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Toliara - Siteny à côté de la plaque !

Publié le vendredi, 01 septembre 2023

Le meeting tourne au fiasco. La déclaration de candidature de Siteny Randrianasoloniaiko à Toliara a été un échec alors qu’il avait annoncé un show éblouissant et mémorable. Seul le concert des artistes a trouvé grâce aux yeux de l’assistance. Le spectacle de chants et de danses a éclipsé la vacuité du discours du député candidat à l’élection présidentielle. 

Lors de ses premières allocutions, il y a quelques mois, Siteny se présentait comme le grand défenseur de la décentralisation effective. Comme il n’était pas convaincant, il veut apparaître aujourd’hui comme le fils spirituel du Président Philibert Tsiranana. Cette comparaison ne plaît à personne car le député n’est pas un bâtisseur. Ce n’est pas parce qu’il a été adoubé par un Parti-Social-Démocrate (PSD) en perdition qu’il peut prétendre symboliser l’héritage du Père de l’Indépendance. Lors du rassemblement à Toliara, Siteny aurait pu mettre en valeur le logo et les couleurs du PSD, aux côtés du portrait de Philibert Tsiranana mais il ne l’a pas fait, par ingratitude et maladresse. Il a froissé les partisans du PSD en persistant à faire son show au nom du Mihava Tour.   

Les députés et sénateurs de la majorité ont effectué une déclaration devant la presse hier. Une occasion pour les parlementaires pro-Orange de montrer, d’une part, qu’ils sont toujours en rangs serrés derrière Andry Rajoelina à quelques encablures de la fin du mandat de celui-ci. Une occasion également pour ces parlementaires d’unir leur voix afin de solliciter la candidature de l’actuel locataire d’Iavoloha à un second mandat. Près de 111 députés et 16 sénateurs appellent de leurs vœux cette candidature. 

La une du 01 sptembre 2023

Publié le jeudi, 31 août 2023

 

Le pays hôte des Jeux des îles de l’océan Indien, qui se déroulent actuellement à Madagascar, mène provisoirement au nombre de médaille sur les sept pays participants. La Grande île reste en tête du classement avec 215 médailles avec le même nombre de médaille que l’île Maurice mais les Malagasy comptent 92 médailles d’or, 55 d’argent et 68 de bronze.  Les Mauriciens, classés en deuxième position, ont jusqu’ici 71 médailles d’or, 72 d’argent et 72 de bronze.  La Réunion complète provisoirement le podium avec 188 médailles dont 66 en or, 63 en argent et 31 en bronze.

 

Pour le moment, le nageur Jonathan Raharvel est l’athlète le plus médaillé de cette édition avec quatre médailles pour lui seul dont trois en or (100m Pap, 200m Br, et 50m Bra)  et une de bronze (relais 4 nage mixte par équipes)

 

Pour la journée d’hier, Madagascar a mis la main sur neuf médailles d’or. Deux pour la discipline pétanque doublette hommes et dames. En pétanque, Madagascar a remporté la médaille d’or en double hommes face à l’île Maurice (13-04) et les dames aussi ont dompté les Réunionnaises (13-05) en finale.

 

Une seule médaille d’or en athlétisme grâce à Namahako Cynthia,  la reine du 400m dames de l’océan indien. En réalisant le meilleur chrono  55.76, elle a obtenu sa deuxième médaille d’or après celle du 400m haie du mercredi 30 août. La course a connu une domination malagasy avec Koloina Raherinaivo en médaille d’argent (56.65) et Ny aina Randrianjafy  en bronze avec  (56.77).

 

Dans les autres épreuves, Madagascar a gagné trois médailles d’argent et trois de bronze.  Dans les 10km marche hommes Théophile Ramaroson se contente de la médaille d’argent avec  50.04.69  au chrono, derrière le Mauricien Eric Jérôme 48.24.69.

 

En javelot, c’est le bronze pour Zia Pestine qui réalisait 34 m 97, derrière Vanessa Colin 45 m 22 et la médaille d’or pour Selma Sharon 47 m 47.

