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Magique ! La journée d’hier était spéciale pour le candidat Andry Rajoelina. En effet, le prétendant à la magistrature suprême du pays a choisi cette 27ème journée de campagne électorale pour venir à la rencontre de la population d’Antsirabe. La ville d’eau, lieu de naissance du candidat numéro 3. Ce dernier a été accueilli comme il se doit par une foule survoltée et prête à en découdre malgré la pluie battante. Cette grande déconvenue météorologique n’avait pas eu raison de l’enthousiasme et de l’amour de la population pour le candidat numéro 3 qui était accompagné de son épouse et de sa fille unique, Ilona. Le stade manara – penitra vélodrome d’Antsirabe était plein comme un œuf du début jusqu’à la fin du meeting. La population était même déçue à l’idée du départ du candidat au terme de la rencontre. Ce fut presque avec regret que la foule a laissé partir le Président sortant.
« Cette journée est marquée à jamais dans mon cœur. Vous m’avez montré votre amour et je partage le même sentiment. Je reviendrai, dès que je serai élu pour faire un arrosage avec la population d’Antsirabe et apporter encore plus de développement », a promis Andry Rajoelina.  Il n’a pas manqué de rappeler les réalisations à Antsirabe depuis le début de son mandat à savoir la construction d’écoles, d’une université ou encore d’un centre de formation professionnelle pour les jeunes. A cela s’ajoute la distribution de titres verts au profit des agriculteurs. Andry Rajoelina envisage encore des projets tous aussi innovants pour la population locale. Cette dernière a scellé un « Velirano » avec le candidat afin de lui attribuer un maximum de voix lors du premier tour de la présidentielle le 16 novembre prochain.
Rendez-vous manqué à Mahanoro
Plus tôt dans la matinée, Andry Rajoelina devait rallier Mahanoro pour un meeting avec la population. A cause de la météo, l’hélicoptère qui transportait l’équipe de campagne a dû faire demi-tour. Néanmoins, le candidat a tenu à s’entretenir par visio – conférence avec la population déjà venue en masse au stade manara – penitra de Mahanoro. La déception se lisait sur les visages des habitants. Malgré ce rendez-vous manqué, les citoyens ont confié que cela n’enlève en rien leur amour pour Andry Rajoelina. « Nous espérons le voir une autre fois. Nous allons quand même voter pour lui quoi qu’il en soit », soutient une mère de famille. Ce n’est donc que partie remise.
Durant la journée de samedi, le candidat Andry Rajoelina a visité 4 Districts à savoir Ampanihy, Bekily, Beloha et Betioky dans la partie Sud du pays. Comme à chacun de ses déplacements, il était accueilli par une foule en liesse et totalement acquise à sa cause.  La population a célébré les réalisations du candidat durant son premier mandat tout en espérant un nouveau mandat avec lui afin de poursuivre les projets de développement. Le candidat numéro 3 poursuivra sa tournée de campagne ce jour et sillonnera d’autres Régions de la Grande île.
La Rédaction

