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Mercredi soir dernier, la boutique Shop Liantsoa a été braquée. L'assaut fut meurtrier car il a coûté la vie à un chauffeur de taxi de 43 ans que les bandits ont impitoyablement éliminé, car considéré comme un témoin gênant. Depuis, la Police n'a pas chômé et a utilisé tous les moyens nécessaires pour retrouver les traces des braqueurs. Les efforts de la Police étaient payants car, jeudi soir, elle a réussi à arrêter 3 suspects dans l'affaire.
Et là coup de poker ! L'un d'eux n'est autre que le gardien même de Shop Liantsoa. Il serait le commanditaire de l'acte. Les deux bandits qui ont perpétré l'acte étaient sous ses ordres, c'est ce qu'a du moins révélé l'enquête. En revanche, un autre complice de ces malfaiteurs, est activement recherché encore.
Voyons maintenant comment les enquêteurs de la Police ont-ils réussi à démasquer sinon tenir la piste de ce gardien.
Car après avoir déployé une panoplie de moyens et autres stratégies pour rechercher les agresseurs,  la Police était finalement amenée à avoir des soupçons sur cet agent de sécurité qui s'avère futé.
En effet, l'homme a feint de faire son travail, le soir du forfait. Mais en fait de surveillance, il l'aurait fait plutôt au bénéfice de ses acolytes, selon la Police. En réalité, le gardien en cause a été plutôt aussi l'informateur du gang, lui donnant le feu vert après qu'il ait jugé que le moment était propice pour que ses acolytes puissent entrer en action. "Le gardien a attendu à ce qu'il y ait moins de personnes à l'endroit pour signaler ses camarades d'entrer en action", explique cette source policière.
Et lorsque les malfrats ont frappé leur sale coup, l'agent de sécurité s'est éclipsé momentanément pour retourner à nouveau sur les lieux, une fois ses pairs partis avec le butin. Le fait que le gardien était réapparu après l'assassinat du taximan, parait trop ambigu aux yeux de la police.
Après son arrestation puis son audition au commissariat, le gardien en cause a fini par dénoncer ses complices. Et à leur tour, ces derniers furent arrêtés assez rapidement. Néanmoins, l'enquête n'est pas pour autant terminée. D'autres suspects seraient également recherchés, et il n'est donc pas encore question d'un déferrement, du moins dans les prochaines heures.
Pour revenir brièvement sur les faits, les quatre bandits, ayant perpétré l'acte, ont fait irruption au Shop Liantsoa, vers 19h. Au même moment, le chauffeur de taxi venait d'y déposer un client. Il a eu le malheur de chercher à voir de plus près ce qui était en train de se passer. Il a réalisé que les intrus étaient des bandits. Du coup, ces derniers s'étaient retournés contre le taximan, d'abord en le poussant sans ménagement à l'extérieur avant de lui tirer dessus. Par la suite, les assaillants ont brutalisé un employé de Shop Liantsoa pour le forcer à leur remettre les liquidités se trouvant dans la caisse. Or, les braqueurs s'étaient trompés de compte. Car, cette somme de 500 000 ariary volé du comptoir n'était prévue que pour les monnaies, la recette de la journée ayant été déjà versée à la banque, quelques moments avant ce braquage. L'enquête suit son cours.
Franck R.

Ensemble au front !

