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Surveille ton langage

Publié le jeudi, 25 février 2021

Gare à toi ! Fais attention à toi ma « chère » concitoyenne. Pèse bien tes mots. Il ne faut pas que tu te prennes pour une citoyenne hors d’atteinte. Quel que soit ton grade (professionnel ou intellectuel), partout où tu te trouves, saches bien pour ta gouverne que tu es toujours accessible. On peut toujours t’atteindre d’une manière ou d’une autre. Personne n’est au-dessus de la loi, ici ou ailleurs !
Quel toupet Mme Fanirisoa Ernaivo d’avoir porté préjudice à l’honorabilité de la famille du Chef de l’Etat malagasy. Tellement habituée à proférer sinon vociférer des âneries gratuites, tu as fini par commettre l’irréparable. Quand tu oses clamer sur la toile ou sur le toit que le fils du Président se drogue. Alors là, tu es allée trop loin ! Comme d’habitude d’ailleurs !
Pour la petite histoire, Fanirisoa Ernaivo à l’époque où elle fut une fervente militante syndicaliste en étant d’ailleurs présidente du tout puissant Syndicat des Magistrats de Madagasikara (SMM). En même temps, elle dénonçait les dérives des gros bonnets du régime Bleu de Rajaonarimampianina. A l’époque, l’opinion n’avait que faire de certains de ses dérapages verbaux dans la mesure où elle décriait les énormités de certains barons au pouvoir du moins leurs proches. Il fallait reconnaître que Fanirisoa Ernaivo a été pour beaucoup un fer de lance dans la lutte contre la corruption et l’impunité dont le précédent régime fut passé maître. Elle traquait les « prédateurs » qui gravitèrent autour de l’ancien couple présidentiel dont entre autres la multimilliardaire femme d’affaires Claudine Razaimamonjy, la sulfureuse et ancienne conseillère spéciale de l’ancien locataire d’Iavoloha Rajaonarimampianina Hery et « très » proche de l’ancienne Première Dame Voahangy Rajaonarimampianina, en son temps. L’opinion voyait en elle l’incarnation de la bataille contre les malversations dûment perpétrées par les tenants du régime (l’ancien s’entend).
Mais la décision surprise de Madame le Juge à se porter candidate à l’élection présidentielle de 2018 bouleversa tout. Se sentant, peut-être, à l’apogée de sa popularité sinon de sa notoriété, Fanirisoa Ernaivo s’aligna dans les starting-blocks pour la course pour le palais d’Iavoloha. Les prévisibles résultats qui avoisinèrent le zéro virgule, 0,28% pour être précis, allaient déchanter la candidate. Par dépit, elle apporta son soutien au deuxième tour au candidat Ravalomanana. D’autres zéro virgule comme Eliana Bezaza ou Rado Rafalimanana et bien d’autres emboîteront le pas.
Désormais, le parcours de la Juge, pas comme les autres, Ernaivo Fanirisoa accuse une trajectoire dangereuse. Elle intégra l’arène glissante de la politique et se rangea dans les rangs de l’Opposition. Et les dérapages verbaux s’accumulent. Lors d’un vulgaire meeting à Mahamasina, devant le Stade Municipal, Ernaivo commit l’irréparable en traitant publiquement de … les agents de police en faction sur les lieux. La réaction générale condamnant le comportement irresponsable et honteux de Mme Ernaivo ne se faisait pas attendre. En dépit des excuses, trop tard, qu’elle avait bien voulu transmettre, elles n’y pouvaient rien. La Police nationale, dans son droit le plus absolu, s’apprêtait à porter plainte. Mais, Mme le Juge a trouvé l’occasion de disparaître subitement. Plus tard, on saura qu’elle se trouve sous d’autres cieux ! Et de là, elle continue à cracher ses venins.
Un conseil de Zoky pour ta gouverne, Ernaivo Fanirisoa, surveille ton langage !

