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L’apurement des dettes continuera encore jusqu’au mois de décembre prochain, contrairement à ce que le Premier ministre, Ntsay Christian a annoncé au mois de mai dernier. A cette période, il a notamment déclaré que : « la baisse des prix affichés à la pompe n’est pas encore possible pour le moment. L’Etat doit encore s’acquitter de ses dettes auprès des compagnies pétrolières. Avec la tendance positive observée, cet apurement de dettes devrait prendre fin d’ici quatre mois, soit vers le mois de septembre ou octobre prochains ». Malheureusement, cette tendance positive a été perturbée par la recrudescence de la pandémie de coronavirus. Antananarivo a été obligée de revenir au confinement, durant les deux derniers mois. La suspension des transports régionaux a continué. « Ce reconfinement a ainsi engendré une baisse de 30% de la consommation sur tous les produits pétroliers. De plus, les cours du pétrole sur le marché international ont également commencé à se stabiliser autour de 43 à 45 dollars. Les marges ont alors diminué. Par conséquent, l’apurement de dettes se fait aujourd’hui plus lentement que prévu. D’après nos calculs, tout devrait être remboursé en décembre » a expliqué Olivier Jean-Baptiste, directeur général de l’Office malgache des hydrocarbures (OMH). Selon les chiffres fournis par ce dernier, à la fin du mois de juillet dernier, l’Etat doit encore près de 83 milliards d’ariary aux pétroliers. « Les calculs pour le mois dernier sont encore en cours », note le DG de l’OMH. 
Depuis 2017, les prix affichés dans les stations-services étaient en effet quasiment en dessous du « prix de référence calculé » (PRC) issu de la structure des prix, prenant notamment en considération le cours du pétrole sur le marché international, celui de l’ariary mais aussi les marges et les taxes. Cette différence a ainsi creusé le passif envers les entreprises. Pour éviter de rembourser de sa caisse, l’Etat se sert de la différence entre les deux prix à son avantage pour payer ce passif. Lorsque le PRC est inférieur au prix affiché dans les stations-services, les marges obtenues par les compagnies pétrolières serviront ainsi à l’apurement du passif. En sept mois donc, l’Etat a déjà remboursé 89 milliards d’ariary, sachant qu’à la fin de l’année 2019, la dette de l’Etat envers les compagnies pétrolières s’élevait à 172 milliards d’ariary.
«Il faut savoir que ce délai n’est qu’une projection. Il peut donc changer au fur et à mesure de l’évolution de la situation dans le pays, mais plus particulièrement sur le plan international. C’est pourquoi, il est important de refaire les calculs tous les mois », rajoute le premier responsable de l’OMH. Pour le moment donc, aucun changement des prix affichés à la pompe  n'est prévu, et ce, jusqu’à la fin de l’année.     
La Rédaction

Arrivé à point nommé. Dans un contexte de dépréciation de l’ariary par rapport aux monnaies étrangères, la Banky Foiben’i Madagasikara (BFM) lance un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) aux fins de la promotion de l’exportation et de la constitution de la réserve d’or nationale. En effet, l’or reste une valeur refuge par excellence et peut être utilisé comme réserve de change. Il faut rappeler que cet appel fait suite au protocole d’accord signé avec le Ministère des Mines et des Ressources Stratégiques (MMRS) en janvier dernier en matière de consolidation des réserves d’or. C’est dans ce sens que l’institution financière sollicite les comptoirs commerciaux agrées et les titulaires de permis miniers de type Permis d’Exploitation (PE) ou Permis Réservés aux Petits Exploitants (PRE) à vendre tout ou une partie de leur or auprès de la banque. Toutefois, il faut qu’il soit sous formes de lingots ou d’or d’une pureté supérieure à 950 millièmes. Selon le gouverneur de la BFM, Henri Rabarijohn, les intéressés disposent jusqu’au 8 octobre pour déposer leur demande.
Traçabilité
Outre l’achat des lingots, cette stratégie permet également de formaliser et assurer la traçabilité du secteur. Selon les statistiques reçues, la quantité d’or exportée déclarée auprès du ministère des mines s’élève seulement à deux tonnes alors que la quantité réelle atteint vingt tonnes. « Madagascar dispose d’une forte potentialité en or dont l’extraction, la commercialisation et l’exportation ont pendant longtemps fait vivre plusieurs catégories d’acteurs. C’est dans l’objectif de normaliser le secteur aurifère par la professionnalisation des acteurs d’achats et d’exportations, et d’améliorer les recettes en devise issues de l’exportation sur la balance de paiement que l’Etat a défini parmi ses orientations stratégiques la constitution de la réserve d’or nationale » souligne le gouverneur.
Solange Heriniaina

