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Une obsession virale !

Publié le mardi, 19 avril 2022

C’est devenu une maladie. Réclamer, sans arrêt, à tout bout de champ, une concertation nationale s’apparente à une litanie rébarbative qui, au final, se transforme en un geste maladif, une obsession virale ! Un virus qui colle à la peau.
Les grosses têtes de l’Opposition, du RMDM, du HVM et du TIM montent au créneau et réclament sinon exigent pour la énième fois la tenue d’une concertation nationale pour, disent-ils, débattre des affaires nationales.
De quoi va-t-on discuter ? Y a-t-il lieu de débattre encore et sur quel sujet ? Faut-il reprendre ou réitérer que ce régime en place découle d’élections libres, crédibles et acceptées par tous, y comprise la classe politique du pays et fermement reconnu par la Communauté internationale. Le leader Orange Rajoelina Andry a accédé au pouvoir selon la règle de l’art del’alternance démocratique. Une onction populaire authentique et légale ! Il n’y a plus rien à ébattre ni à discuter.
L’avatar de mai 72. Durant les moments forts des mouvements de contestation de mai 72, la tenue du « Forum national » ou « concertation nationale », c’est selon, retient le plus l’attention. En fait, ce fut l’évènement phare au cours duquel on a débattu et mis sur table tous les grands sujets. Allant de la politique de l’éducation nationale au contour de l’économie en passant par la politique générale et en finir avec le choix d’orientation générale de la Nation, tout a été creusé pendant au moins un mois. Votre fidèle serviteur, étant étudiant à l’université à l’époque des faits, participait activement au mouvement. J’avais même à diriger le conseil permanent à Ankatso.
Depuis cet évènement historique de mai 72, le recours à un forum ou concertation nationale pour en découdre une situation jugée difficile devient un réflexe au final maladif. En 1990-91, les « Hery velona » du pays tenaient des assises nationales ou concertation nationale dans les locaux du collège Rasalama. Lesquelles assises devaient aboutir à la mise en place de la Haute autorité de l’Etat (HAT) suite à la « Convention de Panorama ». Et ainsi de suite ! En 2002 et en 2009, la Communauté internationale conviait sinon obligeait les belligérants, politiquement parlant, à se retrouver autour d’une table, ici ou ailleurs, aux fins de se concerter et de faire en sorte que la crise politique soit dénouée une bonne fois pour toute.
Les barons de l’Opposition, en court d’idées sinon de popularité, cherchent un raccourci pour accéder au pouvoir. Imbus de haine et d’impatience bestiale, les ténors du RMDM, du HVM et du TIM brûlent les étapes et perturbent l’ordre établi.
Le problème avec nos acteurs politiques surtout ceux évoluant dans la sphère de l’Opposition réside du fait qu’ils sont de mauvais perdants. Ils digèrent mal le verdict des urnes, la volonté du peuple. Et tout au long du mandat du gagnant, ces losers cherchent par tous les moyens la petite bête. Vouloir organiser une concertation nationale à tout moment frise réellement l’obsession maladive voire virale. La question se pose « comment peut-on développer le pays avec une telle obsession ? ». Un entêtement à créer des troubles !
Il faut attendre le prochain rendez-vous des urnes et tâcher de convaincre les concitoyens du bien fondé de vos démarches.
Ndrianaivo