 Ndrianaivo

RMDM - Une plateforme adepte de la désinformation

Publié le jeudi, 25 février 2021

Les leaders de la plateforme de l’Opposition, RMDM, à Madagascar ou à l’étranger, ont pris l’habitude de diffamer. Chaque jour apporte son lot d’accusations non fondées. A croire qu’ils y sont dépendants. Après avoir appelé l’Armée pour s’insurger contre les dirigeants, avoir dit que le Plan Emergence Madagascar serait financé par Al-Qaïda, les gens de l’Opposition continuent sur leur lancée. Après avoir snobé leurs partisans, samedi dernier, les chefs de la plateforme pour se défendre, n’ont pas trouvé mieux que de crier au non-respect des droits fondamentaux dont celui de manifester. Il faut pourtant souligner que les députés de l’Opposition ont reçu le feu vert des autorités pour effectuer leurs rapports d’activité sur un terrain vague du côté de Soamandrakizay. Les élus du TIM n’ont tout simplement pas été autorisés à tenir leurs manifestations à Ambohijatovo. C’est pour prévenir tout éventuel forcing et tout débordement que les Forces de l’ordre ont été déployées dans le centre-ville. Les leaders du RMDM ont également accusé l’actuelle porte-parole du Gouvernement, Lalatiana Andriatongarivo, de renier ses propres paroles concernant le Kianja d’Ambohijatovo. Ce qui est totalement erroné. Il est vrai que l’actuelle ministre de la Communication et de la Culture avait, durant ses années dans la presse, soutenu que le Kianja d’Ambohijatovo devait être ouvert au TIM pour exprimer ses opinions en public. Cependant, l’ancienne chroniqueuse politique n’a jamais dit que la place à Ambohijatovo devrait être ouverte au TIM pour que ces derniers y tiennent des manifestations au cours desquelles des propos visant à renverser le pouvoir soient tenus, sous couvert d’effectuer des rapports d’activité. D’ailleurs, il faut le souligner, le Kianja d’Ambohijatovo a changé de statut depuis l’avènement du nouveau maire. Il s’agit dorénavant d’un parc botanique. Dans la même veine, le RMDM fusille le régime en place dans l’affaire des bourses impayées à l’Université de Toamasina. Encore une énième diffamation contre le pouvoir. Faut-il pourtant leur souligner que les bourses en question ont été envoyées en juillet dernier et donc que le non-paiement est de la responsabilité de la présidence de l’Université de Barikadimy. Le pire c’est lorsque la présidente du RMDM Diaspora, Fanirisoa Ernaivo se permet d’accuser publiquement et sans la moindre preuve des enfants de dirigeants d’être drogués. Dépendants des fake news et de la diffamation, les leaders de l’Opposition semblent être totalement devenus déphasés de la réalité. En tout cas, ces politiciens, à force de jouer avec le feu, vont finir par se brûler. Personne n’est au-dessus de la loi à Madagascar. 
La Rédaction



Au cœur des polémiques depuis la tragédie ayant coûté la vie à un étudiant la semaine passée, le président de l’université de Toamasina, Dr Conscient Zafitody, est parmi ceux qui aspirent à devenir ministres. L’intéressé a lorgné sur le portefeuille de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, occupé jusqu’ici par la jeune professeure Elia Béatrice Assoumacou.
Au début de l’année, face aux bruits persistants selon lesquels un changement de Gouvernement aurait dû intervenir, le 4 janvier, l’intéressé aurait adressé au Président Andry Rajoelina une lettre de motivation détaillant sa volonté d’accéder au poste du ministère ayant son siège à Tsimbazaza.
Dans cette lettre de motivation, le controversé président de l’université de Toamasina se dit intéressé par le programme de l’Etat sur l’Education pour tous et il affirme sa « bonne volonté » de participer au développement du système d’enseignement supérieur. 
Immédiatement opérationnel
Exhibant ses mérites personnels, Dr Zafitody s’est exprimé en ces termes : « En outre, mes expériences aux postes successifs, premier directeur de l’Institut supérieur de technologie de la côte-Est (ISTRCE), à Fenoarivo Atsinanana, puis actuellement président de l’université de Toamasina, m’ont permis de consolider ma compétence technique, managériale et en administration publique et de me familiariser aux nombreux partenaires techniques et financiers universitaires.
« Elles m’ont aussi permis de perfectionner les capacités relationnelles, le respect de l’éthique professionnelle, l’esprit d’équipe et d’analyses. D’ailleurs, ces expériences me rendront également capable de manager les activités du ministère et me permettront d’assurer la mise en œuvre des politiques définies dans le PGE sur l’éducation pour tous afin de répondre et d’atteindre les objectifs stratégiques sur l’innovation éducative préconisée par l’IEM ».
Pour terminer sa correspondance, le postulant a fait part de sa disponibilité à un éventuel entretien. « Ainsi, me nommer à ce poste serait un grand avantage pour le ministère et l’ensemble du pays car je serai immédiatement opérationnel du fait que je suis familiarisé dans le système, et je me dispose à tout éventuel entretien. » Malheureusement pour lui, Iavoloha a annoncé en janvier le maintien de l’équipe en place.
Et les observateurs doutent sur l’existence d’un lien entre le non-paiement des bourses et équipement des étudiants par l’actuel président de l’université de Toamasina ayant causé la mort d’un universitaire et sa demande sans suite de devenir ministre de l’Enseignement supérieur….
Recueillis par M.R.