 

Nouveaux cas positifs importés. La dernière fois où le Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19 Ivato en a recensé remonte à des mois. Malheureusement donc, au cours de ces dernières 24 heures, 6 nouveaux cas positifs au coronavirus venus de l’extérieur ont été recensés à Madagascar. Ceux-ci figurent parmi les 63 nouvelles contaminations sur 598 tests effectués, annoncées par le Professeur Vololontiana Hanta Marie Danielle, porte-parole dudit centre, lors de son allocution sur les chaînes télévisées et radiophoniques, hier vers 13h. Ces 6 passagers provenant d’Europe ont présenté des résultats d’analyse PCR négatifs à l’embarquement à Paris, mais ils ont été identifiés positifs aux contre-tests réalisés à leur arrivée à Antananarivo. Selon le docteur Lamina Arthur, directeur de cabinet auprès du ministère de la Santé publique, avec les mesures de prévention sanitaires établies par les autorités sanitaires malagasy, ces voyageurs infectés ont été préalablement placés en quarantaine en attendant les résultats des analyses effectuées en laboratoire. « Les résultats des dépistages peuvent changer d’un jour à l’autre, compte tenu du temps d'incubation du virus. Heureusement, nous disposons de tous les contacts des passagers qui se trouvaient dans le même vol. Par conséquent, il nous est réalisable de mobiliser les équipes d'investigation pour le contrôle régulier de leur état de santé. En tenant compte du système de dépistage mis en place, seuls les passagers présentant un état clinique douteux de la Covid-19 seront testés », rassure ce responsable.
En outre, le bilan quotidien obtenu hier sur la situation de l'épidémie de Covid-19 a fait état de 61 cas de guérison. A cela s'ajoute un patient décédé suite au syndrome de détresse respiratoire aiguë. Toujours à la date d'hier, il reste 1 165 patients en cours de traitement. 20 d'entre eux développent actuellement des formes graves du coronavirus.
K.R.

Cause toujours !

Publié le mardi, 22 septembre 2020

Palabre par-ci ! Causerie par-là ! Décidément en face, de l’autre côté de la rive, on n’en finit pas de jacasser, de caqueter ou de papoter. De la cacophonie ! De l’énervement superficiel ! D’un semblant de colère d’un juste ! En réalité, on a la peur bleue d’être fauché à … jamais.
Ravalomanana Marc en binôme avec Rivo Rakotovao s’agitent. Si le premier fut un ancien Chef d’Etat plutôt un président déchu, le second un futur ex-président d’institution. Entourés d’une cohorte de rapaces avides de proies faciles, ils font du bruit, du tapage inutile. Le tout donc dans un ensemble factice portant l’étiquette d’opposition. A Madagasikara, il n’existe pas d’opposition à proprement parler. On n’a que des ex de ceci ou d’anciens de cela ou encore des ratés qui gesticulent dans un but inavoué de récupérer, d’une manière ou d’une autre, quelque chose qui a échappé à la prise. Inaptes à produire des actes pour le bien du pays, ils excellent au maniement du verbe, au bobard. C’est le monde à l’envers « verba non acta ».
En fait, à Madagasikara ce que l’on a tendance à appeler « opposants » sont en réalité des pirouettes. Ils bougent suivant la direction du vent. Un opposant d’aujourd’hui a toutes les chances de devenir un fervent défenseur du régime demain. Et vice-versa !  Des ennemis d’hier peuvent être des bons amis d’aujourd’hui. Tout dépend de la direction du vent. Quelle légèreté !
Cause toujours, mesdames et messieurs les politicards ! Mais attention, soyez honnêtes du moins intellectuellement envers vous-mêmes ! Par les temps qui courent, l’honnêteté intellectuelle se raréfie. C’est devenu un produit de luxe qui s’achète au prix fort. Habituellement, on se table sur le respect ou non de l’honnêteté morale (ne pas voler, ne pas mentir, non à la corruption, etc.) et on passe de côté l’honnêteté intellectuelle (être correct envers soi-même, etc.). On a tendance à proférer du mal des autres et on oublie ou on fait semblant d’ignorer ce qu’on est exactement.
Les ténors du semblant d’opposition ont été tous, d’un moment à l’autre, d’anciens membres du cercle du pouvoir d’un régime ou d’un autre. A l’époque de leur règne, ils faisaient les mêmes actes et faits qu’ils reprochent aux dirigeants actuels. Ravalomanana Marc nommait les chefs de Région bien au-delà du prescrit du texte fondamental. Comme à son habitude, Ramose s’assit sur la loi du pays et ignore l’existence de la Constitution. Contraint par la nécessité impérieuse, le régime de  Rajaonarimampianina Hery fit élire les sénateurs par des grands électeurs composés uniquement de conseillers ruraux et municipaux et les maires, les seuls existants d’ailleurs à l’époque des faits. Confrontés aux mêmes contraintes, les dirigeants en place organisent les sénatoriales avec les mêmes conditions. Et voilà, les ex osent crier scandale. C’est de la malhonnêteté pure ! Avant de pointer du doigt le brin de paille sur les yeux des autres, veuillez d’abord enlever la poudre sur les vôtres.
A Andrainarivo, les Ravalomanana, les Rivo Rakotovao et consorts fustigent la HCC et la CENI. Par des termes désobligeants ou méchants, ils qualifient ces deux entités de complices au régime Rajoelina. De qui se moque-t-on !
Cause toujours ! Mais, gare à vous. Soyez honnêtes envers vous-mêmes !
Ndrianaivo

