Le riz représente le principal aliment de la population malagasy. De ce fait, la riziculture occupe une position stratégique dans le système de production du pays. Pour une meilleure rentabilisation de la filière, un projet de digitalisation de la riziculture à Madagascar sera bientôt initié par Atos, leader international de la transformation digitale et Bearing Point, un cabinet de conseil en management et technologie indépendant aux racines européennes avec une couverture mondiale. Cette digitalisation se fera par l’apport des solutions intégrées d’Applications métiers et environnement de travail connecté.
Candidat à la Mairie d'Antananarivo, Naina Andriantsitohaina a quitté son poste de ministre des Affaires étrangères. Bien que la loi l'autorise de siéger au sein du Gouvernement jusqu'à la validation par la CENI de sa candidature, il a pris les devants en rendant son tablier avant l'heure. « C'est un déchirement de quitter les collaborateurs du MAE et toute l'équipe engagée pour porter les beaux défis qui nous incombaient », écrivait l'ancien ministre sur sa page facebook. A la tête de ce département ministériel depuis le mois de février dernier, Naina Andriantsitohaina y sort la tête haute et certainement au grand regret de ses collaborateurs. « J'ai constaté que dans ce Gouvernement, il était l'un des rares ministres d’un caractère fort.
La Haute Cour constitutionnelle donne son feu vert au Président de la République pour la création d'une fondation. Conformément à l'article 119 de la loi fondamentale qui dispose que: « La HCC peut être consultée par tout chef d'Institution et tout organe des Collectivités territoriales décentralisées, pour donner son avis sur la constitutionnalité de tout projet d'acte ou sur l'interprétation d'une disposition de la présente Constitution », le Président de la République Andry Rajoelina avait saisi la HCC aux fins de demander l'avis de la haute juridiction sur la conformité avec l'article 49 de la Constitution de la création d'une fondation par le Président de la République.
Bouleversement des saisons, augmentation des températures. Le changement climatique apparaît sous plusieurs visages. D’ailleurs, Madagascar demeure encore parmi les pays les plus vulnérables en la matière. Sur le plan mondial, l’Accord de Paris adopté en 2015 représente une étape charnière dans la lutte contre les changements climatiques. Maintenir l’augmentation moyenne de température dans le monde bien en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels, et autant que possible à 1,5°C pendant ce siècle constitue le principal objectif dudit accord.
Le quartier d’Antafihakely situé dans le cœur de la ville d’Ambanja, a été le théâtre d’une sanglante attaque de bandits, vers 18h30 mercredi. Les assaillants, au nombre de trois, et qui étaient munis d’objets tranchants, se sont violemment comportés envers leur cible dans son domicile. Il s’agit d’un certain Bebera pour les intimes, et non moins propriétaire de l’hôtel « La Piscine ». Ce dernier est grièvement blessé et présente de larges et profondes entailles sur presque tout le corps, surtout au bras. L’os apparaît même dans cette partie du corps de la victime, blessures occasionnées par les objets tranchants des agresseurs. De plus, ces derniers ont emporté un sac qui contenait une somme de 20 millions d’ariary qu’ils ont trouvé dans l’appartement.
Actuellement, quatre responsables chinois au sein de l’entreprise d’exploitation de graphite dénommée Gallois à Marovintsy Vatomandry, sont gravement blessés. Certains des employés le sont également. Mercredi, ces responsables de l’entreprise s’étaient affrontés avec les employés grévistes, des Malagasy. Des véritables batailles rangées au cours desquelles les Chinois ont utilisé des objets tranchants pour charger les salariés, qui ont répliqué à coups de pierres. Mais des villageois se sont mêlés aussi à l’affrontement. Il a fallu l’intervention de la Gendarmerie sur place afin de calmer les esprits. Les victimes se trouvent dans un état critique dont certaines souffrent de multiples fractures.
Malgré l’avancée de la technologie dans le monde, Madagascar est toujours en retard quant à l’utilisation de l’internet. A cause de la cherté de la connexion à domicile, la majorité de la population mise encore sur la connexion internet, qui, d’une part, est visible dans toute l’ile et de l’autre, à prix abordable. Cependant, l’utilisation de l’internet est au centre de tous les mouvements dans un pays comme l’éducation, la santé, la sécurité. Elle est inséparable avec l’éducation et notamment le système LMD. D’ailleurs, ce sont les universitaires qui sont les principaux usagers de l’internet. Il est alors important de promouvoir ce secteur dans le pays, et ce, à travers l’accessibilité à l’internet.
Après quelques jours de suspense total, la Justice a finalement prononcé sa sentence à la salle no 1 du Tribunal d’Anosy, hier. La directrice de publication d’un quotidien local et l’administrateur d’un compte sur facebook, tous deux accusés de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles à propos du motif du survol du stade de Mahamasina par un hélicoptère de l’Armée, quelques jours avant l’arrivée du Pape François, doivent s’acquitter chacun d’une amende de 10 millions d’ariary, et d’un franc symbolique à titre de dommage envers l’Armée malagasy.
Coup de théâtre ! Ravalomanana Marc n’est pas candidat. Finalement, il décline l’offre des caciques du parti (TIM) et celle du RMDM (plate-forme de l’opposition) qui voulaient le propulser au starting-block à l’élection communale à Antananarivo prévue ce 27 novembre 2019. Le suspens aura duré jusqu’à la dernière minute, au son de cloche de la clôture. En fait, Ravalomanana mit à sa place un jeune de trente-trois ans, Ny Riana Tahiry Randriamasinoro, administrateur civil de son état et secrétaire général de la mairie en cours. Un illustre totalement inconnu du bataillon ! Apparemment, Ravalo a omis de consulter l’état-major du parti, entre autres les députés. Il les a mis devant le fait accompli.