 

Pareil chez les hommes, Madagascar se contente de la médaille de bronze avec 48 m 22 derrière le Mauricien Patrick Boulle 58 m 09 et le Réunionnais se pare de l’or avec 64 m 92.

 

En finale du triple saut hommes, Andrilova Heritiana finit troisième avec 15 m 06 derrière le Mauricien Patrick Alexandrer  Gentil 15 m 70 et le Réunionnais Yann Andrianasolo 15 m 28.

 

Dans le para athlétisme sourd 200 m dames, Nancy Carmen Andrianarindra profite à la disqualification de la Réunionnaise Shanice Ahmed Colo favorite de la course. Elle  a gagné l’or avec 27.81  devant la Mauricienne Lokheeram Shleysha 29.91 et Alamelle Laureen  de la Réunion 29.98.

 

En tennis double mixte, Toky et Mialy Ranaivo se sont inclinés en finale face à la Réunion et se parent de la médaille d’argent.

 

Belle moisson de médaille pour les karatékas malagasy. En kumite individuel, les karatékas malgaches remportent 5 médailles d'or: Karine Razafimboninahitra, (-61kg), Jessica Raboanaritompo (-68kg), Nancy Ravahamanantsoa (+68kg), Jean Raherimahaleo (-75kg), Patrick Rijaharitiana (-84kg). En kick boxing, sur 15 combattants alignés en demi-finale au CCI Ivato, 14 ont validé leur place pour les finales ce jour au CCI Ivato.

 

Elias Fanomezantsoa

 

 

 

 

L'on parle de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Mais il est plutôt plus explicite de parler d'un acte de banditisme barbare. Cette scène, à la fois triste et sanglante, s'est déroulée dans la journée du 30 août dernier dans le quartier du Grand Pavois à Antsiranana où un homme de 47 ans tombait sous des coups de couteau, notamment au niveau de son abdomen, le fait de deux bandits.

En effet, une mère de famille, une septuagénaire, en empruntant une ruelle du quartier, avait été  attaquée par deux individus. Ces derniers avaient dépouillé la dame de ses bijoux.

 Face au danger qui a guetté la septuagénaire, son fils qui a vu la scène de l'agression, a voulu défendre sa mère. Malheureusement pour le quadragénaire, les deux agresseurs s'étaient retournés contre lui, n'ayant pas hésité à le poignarder, en visant notamment le ventre avant qu'ils ne prennent la fuite.

 Transporté d'urgence au CHU de Tanambao, le malheureux a succombé des suites de ses blessures, un peu vers midi, le même jour, et ce, en dépit des tentatives des médecins de cet hôpital pour le sauver.

 Les auteurs de l'acte n'ont pas été identifiés, mais la mère de famille a affirmé s'être souvenue de deux individus qui ne viennent pas du Nord.

 Après un constat, le corps de la victime a été transporté dans la case de sa mère sise à Grand-Pavois.

La dépouille mortelle a déjà subi les préparatifs nécessaires avant l'enterrement.

Les éléments de la Police nationale accompagnés par le médecin ont procédé à un constat.

Le commissariat de Police du Grand Pavois est chargé de l'enquête.

Franck R.

 

 

 

Baskar Gokani Damodar et Jatilal Nitine. Ce sont les deux opérateurs indiens à qui le Pôle anticorruption (PAC) a infligé une lourde peine de 48 mois de prison ferme  et une amende de 33 milliards Ar pour chacun. Cette somme correspond à la somme que les accusés auraient dû verser à la caisse de lEtat.

 

Ce verdict rendu par le PAC, lundi dernier, concerne un blanchiment dargent et une fraude fiscale perpétrés par ces deux opérateurs indiens qui apparemment ne sont pas à leurs premiers méfaits et coup bas à lendroit de lEtat malagasy. Ils ont fait la Une  des faits divers des journaux tout dernièrement à propos dune fraude douanière lors dune affaire dimportation dhuile alimentaire. Afin de payer moins de taxe, ces opérateurs indiens avaient fait une fausse déclaration. Le pot aux roses fut découvert suite à une contre-expertise réalisée par lagence de contrôle de la sécurité alimentaire et de la qualité de la denrée alimentaire.