Le Conseil d’Etat s’est déclaré hier incompétent pour statuer sur le recours du KMF-CNOE contre l’Etat malagasy. Récemment cette organisation de la Société civile a déposé un recours auprès de cette haute juridiction administrative pour demander le sursis à exécution et l’annulation du décret de convocation des grands électeurs pour les élections sénatoriales du 11 décembre prochain. « Nous savions dans quel sens irait la décision du Conseil d’Etat. Cependant, nous ne nous attendions pas à ce que cette haute juridiction mette en avant une incompétence à statuer. C’est honteux », a réagi le leader du KMF-CNOE, Andoniaina Andriamalazaray. Lui qui évoque d’ailleurs une jurisprudence du Conseil d’Etat qui avait rendu une décision dans une affaire similaire en 2008. En tout cas, pour le KMF- CNOE, il reste encore une carte en sa possession. Cette entité a, en effet, engagé en parallèle un autre recours similaire devant la Haute Cour constitutionnelle, au cas où le Conseil d’Etat ne lui donnerait pas raison sur ce litige qui l’oppose à l’Etat malagasy.

En plus de sa beauté, Saya Nellie Anjaratiana, la miss Madagascar 2020, représentante de Madagascar à la 70ème cérémonie du Miss monde, est aussi intelligente. Son souhait le plus cher est actuellement d’aider les jumeaux de Mananjary, considérés comme une source de malédiction pour l’ethnie Antambahoaka et dans partie du Sud-est de Madagascar. Etant consciente qu’ils sont toujours mal perçus et abandonnés, la reine de beauté malagasy lance un projet humanitaire en faveur de ces jumeaux aux destins incertains. Selon ses dires, ses actions ne vont surtout pas cesser cette pratique. Mais d’une autre manière, elles vont certainement améliorer la condition actuelle. « Avec l'accompagnement de l'équipe du Comité national Miss Madagascar (CNMM), je vais me rendre à Mananjary au début du mois d’octobre pour rencontrer une association d'accueil et de transit des jumeaux abandonnés dans cette zone », déclare-t-elle.
Effectivement, l’enjeu de sa participation au concours de Miss monde n’est pas limité au « Titre ». Notre belle représentante vise également différents trophées. Le plus important à décrocher porte sur « Beauty with a purpose ». D’après les explications du comité organisateur, en cas de réussite, non seulement Saya Nellie Anjaratiana décroche le trophée, mais elle perçoit aussi un financement du projet concernant les jumeaux à Mananjary. Il suffit qu’elle présente aux membres du jury un projet concret et réalisable.
En visite de courtoisie au ministère de la Communication et de la Culture
Faisant partie de la culture malagasy, Saya Nellie Anjaratiana et l’équipe du CNMM ne sont pas passées outre le ministère de la Communication et de la Culture. Hier, elles ont été accueillies par une délégation ministérielle à Anosy. Au-delà de la visite de courtoisie, la rencontre entre la Miss Madagascar 2020 et Lalatiana Andriatongarivo - le n°1 du ministère de la Communication et de la Culture - leur a permis d’échanger autour de cette cause défendue dans le cadre de l’évènement Miss Monde 2020. Cela a également été l’occasion pour la ministre d'exprimer l'intérêt que porte son département à ce sujet. « Le ministère exprime son soutien à la Miss Madagascar. Non seulement, elle représentera la Grande île à l'échelle mondiale, mais elle va aussi défendre une cause importante que même le Président de la République Andry Rajoelina affectionne particulièrement », déclare Lalatiana Andriatongarivo à la presse. Et d'ajouter qu’une solution devrait être identifiée face à cet abandon des jumeaux à la naissance. « Ce tabou des jumeaux gagne du terrain, allant de Mananjary jusqu'à Nosy-Varika et s'étend même dans toute la Région de Vatovavy-Fitovinany. Faut-il rappeler aussi que cette lutte remonte à des années sans que ses initiateurs n’aient trouvé une issue favorable. L'obstacle culturel prime toujours », a-t-elle souligné.
K.R.


