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La une du 10 juillet 2021

Publié le vendredi, 09 juillet 2021


Pour un secteur aérien plus performant. La société ADEMA (Aéroports de Madagascar) gère en tout 46 aérodromes dans la Grande île. Mais pour une meilleure gestion des ces infrastructures, l’entreprise a décidé de déléguer la prise en main des aérodromes. « Sur le plan de la sécurité aérienne, chaque aérodrome doit toujours rester opérationnel. Par conséquent, un gestionnaire doit toujours être présent sur les lieux car nous avons du mal à assurer cette fonction. C’est pourquoi, nous remettons la gestion des aérodromes entre les mains de différents partenaires », explique Jean Germain Andrianiaina, directeur général de l’ADEMA, hier, dans ses locaux à Ivato.
Dans cette démarche, huit infrastructures ont déjà trouvé leur gestionnaire après des appels à manifestation d’intérêt lancés entre 2017 et 2019. Actuellement, l’ADEMA vient aussi de trouver des partenaires pour les 14 autres aérodromes dont celui de Maroantsetra, Bealalana ou encore Mandritsara. « La signature et la finalisation des différentes démarches administratives devraient se faire avant la fin de ce mois-ci », note le DG avec engouement. Après cette seconde vague, il reste donc à l’ADEMA de trouver des gestionnaires aux 22 aérodromes restants. Selon les informations communiquées, un appel à manifestation d’intérêt devrait être lancé prochainement. « Le lancement de cet appel à manifestation d’intérêt attend juste la validation au niveau du ministère de l’Economie et des Finances, mais aussi celui de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics. Une fois toutes les questions administratives en ordre, nous lancerons l’appel. Notre objectif est que d’ici la fin de cette année, tous les aéroports et aérodromes disposeront respectivement d’un gestionnaire », soutient le premier responsable des Aéroports de Madagascar.
Toutefois, il faut savoir qu’il y a des conditions à respecter pour pouvoir devenir gestionnaire de ces infrastructures. En premier lieu, l’entreprise doit avoir les moyens financiers pour développer l’aéroport ou l’aérodrome. « Ainsi, l’infrastructure en question ne sera plus dépendante de l’ADEMA », rétorque Jean Germain Andrianiana. En second lieu, le futur gestionnaire doit disposer d’un programme de développement. « Ces infrastructures sont à vocation sociale. Elles ont été mises en place pour désenclaver des Régions. Elles sont alors particulièrement déficitaires, c’est-à-dire que les dépenses sont plus élevées que les bénéfices. De ce fait, le futur gestionnaire doit trouver un solution pour inverser cette situation », détaille le DG de l’ADEMA. A cet effet, les activités ne se limitent pas à recevoir des vols. Les gestionnaires pourront également mettre en place des activités extra-aéronautiques comme les investissements dans un hôtel afin de rentabiliser l’infrastructure.
Le contrat de gestion sera d’une durée de cinq ans. Toutefois, cette durée pourrait s’étendre si le gestionnaire trouve un partenaire pour soutenir le développement de l’aéroport ou l’aérodrome. Dans tous les cas, l’ADEMA déploie tous les efforts nécessaires pour favoriser le développement du secteur aérien, considéré comme stratégique pour le pays.
Rova Randria

Lâcheté politique !

