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La semaine dernière, les transporteurs se sont plaints à propos d’une rumeur comme quoi la station de pesage d’Ambatolampy ne fonctionnerait pas comme il se doit. Selon cette rumeur, les chiffres affichés seraient erronés, empêchant ainsi d’avoir des données exactes pour prévenir les surcharges routières et préserver les infrastructures routières. Des faits qui ont été démentis par le ministère de l’Aménagement du territoire et des Travaux publics.

Les derniers chiffres dévoilés le week-end dernier ne sont pas bons. Plusieurs nouveaux cas ont été enregistrés. Doit-on s’attendre à un reconfinement compte tenu des chiffres de la Covid-19 ces derniers temps ? Pas dans l’immédiat, assure le Premier ministre, Christian Ntsay, interrogé en marge d’une descente samedi à Mandroseza, Ankadindratombo et Mandikanamana pour voir de près les infrastructures en vue d'améliorer l'approvisionnement en eau à Antananarivo. « Nous observons de près l’évolution des nouveaux cas à Madagascar.

Dans dix jours, la sélection malagasy de football disputera l’avant dernière journée, et une semaine après l’ultime journée des éliminatoires de la phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2021 au Cameroun. La qualification à ce rendez-vous, pour la seconde fois consécutive, demeure le principal objectif des Barea et le souhait de tous les Malagasy, du moins la plus large majorité. Une précision utile dans la mesure où ces derniers jours, les observateurs ont fait la remarque qu’une manœuvre de déstabilisation des Barea est en cours. Qui tire(nt) les ficelles, pour quelle raison et dans quel but ? Des questions qui, malheureusement, demeurent sans réponses.

LA UNE DU 15 MARS 2021

Publié le dimanche, 14 mars 2021

La une du 13 mars 2021

Publié le vendredi, 12 mars 2021


Resté quasi – silencieux  depuis le décès du Professeur Albert Zafy en 2017, le parti UNDD (Union Nationale pour le Développement et la Démocratie) s’est réveillé de son sommeil. Le parti fondé par le défunt homme au chapeau de paille a fait une déclaration, hier, à la Villa Elisabeth à Ivandry avec à sa tête, l’ancien ministre Manoro Régis qui assure la fonction de président national par intérim. Ayant fait abstraction de toutes participations aux élections depuis plusieurs années, cette formation politique sort du silence dans un contexte de crise sanitaire douloureuse pour la population. Cette formation politique fait un constat sombre de la situation politique du pays. Selon ce parti, Madagascar traverse une crise qui risque encore de s’intensifier. Suite aux récentes manœuvres de l’Opposition, l’UNDD déclare que « le coup d’Etat n’est pas une solution ».
Plus loin, la formation politique semble lancer un clin d’œil à l’endroit des tenants du régime en invitant le Président de la République à mettre en place une « nouvelle République » en vue de regarder dans la même direction. Et les membres du parti de déclarer que « le problème est l’affaire du pays entier et tous les acteurs doivent se mobiliser pour le résoudre ». Des propos qui semblent faire allusion à un appel pour un Gouvernement d’union nationale. En tout cas, le parti UNDD n’a pas fait de déclaration directe dans ce sens. En revanche, les membres de la formation politique lance un appel à l’endroit de tous les partis politiques à faire preuve de solidarité en vue de construire un pays digne pour les générations futures.
 Le sommet du pouvoir ne cesse de faire l’objet de convoitise par les partis politiques, surtout ceux qui sont en dehors du régime. A preuve, les nombreuses manœuvres orchestrées par les membres de l’Opposition ces derniers temps. Au lieu de se positionner en alternative avec des propositions concrètes, l’Opposition s’érige malheureusement en ennemi de la Nation visant à tout prix à discréditer voire détruire les dirigeants pour s’emparer du pouvoir. Outre les défis du développement, le régime doit ainsi faire face à ces diverses propositions parfois contradictoires et même fantaisistes des acteurs politiques.
La Rédaction