Publié le vendredi, 28 juillet 2023

Front uni ! En ordre serré ! Front commun !
Les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) conjuguent leurs efforts, adoptent une stratégie d’ensemble pour lutter contre l’insécurité, l’ennemi en commun.
En tandem serré avec les responsables locaux dont les gouverneurs, les commandements supérieurs des FDS s’apprêtent organiser un Forum interrégional, le premier du genre, à Morondava, la capitale de la Région Menabe, pour établir en commun une stratégie d’ensemble afin de rétablir l’ordre et la sécurité dans le pays notamment dans les Régions les plus touchées. Quatre Régions sont concernées par ce premier Forum interrégional à savoir le Menabe, Région hôte, le Melaky, l’Atsimo-Andrefana et le Vakinankaratra. Quatre Régions classées « zone rouge » en raison de la recrudescence permanente des actes de banditisme perpétrés par les « dahalo ». Un phénomène fort troublant qui déstabilise les esprits du commun des mortels. Quatre Régions où l’on déplore le nombre maximum des éléments des FDS tombés au front par les « dahalo ». Des bandes organisées et surarmées, détenant entre leurs mains des armes redoutables, sèment la panique et la terreur partout où elles passent.
L’initiative est louable à plus d’un titre! Le « vahoaka ny amban’ny lanitra » souffre au plus profond de son âme des agissements des « dahalo ». Il n’y a pas un jour que le Bon Dieu fait sans que l’on ne déplore pas des actes de banditisme dangereux sinon mortels. De nuit comme de jour, n’importe où, dans les campagnes ou en ville, ils frappent. Vols, viols et rapts souvent suivis des meurtres sont le lot quotidien de la population. Victime de ces actes aveugles voire barbares, elle ressent la triste impression d’être laissée à son sort. Des fois même, on se demande « existe-t-il un Etat là-haut  pour protéger le peuple ? » Ceci étant, une initiative de ce genre ravive les espoirs de voir un jour la sécurité remonter en surface.
Toujours est-il que certains mauvais souvenirs troublent la mémoire. La bonne initiative des FDS annoncée par le triumvirat de Défense et de Sécurité n’est pas malheureusement la première du genre. Le pays en a connu de bonnes résolutions qui n’ont pas été suivies d’actes concrets. Des opérations en commun annoncées en grandes pompes mais dont les résultats se font attendre. A titre d’illustration les opérations « coup de poing » ou « don-tandroka » qui, au final, n’aboutissent à rien. L’insécurité fait des ravages coûtant des vies humaines et des dégâts matériels importants.
Le choix des termes « front commun » rend perplexe les uns et les autres. Auparavant, nos éléments de la Défense et de la Sécurité ont-ils affronté l’ennemi commun, l’insécurité, en rang dispersé ? Chacun pour soi ! Serait-ce la raison selon laquelle la bataille pour éradiquer le phénomène dahalo ou autre traine ? Les bonnes déclarations n’étaient suivies de façon continue à des actes concrets. On se contentait à des gestes destinés à faire impression. Le reste, pas grand-chose ! On a souvent eu droit à des « m’as-tu vu ? » Pas plus !
On ne voulait pas discréditer les bonnes résolutions des Forces de Défense et de Sécurité. Seulement, on veut bien être rassuré.
Ndrianaivo

Vingt artistes, notamment des chanteurs de hip-hop, artistes peintres, sculpteurs, photographes, écrivains et jongleurs figureront dans la délégation malagasy lors des compétitions culturelles à l’occasion de la 9ème édition des Jeux de la Francophonie qui se dérouleront à Kinshasa, en République démocratique du Congo, du 28 juillet au 6 août. Outre ces vingt artistes, quatre représentants du ministère de la Communication et de la Culture les accompagneront également afin de les assister et de leur fournir des soutiens techniques.
Mercredi dernier, avant le départ de ces représentants de la Grande île, la ministre Lalatiana Rakotondrazafy a donné sa bénédiction à cette délégation malagasy qui portera haut l’étendard et les couleurs du drapeau national. Elle a également apporté sa contribution en leur offrant différents accessoires, tels que des survêtements, sacs et chaussures, ainsi que la tenue d'apparat que nos représentants porteront lors de la cérémonie d'ouverture. La ministre de la Culture et de la Communication a également offert des allocations spéciales pour le séjour de ces 20 représentants à Kinshasa.
Il faut savoir que le Gouvernement malagasy a pris en charge toutes les dépenses des 80 représentants de Madagascar lors de ces Jeux de la Francophonie, tels que les billets aller-retour, le paiement de la contribution pour permettre à la délégation de séjourner et de bénéficier des soins au Village des Jeux, les assurances voyages et leurs vaccinations. La cérémonie d'ouverture officielle de la 9ème édition des Jeux de la Francophonie a été retransmise en direct sur la chaine nationale (TVM) hier. En outre, il existe un accord avec les responsables de chaque département pour pouvoir retransmettre à la télévision nationale la prestation des intervenants malagasy durant cette compétition, notamment dans les épreuves sportives et culturelles.
Si.R