Publié le vendredi, 09 juillet 2021

Le Chef de l’Etat haïtien Jovenel Moise a été la cible d’un attentat mortel. Un commando s’est introduit à son domicile en pleine nuit et l’abat à bout portant. Haïti, un pays des Caraïbes, le plus pauvre du continent américain, est en proie de façon permanente à des tentatives d’assassinat politique. La sinistre nouvelle plonge de nouveau le pays dans le chaos. Sous le choc, les Haïtiens déjà tourmentés par une misère tenace ne savent plus quoi faire face à de telle lâcheté politique. L’instabilité constante rend particulièrement complexe tout effort de redressement.
A Madagasikara, les actes de déstabilisation continuent et ne comptent jamais s’offrir un répit. Les ennemis de la Nation et détracteurs du régime démocratiquement élus en place n’en démordent point. Impatients à atteindre dans les meilleurs délais leur objet ultime à savoir « renverser le régime Orange et incapables de le réussir par la voie des urnes, ils empruntent la voie raccourcie : l’assassinat politique. Une lâcheté politique, un domaine réservé aux froussards et où les mercenaires seuls osent s’y aventurer.
Le service de la Communication de la Gendarmerie nationale  fait état d’une tentative d’assassinat déjouée visant la personne du secrétaire d’Etat auprès du ministère de la Défense nationale chargée de la Gendarmerie nationale, SEG, le Général de Corps d’Armée Ravalomanana Richard. D’autres membres du Gouvernement ont été de même la cible d’attentats avant les célébrations de la Fête nationale selon des informations balancées sur la place publique.
Pour le cas précisément du SEG, les limiers de la GN ont appréhendés des individus fortement suspectés. Les enquêtes suivent leurs cours. Des éléments de l’Opposition tentent de banaliser l’affaire dans le seul objectif de vider l’acte de sa gravité et pour en détourner l’attention du public. Certains même des leurs pour ne pas le dire leur « porte-parole » ironisent l’acte en le qualifiant de simple montage de toutes pièces. A la guerre comme à la guerre !
Mais quoiqu’on dise pour dénaturer la dangerosité des actes, toute tentative d’attentat à la vie d’une personne surtout d’une haute personnalité politique de l’Etat équivaut à une atteinte grave à la sûreté nationale et à un acte de haute trahison. Bref, une lâcheté politique.
Montage ou réalité, les faits sont là ! Une association de malfaiteurs ou de terroristes en liaison avec certains des ténors de l’Opposition tentait de fomenter des troubles et des méfaits visant à terroriser la Capitale avant la fête nationale. Personnalités politiques notamment des membres du Gouvernement et opérateurs économiques principalement des Indo-pakistanais de nationalité française résidant à Madagasikara se trouvent dans la ligne de mire. Il n’y a rien de comédie encore moins de plaisanterie, il s’agit vraiment d’une question de vie ou de mort et de stabilité. Pour sa part, le tout puissant Collectif des français d’origine indo-pakistanaise de Madagasikara (CFOIM) a tenu à rendre hommage aux actes de bravoure des éléments de la Gendarmerie d’avoir su neutraliser les terroristes en puissance. L’opinion attend de pied ferme l’issue des enquêtes afin d’identifier les commanditaires.
Dans tous les cas de figure, toute velléité à mettre un terme à la vie d’un adversaire politique ou autre ne pourra être assimilé qu’à un acte de lâcheté politique. Seul le verdict des urnes tranche et le reste n’est que des balivernes.
Ndrianaivo



Une bonne nouvelle pour les usagers. La réfection de la Route nationale 2 reliant Antananarivo et Toamasina va commencer. Selon le ministre de l'Aménagement du territoire et des Travaux publics, Hajo Andrianainarivelo, « deux entreprises sont déjà sur place » avec leurs engins, l’une à Brickaville et l’autre à Toamasina. « L’Etat ne va plus attendre le financement venant des partenaires mais a tout de suite commencé les travaux avec ses propres moyens », soutient-il.
D’ailleurs, des mises au point sont déjà entamées depuis jeudi dernier. Les travaux de réhabilitation de la route ont débuté par la reconstruction des ponts d’Antsampazana et Mangoro. Ils seront remplacés par des ponts en béton armé. La signature de convention concernant la réhabilitation de cette RN2, entre le ministère des Travaux publics et les entreprises adjudicataires, a déjà été réalisée en février 2021, mais quelques difficultés ont retardé le début des travaux.
Actuellement, les problèmes sont déjà résolus et les travaux vont commencer. D’après toujours le ministre, les infrastructures routières se dégradent assez vite. Le nombre de véhicules qui circulent sur les routes nationales augmente d’année en année, et cela affecte la consistance des infrastructures. Dans ce cadre, une convention entre le Gouvernement et la Banque mondiale est en cours d’élaboration afin de renforcer l’entretien des routes et leur période de longévité. Leur destruction est principalement causée par le non-respect des charges pour les poids lourds, et ce, malgré la mise en place des panneaux pour avertir les camionneurs.
Actuellement, les transporteurs font face à une grande difficulté. Il faut 3 à 5 heures pour le tronçon de route, en très mauvais état, reliant Antsampanana et Toamasina. Ces routiers sont ainsi obligés de rouler à très faible allure, ce qui favorise les attaques perpétrées par des bandits.
Anatra R.