Depuis l’annonce des résultats du Prix Paritana 2023, après l’exposition de Madame Zo, la première artiste malagasy à exposer ses œuvres dans le nouveau bâtiment de la Fondation H, sis à Ambatomena, est la vice-lauréate de la 7ème édition, Arilala Ophélia Ralamboson. Elle a ouvert officiellement son exposition baptisée « Balade mentale », samedi dernier. Il s’agit de sa première manifestation personnelle qui est une invitation à pénétrer dans le cerveau humain et à en explorer les tréfonds. « Présentée sous la forme d'un labyrinthe évoquant le cheminement de l'esprit, cette installation se compose d'un ensemble de pièces textiles de 60 mètres de longueur, d'un masque modelé à partir de pièces métalliques et d'un miroir. Le labyrinthe en tissu est l'œuvre centrale de l'exposition, immergeant le visiteur dans un univers abstrait. Les pièces en tissu sont découpées pour marquer les ruptures, les changements, les incohérences. Puis, elles sont rassemblées par des coutures fermées, suggérant les continuités entre les états d'âme, ou parfois ouvertes pour rappeler les cicatrices qui ont du mal à guérir », a annoncé l’artiste.
A la fois tangible et abstrait, le tracé est sinueux. Les motifs et dessins sont réalisés de manière intuitive et aléatoire. Le « bloc painting », une technique d'impression traditionnelle visant à reproduire en série des motifs pré-dessinés et gravés sur du bois, utilisés comme tampons, vient intégrer la répétitivité des motifs dans l'œuvre. Les visiteurs pourront également apercevoir un masque qui  symbolise les artifices, une façade que l'on se crée pour cacher une part d'ombre, un camouflage des insécurités, une parure (factice) pour s'intégrer (plus facilement) dans une société. « Le masque est en métal, une matière robuste mais qui rouille. J’ai orné de fausses perles et caché l'oxydation du métal avec de la peinture noire. Dans l'exposition, il est placé juste sous le miroir, face au visiteur, de manière à le soumettre à un choix : regarder devant lui, et s'arrêter sur le confort de porter métaphoriquement le masque, ou relever la tête et se regarder dans le miroir. Ce dernier, placé en hauteur, face au sol, a un double effet. Le premier effet étant la confrontation, l'affrontement avec soi-même, et le second représente un aspect plus gratifiant, à savoir la satisfaction de se voir et de se retrouver », communique-t-elle.
Pour couronner le tout, cette installation imaginée par Arilala Ophélia Ralamboson est accompagnée d'une musique conçue pour l’art de la thérapie, composée par la musicienne Môta Soa, et d'un texte poétique écrit par l'auteur Elie Ramanankavana. Le poème est découpé en sept extraits répartis dans l'espace, lesquels se lisent dans l'ordre choisi par le visiteur en fonction de son parcours. Cette exposition est à voir à la Fondation H jusqu’au 25 novembre.
Si.R

Redonner le sourire à des milliers d’enfants des rues. C’est l’ambition à travers la création du « Village des sourires » à Merimandroso, dans la Commune d’Ivato, au bénéfice de plusieurs centaines d’enfants des rues de la capitale. En plus du logis, ces derniers auront accès aux soins, à l’éducation et à des activités sportives. En outre, des cours et une formation professionnelle leur seront également donnés afin qu’ils puissent avoir l’opportunité de trouver du travail plus tard et être autonomes financièrement. La construction de ce village est l’initiative de l’association 2.400 Sourires. Cette dernière a été fondée par Romain et Séverine Lagache il y a trois ans. Son objectif consiste à changer la vie de 2.400 enfants des rues. A l’époque, ce chiffre symbolique a été tiré des statistiques du Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) et a été repris pour former le nom de ladite association. « Grâce à cette association, l’avenir s’annonce plus prometteur pour 2.400 enfants des rues à Madagascar. Ce projet offre à ces enfants la possibilité de grandir, d’apprendre et de rêver, en leur offrant un véritable village où ils pourront enfin trouver la sécurité, l’amour et l’espoir », selon les responsables.
Le projet, prévu être opérationnel d’ici 2025, permettra d’accueillir jusqu’à 250 enfants dans des conditions adaptées à leurs besoins au début. Chaque enfant se verra offrir une chance de se reconstruire, avec un foyer sécurisé, une alimentation adéquate et des soins médicaux essentiels. De plus, une chapelle sera érigée pour les messes et l’éducation religieuse de ces enfants. Depuis l’année dernière, la cantine, le local technique, la pouponnière, mais aussi une première partie du hall des sourires sont déjà bâtis. « Les travaux avancent. La construction du "Village des sourires" continue sans relâche. Notre équipe sur le terrain chemine, brique après brique, pierre après pierre pour qu'un jour nos Sourires puissent avoir un vrai foyer », ont-ils renchéri.
Rôle important des bénévoles et des partenaires
Au-delà de l’engagement des fondateurs et de leur équipe, l’association 2.400 Sourires bénéficie également du soutien précieux de bénévoles venus de l’étranger comme ESC Sans Frontières. Leur dévouement inlassable permet de concrétiser ce projet et d’offrir un avenir meilleur à ces enfants qui méritent une chance de s’épanouir. L’initiative de 2.400 Sourires a récemment été honorée par la visite de la ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Vavitsara Rahantanirina Gabriella, le 2 novembre dernier. Sa présence a témoigné de la reconnaissance officielle de ce projet qui vise à apporter un véritable changement dans la vie de ces enfants vulnérables. Enfin, l’association ne se contente pas de transformer la vie de ces enfants. Son rôle s’inscrit également dans une démarche de préservation de l’environnement. Avec la création d’une école forestière au sein du village, jusqu’à 100.000 arbres seront plantés chaque année, contribuant à préparer un avenir durable pour ces enfants, ainsi que pour sauvegarder la planète.
Nikki Razaf