Un des premiers avions Embraer de la compagnie Madagascar Airlines a effectué son premier vol au Brésil, mercredi dernier. Les images de ce vol montrent que l’avion est déjà aux couleurs de la compagnie malgache, à l’exception du gouvernail de direction de cet E190-E2, encore bleu, ce qui indique que l’aéronef était destiné initialement au Congo. L’avion porte provisoirement une immatriculation brésilienne PR-ERQ. Ce premier vol indique que les passagers de Madagascar Airlines voleront bientôt à bord d’un avion Embraer.
La décision d’avoir les E2 dans la flotte de cette compagnie a été annoncée par le Président de Madagascar, Andry Rajoelina, en octobre 2022, à l’occasion du forum international des investissements à Ivato. A l’époque, le Président a déclaré que le pays avait conclu un partenariat pour acquérir des avions Embraer. Lors d’une tournée dans les pays africains, l’année dernière, Embraer a emmené le E190-E2, pour une présentation à Antananarivo, la Capitale de Madagascar.
Le processus d’acquisition a effectivement débuté en décembre dernier  avec la signature de la Letter of intent (LOI).
La compagnie malgache avait signé cette LOI pour la location de trois jets E190-E2 auprès du bailleur Azorra, avec des livraisons commençant cette année et se terminant en 2024. L’avion devrait desservir les liaisons intérieures et les archipels voisins tels que Maurice. La signature du purchase agreement a eu lieu il y a quelques mois au Brésil, a matérialisé l’acquisition de ces aéronefs.
La compagnie aérienne nationale du pays, Madagascar Airlines s’attend ainsi à recevoir le premier Embraer de sa flotte d’ici peu. Une livraison que la presse, notamment brésilienne, annonce pour ce mois de septembre, après un report. Cette arrivée était, en effet, prévue initialement pour le mois de juin dernier mais reportée pour cause de contraintes techniques et financiers, avait souligné la PCA de Madagascar, Rinah Rakotomanga dans une interview donnée à la presse, il y a quelques semaines, et confirmé par le ministre des Transports Valéry Ramonjavelo récemment lors de la réception du vol de retour de la Compagnie Corsair à Madagascar. Le premier vol de mercredi laisse penser que la préparation de l'E-Jet E2 semble bien engagée pour cette échéance. Des vols vers Maurice sont, par ailleurs, déjà annoncés par Madagascar Airlines à partir du 29 octobre avec ce nouvel aéronef.
Lalaina A.


Vitesse de croisière à retrouver. C’est en ce sens que le Gouvernorat d’Ihorombe a réuni tous les professionnels du secteur touristique en début de cette semaine de manière à redorer le blason de la Région dans ce secteur. « La réputation de notre Région est déjà établie sur le plan international. L’affluence des touristes étrangers complète la majeure partie du chiffre d’affaires des opérateurs touristiques environnant la Commune de Ranohira. Cependant, les touristes malagasy sont peu enclins à s’intéresser à notre Région. Une tendance que nous tenterons dorénavant de renverser », explique Manitra Andriamananjara, directeur exécutif de l’Office régional du tourisme Isalo-Ihorombe (ORTII).
A rappeler qu’avant la crise de 2009, cette Région affichait une performance annuelle de plus de 30.000 touristes. Un chiffre qui a reculé de plus de la moitié durant la dernière décennie. Cette performance n’a pu être rétablie que récemment grâce à la promotion des circuits spécifiques de l’Isalo, à l’instar du Canyon des makis, la fenêtre de l’Isalo, la Cascade des nymphes, les piscines naturelle ou encore le Canyon des rats. Le tourisme dans la Région d’Ihorombe ambitionne ainsi d’améliorer ces chiffres en misant sur la venue des touristes nationaux.
Image de luxe
« Nous affichons présentement une capacité d’accueil de plus de 1.000 lits, tous standings confondus. Mais malgré cela, la majorité de nos clients sont pourtant des étrangers. Cette situation s’explique principalement par l’image de luxe véhiculée un peu partout lorsqu’on parle de visite du parc national de l’Isalo. Or, il n’en est rien dans la mesure où les initiatives de promotion à notre niveau vont dans le sens de l’encouragement du tourisme national. Il n’y a pas que les hôtels à étoiles dans l’Isalo », explique un hôtelier local.
En effet,  l'hébergement n'est pas pris à la légère au Parc national de l’Isalo afin d'assurer le confort et le bien-être des visiteurs. Selon leurs préférences et leur budget, les touristes peuvent trouver des chambres luxueuses et confortables, ou bien de qualité moyenne auprès des établissements hôteliers qui se trouvent à proximité du parc. Un choix qui peut aller du standing le plus rustique jusqu'aux luxueux établissements étoilés comme il se fait rarement sur tout le territoire national.
Le Parc national de l'Isalo a toujours occupé la première place du classement des parcs nationaux les plus visités. Par ailleurs, dans ce même esprit de promotion, ces opérateurs proposent de concrétiser le projet de mise en place d’un aérodrome public dans la région dans le but d’améliorer l’ouverture de la destination qui dépend encore essentiellement de la RN 7 pour le moment. « Nos clients, qui optent pour un transfert aérien, doivent passer par l’aéroport de Toliara pour ensuite effectuer un voyage de quelques heures en voiture afin d’arriver dans l’Isalo. Avec l’existence d’un aérodrome à proximité, le nombre de visiteurs augmenterait certainement », ajoute ce même hôtelier.
La Rédaction


