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Le 10ème dialogue de partenariat entre Madagascar et l’Union européenne, qui s’est tenu hier au Palais d’Etat d’Iavoloha, aura marqué, entre autres, les acteurs du secteur tourisme et du voyage à Madagascar. En effet, en plus des sujets sur les infrastructures routières, les financements et autres partenariats diplomatiques, le point sur les mesures sanitaires aux frontières a aussi été souligné par les représentants de l’UE.

La lutte contre le piratage ne se limite pas sur le territoire de la Grande île. Durant la célébration du dixième anniversaire de la Brigade anti-piratage (BAP), une coopération entre cet organe et l'Organisation internationale de police criminelle (Interpol) vient d'être ratifiée  hier à Mahamasina afin de renforcer la lutte contre le piratage. En effet, cette organisation internationale qui partage des conseils pour poursuivre les criminels transnationaux est actuellement en accord avec la BAP pour lutter contre les fraudes et les piratages des œuvres malagasy.

La 21ème Assemblée générale des jeunes de l’église luthérienne de Madagascar (FKTLM) a officiellement démarré hier à Mahajanga. A cette occasion, le Président Andry Rajoelina et son épouse ont fait le déplacement pour assister au culte religieux qui s’est tenu au village touristique, dans la ville des fleurs. 

Lundi dernier, dans l’après-midi, les Forces de défense et de sécurité composées à la fois des éléments de la Gendarmerie nationale et de l’Armée, se sont affrontées à une bande de dahalo à Kelimotraka, dans le District de Mandoto. Les assaillants venaient de razzier du bétail dans la localité de Tsiroanomandidy. L’accrochage était tel que même le capitaine commandant la compagnie de Gendarmerie de Mandoto n’a pas échappé au dangereux piège.

La une du 09 août 2022

Publié le lundi, 08 août 2022


Le sang a giclé. La localité de Marovoalavo à Beforona, District de Moramanga a été le théâtre d’un accident de minibus, vers 10h du matin hier, sur la RN2. En effet, le minibus Mercedes-Benz Sprinter de la coopérative COTRAMAD, qui faisait route sur Toamasina, a fait une sortie de route avant de basculer au fond d’un ravin à ce point kilométrique. Le bilan fut lourd : 10 passagères, puisqu’il s’agit des femmes, ont trouvé la mort. Si 8 d’entre elles le furent sur place, deux autres ont succombé des suites de leurs blessures à l’hôpital de Moramanga où elles étaient admises. “La dixième victime a rendu l’âme vers 16h après son évacuation, et malgré les ultimes tentatives des médecins pour la maintenir en vie”, déclare le capitaine commandant la compagnie de Gendarmerie à Moramanga. Ce qui fait que sur les dix   personnes blessées, parfois graves dans cet accident, elles sont soumises à des soins, à la fois à l’hôpital de Beforona (3), le reste à Moramanga, soit 7.
Les victimes sont toutes des membres d’une association féminine de l’église FLM (Fiangonana loterana malagasy). Elles étaient sur le point de regagner justement Toamasina où elles étaient domiciliées car elles rentraient juste d’un synode à Fianarantsoa. Et pourtant, le Sprinter qui les a transportées a roulé en convoi à côté d’autres minibus. Mais le destin en a décidé autrement. Quant à l’origine du drame, elle relèverait plutôt d’un problème technique, du moins à ce que notre source auprès de cette compagnie de Gendarmerie nous l’avait expliqué. “Le véhicule aurait connu un problème de frein juste au moment où il a entamé la descente sur une chaussée à forte pente assortie à une courbe. Car les freins auraient subitement lâché juste au niveau de ce virage”, renchérit notre interlocuteur de la Gendarmerie.
Pour l’heure, l’enquête sur cette affaire est au point mort. En cause, le chauffeur lui-même a été hospitalisé, et ne serait pas en mesure de s’expliquer devant la Gendarmerie. De plus, c’était plutôt les opérations de secours et d’évacuation des victimes, qui ont primé, hier. “Bien entendu, les proches des victimes ont leurs mots à dire. Puisqu’il y a mort d’hommes, la coopérative et le propriétaire du véhicule devront s’attendre aux procédures d’enquête, selon la loi en vigueur, une fois les enterrements et autres soins des blessés terminés”, conclut cette source au niveau de la Gendarmerie.
Franck R.
 