Enjeu délicat et stratégique

Publié le vendredi, 12 mars 2021

Défi titanesque ! Le mandat respectif des huit sur les neufs Hauts conseillers membres de la Haute Cour constitutionnelle (HCC) arrive à son terme, hier vendredi 12 mars 2021. En effet, Jean Eric Rakotoarisoa, désormais ex-président de la HCC, Andrianarisoa Raveloarisoa Fara Alice, Tsaboto Jacques Adolphe, Tiandrazana Jaobe Hilton, Dama Andrianarisedo Retaf Arsène, Randriamorasata Mamirina Sahondra, Zafimihary Marcellin et Rabetokotany Tahina rendent effectivement leurs tabliers sinon leurs toges à la date du 12 mars. Ils ne figurent plus dans la liste de l’auguste Institution d’Ambohidahy. Le décret constatant l’expiration de leur mandat a été déjà publié. Ils ont été quelque peu pris de court. En tout cas, leurs missions en tant que telles prennent fin, il faut céder la place aux autres. Ils assurent l’expédition des affaires courantes jusqu’à la prestation de serment des nouveaux nommés ou élus. Il va falloir procéder au remplacement. L’Art. 114 de la Constitution stipule en ces termes que « trois des membres sont nommés par le Président de la République, deux sont élus par l’Assemblée nationale, deux par le Sénat, deux sont élus par le Conseil supérieur de la magistrature, … » Comme il fallait s’y attendre, les sièges vacants sont normalement dédiés au juriste de formation (magistrat de carrière, enseignant de droit ou membre du Barreau), à la rigueur les administrateurs civils pourront également y siéger. Ce sont des postes apolitiques.  L’enjeu est subtilement délicat et hautement stratégique.
Selon l’Art 116 de la Constitution, la HCC  1° statue sur la conformité à la Constitution des traités, des lois, des ordonnances et des règlements autonomes ; 2° règle les conflits de compétence entre deux ou plusieurs Institutions de l’Etat ou entre l’Etat et une ou plusieurs Collectivités territoriales décentralisées (CTD) … ; 3° statue sur la conformité à la Constitution et aux lois organiques, des délibérations et des actes réglementaires … par les CTD ; 4° statue sur le contentieux des opérations de référendum, de l’élection du Président de la République et des élections des députés et des sénateurs ; 5° proclame le résultat officiel des élections présidentielles, législatives et des consultions par référendum. En somme, au vu de ces délicates et stratégiques missions, la HCC constitue une des pièces maîtresses du bon fonctionnement de la République.
Ceci étant, le régime en place dont le Chef de l’Etat veille au grain au processus du renouvellement des membres de la HCC. Chaque Institution ou Instance appelée à choisir ou à élire ses représentants prendront au sérieux le poids et l’importance de la chose.
Le président de la HCC, Art 114 alinéa 3, est élu par et parmi les membres de ladite Cour. C’est ici le pivot central du mécanisme de fonctionnement de cette haute Institution d’Ambohidahy. Le Président de la HCC qui, en principe, dirige les séances de travail de la HCC, joue un rôle primordial. Le Chef de l’Etat ne peut, en aucun cas, laisser au hasard des choses le choix de cette personnalité stratégique. Il y va de l’intérêt majeur du régime « Orange » de faire en sorte que ce poste délicat n’échoit pas entre les mains d’un illustre inconnu. De toute façon, le pays regorge de personnalités compétentes, honnêtes et sensibles à la cause du grand nombre.
Ndrianaivo


Patrice Motsepe est officiellement le 7ème président de la Confédération africaine de football.  Le Sud-africain Patrice Motsepe a été élu président de la Confédération africaine de football à l’issue de l’Assemblée générale élective de l’instance continentale du football africain tenue à Rabat Maroc le vendredi 12 mars. Une élection effectuée après un bilan financier de l’instance présenté par Fouzi Lekjaa, le président de la commission des finances, pour le compte de la CAF.  Celle-ci “s’installe dans un déficit annuel autour de 10 millions de dollars. Elle est en train de bouffer ses capitaux, ses fonds propres”, a lâché le Marocain qui préside cette commission. Les deux autres vice-présidents élus avec Patrice Motsepe auront la lourde tâche de rétablir une situation financière catastrophique de la CAF.

Candidat unique, sans surprise, le milliardaire Sud-africain succède à Ahmad. Comme le stipule le statut de la CAF, il a été élu par acclamation, vu qu'il était le seul candidat en lice, ce vendredi lors de la 43ème Assemblée générale élective de la CAF à Rabat.
52 sur 54 Fédérations présentes à l’Assemblée générale (le Tchad et l’Erythrée manquent à l’appel) ont procédé à l’élection des nouveaux membres du comité exécutif de la CAF et des représentants africains au Conseil de la FIFA. Le milliardaire succède au Malagasy Ahmad, empêché de briguer à sa propre succession après sa suspension par la FIFA.
Dans son allocution, il a exprimé sa « gratitude » envers toutes les parties prenantes. « Merci à Gianni Infantino pour sa vision et son encouragement pour qu'on travaille dans l'unité », a-t-il souligné durant sa prise de parole.
La main de Zurich est omniprésente, et il n’est pas fortuit que les tout premiers mots de l’élu du jour soient allés à son “frère Gianni” Infantino. Le boss de la FIFA a déployé toute sa diplomatie pour arriver au retrait des trois autres candidats, Augustin Senghor, Ahmed Yahya et Jacques Anouma. Le compromis de Rabat, trouvé lors du dernier week-end de février, réserve les fonctions de vice-présidents au Sénégalais et au Mauritanien, et un poste de conseiller spécial échouant à l’Ivoirien.
Quant à la Malagasy, Patricia Rajeriarison, en lice au poste de la présidence de la commission de football féminin, elle n’a pu amasser que 8 voix sur les 52 Fédérations votantes, derrière Lawson Hogban Latré Kayti  Edzona, un arbitre togolais.
C’est la présidente de normalisation de la Fédération comorienne de football, Kanizat Ibrahim, qui est élue à la tête de cette commission en le remportant avec 35 voix. C’est la comorienne qui succède donc à la Sierra Leonais, Isha Johansen, membre sortante.
Recueillis par
Elias Fanomezantsoa