 Au moins six athlètes malagasy participeront à la 32ème Olympiade qui se tient à Tokyo du 23 juillet au 8 août. Madagascar sera représenté aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020 avec le même nombre d’athlètes qu’en 2016. Pour cette XXXIIème Olympiade qui se déroulera dans la capitale japonaise du 23 juillet au 8 août, six athlètes évolueront dans quatre disciplines.
Les frères Eric et Tojo Andriantsitohaina sont les deux athlètes malagasy qualifiés à la joute planétaire. Ils vont se mesurer aux meilleurs haltérophiles du monde pour leur première participation aux J.O. En effet, Tojo, le quintuple champion d’Afrique d’haltérophilie, évoluera dans la catégorie des moins de 67 kg tandis que Eric sera aligné chez les moins de 61kg.
La judokate Damiella Nomenjanahary, 63e du classement mondial dans la catégorie des moins 63 kg, bénéficie de la troisième « wild card », indique une source auprès du Comité olympique malagasy jointe au téléphone. Celle-ci rapporte que les trois invitations seront attribuées aux Fédérations malagasy de natation et d’athlétisme.
La Fédération malagasy de natation alignera les nageurs Murielle Rabarijaona et Mickael Rasolonjatovo. La nageuse de 23 ans est détentrice de huit records nationaux aux 100m, 200m, 400m, 800m et 1500m nage libre en grand bassin ainsi que ceux des 200m, 400m et 800m nage libre en petit bassin.
 Mickael Rasolonjatovo, un ancien membre du club de natation de Saint-Michel possède dans son escarcelle plusieurs records nationaux comme ceux du 200m dos en petit bassin et du 200 m nage libre.
La Fédération malagasy d’athlétisme n’aura qu’un représentant, en la personne de Todisoa Frank Rabearison, ancien pensionnaire du centre international athlétisme mauricien et aujourd’hui dans le Centre africain de développement d’athlétisme (CADA). Il empoche une « wild card » pour les JO de Tokyo 2020. A noter qu’il est le détenteur du record de Madagascar sur 400m avec 46 secondes et 80/100.
Elias Fanomezantsoa


Le Tribunal de Bayonne (France) a condamné avant-hier un Malagasy de 32 ans à une peine d’un an de prison ferme. Celui-ci venait pourtant d’en sortir au mois de mai dernier après avoir purgé sa peine de six ans pour son intégration dans un groupe en vue de commettre un attentat. Ce ressortissant français d’origine malagasy a été arrêté en 2015 en Slovénie pour  rejoindre en Irak le groupe djihadiste. Auparavant, selon la presse française, il avait suivi pendant quelques années une école coranique au Maroc. Sa peine de six ans purgée, l’homme en question habitait chez sa mère à Bayonne.
Pour des raisons ignorées, cet homme fiché S par la Police de l’hexagone semble avoir pété les plombs le dimanche 4 et le lundi 5 juillet derniers. Au cours de la soirée dominicale, dans un restaurant, il a fait le forcing pour s’installer à une table où se sont installées plusieurs femmes. En voyant ses gestes, le serveur l’a prié de quitter les lieux. L’homme a bien suivi cet ordre venant de l’employé mais est revenu quelques heures plus tard en chantant « Allah Akbar ». Il s’en prenait également au patron du restaurant en l’insultant et en menaçant de revenir pour tout faire sauter.
Le lendemain, soit le lundi dernier, il est effectivement revenu et a insulté de « salopes » et de « mécréantes » les serveuses du restaurant tout en promettant au patron de « s’occuper de lui ».
Présenté devant le Tribunal jeudi dernier pour ces faits récents, il a été condamné à un an de prison ferme. Un verdict auquel son avocat ne comptera pas faire appel selon le désir de son client.
Recueillis par la Rédaction