La Commune rurale de Bongatsara a remporté la première édition .Toujours dans le cadre de ce tournoi Ankadivoribe, l'hôte de la finale aura son propre terrain.  Le chantier débutera d'ici un mois. "Le terrain sera composé d'un terrain mixte de basketball, volley-ball et handball avec clôture et jardin. Il est important de favoriser et soutenir les jeunes. C'est par passion s'ils sont venus assister en masse à cette finale. Cela entre aussi dans le cadre de la réalisation du Velirano numéro 13", d'après le Secrétaire d'Etat chargé des nouvelles villes dans son allocution.
C'est la Commune rurale de Bongatsara, située sur la RN7, qui a remporté la première édition de l’Atsimondrano Champion’s League (ACL) Habibo group, organisée par Atsimondrano Action Sport dirigé par le député Andry Ratsivahiny. Le club AS Sainte-Anne, issu de ladite Commune, qui a obtenu les quatre millions d'ariary mis en jeu. En effet, ce dernier a battu l'équipe de Tanjombato- Centre sur le score éloquent de 3 buts à 1. L'AS Sainte-Anne à déjà pris le large dès la première période en menant au score 1-0.
Au retour des vestiaires, plus déterminée et vue comme "outsider" de la finale, la formation de Bongatsara enfonce le clou, après une égalisation d'un but partout. Le score était alors de 2 buts à 1 au temps réglementaire. Mais l’AS Sainte-Anne a continué de trouver le chemin du filet durant le temps additionnel et a donné la victoire à sa Commune. Score final, 3 buts à 1. La Commune rurale de Bongatsara a donc reçu comme cadeau des matériels informatiques et une imprimante de la part des organisateurs en guise de reconnaissance pour avoir mettre au grand jour ses champions. Quant au club Tanjombato- Centre, il s'est consolé avec la somme d’un million d'ariary et deux cent mille pour Internazional Andranonahoatra et ZHA Fenoarivo.
Après ce succès, le député d'Atsimondrano a déjà promis qu’une deuxième édition aura lieu l'année prochaine. Puisque c’est un tournoi inédit dans le pays, la finale a été honorée par la présence des membres du Gouvernement à l’instar du MEF, Min Santé, SENVVH, FOP, MEAH.
" On tient à remercier vivement le Président de la République, Andry Rajoelina qui nous a permis de départager les dix millions d'ariary comme lot et prime durant la phase éliminatoire de chaque zone et durant cette poule des AS », a évoqué Andry Ratsivahiny.
Avant la finale qui s'est terminée par un feu d'artifice, un match de gala a été tenu entre les élus et les nommés qui s'est soldé sur le score de parité d'un but partout.
Elias Fanomezantsoa


Qui a dit que la danse urbaine rimait avec la gente masculine ? Voilà maintenant depuis dix ans qu’un groupe de danse 100 % féminin joue dans la cour des grands. Il s’agit de « Dih’Max », six filles soudées, rassemblées autour de leur passion. Ce crew est né en 2013 sous l’impulsion de Jiré (fondateur et leader) et Prisca (co-fondatrice et leader) dont le but consiste à rassembler les accros de la danse, mais également les meilleurs danseuses. Au départ, le groupe était composé de jeunes garçons et filles. Cependant, après le départ de quelques membres, les deux fondateurs ont décidé de continuer l’aventure avec uniquement des filles. Actuellement, elles sont six danseuses, à l’instar de Mickaëlla, Fifih, Victoria, Lunia, Ivy et Prisca.  La détermination à aller de l’avant de ces consœurs va les emmener à ouvrir les portes à de nouvelles recrues.
Après cette nouvelle étape, les filles dirigées par Prisca et Jiré - le seul homme du groupe - le manager, ont dû se remettre au travail. Et grâce à leur talent et aux efforts qu’ils ont fournis, le groupe a eu le privilège de collaborer avec de grands artistes de la Capitale - si l’on ne cite que la chanteuse évangélique Faratiana Church - et d’être les invités d’une émission culte diffusée sur une station de télévision reconnue à Antananarivo. Récemment, le groupe Dih’Max a effectué un casting pour agrandir la famille et prévoit également de monter un autre groupe de danse masculin. Selon Prisca, d’autres castings sont à venir prochainement pour ceux qui désirent faire partie de Dih’Max. Cette fois-ci, la candidature est ouverte autant aux jeunes filles qu’aux jeunes hommes.
« Street jazz »
En plus d’exhiber son talent, ce groupe a pour ambition de contribuer à son niveau pour une vulgarisation effective de la danse à Madagascar, ceci en agrandissant son école de danse UDAC sise à Anosy, au Bazy Studio qui enseigne le rythme « Street jazz ». Il s’agit d’un espace où tous désireux d’apprendre ou ceux qui veulent tout simplement garder leur forme pourraient y prendre part. Les cours se tiennent généralement tous les samedis. Le public, surtout les jeunes, sont sollicités à venir en cette période de grandes vacances. A travers différents styles et mouvements enseignés, chaque participant deviendra un danseur accompli et va progresser au fur et à mesure des séances, notamment grâce à la pédagogie de Prisca et ses amies. Tout cela est illustré dans les nombreuses vidéos partagées sur le la page Facebook de Dih’Max.
A titre de rappel, la danse « Street jazz » est une danse urbaine qui s’inspire du « Modern jazz » et du hip-hop. Celle-ci utilise la musicalité et les changements de rythme pour créer des chorégraphies dynamiques. Bref, si vous avez envie d’apprendre à danser comme les danseurs qui vous font rêver à la télévision, ce cours est fait pour vous. Les différents niveaux proposés permettent une accessibilité à toutes et à tous.
Dévouement
Certes, la danse « Street jazz » est le rythme le plus pratiqué par le groupe Dih’Max. Toutefois, cela ne l’empêche pas de se baigner également dans d’autres pas de danse ou la « Fusion ». Dans cette cadence, les membres du crew ne cachent pas leur envie de faire plus. Vu leur jeunesse et leur capacité à maîtriser tous les types de danse, cela va certainement les conduire à se distinguer davantage auprès des amateurs de danse à Madagascar et même à l’extérieur, étant donné que ces danseuses ont comme rêve de se produire sur une scène internationale. Vous pensez qu’on leur jette juste des bouquets de fleur. Sûrement pas ! Allez voir leurs compétences sur les réseaux sociaux et sur « YouTube » et vous serez émerveillés en découvrant les talents de ce groupe.
Sitraka Rakotobe