Il faut se munir de vêtements chauds pour ce week-end. La Direction générale de la Météorologie (DGM) à Ampandrianomby vient de préciser qu’il va faire un peu froid ces prochains jours.  « Une baisse significative des températures minimales sera ressentie sur les Hautes-terres et la partie Est pour les trois jours à venir », a prévu Météo Madagascar. Celles-ci atteidront 12 à 15° C pour les Hautes terres. Les valeurs maximales, quant à elles, ne dépasseront pas les 34° C.
Durant cette matinée, des averses résiduelles seront observées sur Soalala, Mitsinjo, Melaky et Menabe. Il pleuvra faiblement sur Antalaha, Analanjirofo, Atsinanana et le littoral d’Atsimo-Atsinanana. En outre, une ambiance grise avec des averses locales sont prévues autour de Sambirano. Par contre, le ciel sera couvert en début de matinée pour laisser place ensuite à un temps partiellement nuageux sur la partie Nord et Nord-ouest de Madagascar. Un faible risque de crachin local est attendu sur les Hautes terres. Un temps partiellement nuageux est prévu sur le reste du pays.
Cet après-midi, les prévisionnistes ont avancé des pluies faibles, notamment sur les côtes Est, allant de Sava jusqu'à Taolagnaro. Des nuages assez denses donnant des crachins locaux et/ou des pluies fines se concentreront sur la partie Est des Hautes terres. Les habitants de DIANA et Sofia doivent s’attendre à des averses orageuses. Cela va prendre un caractère de faibles averses éparses sur Boeny, Melaky, Betsiboka, Bongolava, Itasy, la partie nord de Menabe, la partie ouest de Vakinankaratra et Amoron'i Mania. Un temps peu nuageux sera observé ailleurs.
Demain, les pluies faibles se poursuivront sur les côtes Est de l'île. Un temps couvert avec parfois des crachins fins sont attendus sur la partie Est des Hautes terres, tandis que des averses sont prévues sur la moitié sud et la partie ouest des Hautes terres. Il y aura également des averses orageuses sur DIANA, Sofia ainsi que Betsiboka. Ailleurs, il fera beau. 
Et lundi prochain, des pluies faibles demeureront sur le long des côtes Est. La partie centrale sera couverte et subira ensuite des averses éparses. Le nord de Madagascar s'attendra également à des averses. Un temps sec dominera sur le reste des Régions.
Recueillis par K.R.

Le Projet Tanamasoandro avance vers la réalisation. Le dernier Conseil des ministres a approuvé le budget destiné à mener les Etudes d’impact environnemental et social du projet qui doit s’implanter dans l’ouest de la Capitale d’Antananarivo dans la localité d’Imerintsiatosika. Cette phase est obligatoire avant tout projet de grande envergure. La ministre de la Communication et de la Culture, et non moins porte-parole du Gouvernement, Lalatiana Andriatongarivo, a indiqué hier que le projet avance à grand pas. Elle a réitéré que la nouvelle ville doit être bouclée pour le mois de juin 2023 soit dans un peu plus de deux ans.
Les procédures préalables sont en cours, précise-t-elle, soulignant que le plan de masse du projet sera soumis et étudié au cours du prochain Conseil des ministres. Une manière pour elle de souligner que le projet avance à la vitesse grand « V ». Ce plan de masse permettra notamment d’avoir une vue d’ensemble du projet. Y figurent de multiples renseignements. Pour rappel, la nouvelle ville prévoit d’intégrer une cité ministérielle notamment, mais également toutes les autres commodités utiles.
Pour rappel, les infrastructures de la nouvelle ville seront construites sur un terrain d’une superficie de 1000 hectares dans la localité de Tsimahabeomby Imerintsiatosika sur la Route nationale 1. D’après Lalatiana Andriatongarivo, le calendrier de réalisation de la nouvelle ville sera ensuite établi avant le début effectif des travaux jusqu’en juin 2023. Et de préciser par ailleurs que les différentes procédures administratives d’usage sont en cours. « Nous avançons, nous ne reculons pas malgré les efforts de certains pour décourager. Nous sommes convaincus de notre devoir et de notre responsabilité de faire développer le pays », précise-t-elle.
Notons par ailleurs que la route reliant la ville d’Antananarivo à la nouvelle ville de Tanamasoandro Imerintsiatosika, une voie rapide à 4 voies de circulation, d’une longueur totale de 25 kilomètres, doit également incessamment voir le jour. Selon les précisions de la porte-parole du Gouvernement, l’appel à manifestation d’intérêt concernant cette infrastructure a été récemment clôturé. Le ministère responsable va procéder prochainement à l’évaluation des offres techniques. Au bout de cette procédure, trois à six entreprises disposant des capacités techniques seront sélectionnées. Ensuite, l’entreprise qui présentera les meilleures garanties financières sera choisie pour effectuer le chantier.
La Rédaction



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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

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