Rapatriement - SOS des Comoriens de Mahajanga

Publié le vendredi, 09 juillet 2021


Bloqués à Madagascar depuis l’année dernière suite à la pandémie, des Comoriens demandent de rentrer dans leur pays. Depuis la fermeture des frontières malagasy, plus d’une quarantaine de ressortissants comoriens sont coincés à Madagascar dès la première apparition de la Covid-19 au mois de mars 2020. Durant ce laps de temps, un peu long, ils ont cherché tous les moyens mais en vain pour rallier les Comores. D’après certains d’entre eux, ils étaient sur le point de partir au mois d’avril dernier en accomplissant les règles sanitaires nécessaires mais sans aucune suite. Las d’attendre, ces Comoriens exilés malgré eux font du sit-in devant le domicile du Consul des Comores à Mahajanga, depuis la semaine dernière. Ils exigent à ce qu’on leur autorise de rentrer chez eux étant donné qu’ils n’ont plus les moyens financiers pour assurer leur séjour à Madagascar. « Certains d’entre nous ont dû louer des maisons ici et viennent d’être expulsés par les propriétaires pour non-paiement de loyers. C’est pour cette raison que nous faisons la pression aux autorités pour qu’on nous aide à rentrer aux Comores », avance un des ressortissants comoriens sur une chaîne de télévision locale. Lui qui fait appel aux autorités malagasy de délivrer une autorisation pour que ces comoriens puissent quitter Madagascar. Un appel confirmé par le Consul des Comores à Mahajanga joint par téléphone hier. « L’Etat malagasy ne leur délivre pas l’autorisation. Nous avons déjà complété les documents demandés mais pas de réponse jusqu’à ce jour », révèle le Consul qui nous a conseillé d’entrer en contact avec l’Ambassade à Isoraka pour plus d’informations.
Selon une source auprès du ministère des Affaires étrangères malagasy, le problème réside peut-être du côté des autorités comoriennes. « Humainement parlant et pour des raisons sécuritaires, Madagascar n’a aucun intérêt à ce que ces ressortissants comoriens soient bloqués au pays depuis tant de mois. Bien que les frontières de Madagascar soient encore fermées pour les vols commerciaux, tous les vols de rapatriement par contre sont toujours autorisés », précise cette source qui, apparemment, renvoie la balle dans le camp de l’Etat comorien.
Effectivement, des ressortissants étrangers dans la même situation ont pu quitter Madagascar l’année dernière grâce aux vols de rapatriements organisés par leur Etat respectif. L’Etat malagasy a aussi fait de même pour ses ressortissants retenus en France, Egypte, Maurice ou dans d’autres pays. Et ce en collaboration avec des compagnies aériennes ou par l’envoi d’un avion spécial pour les rapatrier.
La Rédaction