Le drame s'est produit dans la nuit de jeudi dernier sur un ancien site de gisement aurifère et devenu actuellement celui de pierres industrielles et semi-précieuses d'Alatsinainy kely, Commune d'Analavory, District de Miarinarivo- Itasy. Huit personnes qui y ont exploré les entrailles du sol à la recherche de ces minerais, y ont trouvé la mort de façon tragique. Il s'y produisit un éboulement subit et les malheureux ont été rapidement ensevelis par les décombres. Un enfant figure dans la liste des victimes tandis que la plus âgée a 60 ans. D'aprês une source auprès de la Gendarmerie de ladite localité de l'Itasy, les malheureux ont un lien familial. L'un d'entre eux habitait à Ambalanirana, Tsiroanomandidy tandis que le reste le fut à Alatsinainy kely Miarinarivo.
Ce sont des proches des victimes qui ont informé l'adjoint au maire d'Alatsinainy kely sur le drame. A son tour, ce dernier a avisé la Gendarmerie.
Il a fallu toute la nuit de l'éboulement tragique du 1er novembre dernier pour une centaine de membres du fokonolona engagés aux côtés des éléments de la Gendarmerie dans les recherches et le déblai des ruines du gisement pour que des corps des victimes ont été finalement retrouvés puis dégagés de terre, vers 8h du matin le 2 novembre dernier.
Mais revenons aux faits. Les huit victimes auraient commencé à explorer les entrailles du sol, depuis déjà une semaine. Et elles étaient à la recherche d'une variété de minerai, de l'améthyste 16E, selon toujours la Gendarmerie. "D'après un renseignement, il était prévu que l'améthyste devrait sortir de terre le 1er novembre. Les victimes étaient donc toutes descendues sous terre le 1er novembre dernier pour les explorations. Or, le destin en a décidé autrement", confie cette source auprès de la Gendarmerie.
Après les diverses formalités, les obsèques ont eu lieu samedi dernier au caveau familial.
D'après un recoupement, ces personnes n'auraient aucun permis d'exploitation. Et que la parcelle qui fut le théâtre du drame serait une propriété privée. "La Gendarmerie n'a pu être informée à temps sur l'arrivée des victimes sur le gisement du fait de l'éloignement", explique encore la source au niveau de cette unité de Gendarmerie. Normalement, la tâche qui consiste à délimiter ou le carrotage de parcelles minières à explorer incombe à la police des mines. L'enquête suit son cours.
Franck R.



Les passionnés de la balle au panier seront gâtés cette fin de semaine dans la ville du Grand port.
La Fédération malagasy de basketball (FMBB), sponsorisée par Telma Madagascar et Mvola, et la ligue régionale de basketball Atsinanana ainsi que la Commune urbaine de Toamasina, organisent un tournoi FIBA 3 contre 3. La compétition est réservée pour les catégories U17 garçons, open (hommes et dames) et vétérans (hommes plus de 38ans et dames plus de 30ans).

Il s’agit du « Dunk Contest », qui sera au menu de « Game On 3x3 » les 11 et 12 novembre 2023. Ce sera une fête de basket  qui s’offrira aux mordus de la discipline sur l’esplanade de la Mairie devant la Gare Manguier. Un terrain de jeu officiel, spécial 3 contre 3, sera étalé sur place. Des éliminatoires de phase finale 3x3, match de gala, tirs à 3 points,  dunk, meilleurs spectateurs, stands d’exposition, snacks et animations Dj seront au menu des deux jours.