 

Concernant le blanchiment dargent et fraude fiscale, cest à travers la société de Baskar Gokani Damodar, Vrundaval SARL, que ces soi-disant « investisseurs » effectuent leurs méfaits en important des motos, huiles et dautres marchandises, le tout avec une fausse déclaration au  niveau de la douane malagasy.

 

Le PAC a également condamné la société Vrundaval à une  forte amende de 165 milliards Ar. Avec cette affaire de blanchiment dargent et fraude fiscale, ces opérateurs économiques indiens paient au total une amende de 200.000.000.000 Ar.

 

A lendroit deux, le PAC a émis un mandat darrêt qui sera transmis à la Police et à la Gendarmerie et à charge à ces dernières de lancer un avis de recherche si ces accusés auraient pu quitter le territoire malagasy bien avant la tenue de ces procès.

 

La rédaction

 

 

Marc Ravalomanana, Siteny Randrianasoloniaiko, Hery Rajaonarimampianina, Masy Goulamaly, Tahina Razafinjoelina, Andry Raobelina, Hajo Andrianainarivelo et Paraina Auguste, tous candidats à la prochaine élection ont signé le 29 août 2023 une déclaration commune par laquelle ils contestent la candidature du Président Andry Rajoelina et appellent la population au soulèvement. Ont-ils mesuré les conséquences de leur action qui contient plusieurs atteintes à la loi, en plus d’anéantir leurs engagements pris dans la charte de bonne conduite des acteurs politiques ?

Tout d’abord, leur démarche qui consiste à exclure le Président Andry Rajoelina du scrutin présidentiel relève de la discrimination. Elle viole l’article 6 alinéa 2 de la Constitution. Ensuite, les huit candidats sont passibles de poursuites judiciaires en raison de manœuvres et actes de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à provoquer la haine du Gouvernement malgache et à enfreindre les lois du pays. Ce sont des infractions prévues et réprimées par l’article 91 alinéa 2 du code pénal.

 Ces huit candidats hors-la-loi ne peuvent pas s’ériger en juges de la nationalité, ni encore moins s’autoproclamer censeurs des dossiers de candidature pour l’élection présidentielle. Au-delà de leurs agissements répréhensibles, leur action porte en elle les germes de troubles pré-électoraux et d’une crise post-électorale, dont personne ne veut.

 

Nos compatriotes redoutent une dégradation du climat politique car ils savent qu’ils seront les premières victimes des dommages collatéraux. Ils ont suffisamment souffert. La controverse autour de la nationalité du Chef de l’Etat est loin de leurs préoccupations quotidiennes. Pour eux, le Président Andry Rajoelina est un Malgache portant un nom malgache, s’exprimant en malgache et défendant les valeurs et les intérêts malgaches. Par-dessus tout, nos concitoyens retiennent qu’il a distribué des repas et du riz aux pauvres, en plus de bâtir des stades, des routes, des écoles, des collèges, des lycées, des universités, des barrages, des centrales solaires, des tribunaux, des prisons, des églises, des usines, des hôpitaux et des centres de santé de base.

 Faut-il par ailleurs rappeler à ces prétendants à Iavoloha l’existence de l’article 208 de la loi organique du 11 mai 2018 relative au régime général des élections et des référendums (LORGER) qui dispose que: « Toute personne exerçant une haute fonction ou un haut emploi civil et militaire de l’Etat, candidate à une élection n’ayant pas démissionné, conformément à l’article 6 de la présente Loi organique, encourt la disqualification. Il en est de même pour tout candidat à une élection qui fait des déclarations publiques tendant à jeter le discrédit sur l’administration électorale ou les institutions judiciaires, ou tendant à exercer une pression sur elles avant qu’elles ne statuent ».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Marc Ravalomanana est un des signataires de la déclaration commune du 29 août 2023. Il considère que le Président Andry Rajoelina ne peut pas remplir ses obligations découlant de la Constitution, notamment la défense de la souveraineté nationale.