Une rencontre s’est tenue, hier, entre le Président de la République Andry Rajoelina et les gouverneurs de Régions de Madagascar au Palais d’Etat d’Iavoloha. Rencontre à laquelle ont participé les 21 gouverneurs déjà nommés en attendant la nomination du gouverneur de Betsiboka et éventuellement celui de la vingt-troisième région qui sera mise en place de manière officielle sous peu, assure le Chef de l’Etat. Le projet de loi entérinant la scission de la Région Vatovavy-Fitovinany a déjà été adopté au niveau du Conseil des ministres et a reçu le feu vert des deux Chambres du Parlement. La rencontre a permis au Chef de l’Etat d’écouter le rapport des programmes de développement identifiés et à réaliser dans les Régions de Madagascar. « Nombreux sont les travaux qui ont été réalisés et qui doivent l’être dans le court, c’est-à-dire durant le prochain semestre, et sur le long terme, autrement dit durant les prochaines deux ans et demi », souligne le Président Andry Rajoelina. Rencontre qui a surtout été mise à profit afin d’étudier ensemble les moyens pour « améliorer la méthode de travail » et « accélérer les travaux à mener dans les Régions ».
La collaboration entre les gouverneurs et les différentes collectivités territoriales décentralisées pour rattraper le développement local a également figuré au menu du jour. La réalisation des actions de développement dans le domaine de la santé, la lutte contre l’insécurité et les infrastructures de proximité pour toute la population notamment les routes pavées, de marchés publics au niveau des Communes ainsi que la construction de barrages agricoles font, pour rappel, partie des attributions des gouverneurs. « Des objectifs communs doivent être mis en place pour développer Madagascar. Si les Régions se développent, c’est Madagascar qui va se développer », soutient le Chef de l’Etat au cours de son allocution en préambule à la tenue de ladite réunion. Les gouverneurs ont notamment abordé la question de leur budget alloué aux Régions qui est actuellement de 2 milliards d’ariary. Un budget auquel s’ajoutent des engins de chantier, remis par le Président de la République à chaque région, devant permettre aux gouverneurs de mener à bien les travaux à réaliser.
La Rédaction


Réseau 5G en Afrique - Madagascar en pole position

Publié le vendredi, 09 juillet 2021


70 millions d’abonnement dans le monde en 2026. C’est le chiffre avancé par Ericsson concernant le réseau 5G qui commence à intéresser les opérateurs de son haut débit. La course à la mise en place de cette nouvelle génération de connectivité mobile bat son plein tant dans les pays riches que ceux en voie de développement.
Fait rarissime dans les nouvelles technologies, Madagascar figure parmi, sinon le premier pays à intégrer en Afrique le réseau 5G grâce à Telma. C’était effectivement au mois de juin de l’année dernière que Telma a lancé la 5G avec Ericsson alors que d’autres opérateurs en Afrique étaient encore en phase d’essai ou au mieux à la phase de préparation. Au lancement de la 5G dans la Grande île, Patrick Pisal Hamida, ADG de Telma, n’a pas tari d’éloges sur ce dernier cri de la connectivité mobile.
« La 5G va transformer la façon dont nous utilisons et adoptons la technologie et aura un impact énorme sur les entreprises et la société à Madagascar. Elle apportera un haut débit, une latence ultra-faible et une connectivité hautement sécurisée à un grand nombre d'appareils ; et c'est une technologie qui permettra de débloquer un vaste éventail de nouveaux cas d'utilisation grâce au réseau de nouvelle génération de Telma. Nous sommes très fiers d'être parmi les premiers pays au monde à déployer cette technologie. C'est un nouveau pas en avant pour Madagascar en tant que l'un des principaux pays de l'océan Indien et d'Afrique en matière de TIC. », a –t-il mentionné.
Depuis, Telma  a mis en service son réseau commercial 5G pour offrir à ses abonnés des services à haut débit rendus possibles par la nouvelle génération de connectivité mobile. Les deux principaux cas d'utilisation de la 5G pour le marché de Madagascar sont le haut débit mobile amélioré (eMBB) et l'accès sans fil fixe (FWA).
La Rédaction

LA UNE DU 09 JUILLET 2021

Publié le jeudi, 08 juillet 2021

Fil infos

  • Président Andry Rajoelina - Début d’une série d’inaugurations dans l’Anôsy
  • Actu-brèves
  • Course pour Tsimbazaza - Une vingtaine de députés renoncent à un nouveau mandat
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  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
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  • Enseignement supérieur - L'université de Fenoarivo -Atsinanana officiellement inaugurée 

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Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

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