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L'acte 2 de la double confrontation Madagascar-Botswana se disputera ce jour au stade Barea Mahamasina à 16h. Les Barea A' auront le privilège de recevoir leur victime du match aller qui s'est soldé sur le score de un but à zéro comptant pour le deuxième tour de la qualification au Championnat d'Afrique des Nations (CHAN) qui aura lieu en Algérie le mois de janvier 2023.
Madagascar n'a pas le droit de refaire la même erreur comme en 2019. Après avoir gagné 1-0 à l'extérieur face au Mozambique, les Barea se sont inclinés sur le score de 2 buts 3 à Mahamasina et sont éliminés au dernier match de la phase finale.
Toute l'attention des férus du ballon rond est focalisée sur l'entraîneur national Romuald Rakotondrabe dit Rôrô qui ne cesse de rassurer ses joueurs. Il a ses stratégies pour garder l'avantage gagné à Gaborone. "
Nous allons tout mettre en œuvre pour repousser les attaques des Botswanais afin qu'ils ne puissent atteindre les 16m50 et pour les empêcher de marquer des buts dans les 20 premières minutes. Ils ont observé notre faille mais nous avons aussi étudié les leurs.  Mais nous avons l’avantage de jouer chez nous.  On a juste assuré à nos joueurs que gagner ce match apportera un grand changement dans leur carrière professionnelle", rassure coach Rôro lors d'une conférence de presse d'avant match, hier au stade Barea.
Et d'ajouter que " il faut éviter d'aller jusqu'au tirs au but donc faire en sorte de ne pas concéder le moindre but. Pour cela, nous avons revu de fond en comble le réajustement des 11 joueurs pour faire sauter le verrou botswanais. Tous les compartiments doivent collaborer ensemble car la moindre erreur pourrait être fatale.
Elias Fanomezantsoa


Le conseiller spécial du Président de la République en charge des  affaires politiques, Soja Jean André répond au chef de mission de suivi électoral de l’Union européenne, Cristian Preda.
Une ingérence. L’ancien sénateur Soja Jean André, dit Kaleta, dans un entretien hier, n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour dénoncer les tenants et aboutissants du rapport final de ladite mission de suivi électoral de l’Union européenne, publié en milieu de semaine. « Le pays est souverain », rétorque le conseiller spécial du Président Andry Rajoelina, s’adressant au chef de la mission Cristian Preda. « Nous sommes majeurs. Nous savons mieux que quiconque ce qui est le mieux pour notre pays », rajoute-t-il. Notre interlocuteur pointe du doigt notamment la remise en cause, faite dans le rapport, de la composition de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et celle de la Haute Cour constitutionnelle (HCC).  Le rapport indexe par exemple la présence de personnes réputées proches du pouvoir à des postes pouvant influer sur le résultat des élections. Un jugement que l’ancien sénateur affirme être prématuré étant donné que, « les deux institutions n’ont pas encore commencé à travailler » et injuste eu égard aux CV des personnes en question. Et l’ex-parlementaire de répondre à la mission de suivi en soulignant que les deux présidents de ces institutions sont des magistrats « qualifiés », « chevronnés » et « compétents ». L’actuel président de la HCC, Florent Rakotoarisoa a été nommé membre de la HCC par le Président Zafy Albert en 1991, rappelle Kaleta. Dama Andrianarisedo Retaf Arsène, à la tête de la CENI, est lui ancien membre de la HCC sous le régime du Président Rajaonarimampianina, rappelle le fondateur du parti Liaraike.
Injonction
Kaleta dénonce un comble lorsque le rapport adresse ce qui ressemble à une injonction, au Parlement et au Gouvernement malagasy. Ce rapport soutient en effet que les sessions parlementaires de cette année offrent une bonne opportunité pour déclencher des concertations inclusives et apaisées. L’option d’une concertation nationale ne figure par ailleurs pas dans la Constitution malagasy, rappelle le conseiller présidentiel. « A Madagascar, il n’y a pas de crise politique», pouvant expliquer la tenue d’une concertation nationale, rajoute le fondateur du parti Liaraike. « Par contre, la refonte totale de la liste électorale, oui, cela est prévue dans la loi fondamentale. C’est pour cela que la CENI lancera les opérations dans ce cadre au mois d’octobre », précise-t-il. Aux remarques sur le fait d’avoir des élections apaisées, inclusives et acceptées de tous, Kaleta rappelle que les contestations électorales existent dans tous les pays démocrates, citant à titre d’exemple le cas des Etats-Unis, première puissance dans le monde où le Président sortant conteste violemment le résultat des élections sous prétexte de fraudes du Président rentrant et n’a pas assisté à l’investiture de ce dernier. Cependant, notre interlocuteur rappelle que, en 2019, le Président Rajoelina a été élu démocratiquement et que ses adversaires à l’élection, dont ses prédécesseurs à la tête du pays, tout comme les représentants diplomatiques de la France et de la Communauté internationale résident à Madagascar, ainsi que les observateurs, ont été présents à l’investiture.
La rédaction

Plusieurs milliers de jeunes pèlerins au rendez-vous. L'ouverture de la 10e édition des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ Mada 10) s'est tenue, hier en fin d'après-midi à Antsirabe. Une cérémonie marquée par une grand-messe à Mandaniresaka. Le message du Pape François pour soutenir les jeunes de Madagascar a été lu en début de la messe. Cela a été suivi d’une minute de silence en hommage aux victimes d’Ikongo. Et toujours dans un esprit de communion et de solidarité avec les familles des victimes, les feux d’artifice prévus dans la soirée ont été aussi annulés. Une décision qui a soulagé plus d’un, après les critiques virulentes notamment sur les réseaux sociaux.