Soutenir les PME (Petites et Moyennes Entreprises). Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) et l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI) ont effectué, cette semaine, une descente auprès de la société Kabaloo. Cette visite a permis d’évaluer le développement des activités de cette entreprise ainsi que les innovations apportées à la production, notamment après la réception de ses nouveaux matériels et les formations.  « Ce projet a permis à la société non seulement de préserver ses activités mais aussi de les diversifier avec une production de bien meilleure qualité. Un encouragement pour le secteur industriel à Madagascar. Comme Kabaloo, les dix bénéficiaires répartis en quatre régions devront apporter un plus au développement économique du pays», se réjouit d’ores et déjà Lantosoa Rakotomalala, ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat, en conclusion de sa visite. Cette dotation de matériels et de formation rentre en effet dans le cadre du projet d’appui aux entreprises pour la sauvegarde des emplois, l’appui à l’entrepreneuriat et l’amélioration du niveau des entreprises dans les différentes régions du pays, issus de la collaboration du MICA avec l’ONUDI.
Dans un premier temps, les besoins des PME et des associations ont été évalués. Puis, ils ont été dotés de divers matériels pour une amélioration de leur productivité et une diversification des produits fabriqués par les PME mais aussi en divers intrants.  En outre, ils ont été formés sur l’utilisation des équipements octroyés, tout autant en qualité et production pour soutenir les ateliers à comprendre les enjeux de la production et aussi à tirer le meilleur parti des machines industrielles. Avec Kabaloo, le pari est réussi.
Rova Randria

Le premier marché communal inauguré. Après des années de souffrance, de conflit et parfois de bagarre avec la Police municipale, les marchands de rue à Behoririka pourront, enfin, exercer paisiblement. Ils seront installés dans un nouveau local se situant situé à côté de l’Ecole primaire publique. Composée de quatre étages, l’infrastructure pourra accueillir jusqu’à 800 marchands. Une nouvelle organisation sera mise en place afin que les commerçants puissent intégrer le secteur formel. Dans ce cadre, la distribution des cartes professionnelles pour les 800 bénéficiaires débutera à partir de la semaine prochaine. D’ailleurs, le recensement est déjà en cours. Cette carte certifie leur fonction et place au sein du marché. Toutes les catégories de produits vendus à Behoririka y sont permis, comme la friperie, habillements, accessoires de mode, chaussures... Le marché ouvrira ses portes aux visiteurs et consommateurs d’ici un mois. Concernant les tickets de vente, le montant sera maintenu à 500 ariary par étal et par jour, explique le premier magistrat de la ville, Naina Andriantsitohaina.
Outre l’amélioration de l’image d’Antananarivo, ce projet, qui s’inscrit dans le « Veliranon’ Iarivo », a pour objectif de décongestionner les axes menant vers le centre-ville. « Je souhaite qu’avec cette réalisation, l’ordre soit rétabli dans les rues de la Capitale, notamment sur l’axe menant vers le building Ramaroson à Soarano jusqu’au pont de Behoririka », soutient le maire dans son discours.
Le marché de Behoririka n’est que la première étape de ce projet. Les autres quartiers comme Coum 67Ha, Anosy, Mahamasina et Petite vitesse se verront doter d’une infrastructure comme celle – ci, afin d’accueillir les commerçants de rue aux environs de ces axes. D’ailleurs, la CUA a déjà commencé la construction d’un autre marché à Anosy, sur l’ancien parking du Sénat. L’inauguration du marché de Behoririka s’est tenue hier, en présence de quelques personnalités.
 Pour rappel, la construction des infrastructures figure parmi les priorités du maire de la Capitale lors de sa campagne électorale.
Anatra R.