C’est un grand défi pour la ligue Atsinanana qui reçoit sa première compétition de basketball 3 contre 3. D’ailleurs, la ville du Grand port est la troisième ville qui reçoit l’organisation de FIBA 3x3 après Mahajanga et Antsirabe dont toute l’organisation était grandiose.
Ceci est donc un challenge pour la ligue Atsinanana. Comme son nom l’indique, diverses animations de concours de dunk et de tirs seront au rendez-vous pour relever encore plus le goût du spectacle.  Comme disent les responsables « see you in the streets...les dunkers …».
Rappelons que cette organisation entre aussi dans la politique de  vulgarisation de la FMBB, pour permettre aux talents cachés dans les quartiers de s’exprimer publiquement. D’ailleurs, l’inscription est ouverte pour tous les joueurs licenciés ou pas. Il suffit de former une équipe de quatre joueurs et de se lancer dans la compétition. Ce sera aussi une occasion de se frotter aux grands joueurs de la N1A, ce qui ne manque pas dans la ville de Toamasina avec des joueurs de l’Ascut, déjà finalistes pour cette année et déjà nombreuses fois champions de Madagascar. Mais le déplacement des grands joueurs de la Capitale dans la ville de Toamasina aussi n’est pas à écarter pour y participer et donner plus de goût à l’ambiance pourquoi pas pour passer le weekend aussi et de se passer de la zizanie politique de la Capitale tout en profitant de jouer au basketball ? L’inscription et  est déjà ouverte  sur la page Facebook de « Game On 3x3 ou au 034 26 385 23 (Azzedine)
Elias Fanomezantsoa

Lors de la réunion du conseil d'administration de Madagascar Airlines qui s'est tenue le 4 novembre dernier à la Tour Redland, un événement majeur s'est produit. Mamy Rakotondraibe, administrateur de longue date de la société, a été élu à la présidence du conseil d'administration, reprenant ainsi le rôle qu'il avait occupé par le passé. Cette nomination marque un tournant significatif dans l'histoire de Madagascar Airlines, une compagnie aérienne qui occupe une place de premier plan dans le secteur de l'aviation à Madagascar. La réunion du conseil d'administration a rassemblé les administrateurs clés de la société. Outre Mamy Rakotondraibe, étaient présents ou représentés Andry Rajaofetra et Andry Ramanampanoharana, tous deux administrateurs de Madagascar Airlines. Avec la présence de ces membres, le conseil a atteint le quorum requis selon les statuts de la société, ce qui lui a permis de délibérer valablement. L'absence d'élection d'un président du conseil d'administration a été évoquée au début de la réunion. En l'absence de Hajanirina Rakotomanga, qui aurait normalement occupé ce poste, Mamy Rakotondraibe a été désigné par ses pairs pour assumer cette responsabilité. En conséquence, il a été élu président du conseil d'administration pour la durée de son mandat d'administrateur. Mamy Rakotondraibe est une figure bien connue du monde de l'aviation à Madagascar. Avec une expérience significative dans l'industrie, il a déjà dirigé Madagascar Airlines en tant que président du conseil d'administration par le passé. Ses compétences, sa connaissance approfondie du secteur et son engagement en font un choix naturel pour ce poste crucial. En tant que président, Mamy Rakotondraibe aura la responsabilité de guider la stratégie de la compagnie aérienne et de prendre des décisions importantes pour son avenir. Son leadership éclairé est très attendu par les actionnaires et les parties prenantes de Madagascar Airlines.
Actionnaires impatients
Madagascar Airlines est une entreprise majeure dans le secteur de l'aviation à Madagascar, offrant des services de transport aérien nationaux et internationaux. La nomination de Mamy Rakotondraibe suscite de grands espoirs quant à l'avenir de la société et à sa capacité à maintenir un service de haute qualité pour ses clients. Cette décision prise lors du conseil d'administration de Madagascar Airlines marque un moment important dans l'histoire de la compagnie aérienne, avec l'ascension de Mamy Rakotondraibe à la tête de l'entreprise. Les actionnaires et les parties prenantes attendent avec impatience de voir les développements futurs sous sa direction éclairée. En outre, l'industrie de l'aviation à Madagascar connaît actuellement des défis et des opportunités uniques. Avec l'augmentation de la demande de voyages aériens, il est essentiel que Madagascar Airlines reste compétitive et continue d'innover pour répondre aux besoins changeants des passagers. Mamy Rakotondraibe apporte une expérience précieuse à ce sujet, et son rôle en tant que président sera crucial pour naviguer dans ces eaux mouvementées. En somme, la nomination de Mamy Rakotondraibe à la présidence du conseil d'administration de Madagascar Airlines marque le début d'une nouvelle ère passionnante pour la compagnie aérienne. Son expérience, son leadership et son dévouement sont des atouts inestimables pour l'entreprise, et tous les yeux sont tournés vers l'avenir pour voir comment Madagascar Airlines continuera à se développer et à prospérer sous sa direction. Les passagers et les passionnés de l'aviation ont de bonnes raisons d'être enthousiastes à propos de cette annonce, car elle promet de renforcer davantage la position de Madagascar Airlines en tant que leader de l'industrie aéronautique à Madagascar.
La rédaction