 

 

 

L’ancien Chef de l’Etat a perdu une bonne occasion de se taire.

 

 

 

En effet, il y a quasiment 13 ans jour pour jour (plus exactement le 28 août 2010), Marc Ravalomanana a été condamné aux travaux forcés à perpétuité par contumace pour le massacre, avec l’appui de mercenaires étrangers, d’une trentaine de manifestants survenu le 7 février 2009 à Ambohitsorohitra. Il s’est enfui le 17 mars 2009. Compte tenu de ses crimes de sang, commis avec l’aide de mercenaires étrangers, et qui ont donné lieu à sa condamnation rendue au nom du peuple malagasy, Marc Ravalomanana est très mal placé pour se poser en défenseur de la souveraineté nationale. Marc Ravalomanana a également ignoré la souveraineté nationale lorsqu’il a conclu, en juillet 2018 et en catimini, une convention de concession avec le groupe Daewoo Logistics portant sur 1,3 million d’hectares.

 

 

 

Heureusement que nos compatriotes n’ont pas la mémoire courte. Ils ont compris que Marc Ravalomanana est le véritable ennemi de la souveraineté nationale. 

 

 

Une catastrophe a été évitée de justesse hier au niveau de la réserve d’Ankarafantsika. En effet, un incendie s’est déclaré de l’autre côté du parc, vers 11h du matin. Le lieu de la catastrophe est seulement séparé du parc par la route nationale n° 4. Cette dernière a fait office de coupe-feu naturel et a retardé la propagation des flammes vers la zone de réserve naturelle.

 

En plus de cela, grâce à une intervention rapide et la mobilisation sur place des éléments de sauvetage, le feu a été maîtrisé à temps. L’action a été menée par les agents forestiers et ceux de l’organisme Madagascar National Parks, mais également des personnes de bonne volonté. En tout, 36 personnes se sont donné la main pour circonscrire les flammes.

 

Le système d’alerte au feu précoce a donc joué son rôle. Celui-ci a été mis en place après les graves incendies de forêt qui ont touché la Grande île l’année dernière. L’origine du sinistre n’a pas été déterminée jusqu’ici.

 

La vigilance est de mise

 

Nous sommes actuellement en pleine saison sèche et les départs d’incendie sont faciles. En effet, au vu de la nature des forêts dans la Région de l’ouest de l’île, les buissons et la végétation prennent rapidement feu à la moindre étincelle.

 

Cet incident d’hier rappelle que la dévastation de nombreux hectares de forêt est le plus souvent causée par un départ mineur de feu. En outre, le parc d’Ankarafantsika qui n’a pas été véritablement touché par des incendies de grande envergure en 2022 se remet doucement des anciennes catastrophes. En cas d’incendie de forêt, une régénération de la biodiversité de la réserve pourrait ainsi être anéantie en quelques instants.

 

Ce parc est le dernier rempart de la plaine rizicole de plusieurs Districts situés dans la Région de Boeny, en les protégeant de l’ensablement. Une disparition de cette forêt entraînera des pertes considérables et mettra en péril la ville la plus proche, à savoir Marovoay, faisant partie des greniers à riz du pays.

 

Nikki Razaf

 

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 31 août 2023

 

Vendredi 1er septembre

 

Mario

 

Une ambiance tropicale assurée à travers un répertoire dominé par du rythme à gogo. En matière d'animation, Mario, l’interprète du tube « Folaka lakile », originaire d'Andapa, est un grand habitué de la scène et occupe une grande place dans la famille des artistes. Il entamera un grand cabaret dans l’antre du Glacier, Analakely, ce soir à partir de 21h. Maîtrisant de multiples styles musicaux, allant du « salegy » au slow, en passant par le genre « coupé décalé » et la biguine..., le jeune artiste est capable d'offrir une soirée survoltée et explosive. A apprécier sur place ses nouveaux tubes tels que « Niny », « Mafana » ou encore « Tapaka tady ».