Un regain d’espoir pour les acteurs mais surtout pour l’économie du pays en ces temps de crise. Lors de la dernière campagne d’exportation, les opérateurs ont eu du mal à écouler leurs produits, en raison de la pandémie de coronavirus. Mais pour cette campagne, la tendance s’est légèrement inversée. « Effectivement, les exportations de vanille ont partiellement haussé, et ce malgré la baisse continue de la demande au niveau mondial. Cette tendance baissière se remarque surtout en Asie et en Europe. Pour les Etats-Unis, cette baisse reste raisonnable. Depuis le début de la campagne, dans tout Madagascar, nous avons réussi à exporter près de 1 000 tonnes de vanille préparée. Des chiffres nettement meilleurs en comparaison avec ceux des années précédentes. Toutefois, la campagne n’est pas encore terminée. Nous restons déterminés, sachant que nous avons encore entre 800 à 1 000 tonnes de produits à écouler. La production a également été fructueuse cette année», a soutenu Serge Rajaobelina, président du Conseil d’administration de Sahanala, avant-hier, en marge d’une signature de convention de partenariat pour la formalisation de ses planteurs partenaires, au Louvre Antaninarenina. La campagne d’exportation a notamment débuté le 15 septembre 2020, pour se clôturer à la fin du mois de mai prochain. Ces 1000 tonnes ont alors été écoulées en cinq mois.
Cependant, cette situation reste assez contradictoire. Comment les exportations auraient pu augmenter alors que les besoins sur le marché ont diminué ? « La fermeture des restaurants et des industries expliquent la baisse de la demande au niveau mondial. Mais cela est pallié par la volonté de consommateurs à cuisiner de bonnes pâtisseries chez eux, générant ainsi une hausse de la consommation de vanille naturelle », explique ce responsable. Il faut croire donc que le confinement a eu des impacts positifs indirects sur la filière. Cette envie de cuisiner est effectivement née durant le confinement.
Pour continuer dans cette lancée positive, Serge Rajaobelina propose ainsi de miser fort sur le marketing. « Aux Etats-Unis, beaucoup de procès ont été entamés parce que les industriels n’utilisent pas de la vanille naturelle, contrairement à ceux qu’ils mentionnent sur leurs emballages. Ces procès témoignent ainsi de la volonté du consommateur final de consommer de la vanille naturelle. Nous devons alors en profiter pour faire la promotion de notre produit de qualité. La vanille de Madagascar reste encore à ce jour la meilleure dans le monde », soutient-il. Pour lui, l’idéal est de redorer l’image de la vanille malagasy auprès des consommateurs afin de favoriser l’augmentation de la demande. Cette hausse permettra alors aux opérateurs d’écouler leurs produits et de rééquilibrer ainsi le marché.
Rova Randria