Pas tendre. Le tirage au sort de la phase des groupes des éliminatoires de la coupe d'Afrique 2023 paraît difficile pour Madagascar. Bien que placée dans le chapeau, ce qui est déjà une référence, la sélection malagasy a été tirée hier en Egypte au siège de la Confédération africaine ( CAF) dans un groupe relevé. Les Barea de Madagascar forment en effet le groupe E avec le Ghana, l'Angola et la République centrafricaine. Deux sélections par groupe se qualifieront à la phase finale, ce qui semble à la portée de la formation de la Grande île. Si le Ghana part largement favori pour la première place, les trois autres composants du groupe se valent pour prendre la seconde place qualificative. Madagascar est pourtant mal parti à deux mois du début de la compétition à cause de la situation actuelle dans laquelle se trouve la fédération nationale. La guerre interne, qui la mine depuis au moins une année, n'est pas du tout terminée comme le croyaient les amateurs. Le coup de sifflet de la FIFA n'a pas estompé la guéguerre lancée par les protagonistes. A preuve, la " nomination" en tant que directeur technique national ( DTN) non commentée par l'aile acceptée par la FIFA pour présider la fédération malagasy en attendant les nouvelles élections....Un silence qui pourrait être assimilé à une non reconnaissance. En se regardant comme des chiens en Faïence sans bouger leurs petits doigts, les dirigeants de la fédération mettent en péril la quête d'une seconde qualification en phase finale d'une CAN pour Madagascar. A ce rythme, la nomination du coach des Barea serait également un autre sujet brûlant qui pourrait encore enflammer la maison du football malagasy à Isoraka. Or, le temps ne joue pas, et pas du tout, au camp malagasy...
Rata

Résultats du tirage au sort
•    Groupe A : Nigéria, Sierra Leone, Guinée-Bissau, Sao Tomé
•    Groupe B : Burkina-Faso, Cap Vert, Togo, Eswatini
•    Groupe C : Cameroun, Kenya, Namibie, Burundi
•    Groupe D : Égypte, Guinée, Malawi, Ethiopie
•    Groupe E : Ghana, Madagascar, Angola, Centrafrique
•    Groupe F : Algérie, Ouganda, Niger, Tanzanie
•    Groupe G : Mali, Congo, Gambie, Soudan du Sud
•    Groupe H : Côte d'Ivoire, Zambie, Comores, Lesotho
•    Groupe I : République Démocratique du Congo, Gabon, Mauritanie, Soudan
•    Groupe J : Tunisie, Guinée-Équatoriale, Libye, Botswana
•    Groupe K : Maroc, Afrique du Sud, Zimbabwe, Libéria
•    Groupe L : Sénégal, Bénin, Mozambique, Rwanda


Une grande première dans l’histoire de Bretton Woods. Les dirigeants du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, deux institutions financières mondiales se sont réunis sur une même table pour se pencher sur une même cause qu'est le redressement de Madagascar. En effet, en marge de la réunion de printemps de la Banque mondiale et du FMI, le Président de la République Andry Rajoelina a rencontré le président du groupe de la Banque mondiale, David Malpass, et la directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Georgieva lundi à Washington.
« Ce dialogue est essentiel pour assurer l’efficacité, la coordination et l’alignement des appuis proposés par les partenaires techniques et financiers afin que la vision et les priorités de l’Etat malagasy en matière de réforme des finances publiques soient comprises et soutenues », a souligné le Président Andry Rajoelina.
Une réunion au cours de laquelle les questions de développement ont été abordées, notamment l'accès à l'énergie, la nécessité pour le pays de renforcer sa politique de gestion des catastrophes et des risques et le plan de redressement de Madagascar. Le Chef de l’Etat malagasy a notamment plaidé au cours de la réunion en faveur du renforcement des appuis pour relever le défi de la résilience climatique de Madagascar, qui compte parmi les pays les plus vulnérables aux changements climatiques.
« Outre les inondations à répétition à cause des cataclysmes météorologiques et la sécheresse intense causant une famine chronique pour la population, en l’espace de seulement 25 jours, Madagascar a été le théâtre d’une série d’évènements climatiques majeurs (…) qui ont impacté directement les activités de développement du pays qui sont en situation de vulnérabilités répétitives et croissantes », a-t-il ajouté.
Le plan de redressement post-cyclonique présenté lors de cette réunion consiste à la mise en œuvre de différents projets innovants impliquant dix secteurs prioritaires, à savoir les infrastructures, l’énergie, l’agriculture, la protection sociale, l’eau, l’habitat, l’éducation, la modernisation de la gestion de finances publiques et la santé.
Le coût total de la mise en œuvre de ce plan est estimé à 978.664.237,95 de dollars américains. Faisant suite au plaidoyer du Président de la République, la Banque mondiale a annoncé le déploiement de 415 millions de dollars, soit près de la moitié du montant de sa mise en œuvre, afin d'appuyer Madagascar dans la mise en œuvre de sa stratégie de redressement post-cyclonique.
Selon les précisions, 220 millions de dollars iront dans des projets en faveur de l’accès à l’eau, 100 millions de dollars pour la construction de routes, les chemins de fer et l’accès à l’électricité, 40 millions de dollars à la protection sociale, et 15 millions de dollars en guise de réponse d’urgence pour la ville d’Antananarivo frappée par le cyclone Ana.
Recueillis par L.A.