LA UNE DU 04/11/23

Publié le vendredi, 03 novembre 2023

A ne pas rater. Etant classée deuxième en Afrique, l'équipe nationale de basketball 3x3 est qualifiée pour la phase préliminaire Olympic Qualifier Tour (OQT). Il s'agit d'une étape obligatoire pour chercher le ticket de participation aux prochains Jeux Olympiques de Paris au mois de juillet 2024, indique la Fédération malagasy de basketball. Un ticket parmi les trois encore disponibles sera en jeu pour les Jeux Olympiques de Paris, à part les nations qui sont déjà qualifiées. Un autre tournoi sera programmé en juin 2024 pour le deuxième ticket en vue de la dernière qualification. Madagascar est déjà qualifié même si le titre lui échappe en Egypte.

Mémorable. Une cérémonie s'est déroulée hier au complexe sportif de la CnaPS, situé à Vontovorona pour marquer la fin du concours DFC Challenge et désigner le représentant de Madagascar au niveau international. Cet événement a rassemblé des centaines d'enfants et de jeunes venant de toutes les Régions de Madagascar. Ces jeunes innovateurs ont participé à cette compétition qui encourage la résolution de problèmes et le partage d'expériences pour un monde meilleur. 

40 millions d'ariary ! C'est la somme totale que les bandits ont dérobé à une famille d'Anosiala, Ambohidratrimo, lors d'un assaut armé qu'ils ont perpétré dans la nuit de jeudi dernier. Leur victime : un fonctionnaire domicilié dans cette localité mais dont le service  dans lequel il travaille n'a pas été révélé.  Mais à la différence de toutes les autres attaques de bandits que la Capitale et ses environs aient connu au cours de ces deux dernières années, celle survenue en milieu de journée, mercredi dernier, a été aggravée par la ruse diabolique des assaillants pour tromper les locataires et se frayer plus facilement un passage à leur domicile.

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Editorial

  • La lutte continue !
    « Orange Day ». La journée internationale de sensibilisation de la lutte contre les violences basées sur le genre se tenait ce lundi 25 novembre. Une mobilisation générale sous la houlette de la Première dame, Mialy Rajoelina, visant la conscientisation sur les méfaits de cet anachronique délit, a eu lieu dans tout Madagasikara, au Kianjan’ny hira gasy, Ampefiloha pour Antananarivo. Etant entendu qu’il s’agit une Journée mondiale, des mouvements de sensibilisation parfois même de contestation contre les violences basées sur le genre ont été constatées à travers les grandes villes du monde. Paris, New-York, Londres et bien d’autres ont vu des manifestations logées à la même enseigne. Les femmes, de toutes les couleurs, de race, de religion, ont battu les pavés des grandes capitales pour dénoncer ce qu’il convient d’appeler les féminicides. Une nouvelle terminologie pour immoler sur l’autel de la justice humaine cette honteuse et désuète pratique.A Madagasikara, l’inusable…

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