10 août, une aubaine… 

Publié le lundi, 08 août 2022

Le pays rendra hommage aux victimes de la tuerie de Mandrimena (Andoharanofotsy) demain. En effet, le 10 août 1991, des dizaines voire des centaines, certains avancent même des milliers de concitoyens, ont été abattus de sang-froid par des éléments de la Garde présidentielle, à l’époque de l’Amiral Didier Ratsiraka, sur le terrain vague de Mandrimena, entre Andoharanofotsy et Iavoloha.
Les dirigeants de la lutte populaire  issus du « Hery velona Rasalama » conduits par feus Zafy Albert et Andriamanjato Richard décidèrent sur la place du 13 Mai, ce 10 août 1991, d’aller avec des milliers de manifestants rejoindre le Palais d’Iavoloha pour entamer une concertation directe avec le maitre des lieux à savoir Didier Ratsiraka, Président de la République démocratique, et ce afin de dénouer la crise qui a trop duré dans le cadre d’un dialogue direct. Seulement, l’affaire a mal tourné. Les éléments d’élite de la GRP, survolant par hélico, ont tiré à balles réelles sur les manifestants venus nombreux. Desmorts partoutgisant de part et d’autre de la route menant au Palais dont le bilan fut difficile à établir jusqu’alors sans compter des centaines de disparus. Evidemment, ce massacre « gratuit » que certains observateurs n’hésitent pas à le qualifier de génocide, signa l’arrêt de mort du régime socialiste de l’Amiral rouge.
Alors que la Nation toute entière doit commémorer dans la dignité et dans le recueillement total le souvenir douloureux de ces innocentes victimes, les dirigeants de l’Opposition au sein du RMDM en profitent pour rameuter une foule du moins pour se faire valoir. En mal d’arguments capables d’intéresser et de drainer une foule, le pasteur Tsarahame et consortsn’ont aucun scrupule de saisir l’occasion sur le plateau d’organiser des manifestations ou de se faire intéresser. Profiteurs de la mort des autres, « mpanararao-paty », ils ne se gênent point d’ « embellir » leur image dans la mémoire des victimes du 10 août.
Toutefois, il importe de mettre les points sur les « i » et tenter de clarifier certaines zones d’ombre. Il y a trop de crimes ou massacres non élucidés dans ce pays qui est le nôtre.  Bien avant cette tuerie du 10 août, il existe d’autres qui restent dans l’ombre. Entre autres, l’assassinat du colonel Richard Ratsimandrava. Le procès du siècle, une grande montagne qui, au final, a accouché une souris. Les vrais auteurs n’étaient même pas inquiétés. Le massacre du 7 février 2009 à Antaninarenina demeure jusqu’à présent flou. Des crimes odieux comme celui d’Antsakabary attendent d’être éclaircis.
De ces tragiques circonstances au cours desquelles des vies humaines succombèrent, il est étonnant et consternant de devoir constater que les vrais responsables, les criminels de grand chemin, n’ont pas été identifiés de façon formelle. Il semble qu’il existe quelque part une volonté à jeter leurs horribles méfaits dans les abîmes profonds de l’oubli et de l’indifférence. Le fait même de les évoquer relève, parait-il, du tabou. Il y a quand même des morts d’hommes ! En tout cas, à force d’étouffer ces brûlants dossiers et bien d’autres, le pays entretient le concept de l’impunité.
Que la mémoire du sang versé de nos aînés, d’une circonstance ou d’une autre, nous apprend à respecter la valeur et la dignité de l’Homme.
Ndrianaivo