Les membres de la société civile œuvrant dans les droits de l’Homme et la protection de la femme s’allient et unissent leur voix pour une alerte « viol et inceste ». De nombreux cas sont dénoncés ces derniers temps, notamment sur les réseaux sociaux, mais la plupart des auteurs restent impunis. Ces associations, organismes et mouvements lancent un appel de détresse aux autorités étatiques, à la fois pour renforcer les mesures et les sanctions, mais aussi pour s’assurer convenablement de la protection et de la prise en charge des victimes, voire les survivants. Que la loi s’applique !

La culture d’impunité persiste. Les cas de viols et d’incestes dénoncés sur les réseaux sociaux ne constituent qu’une partie immergée de l’iceberg. De nombreux cas sont cachés, camouflés et minimisés au sein de la société. Les arrangements à l’amiable et la corruption se perpétuent auprès des autorités hiérarchiques, depuis les bureaux de Fokontany jusqu’au Palais de Justice, en passant par les Forces de l’ordre, notamment dans les Régions et les zones éloignées. La loi reste mal appliquée, voire bafouée. « Les autorités minimisent les cas de viols et suggèrent aux plaignants et auteurs des arrangements à l’amiable. Sur les 6 cas de viols commis sur des enfants âgés de moins de 15 ans que j’ai suivi personnellement en 2021 à Toamasina, aucun déferrement ni condamnation des violeurs n’a eu lieu. Nos efforts pour accompagner les victimes à dénoncer ce qui leur est arrivé restent vains puisque les dossiers n’aboutissent pas jusqu’au bout. Pis, certains dossiers disparaissent au niveau du Parquet ou de la Justice », alerte Viviane Rahariniaina, activiste au sein du mouvement « Nifin’Akanga » et fondatrice de l’association « Fleurs éveillés », basée dans la ville du grand port. Toujours à Toamasina, les structures et centres de prise en charge des victimes de viols et d’incestes ne disposent pas de personnels compétents. Aucun agent de police n’est présent dans le centre « Vonjy » de cette ville, d’après notre source. « Des fois, on réclame de l’argent aux victimes ou leurs accompagnateurs, alors que tous les services devraient y être gratuits. A la place des accompagnements psychologiques, les victimes sont "gavées" de médicaments », déplore-t-elle.
Les sanctions à alourdir
Deux ans d’emprisonnement ferme. Telle est la sanction maximale affligée à une minorité de violeurs condamnés ces derniers temps, tandis que la plupart d’entre eux restent impunis. « Pourtant, le Code pénal prévoit des années de travaux forcés pour les auteurs de viols sur mineurs, contre 5 années d’emprisonnement ferme au maximum pour le violeur dont la victime est âgée de plus de 18 ans. Des travaux forcés à perpétuité s’inscrivent pour les auteurs de viol commis sur des personnes sous leur tutelle. Les parents et membres de la famille, des enseignants et éducateurs ainsi que des leaders religieux en sont concernés », informe Riambelo Onjaniaina Rasamimanana, du « Woman Lead Movement ». Cependant, ces peines restent légères par rapport aux séquelles à perpétuité que les violeurs laissent sur leurs victimes. Bon nombre d’entre elles subissent des traumatismes et impacts psychologiques à vie, au point de tenter de se suicider. Certaines deviennent stériles ou attrapent des maladies. La société civile réclame l’alourdissement des peines pour les viols et incestes, lesquels doivent être considérés comme des crimes.
Par ailleurs, les activistes sollicitent la mise à jour des formations à l’endroit des autorités civiles, militaires et judiciaires accueillant les victimes, et cela afin de renforcer leurs capacités d’écoute et de prise en charge ou encore pour améliorer le traitement des dossiers et l’attribution des peines. Ils réclament également la sortie d’un décret d’application de la loi sur la lutte contre les violences basées sur le genre, en renforcement des législations en vigueur mais jusqu’ici peu appliquées. D’un autre côté, ils revendiquent l’augmentation du nombre de structures et centres de prise en charge des victimes, ainsi que la mobilisation des ressources humaines compétentes, que ce soient les personnels de santé, les éléments des Forces de l’ordre ou les travailleurs sociaux. Que chacun prenne ses responsabilités !
Patricia Ramavonirina