 

Luk et Mahery

 

Les deux voix masculines les plus adulées par les noctambules de la Capitale refont l’expérience. Et oui, l’harmonie entre ces deux chanteurs, membres du groupe Johary, semble bien fonctionner. D’ailleurs, on ne change pas une formule qui gagne. Voilà pourquoi Luk et Mahery renouent à nouveau avec le chemin du cabaret. Pour ce vendredi qui s’annonce très joli, c’est dans la salle de Santilo, située à Anosizato, que le duo retrouvera les noctambules, ce soir à partir de 19h. De la bonne musique aux rythmes de la variété malagasy et des prouesses vocales sont à prévoir.

 

Rootsman

 

Réunir les noctambules et fêtards de la Capitale autour d’un verre et des amuse-gueules, tel est le pari que s’apprête à réussir la discothèque Djembe, sise à Antaninarenina pour une soirée qui s’annonce au couleur Roots. Cette soirée sera animée l’un des artistes préférés de la jeune génération qui n’est autre que  Rootsman. Le chanteur promet un show de pure folie avec la reprise de ses plus grands succès comme « Darling », « Mama », « Senorita », «  Tsy hameko »… Avis aux inconditionnels de cet artiste. Direction Antaninarenina, ce soir à partir de 22h !

 

Manoa & Elsie

 

Elsie et Manoa Ralisiarimanitra réunis sur la même scène. Ce duo de voix féminine fera des étincelles ce soir. Elles se retrouveront pour reprendre les meilleurs chansons malagasy et étrangères dans la salle Le quartier, située au By-Pass. Au menu, outre des duos concoctés par elles, il y aura également des interprétations de leurs propres compositions. Rendez-vous pour un voyage musical inédit, ce soir à partir de 19h 30. Un vendredi joli à ne pas rater !

 

Samedi 2 septembre

 

Samoëla

 

Après avoir enflammé le Village Culturel d’Andohatapenaka, hier soir, le détenteur de « Bandy rangahy », va pour un autre rendez-vous. Samoëla et ses musiciens se produiront cette fois-ci à Havoana Land, Imerikasinina Ankouna, ce soir à partir de 18h. Ce sera une énième  occasion de se retrouver pour les amoureux du « Vazo miteny, en particulier ceux résidant aux alentours d’Ambohimangakely et d’Ambohimalaza. Cette soirée sera aussi l’occasion pour Samoëla de chanter sur scène le nouveau titre « Ampio lasary » qui cartonne déjà dans les ondes de la Capitale. Durant ce concert, le chanteur et toute son équipe effectueront à nouveau des ventes de clé Usb audio, CD audio et T-shirts. 

 

Mbola Talenta

 

Il se produit souvent sur scène avec d’autres artistes ou des jeunes talents. Mais cette fois, ce ne sera pas le cas. Mbola Talenta va effectuer un show en solo dans une soirée baptisée « Open Mic Night », ce soir à partir de 19h à l’Hôtel Panorama, Andrainarivo. Sans doute armé de sa guitare, il va reprendre quelques répertoires folk malagasy. Par ailleurs, l’artiste interprètera des titres qu’il affectionne, en particulier des morceaux « kalon’ny fahiny ». Il va également jouer du jazz et de la country music. En outre, les spectateurs pourront aussi partager la scène avec lui. En tout cas, la monotonie ne sera certainement pas au rendez-vous. A ne pas rater sous aucun prétexte !

 

Si.R

 

 

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Editorial

  • Tous azimuts
    Diplomatie tous azimuts ! Madagasikara inaugure en grande pompe sa première ambassade au royaume chérifien du Maroc. Le rétablissement des relations entre les deux pays datait de 15 août 1994 après que les nouveaux dirigeants de la Grande île se démarquaient de la position de la République démocratique du régime Ratsiraka de l’époque et optaient pour le camp du Maroc dans le conflit opposant le Maroc et le Sahara occidental. Depuis, les relations entre les deux peuples se renforcent. En 2006, le Maroc ouvre son ambassade à Antananarivo. Dix ans après, en 2016, le roi Mohamed VI effectuait une visite officielle à Madagasikara que les observateurs qualifient « d’historique ».

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