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Et la poutre… !

Publié le mardi, 01 octobre 2019

La nomination de la première vague des gouverneurs prise en Conseil des ministres il y a une semaine jour pour jour, crée des vagues. Le décret n°2019-1867 du 25 septembre 2019 relatif au gouverneur fait polémique. Il suscite beaucoup de questionnements tenant à sa « conformité à la Constitution et sa légalité » reconnait le Dr Sahondraharimalala, directeur des études juridiques (DEJ) auprès de la Présidence. Docteur en droit et Docteur en médecine, Sahondraharimalala Marie Michèle, une experte en la matière admet la légitimité des « soucis » sous la forme des questionnements mais des nuances et pas des moindres s’imposent.

 

Rien qu’une infime partie de l’iceberg. Effectivement, l’année dernière, la JIRAMA, société nationale d’eau et d’électricité, a enregistré plus de 7 milliards d’ariary de pertes liées aux branchements illicites et aux fraudes. Depuis, la JIRAMA a effectué une opération de ratissage dans les principaux quartiers concernés. Ainsi, de 2018 jusqu’au mois de juillet dernier, la société  pu récupérer 708 960 751 ariary des 257 fraudes et 91 cas de vol démasqués. Une somme encore minime en comparaison des 700 milliards.

L’ambiance après la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019 s’avère tumultueuse pour la sélection nationale malagasy, les Barea. C’est à travers la presse internationale que des joueurs des Barea « qui veulent garder leur anonymat » se sont exprimés sur leur frustration et déception envers les dirigeants du football malagasy. Ces éléments des Barea qui ont disputé la phase finale de la CAN en Egypte s’insurgent du fait qu’ils n’ont pas encore reçu leur « prize money » émanant de la Confédération Africaine de Football (CAF) et versé par cette dernière à la FMF. Face à ce non-paiement de leurs dus, ces Barea refusent de disputer le match amical annoncé officieusement se tenir dans le courant de ce mois durant les dates FIFA.

 

Un passage obligé. Naina Andriantsitohaina, le candidat à la mairie de la municipalité d'Antananarivo arpente les rues pour aller à la rencontre des Tananariviens. L'objectif est de rencontrer la population à la base et d'écouter leurs doléances et desiderata. Lundi, le porte-fanion de l'Isika rehetra Kaominina miaraka amin'i Andry Rajoelina, accompagné de la députée Lanto Rakotomanga, a sillonné les rues des Fokontany d'Ampamantanana, Ambohitsoa, Saropody et Androndrakely, dans le second Arrondissement de la Capitale.

LA UNE DU 02 OCTOBRE 2019

Publié le mardi, 01 octobre 2019

La nouvelle équipe de la fédération malagasy de football devra revoir la copie laissée par le comité de normalisation (CDN) notamment sur la formule de compétition. La magie de la perception  proposée  par le CDN n’a pas opéré, vu  les résultats des deux équipes malagasy en lice dans les campagnes africaines. Fosa Juniors a été éliminé (0-0, 1-3) par le TP Mazembe en ligue des champions de la Confédération africaine (CAF) mais devra encore disputer le repêchage en 16e de finale de la coupe de la CAF.

2ème escale Kopi Kolé - 30 candidats en lice

Publié le lundi, 30 septembre 2019

5 parmi les 35 candidats ont quitté l’aventure à l’issue de la 2ème escale de Kopi Kolé qui s’est déroulée le samedi 28 septembre 2019 au siège de TV Plus Madagascar, situé à Ivanja Ambohitsoa. Il s’agissait de Kopi Kolé Elidiot, Lico Kininike venant de Majunga et Joyce Mena Makoa. Quant aux candidats de la catégorie « découvertes », l’aventure de Gasy Mamy de Toliara et Gasy Astro venant de Mananjary ont également pris fin samedi dernier. A chaque escale, 5 candidats quittent définitivement le jeu suite à la délibération des membres du jury.

Actuellement, la peur s’empare vraiment du personnel de la morgue de l’HJRA Ampefiloha. Une peur qui découle des propos très « durs » et accusateurs  émanant de certains facebookers de la place pour inciter les autres à s’en prendre « physiquement » à ce même personnel, accusé de vol d’organes présumé, malgré une absence de preuve. « Nous nous taisons depuis longtemps. Maintenant, nous jugeons qu’il serait trop injuste de croiser les bras devant tant de diffamations », apprend-on du côté de l’HJRA. La dernière affaire en date, remonte le week-end dernier à la suite du décès d’une jeune mère de famille dans un accident de moto, vendredi soir.

600. Tel est le nombre de femmes et de jeunes femmes qui meurent tous les ans après avoir rencontré une complication au cours d'un avortement à Madagascar. En effet, d'après Mireille Rabenoro, présidente de la Commission nationale indépendante des droits de l'Homme (CNIDH), près de 7 500 femmes ont recours à cette pratique qui est punie par la loi dans la Grande île. Selon elle, différents paramètres amènent les femmes et jeunes femmes à avorter. L'article rédigé par l'Agence de presse francophone (AFP) intitulé « A Madagascar, le cimetière aux fœtus de Volatiana », souligne des aspects de la vie qui favorisent l'avortement et l'interruption volontaire de grossesse. Un passage signé par Lalaina Razafinirinasoa indique que les barrières liées à l'usage des contraceptifs sont d'ordre financier et culturel.

 

Les atouts de Naina

Publié le lundi, 30 septembre 2019

Les déclarations de soutien pleuvent. Les comités d'appui s'organisent. Des soutiens et des appuis affluent autour du candidat n° 4 portant le dossard de l'IRD aux élections à la mairie d'Antananarivo Naina Andriantsitohaina. Des partis politiques, des mouvements associatifs, des collectifs d'opérateurs économiques et de simples citoyens manifestent leur adhésion à la cause de Naina en vue du redressement de la Capitale. Compte tenu de l'état délabrement avancé de la Ville des Mille, un élan de solidarité se mobilise et se propose d'apporter sa contribution à la réussite de Naina, l'homme qu'il faut à la place qu'il faut, pour siéger à l'Hôtel de ville ( Analakely) .

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Editorial

  • Mission délicate !
    Le second round de la négociation entre la France et Madagasikara sur les îles Eparses devait débuter à Paris dans la journée d’hier 30 juin 2025. La première étape de la rencontre entre les deux délégations avait eu lieu à Antananarivo en 2019, au Palais de Premier ministre à Andafiavaratra, tout juste en début du premier mandat de l’actuel Chef d’Etat Rajoelina Andry, et réélu pour un second mandat en 2023. La délégation malagasy conduite par la ministre malagasy des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, composée de huit membres, devait rejoindre la capitale française pour être présente au rendez-vous fixé. Huit membres, des experts dans leur domaine respectif, qui ont la lourde tâche de présenter et défendre la cause nationale sur les îles Eparses. Madagasikara revendiquait depuis toujours du moins depuis la Deuxième République, la souveraineté de la Grande île sur ces « îles » tant convoitées et objet de discorde…

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