Saturation problématique. C’est dans l’optique de la résolution de ce problème au niveau de l’encombrement du système de distribution électrique de la Capitale que la JIRAMA vient d’annoncer, hier, la construction de deux nouvelles lignes 90Kv qui viendront renforcer la distribution électrique dans les zones Tana nord et Tana sud, dans le cadre du plan d’action de réinstallation du projet PAGOSE RIA ( Projet d’amélioration de la gouvernance et des opérations dans le secteur de l’électricité – Réseau Interconnecté d’Antananarivo).
« Ces deux nouvelles lignes de transport constitueront des réseaux de bouclage de lignes de transport d’énergie en HT au niveau de la ville d’Antananarivo et qui permettront d’améliorer énormément la qualité de la fourniture de l’énergie électrique par la réduction voire suppression des perturbations au niveau des coupures et délestages dus aux saturations actuelles des lignes existantes », expliquent les responsables de la compagnie. Pour rappel, le projet PAGOSE, d'un montant de 65 millions de dollars, financé par la Banque mondiale, vise à améliorer la planification et la pérennité financière du sous-secteur de l'électricité, renforcer la performance opérationnelle et la gouvernance de la JIRAMA, et investir dans une électricité plus fiable. Ceci afin de fournir de l'énergie au moindre coût pour soutenir la croissance économique ainsi que le développement durable et inclusif  et la politique nationale de l'électricité (PNE 2015-2030) qui vise, dans le cadre du sous-secteur électrique, à  atteindre un taux d'accès à une source d'énergie moderne de 70 % en 2030.

Expropriation

Bien que ce projet soit conçu pour générer de multiples impacts positifs escomptés et induits, il va occasionner quelques pertes de biens et de revenus pour un certain nombre de personnes implantées à l’intérieur de l’emprise des lignes de transport HT, déclenchant ainsi l’élaboration et la mise en œuvre du Plan d’action de réinstallation (PAR). Autrement dit, le déplacement (temporaire ou définitif) des biens le long de la zone d’emprise pour permettre d’installer les lignes de transport électrique et les pylônes. Sans oublier l’indemnisation des personnes affectées par le projet et la réalisation des appuis nécessaires pour que leurs conditions de vie soient restaurées sinon améliorées. A préciser que les deux lignes seront construites
 entre le poste source de la JIRAMA Tana nord (Antanandrano) et celui d’Ambodivona d’une part et d’autre part entre le poste source de Tana nord (Antanandrano) et le poste source de Tana sud (Anosizato). A cet effet, il est demandé à toute personne affectée par le projet de se renseigner auprès des Communes concernées (Cf. la liste en encadré) et de bien vouloir participer aux réunions d’informations à leur égard pour leur informer de toutes les procédures nécessaires pour qu’elles puissent bénéficier de leur indemnisation et réaliser le déplacement de leurs biens dans les meilleures conditions possibles. Pour le moment, ils sont 487 ménages identifiés par les enquêteurs et qui pourraient être impactés par le projet.



Liste des Communes impactées :

CUA
Ankadikely Ilafy
Ambohitrimanjaka
Ankadimanga
Ambavahaditokana
Itaosy
Ampitatafika
Soavina
Fiombonana

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Editorial

  • Education complète !
    Un sujet délicat ! Une initiative pilote mise sur les rails par le département de l’Education nationale (MEN) en partenariat avec le Mouvement malagasy pour le planning familial (MMPF) dans le cadre du Programme d’appui aux droits et la santé sexuelle et reproductive (PADSSR) dont le lancement officiel s’est tenu ce lundi 5 mai à Antaninarenina – Antananarivo. L’initiative vise à étoffer les jeunes y compris les adolescents (élèves) sur les risques qu’ils encourent dans les aventures précoces aux rapports sexuels. En effet, le projet pilote a pour but de réduire les grossesses prématurées, la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST) qui ont malheureusement tendance à s’intensifier surtout dans les milieux populaires et de promouvoir l’autonomie des jeunes en matière de santé reproductive. Louable initiative !

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