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LA UNE DU 01 MARS 2021

Publié le dimanche, 28 février 2021

La une du 27 février 2021

Publié le samedi, 27 février 2021


Rien n’est encore définitif. « Le plan de redressement d’Air Madagascar devrait être présenté au Gouvernement et ainsi qu’au Président de la République vers la fin du mois de mars, si tout se déroule comme prévu » a énoncé Joël Randriamandranto, ministre des Transports, du Tourisme et de la Météorologie, hier, à Ivato en marge de la célébration du 30ème anniversaire des Aéroports de Madagascar (ADEMA). Selon ce responsable, le business plan de la compagnie aérienne malagasy doit obtenir l’aval du Gouvernement et du Chef d’Etat avant d’être divulgué officiellement. Ce sera alors le troisième report de la présentation de ce plan de redressement. Au départ, il aurait dû être finalisé à la fin du mois de septembre 2020. Mais il n’en est rien. Ensuite, en mi-novembre 2020, le président du conseil d’administration de la compagnie, Mamy Rakotondrainibe, a annoncé qu’ « un calendrier a déjà été établi et que le plan sera finalisé à la fin du mois de novembre, au plus tard au début du mois de décembre». Cependant, nous sommes déjà au mois de février, et aucune trace de cette présentation.
D’autre part, le ministre a laissé entendre que le plan de redressement n’est pas encore totalement finalisé. « Le modèle économique est déjà tout trouvé. C’est le regroupement de tous les détails autour qui prend du temps. Chaque point doit être isolé et travaillé un par un » soutient-il. En tout cas, ce report successif démontre à quel point l’élaboration d’une stratégie pour sortir Air Madagascar de sa zone de turbulence n’est pas chose facile, comme l’a mentionné le ministre maintes fois auparavant. «Elaborer un business plan est plus difficile qu’il n’y paraît. Nous avons même dû demander l’assistance d’experts internationaux dans le domaine de l’aviation afin d’élaborer un plan de redressement réellement viable, crédible mais plus particulièrement réalisable. Nous n’avons plus droit à l’erreur. Ceci représente le plan de redressement de la dernière chance, donc il vaut mieux avoir du retard que tout faire à la va-vite, et au final faire n’importe quoi ».
Il reste à savoir si ce délai sera enfin respecté, sachant que les concepteurs du plan de redressement ont six mois supplémentaires et l’appui d’experts internationaux pour le peaufiner.
Rova Randria

A plaindre !

