirigeantes en place à travers les réseaux sociaux mais aussi d’une atteinte à la sûreté de l’Etat. Pour retracer brièvement les faits, l’accusé  a été arrêté le 1er juin 2020. Il a cherché à s’opposer par la force aux gendarmes venus l’arrêter. Devenant ainsi une interpellation musclée. Six jours plus tard, il était déféré au Parquet. Puis placé sous mandat de dépôt. A l’époque, des membres de sa famille, dont son épouse, sa mère, son frère et une autre personne, étaient également impliqués dans cette affaire. Mais ces derniers ont bénéficié d’une liberté provisoire
Franck R.


Palmarès gênant

Publié le mercredi, 30 septembre 2020

Une réussite fait des jaloux ! Un succès gêne ! Il est pratiquement impossible pour les humains de suivre à la lettre cette parole des Saintes Ecritures « Soyez heureux avec les heureux et ayez de la compassion avec ceux dans la douleur ». Autrement, « partager le bonheur de la réussite des autres et soyez triste dans le malheur d’autrui ».
Pour la seconde fois, le Premier ministre Ntsay Christian représente Madagasikara à la tribune de l’Organisation des Nations unies (ONU) qui, cette année 2020, célèbre son 75ème anniversaire. A cette occasion, il a prononcé un discours au nom des 25 millions de malagasy et en lieu et place du Chef de l’Etat de Madagasikara, Rajoelina Andry Nirina. A cause de la pandémie de Covid-19, la présence physique sur le lieu s’avère impossible. Toutes les interventions se feront par visioconférence. Parfois, le progrès de la technologie rend service à l’homme.
Dans son intervention, le numéro deux de l’Exécutif tient à concentrer toute l’attention de l’auguste audience sur un point crucial « la coopération internationale post-Covid-19 ». Ntsay Christian focalise son discours sur la nécessité pour tous les pays du monde, riches ou pauvres, à se donner la main afin de relever ensemble le défi de la relance de l’après pandémie de Covid-19. Le PM n’a pas non plus manqué de faire état de la réussite de la stratégie nationale de réponse contre la contamination de la Covid basée sur le Remède traditionnel amélioré (RTA) à travers le territoire national. Les observateurs les plus avisés consentent à admettre que « les mesures préconisées par l’Etat malagasy ont été efficaces ». Les données chiffrées de la statistique le confirment sans trop de commentaires.
En effet, le taux de létalité en pour cent de la Grande île est de 1,41% et le taux de guérison 91,70%. Le pays figure parmi les quatre Etats ayant les taux de mortalité, version pandémie Covid-19, les plus bas au monde à savoir, Inde 1,58%, Arabie Saoudite 1,40%, Rwanda 0,60% et Madagasikara. Ainsi que des taux de guérison les mieux placés du monde. A titre d’illustration, la France 5,43% de taux de létalité et 16,59% de guérison. Brésil 3,00% (létalité) et 88,08% (guérison).
Mais, le palmarès d’un pays pauvre comme le nôtre gêne parfois certains grands pays jusqu’à envenimer des relations entre Nations. Le succès du RTA, genre CVO, pour traiter la contamination du coronavirus indispose d’autres comme la France qui voit d’un mauvais œil son efficacité. Plus d’une fois, cette puissance occidentale banalise la pertinence du CVO. Et encore faut-il, le pays produira incessamment grâce à Pharmalagasy des remèdes plus efficaces, CVO+ gélule, on pressent l’ire quelque part à Andafy.
Il n’y a pas que la question du Remède traditionnel amélioré qui gêne les grands laboratoires de l’Ouest. Entre Madagasikara et la France, le litige relatif aux affaires des îles Malagasy (Eparses) dont la Grande île revendique la restitution, pure et simple, empoisonne la relation des deux pays. En somme, il y a de l’électricité dans l’air, le torchon brûle !
La France qui ne digère nullement la réussite de Madagasikara dans la maîtrise de la pandémie de Covid-19 se rebiffe.  Des mesures de rétorsion de la part de l’ancienne puissance coloniale s’organisent et tentent d’étouffer le pays.
 Ndrianaivo

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Editorial

  • Vandalisme légal ?
    La Grande île «retombe de nouveau » dans l’implacable piège de la crise politique. L’image flagrante de quelqu’un qui marche sur le fil d’un rasoir, d’un fil-de-fériste ou d’un équilibriste qui joue au prix de sa vie à une altitude proche de la pointe de la Tour Eiffel colle sur les réalités du pays à ce moment précis. La moindre maladresse sinon d’inattention, on risque le pire !

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