Actuellement, un chef de famille domicilié à Mandroseza vit dans une grande inquiétude. En cause, il a reçu, par mail, des menaces de mort de la part d'inconnus. Cette situation a commencé depuis le début de cette année, selon notre interlocuteur. Le plus angoissant pour le concerné, c'est qu'il ne sait rien de ces personnes qui lui en veulent .
Un harcèlement et des messages qui perdurent, et que ses auteurs véhiculent sur internet.  Mais plus récemment encore, l'affaire ne s'est borné plus aux simples menaces, selon toujours le plaignant. A un moment, ses détracteurs, qu'il n'a pas réussi à identifier, ont voulu s'en prendre physiquement à lui. Mais la victime a réussi à s'échapper. Mais les menaces et les tentatives de meurtre dont il est la cible, se durcissent au fil du temps. "Le 9 juillet dernier, ils se sont même introduits à mon domicile, à Mandroseza. Et pas les mains vides. Les agresseurs avaient des armes à feu mais aussi blanches. Comme nous étions dans la maison, nous les voyions approcher, ayant pris un raccourci à travers un marécage, et donner ainsi l'alerte. Ce qui a mis les assaillants en fuite”, déclare en substance le père de famille. Parfois, ces suspects le suivent avec leur moto. Mais pourquoi tant d'acharnement et de harcèlement sur ce père de famille ? "Plusieurs fois dans ces mails menaçants, ces individus qui m'en veulent jusqu'à la mort me reprochent de ce qu'ils jugent comme ma vanité religieuse. Et qu'ils me promettent de finir pour avoir ma peau", souligne la victime. Et pourtant, ce père de famille affirme n'avoir aucun problème avec ses voisins de quartier, ni avec ses co-religionnaires.
Du coup, le chef de famille menacé a déposé une plainte contre X auprès du Parquet d'Anosy.
A son tour, cette instance judiciaire a émis un soit-transmis auprès de la Section de recherches criminelles de la Gendarmerie à Fiadanana qui a démarré une enquête et suit de près cette affaire.
F.R

LA UNE DU 28 JUILLET 2023

Publié le jeudi, 27 juillet 2023

Bien que le secret total plane sur la cérémonie d’ouverture officielle des Jeux des îles, 11eme édition, qui se tiendra le 25 août au stade Barea Mahamasina, le commissaire événementiel du COJI nous rassure sur quelques détails du spectacle, notamment sur l’ouverture mais également de toutes les  cérémonies prévues durant les Jeux jusqu’à la clôture. La personne en question a bien martelé que toutes les fresques chorégraphiques seront affichées par des chorégraphes cent pour cent malagasy. Les concepteurs,  les réalisateurs, les danseurs et les musiciens  seront tous animés par des rythmes malagasy. Toute la richesse culturelle, patrimoniale, artistique et traditionnelle malagasy sera mise en valeur lors de ce spectacle d’ouverture auquel participera une bonne centaine de Malagasy.

Vers 13 heures hier, un accident de la circulation ayant impliqué un camion Mercedes-Benz 911 à la mécanique défaillante, a failli sérieusement tourné au drame sur la RN2, PK 8+400 au lieu dit Garage, dans le Fokontany d'Ikianja,  Ambohimangakely. Les faits. Une mère de famille, qui tenait son bébé d'un mois, venait juste de quitter le taxi-be lorsque le poids lourd s'était rué dans sa direction. Le mastodonte avait connu un problème de frein, selon la Gendarmerie, et a fauché au passage cette femme et son bébé avec, avant qu'il ne s'était renversé sur le côté, manquant d'écraser les piétons.

Les frais de transport des « taxi-be » dans la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) ne vont pas augmenter à 800 ariary le 1er août. L'Union des coopératives de transport urbain (UCTU) attend les résultats des négociations entre les parties prenantes concernant les nouveaux tarifs de la visite technique et de la carte violette. C'est la décision prise hier lors d'une réunion des personnels de la CUA, l'Agence des transports terrestres (ATT), le ministère des Transports et de la météorologie et l'UCTU.

Ainsi, les transporteurs vont conditionner une éventuelle hausse de prix du ticket en fonction de l'évolution de la situation.

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Editorial

  • Problématique nationale ?
    La Grande île manque d’eau ! Contradictoire ! L’eau, cet élément le plus précieux parmi les quatre essentiels pour la vie, à savoir la terre, l’air, le soleil et évidemment l’eau, semblerait nous faire défaut en ces temps-ci ? Pour en devenir une problématique nationale. Le conditionnel est de rigueur. Quelque part, on doute sur la pertinence de la chose. On confond, semble-t-il, la situation naturelle du pays avec les dysfonctionnements de la compagnie nationale JIRAMA et du département de l’eau sur la gestion de cet élément indispensable à la vie. En fait, ce n’est pas l’eau qui manque, c’est la gestion rationnelle qui fait défaut. On n’est pas dans les pays du Golfe où l’océan du sable domine l’environnement ou en plein désert du Sahara où l’eau n’existe pas. Certes, il y a le grand Sud où les pluies se font rares, mais de là à dire que l’eau…

A bout portant

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