Publié le samedi, 27 février 2021

Le microcosme politique dans lequel évolue l’Opposition à Madagasikara est médiocrement dominé par des hommes et des femmes à plaindre. Des leaders politiques qui souffrent lamentablement de perspicacitéet du sens de discernement. Ils conduisent les brebis vers l’échafaud. Fort heureusement que les simples militants sont plus intelligents voire plus malins que les dirigeants. Ils savent faire la différence entre le bon grain de l’ivraie. En effet, les supposés sympathisants ne se laissèrent guère manipuler par des dirigeants en manque d’objectif sérieux. La population de la Capitale atteint déjà un certain niveau de maturité politique, elle rejette toute tentative de livrer le pays au caprice de la crise ni de se faire avoir aux griffes du piège tendu.
A tout seigneur, tout honneur ! Ravalomanana Marc, fondateur du parti TIM, le chef de file de l’opposition, en étant le président du RMDM, un ancien Chef de l’Etat, de son état, un ex- magnat du lait, divague dans tous les sens. Décidément, il n’y a rien de ce qu’il dit ou ce qu’il fait vaille la peine d’attirer l’attention. On se demande pourquoi la plate-forme des partis revendiquant le statut d’opposition l’a choisi comme chef ou président. De deux choses l’une :
- Il n’existe aucune personnalité digne de la stature nationale apte ou capable de se tenir debout face au régime en place.
- Tous les membres de la dite plate-forme manquent de jugeote pour choisir un bon « cheval de bataille ». Ou bien, les deux à la fois. C’est à plaindre !
Rajaonarimampianina Hery, le fondateur du parti HVM, ancien Chef de l’Etat, adopte la stratégie du silence, du moins en apparence. En réalité, il tire là où il se terre les ficelles. En tandem avec Ravalo, Rajao lance des offensives dont le seul objectif consiste à déstabiliser le régime « Orange ». Certes, il est plus malin que son complice. Mais, avec un score médiocre de huit virgule et quelque, Rajaonarimampianina ne pourra jamais prétendre revenir à la barre. C’est un homme à plaindre !
Andrainjato Vonison, l’ancien ministre de la Communication du régime précédent, ancien député de Soavinandriana, fervent et minable animateur de « Miara-manonja », s’éclipse bêtement. Une simple convocation de la Gendarmerie déclenche en lui une peur bleue. Il croit naïvement qu’une fuite en avant arrangera son cas. A plaindre !
Guy Ralaiseheno, l’autre minable animateur de la scélérate émission « Miara-manonja », un gueulard sans limite, lui aussi, s’évapore dans la nature en réponse à une « petite » convocation de la Gendarmerie. Notons qu’il ne s’agit point d’arrestation mais d’une convocation. Nuance ! Mais nos deux hommes, têtes brûlées de l’opposition, tremblent pour une simple « demande » de se présenter aux bureaux des Forces de l’ordre. Ils sont à plaindre !
Et la liste des hommes à plaindre est légion dans l’escarcelle de l’Opposition. Aussi, faut-il se cantonner sur ces quelques énergumènes.
Et que dire de ces femmes membres assidues de l’Opposition, « hors normes » en termes de délinquance morale, politiquement parlant, qui sèment la pagaille dans le pays ou en dehors. Hanitra Razafimanantsoa et Ernaivo Fanirisoa, toutes deux juristes, pour ne citer que ces deux femmes tristement célèbres et à plaindre, à juste titre, déshonorent la notoriété et la crédibilité de la gent féminine.
Ndrianaivo


Jusqu’ici, seuls les entrainements de l’équipe nationale sont autorisés. Mais entretemps, des compétitions sont prévues par le Malagasy rugby. Pour commencer, tous les weekends, des sparrings pour les Makis Dames, les seniors et les U20 seront programmés au stade Makis Andohatapenaka en vue des préparations des nationaux sur les échéances internationales pour cette année. Il s’agit d’une qualification olympique pour les Dames, d’un championnat d’Afrique baptisé Trophée U20 Barthez pour les juniors et aussi d’une qualification au championnat du Monde et championnat d’Afrique pour les seniors.
 «On envisage d’organiser des matchs chaque week-end au stade d’Andohatapenaka dans le respect des barrières sanitaires », a fait savoir le président Marcel Rakotomalala, lors d’une rencontre avec la presse. Ce mercredi, le Malagasy Rugby a déjà procédé au marquage du gradin pour faire respecter les mesures sanitaires contre la Covid-19.
« Le rugby a toujours respecté la décision imposée par l’Etat de ne pas encore redémarrer la compétition. Mais cette note du ministère nous permet de travailler encore plus sur les trois équipes des Makis qui disputeront des matchs internationaux dans quelques mois. En revanche, le Malagasy Rugby condamne toutes sortes d’organisations de matchs par qui que ce soit qui n’a pas eu l’aval de la fédération. Une lettre de doléance a été déposée au niveau du Préfet de police concernant ces matchs», a-t-il souligné. Tout en précisant que le non- respect des barrières sanitaires, comme le port de masque obligatoire et le respect de la distanciation, oblige le Malagasy Rugby à tenir toutes rencontres à huis clos.
Et d’ajouter « Les joueurs devraient participer au match pour ne pas être affaiblis physiquement surtout que le rugby est un sport de contact. Mais en attendant, les clubs devraient d’abord régler leur conformité et la licence des joueurs ». D’autres décisions seront prises durant l’Assemblée générale du Malagasy Rugby prévue se tenir le 7 mars prochain.
Elias Fanomezantsoa