Certains ne manqueraient pas de noter tristement : “l’eau a tué plus que le deux-roues” pour cette fête de Pâques 2022. Effectivement, les tristes faits liés aux décès par noyade enregistrés durant le récent week-end, et qui ont endeuillé des familles dans quelques villes du pays, le confirment. Sans doute, le drame survenu sur le lac touristique de Tatamarina à Betafo, dans le Vakinankaratra, marque encore les esprits. C’est que le bilan s’y alourdit davantage. Les dépouilles d’un chef de famille ainsi que du commandant du petit navire, tous deux ayant été déclarés portés disparus, ont pu être finalement ramenées en terre ferme, en milieu de soirée, lundi dernier. Ce qui porte ainsi à six le nombre des victimes ayant perdu la vie dans le naufrage de cette embarcation. Quatre d’entre elles sont issues d’une même famille d’Antsirabe. Dix autres de ses passagers de la pirogue sont indemnes.
Alors que les proches pleurent leurs morts, les autorités locales ont pris une mesure contre l’armateur. De même, décision fut prise pour interdire désormais l’utilisation de ce type d’embarcation pour naviguer sur le lac.
A Mahajanga, l’eau a également fait deux victimes, le lundi de Pâques dernier. Les drames se sont succédé à un intervalle de quelques heures et étaient survenus sur la plage du Grand Pavois où une jeune fille de 11 ans s’y était tragiquement noyée vers le début de l’après-midi. Quelques moments avant cela, précisément vers 6h du matin, un jeune garçon de 13 ans a péri dans les mêmes et pires conditions en voulant se baigner. Certes, les secours ont réussi à repêcher les deux corps avant de les transporter rapidement à l’hôpital. Malheureusement, ni la fillette, ni le jeune garçon n’ont tenu le coup malgré les ultimes tentatives des médecins de l’hôpital pour les ranimer.