Les habitants de la localité d’Amboay, dans le District d’Ambositra se sont réveillés choqués en apprenant l’assassinat de Bernard Robert (75 ans) hier matin, ce ressortissant français qui y vécut. La mort violente du septuagénaire, un homme plutôt connu dans la région, a été le fait de bandits armés qui ont fait irruption chez lui.  

« Les déclarations de naissance doivent être faites dans les trente jours de la naissance ». L’article 45 de la Loi N°2018-027 relative à l’état civil le précise. Cette nouvelle législation abroge ainsi celle n°61-025, dont l’article 24 stipule que les déclarations de naissance doivent être faites dans les douze jours de la naissance.

La lutte contre la Covid-19 se poursuit en Afrique notamment à travers la vaccination contre la Covid-19. D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Madagascar figure parmi les dix pays d'Afrique les moins vaccinés contre la Covid-19. Leurs données ont indiqué que le Burundi n'a vacciné que 0,1% de sa population, la RD Congo (2,6%), le Cameroun et Madagascar (4,5%), le Sénégal (6,3%), le Mali (6,6%), le Burkina Faso (7,4%), le Malawi (7,6%) et le Soudan (8,3%).

Diaspora égarée !

Publié le mercredi, 31 août 2022

Le RMDM – Diaspora, branche de l’Opposition au sein du Rodoben’ny malagasy ho amin’ny demokrasia eto Madagasikara (RMDM) à extérieur, s’égare de mal en pis. Les dirigeants, principalement installés en France, dont entre autres Marc Randrianisa dit Marco se radicalisent et constituent l’aile dure du mouvement. De déclaration fracassante en déclaration incendiaire, Marco et consorts s’aventurent dans un terrain miné et dangereux.

Obsolètes, les prix minimums utilisés pour évaluer les pierres et gemmes qui sortent des terres malagasy ont été fixés il y a plus de 20 ans et n’ont jamais évolué depuis. Raison pour laquelle, après l'atelier de concertation qui s'est tenu à Ivato, la semaine dernière, les discussions se sont poursuivies à Ampandrianomby entre les acteurs dont les opérateurs, les exportateurs, les lapidaires et les responsables de la gestion des Ressources naturelles et du ministère des Mines, des Ressources stratégiques ou plus communément appelé « Administration minière » concernant le prix minimum limite d'exportation des ressources minérales ou « valeur marchande ».

Les relations entre Madagascar et le Royaume-Uni ont depuis des décennies été marquées par une grande amitié et un respect mutuel. Effectivement, une exposition de photos intitulée « UK in Madagascar- See Things differently » se tient depuis mardi dernier au Trano Sary d’Ambohidahy. Une manifestation qui énumère les étapes importantes des 200 ans de relations entre les deux pays.

Les récents troubles et autres évènements explosifs, survenus lundi dernier à Ikongo, ont été occasionnés par l’enlèvement d’un enfant albinos par des bandits dans la Commune rurale d’Ambatolampy, District d’Ikongo. Mais il y a pire, ces derniers ont décapité aussi la mère de l’enfant. Cette affaire a simplement montré que les agressions sinon le rapt des albinos, tout sexe et âge confondus, sont devenus un phénomène dans la Grande île.

Fil infos

  • Porte-parole du Gouvernement - Pas de troisième mandat à l’ordre du jour actuel du Président
  • Propagation de fausses nouvelles - Un acte de kidnapping à Saririaky, la rumeur d'une répression démentie
  • Loi sur la castration - Les violeurs d’enfants subiront la sanction la plus sévère, réitère le Chef de l’Etat
  • Actu-brèves
  • Délestages intempestifs à Antananarivo - Les centrales solaires d’Ampangabe et Ambatomirahavavy bientôt opérationnelles
  • Dépenses publiques - De l’université au Mondial de pétanque, l’Etat mise sur l’éducation et le sport
  • Dernière heure - Le DG de l’ACM limogé
  • Assemblée générale de l’ONU - Madagascar prépare sa vision du « Mieux ensemble »
  • Sous Rajoelina - 200 000 enfants supplémentaires scolarisés à Madagascar
  • Réunion de travail avec le FMI - Le Président Rajoelina plaide pour des réformes favorables aux Malagasy

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Editorial

  • Et les taxis-bicyclettes ?
    Le conseil municipal de la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) offre un cadre légal aux taxi-motos à Tanà-Ville. Après avoir agi dans l’illégalité pendant au moins quatre ans, les professionnels de transport sur « deux-roues » ont finalement obtenu gain de cause. Les mesures de confinement décrétées en raison de la pandémie de Covid 19 en 2020 donnaient naissance à un nouveau mode de transport de passagers et de bagages plus pratique. Les transports en commun, pénalisés par les codes de conduite sanitaires, devaient céder la place aux déplacements individuels. La mesure implacable de confinement empêchant de se déplacer physiquement et en groupe donne lieu aussi à un nouveau mode de commerce : la vente en ligne et livrée à domicile.

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