 « Si la situation sanitaire en rapport avec la Covid-19 représente vraiment un danger réel pour la population locale et le pays tout entier, le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie pourrait opter pour une suspension des vols internationaux à destination de Nosy-Be ». Il s’agit d’un propos du ministre des Transports, du Tourisme et de la Météorologie, Joël Randriamandranto hier en marge de la célébration du 30ème anniversaire de l’ADEMA (Aéroports de Madagascar) en réponse à la recrudescence du coronavirus dans cette île aux parfums. Cependant, aux dernières nouvelles, aucune discussion importante autour de la fermeture de la frontière aérienne n’a encore eu lieu. Joël Randriamandranto a avancé que les responsables hiérarchiques suivent de près l’évolution de la Covid-19 dans cette ville touristique. 
Quant au ministère de la Santé publique, le Professeur Hanitrala Rakotovao Jean Louis a affirmé que les nouvelles contaminations au coronavirus ont grimpé de 48 cas positifs au bout de 2 à 3 jours. Mais le bilan récapitulatif qui lui est parvenu avant-hier a déjà confirmé la baisse jusqu’à 22 porteurs du virus. L’évolution de la Covid-19 dans cette île aux parfums est actuellement maitrisée grâce aux dispositifs mis en place a-t-il précisé hier. Effectivement, toute forme d’organisation de réunion, de rassemblement, d’attroupement des personnes y est désormais interdite depuis cette semaine. Les marchés fermeront à 15 heures tous les samedis et mercredis, ceci pour que les responsables puissent assurer la désinfection des lieux. A cela s’ajoute la suspension jusqu’à nouvel ordre des organisations festives et culturelles telles que les soirées, spectacles, karaokés, cabarets. Outre l’enterrement immédiat des dépouilles issues de la maladie Covid-19 suivant les normes sanitaires, les veillées mortuaires sont aussi limitées à 24 heures au maximum.
 Faut-il rappeler que l’aéroport de Nosy – Be est ouvert aux touristes étrangers depuis le mois d’octobre dernier. Cette ouverture partielle des frontières aériennes a été soumise à des conditions notamment l’obligation pour chaque passager de rester en quarantaine, et que seuls les Malagasy revenant d’un voyage à l’extérieur peuvent rejoindre d’autres villes.
K.R.


La requête de Parpia Gold and jewels trading LLC, Zava Herimanana Anjaranantenaina, Mahamodo et Francis Deliot Regasy, est passée devant la Gauteng local division, Johannesburg, de la Haute cour d’Afrique du Sud. La société de Dubaï qui prétend être la propriétaire de l’or et les trois présumés passeurs malagasy prétendent que l’arrestation par la police sud-africaine des trois malagasy est illégale. Ils ont ainsi demandé la libération des trois malagasy et que les 73,5 kilos d’or et les 20 000 dollars saisis lors de l’arrestation des trois individus leur soient rendus. Une requête qui a été déboutée par la Justice sud-africaine, selon un compte-rendu de l’audience d’hier, qui a circulé sous les manteaux dans la soirée. L’audience a permis aux diverses parties, à savoir la société dubaiote et ses trois présumés employés, le ministère de la Police sud-africaine ainsi que le chargé d’affaire de l’ambassade de Madagascar à Pretoria, représentant le Gouvernement malagasy qui s’est constitué partie civile, de plaider chacune pour leurs causes. Durant les débats, la Justice sud-africaine a tenu à indiquer que la déclaration douanière présentée par les trafiquants prouve que l’accord de vente est faux. Et que les 71kg d’or n’ont pas été achetés au Mali ; les taxes y afférentes n’ont pas été payées par la société dubaiote et les trois malagasy ; et le transfert de la cargaison d’or de Madagascar à l’Afrique du Sud est inexpliquée par ces derniers. De plus, la partie malagasy maintient que l’or en question est bel et bien d’origine malagasy. La société établie à Dubaï et ses trois prétendus employés avancent entre autres que l’or en lui-même n’était pas illégal en Afrique du Sud. Pour la Justice africaine, le fait que le vol n’ait pas été commis sur le sol sud-africain n’enlève en rien le fait que l’or saisi reste toujours une marchandise volée et que celui qui détient entre ses mains l’objet du vol est passible de poursuites en Afrique du Sud. Il s’ensuit que l’argument des requérants qui soulèvent la non existence de lois sud-africaines qui punissent le fait que l’or ait été volé à Madagascar ou ailleurs, n’est pas valable, précise le juge. En tout cas, après cette décision de la Justice sud-africaine, l’opinion malagasy attend aujourd’hui l’audience des trois prévenus arrêtés en Afrique du Sud avec la cargaison d’or. Cette requête de la société dubaiote est en effet à l’origine des différents reports du procès en lui-même des trois trafiquants présumés. Les autorités du pays de Nelson Mandela les accusent en effet d’avoir violé les lois douanières du pays. Notons par ailleurs que le 10 février dernier, l’Etat malagasy, selon le rapport du Conseil des ministres, a porté plainte contre la société établie à Dubaï. Cette dernière est accusée par le Gouvernement malagasy de complicité dans l’exportation illégal d’or. La demande d’entraide judiciaire dans le cadre de cette affaire est toujours en cours.