Mais lundi de Pâques fut encore assombri par une autre tragédie, survenue cette fois-ci à Fenoarivo-Atsinanana où trois jeunes lycéens ont également péri en mer lors d’une baignade. Les victimes ont étudié au lycée de Vavatenina et entendaient passer le week-end de Pâques à Fenoarivo-Atsinanana. Les faits. L’un d’eux fut d’abord englouti par les vagues, selon une source d’information. En voyant cela, ses deux copains ne pouvaient s’empêcher de tenter de le sauver. Malheureusement, la houle était telle que ces derniers ont rapidement disparu, eux aussi, sous les flots. Les autorités maritimes locales ont mobilisé des vedettes rapides en vue des recherches des disparus, mais en vain. D’après le commandant d’une unité de la Gendarmerie basée dans cette localité, l’endroit où les victimes s’étaient noyées, est déconseillé pour la baignade du fait de la puissance, sinon de la dangerosité des vagues qui y déferlent. Quelques mois plus tôt, les membres d’une famille de vacanciers y ont également péri dans des circonstances tragiques.
Toujours lundi dernier, un homme courageux s’est sacrifié en tentant de sauver sa belle-sœur d’une noyade, cette fois-ci à Maroantsetra. Ils étaient trois dont la victime et son épouse à faire leur promenade dans le secteur du pont d’Anjahagnambo lorsque la belle-sœur a fait une chute par-dessus les rambardes du pont, manquant ainsi de se noyer sérieusement. Sans hésiter, l’homme a plongé dans l’eau afin de la secourir. Si la dame était tirée d’affaire, le cas ne l’était malheureusement pas pour son beau-frère. A son tour, il a disparu rapidement sous les flots. Son corps sans vie n’a pu être repêché de l’eau que dans la journée d’hier.
Dans la pointe Sud du pays, précisément sur une plage de Beloha Androy, des familles ont été également endeuillées par les pertes de proches, toujours lundi dernier. Là, six personnes ont voulu se baigner à la plage de Lavanono lorsque les puissantes vagues les ont entraînées brutalement vers le fond. Trois baigneurs ont trouvé la mort tandis que les trois autres sont indemnes.
Franck R.

La une du 20 avril 2022

Publié le mardi, 19 avril 2022

Avec la résurrection des festivités pascales et la fin du confinement, l’on craignait le pire quant à la recrudescence du nombre des victimes liées aux accidents. Or, contrairement à ce que l’on s’attendait, la situation fut tellement différente sur le terrain.

Lancement en 2008. La formation continue diplômante (FCD) de l'ISCAM est actuellement en sa 25ème promotion. « Environ 600 professionnels issus des secteurs public et privé ainsi que des gérants d'entreprises et des consultants ont pu décrocher leurs diplômes dans la FCD. Cette formation cible notamment les professionnels qui veulent renforcer leurs compétences ou ceux en quête de réorientation.

Jasmine. C’est le nom que porterait la future tempête tropicale si les conditions atmosphériques et météorologiques sont réunies. En effet, la saison cyclonique 2021/2022 du sud-ouest de l’océan indien n’est pas encore terminée. Les prévisionnistes viennent d’identifier un signal de cyclogenèse au nord des Mascareignes, à proximité des terres habitées et avec une probabilité de formation d’une tempête tropicale.

Note positive !

Publié le lundi, 18 avril 2022

Pas de panique ! En gros, tels sont les trois mots pouvant résumer le point de presse, le premier du genre, de la nouvelle DirCom de la Présidence et porte-parole du PRM Lova Hasinirina Ranoromaro au Palais d'Etat d'Ambohitsorohitra.

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Editorial

  • Poreux !
    On ne cesse de dénoncer. A l’allure où vont les choses, ce ne sera pas demain la veille où l’on s’arrêtera d’interpeler. Le Chef de l’Etat, Rajoelina Andry Nirina, patron des patrons du régime Orange, plus d’une fois, tape sur la table devant certains faits qu’il juge inadmissibles compromettant l’avenir du pays. Homme ou femme politique proche du régime ou à l’opposé du pouvoir monte au créneau et tire la sonnette d’alarme sur la persistance de certains cas troublants qui frisent la gabegie dans le pays. Société civile, simples citoyens et certains prélats d’église n’ont de cesse d’attirer l’attention de tous en particulier les dirigeants du pays sur le risque d’une dégénérescence incontrôlée. La majorité silencieuse, comme son nom l’indique observe dans le silence. En réalité, préoccupée par les actes quotidiens de survie, la grande majorité de la population n’a pas le temps de voir autour d’elle.

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