Nos archives web

Depuis le 10 octobre 2025, la cour imposante de l’Hôtel de la Marine, située place de la Concorde, à Paris, accueille une œuvre d’une rare délicatesse. Il s’agit de l’exposition intitulé « Les herbes folles du vieux logis », une installation immersive conçue par l’artiste Joël Andrianomearisoa, un des artistes malagasy qui expose fréquemment ses œuvres sur la scène internationale.

Cette création, visible jusqu’au 2 novembre, s’intègre dans le programme public d’Art Basel Paris, un rendez-vous emblématique de l’art contemporain international qui transforme chaque automne la capitale française en une gigantesque galerie à ciel ouvert. Ce programme a pour objectif de rendre l’art plus accessible à tous, en proposant un parcours gratuit à travers des lieux emblématiques tels que la place Vendôme ou l’Institut de France.

Aucun droit à l’erreur. C’est ainsi que l’on pourrait résumer le message du Président de la Refondation de la République, colonel Michaël Randrianirina à l’endroit des nouveaux ministres hier au Palais d’Etat d’Iavoloha. « Nombreux sont ceux qui ont souhaité intégrer le Gouvernement, mais le choix s’est porté sur vous. Soyez dignes de la confiance qui vous a été accordée », a – t – il déclaré au cours d’un bref discours avant l’annonce officielle des noms des membres du Gouvernement de la refondation.

Renforcer la discipline financière, sans compromettre le fonctionnement de l’Etat ni la continuité des politiques sociales et économiques essentielles. Le Premier ministre Herintsalama Andriamasy Rajaonarivelo a annoncé une mesure majeure dans la gestion des finances publiques : la suspension temporaire des nouveaux engagements budgétaires pour l’exercice 2025. Concrètement, la mesure bloque dans le Système informatisé de gestion des finances (le SIGFP) la quasi-totalité des lignes budgétaires de l’Etat — qu’il s’agisse du budget général, des budgets annexes ou encore des comptes du Trésor.

La UNE du 281025

Publié le lundi, 27 octobre 2025

Un revirement inattendu. Coup de théâtre dans le feuilleton du transfert de l’entraîneur malagasy Romuald Rakotondrabe. Alors que son arrivée à la tête du club tanzanien Young Africans SC semblait acquise, le sélectionneur des Barea A’ a finalement décidé de renoncer à s’engager avec le champion de Tanzanie.

De retour à Antananarivo après un séjour de quatre jours à Dar es Salaam, Romuald Rakotondrabe, plus connu sous le surnom de coach Rôrô, a préféré mettre un terme aux discussions avec les dirigeants des Yanga. Selon ses confidences, un désaccord avec l’agent du club serait à l’origine de cette rupture de négociations. Les points de friction concernaient notamment le choix de son adjoint et les modalités de signature de son contrat, deux aspects jugés essentiels par le technicien malagasy.

Le cycle infernal des incendies continue de frapper la Capitale. Après Ankorondrano le week-end dernier, c’est au tour d’Ambohibao Antehiroka d’être touché par la tragédie. Hier matin, vers 9h30, un incendie a ravagé le Toby de l’église luthérienne (FLM) rattaché à l’hôpital du même nom — un établissement fondé à l’époque sous l’impulsion de « Nenilava », prophétesse de la délivrance.

Quasiment chaque dimanche, la portion d’autoroute reliant la rocade de Tsarasaotra à Ambohimanga devient le théâtre de courses automobiles et de rodéos à moto. Les habitants, excédés, dénoncent l’absence de réaction des autorités face à ces pratiques illégales et dangereuses.

Le vacarme des moteurs et les crissements de pneus ont remplacé, le dimanche après-midi, la quiétude habituelle des collines d’Ambohimanga. Sur la portion de huit kilomètres qui relie la rocade de Tsarasaotra à la ville historique, une cinquantaine de voitures et de motos se retrouvent chaque semaine pour des courses sauvages.

Ne pas baisser la garde sur la vaccination. Tel est le mot d’ordre du côté de la société civile, alors que Madagascar entre dans une période de transition politique incertaine. Les organisations citoyennes tirent la sonnette d’alarme, rappelant que la santé des enfants ne doit en aucun cas devenir une victime collatérale des bouleversements politiques et budgétaires.

Phénomènes critiques

Publié le lundi, 27 octobre 2025

Des feux de brousse ravageurs, des incendies destructeurs et des feux déclarés réduisant tout en cendres se déclarent en l’espace de quelques jours.

Actes criminels ! Sinistres par accident ! Dans tous les cas de figure, un ensemble de phénomènes critiques voire troublants surtout dans un contexte confus prévalant au pays appelle à la conscience nationale avant que tout ne s’embrase. Quand on joue au feu, on s’aventure dans un exercice acrobatique périlleux voire mortel !

Le programme de master en « Sustainable Business Management », lancé en collaboration entre l'Université des Mascareignes (UDM) et l'Institut Supérieur de la Communication, des Affaires et du Management (ISCAM) de Madagascar, a sorti la semaine dernière sa deuxième promotion nommée « Zina ». Cette sortie de promotion marque une avancée significative pour la formation de professionnels capables de gérer les entreprises de manière durable.

Fil infos

  • Concertation nationale - LES RECOMMANDATIONS D’UN CITOYEN D’AMBATONDRAZAKA
  • Détention de Rinah Rakotomanga - Son avocate dénonce des dessous politiques
  • Actu-brèves
  • Loi de finances - Nouveau huis clos des députés
  • Monastère de Mahitsy - Au cœur du silence bénédictin
  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat

Recherche par date

« November 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
Pub droite 1

Editorial

  • Traque aveugle (II) ?
    Nous revenons à la charge. Au risque d’être taxé d’entêté, il nous est impossible de ne pas revenir sur le thème précédent (« Traque aveugle » du 14 /11 /25) afin d’interpeller vivement ce que nous appelions, au final, de traque aveugle à l’encontre des entités de productions appartenant à des nationaux et laisser, non-inquiétés, certains ressortissants étrangers souvent naturalisés malagasy aux pratiques douteuses. Des voix commencent à s’élever et finissent par remonter en surface. Ces voix discordantes inondent la toile et dénoncent : « pourquoi s’acharne-t-on sur certains rares Gasy, capitaines d’industrie, en laissant « en paix » les … autres ! Suivez mes yeux ! Lors de la première édition de la « Traque aveugle » du 14 novembre 2025, on était amené à capter l’attention du public sur certaines opérations militaires, des fois, musclées qui sont en fait, de source avisée, des perquisitions officielles. On différencie difficilement…

A bout portant

AutoDiff