La rédaction


12 ans après le dernier centre de radiothérapie installé dans un hôpital public à Madagascar, le pays a enfin inauguré son centre d’imagerie et de radiothérapie au cobalt à partir d’une source de cobalt-60.
La mise en place de cette toute nouvelle infrastructure a été permise grâce au partenariat entre la République indienne et la République malagasy. Hier, en présence d’Abhay Kumar, ambassadeur de l’Inde à Madagascar, le Président de la République Andry Nirina Rajoelina, accompagné dun°1 de la santé publique,le Professeur Hanitrala Rakotovao Jean Louis et quelques membres du Gouvernement, ont inauguré le centre d’imagerie et de radiothérapie au cobalt auprès du Centre hospitalier universitaire Joseph Raseta Befelatanana (CHU-JRB), mais qui est rattaché à l’Hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA).
Il s’agit de le seul et unique centre de radiothérapie fonctionnel au sein d’un établissement sanitaire public sur le tout le territoire malagasy, habilitée à traiter le cancer. « 25 à 50 patients peuvent être accueillis tous les jours, soit environ 1000 personnes cancéreuses traitées mensuellement. Et le coût d’une séance de radiothérapie a été fixé à 45000 ariary», a souligné le locataire d’Iavoloha lors de son discours inaugural. Et d’ajouter que la santé ne sera plus un privilège mais un droit.
Effectivement, l’Etat s’est engagé d’offrir un système de santé performant au service des usagers, et que le président de la République lui-même en a fait la promesse à travers son « Velirano » auprès des Malagasy. Dans cette optique, il va ainsi œuvrer à la promotion d’une santé de proximité, notamment avec la construction d’un CSB II dans tous les 119 districts. Le Chef de l’Etat indique par ailleurs que 13 hôpitaux manara-penitra sont actuellement en cours de construction dans le pays.
 « Cette installation va faciliter le traitement du cancer à Madagascar.Ainsi, les évacuations sanitaires ne sont plus indispensables. C’est pour dire que cette radiothérapie va sauver des vies », a insisté le Professeur Hanitrala Rakotovao Jean Louis, revenant sur le tout nouveau centre inauguré hier. Au cours de son intervention, le représentant du Gouvernent indien à Madagascar, Abhay Kumar, a pour sa part, rassuré que cette radiothérapie au cobalt est l’un des plus méticuleux en matière de traitement du cancer.
Il a été appris hier encore que la prévision du ministère de la Santé Publique pour cette année  porte particulièrement sur l’acquisition d’une autre radiothérapie dont l’infrastructure dans laquelle seront menés les soins est déjà disponible. Notons qu’en moyenne, environ 1600 peronnes sont atteints du cancer tous les ans à Madagascar. Le cancer du sein affecte 25 % des femmes, et celui du col de l’utérus en touche environ 22%. En plus des enfants victimes, il existe aussi des personnes atteintes du cancer des poumons, de la prostate ou encore celui du côlon.
K.R.