Aux dernières nouvelles, une quarantaine de cas positifs à la Covid-19, dont deux patients avec des formes graves, est recensée à Nosy Be. Hier, une source locale a annoncé la détection suspecte des symptômes du virus chez des patients testés négatifs à plusieurs reprises. « Nous avons identifié plusieurs individus développant les symptômes de la Covid-19 à savoir les courbatures, la perte de l’odorat et/ou du goût. Mais bizarrement, les trois résultats de tests PCR réalisés se sont tous révélés négatifs. Cependant, nous leur administrons le traitement adéquat afin qu’il recouvre la santé et ne contaminent pas d’autres personnes », a expliqué cette source. Cette information remet en doute la circulation de nouvelles souches sur le territoire malagasy. D’autant plus que le ministère de la Santé publique se mure dans le silence par rapport aux nouvelles variantes. Jusqu’à l’heure où nous mettons sous presse, nous avons essayé de joindre les autorités médicales et administratives à Nosy Be pour avoir des explications, mais en vain.
Notons que l’aéroport de Nosy Be est ouvert aux touristes étrangers depuis le mois d’octobre dernier.  Et même si cette ouverture partielle des frontières aériennes a été soumise à des conditions notamment l’obligation pour chaque passager de rester en quarantaine, et que seuls les Malagasy revenant d’un voyage à l’extérieur peuvent rejoindre d’autres villes, le virus continue toujours de circuler. Il est impossible d’avoir la confirmation si ces individus sortant de cette zone développent ainsi le virus sans que les analyses n’aient pu confirmer.
Les mesures se durcissent
Entre cette ouverture de l’aéroport de Nosy Be et la propagation du coronavirus, la situation demeure actuellement compliquée dans l’île aux parfums. Un bilan qui inquiète les autorités locales et qui les ont amenés à durcir les mesures de sécurité sanitaire.  En vue de la protection de la santé de la population face à la propagation du coronavirus à Nosy Be, la Préfecture a pris de nouvelles dispositions. Désormais, toute forme d’organisation de réunion, de rassemblement, d’attroupement des personnes est interdite. Les marchés fermeront à 15 heures tous les samedis et mercredi, ceci pour que les responsables puissent assurer la désinfection des lieux. A cela s’ajoute la suspension jusqu’à nouvel ordre des organisations festives et culturelles telles que les soirées, spectacles, karaoké, cabarets. Outre l’enterrement immédiat des corps des victimes de la Covid-19 suivant les normes sanitaires, les veillées mortuaires sont aussi limitées à 24 heures au maximum.
LR.

Le torchon brûle entre les fidèles et la brigade de gendarmerie d'Isorana. Ce qui a fait pousser récemment le gouverneur de la Haute-Matsiatra à s'exprimer et de proposer une solution dans l'affaire qui oppose les gendarmes et les croyants qui prient au Toby Fifohazana de Soatanàna.  Décision fut alors prise afin d'enlever les prérogatives d'enquête des mains de la brigade d'Isorana, pour la transférer désormais à la brigade de recherche criminelle de la gendarmerie de Tsaramandroso, à Fianarantsoa. “La poursuite de l'enquête à Fianarantsoa vise d'instaurer la confiance mutuelle entre les personnes impliquées et leurs coreligionnaires de Soatanàna”, dixit le gouverneur de la Haute-Matsiatra.

 

Covid-19 à Madagascar - Une épidémie moins sévère

Publié le mercredi, 24 février 2021

Un exercice de statistique réalisé par le Bureau de Prospective Economique du Sénégal (BPE), appelé « indice de mesure et de suivi de la sévérité de la Covid-19 », a récemment révélé une baisse de la progression de cette pandémie au niveau mondial. Le 21 février dernier, en s’appuyant notamment sur le taux d’infection, le nombre de décès et de patients guéris, Madagascar a bien géré la pandémie en enregistrant la plus forte baisse de la sévérité. En s’alignant avec la République Démocratique du Congo (RDC), Sao Tomé-et-Principe ainsi que le Cameroun, la Grande île a progressé en termes de scores dans l’indice.

 

Les irrégularités des transports en commun dépassent les limites. Ces derniers temps, on constate un relâchement quant au respect des barrières sanitaires, comme l’utilisation des strapontins, le non-port de masque, la négligence en matière d’utilisation du manifold et l’augmentation du nombre de places dans les taxis-brousse. Un rappel à l’ordre a été déjà lancé par le ministère des Transports, du Tourisme et de la Météorologie, mais aucun changement n’a été remarqué.

 

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Editorial

  • Flamme éternelle !
    « Feux de l’amour », une série américaine créée par les Bell (William Joseph et Lee Phillip) dont la première diffusion du premier épisode datait du 26 mars 1973, doit fêter avant-hier son cinquantième plus un anniversaire. Du 26 mars 1973 jusqu’à ce jour, les « Feux de l’amour » continue d’accrocher des milliers sinon des centaines de férus à travers le monde. « FA » avec ses 12 500 épisodes jouit d’un record de longévité que rares sont les feuilletons capables de le défier. « Dallas », un autre feuilleton américain le talonne de près. Créé par Larry Hagman et consorts, Dallas dont la diffusion du premier épisode datait de 2 avril 1978 pour se terminer le 3 mai 1991 continue aussi de fasciner jusqu’à aujourd’hui.

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