Comme la veille déjà, ou précisément la journée du jeudi dernier, le campus universitaire de Maninday, à Toliara, a été de nouveau le théâtre de vives tensions dans la matinée d’hier. Elles se traduisaient par un affrontement entre les Forces de l’ordre et les étudiants grévistes sur une portion de la RN7 qui borde le campus.  
Deux étudiants furent arrêtés. Selon plusieurs sources concordantes, l’EMMONAT les a surpris avec des morceaux de brique ou autres pavés dans leurs sacs. Les Forces ont embarqué presque manu militari les suspects vers un poste afin de les soumettre à un interrogatoire.  Et preuve que le heurt était assez violent, deux membres des Forces de sécurité furent blessés malgré le recours par celles-ci au jet de bombes lacrymogènes. Ils ont reçu des projectiles lancés à toute volée par les émeutiers. Mais il n’y a que des arrestations ou autres victimes. Les manifestants s’en étaient
violemment pris à des infrastructures internes dont le pylône du réseau TELMA situé dans l’enceinte même du campus. En réalité, ils ont mis le feu au générateur qui assure le fonctionnement du matériel. 
Outre donc l’intervention musclée de la Police anti-émeute, qui a tenté à la fois de faire disperser les manifestants et les refouler dans le campus, il a fallu aussi celle des sapeurs-pompiers. L’action de ces derniers, a permis de limiter les dégâts, sinon empêcher les flammes de détruire l’ensemble de l’installation de TELMA. Comme la veille, les grévistes ont réclamé quatre mois d’impayés de leurs bourses, selon l’information. Après les tensions observées sur place toute la matinée d’hier, un calme trompeur semblait régner dans le secteur de l’université dans les heures qui ont suivi ces affrontements. Toutefois, des Tuléariens ont affirmé que durant plusieurs heures encore, l’accrochage se serait   débordé hors du périmètre du campus, du fait de la traque des lanceurs de pierres par les Forces de l’ordre.
Déjà donc jeudi dernier, un affrontement a secoué le campus de Maninday. Là, ce sont deux factions rivales d’universitaires se mettaient face-à-face. Si l’une a voulu se faire entendre des autorités, toujours à propos de cette affaire de bourses, une autre était hostile à ces manifestations violentes. Cette dernière a voulu continuer et à étudier et proposé de ne réclamer le paiement d’un mois de retard de ces bourses. Les tensions entre ces étudiants ont fait deux autres victimes, toutes des étudiants, et elles étaient donc telles que les deux camps rivaux ne pouvaient que s’affronter,   obligeant ainsi les Forces de sécurité à intervenir pour s’interposer.


Franck R.

La une du 26 janvier 2021

Publié le jeudi, 25 février 2021

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Editorial

  • Flamme éternelle !
    « Feux de l’amour », une série américaine créée par les Bell (William Joseph et Lee Phillip) dont la première diffusion du premier épisode datait du 26 mars 1973, doit fêter avant-hier son cinquantième plus un anniversaire. Du 26 mars 1973 jusqu’à ce jour, les « Feux de l’amour » continue d’accrocher des milliers sinon des centaines de férus à travers le monde. « FA » avec ses 12 500 épisodes jouit d’un record de longévité que rares sont les feuilletons capables de le défier. « Dallas », un autre feuilleton américain le talonne de près. Créé par Larry Hagman et consorts, Dallas dont la diffusion du premier épisode datait de 2 avril 1978 pour se terminer le 3 mai 1991 continue aussi de fasciner jusqu’à aujourd’hui.

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