Les performances du Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo en deux ans de fonctionnalité sont encourageantes. Du moins c’est ce que laissent voir les chiffres rendus par le système anti-corruption à Madagascar hier. Les résultats du PAC sont plus élevés par rapport à son défunt prédécesseur, la Chaîne pénale économique anti-corruption (CPEAC). De 2018 à 2020, le Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo a traité 649 dossiers de procédure dont 298 jugés soit un taux de jugement de 46% contre un taux de jugement de 42% pour l’ancienne CPEAC au cours de ses 14 années de fonctionnalité. De juin 2018 à juillet 2020, 54 dossiers soit seulement 8% des affaires traitées au niveau du PAC sont classés sans suite, contre 200 soit 23% des dossiers traités au niveau du CPEAC de 2004 à 2018. 136 condamnations ont été prononcées par le PAC d’Antananarivo en deux ans contre 124 au niveau de la CPEAC en 14 ans.


Les responsables au niveau de l’université de Toamasina sont en alerte. Un projet d’incendie visant cet établissement public serait en préparation. Ce projet ne serait pas étranger aux incendies qui ont déjà touché l’université de Toliara et celle d’Antananarivo ces derniers temps. Les premiers éléments d’enquête ont permis aux enquêteurs d’accréditer l’hypothèse d’incendies d’origine criminelle d’une part, et d’incendies reliés entre eux d’autre part. Les incendies partent de maisons qui ne présentent de prime abord aucun souci apparent. Aucun court-circuit ni départ de feu n’auraient par ailleurs été décelés au cours des enquêtes menées par les limiers de la Gendarmerie. L’usage de produits hautement inflammables par les pyromanes présumés serait une hypothèse non exclue. En effet, il aurait été remarqué que le feu ne se propageait pas de manière continue. Les logements touchés auraient ainsi pris feu quasiment tous en même temps.
Outre la similitude entre les incendies, qui ont permis aux enquêteurs d’établir un lien entre les incendies, une autre information est venue corroborer cette hypothèse. Le nom d’un conseiller d’un ex-Président de la République, dont nous tairons pour l’heure le nom, a en effet été cité dans le cadre de cette affaire comme étant un des commanditaires. Il aurait apparemment participé à une réunion secrète au cours de laquelle un projet de déstabilisation a été discuté. Ce projet débuterait au niveau de trois universités à savoir Antananarivo, Toliara et Toamasina. Ce ne serait pas une coïncidence si les deux universités premièrement citées ont été justement frappées par des incendies. L’université de Toamasina pourrait donc être la troisième cible de ce funeste projet. Pour rappel, un incendie a ravagé le campus universitaire d’Antananarivo en fin de week-end dernier. Un bloc entier de « préfa », ces logements préfabriqués de la cité d’Ankatso II, est parti en cendres. Selon une information communiquée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le feu aurait commencé vers 23h30. Une dizaine de jours plus tôt, une centaine de cases de la cité du campus de l’université de Maninday à Toliara ont subi le même sort. Notons que la majorité des locataires des lieux ont rejoint leur Région d’origine pour cause de confinement et ont donc été absents des lieux lors du drame.
La rédaction


Abel Anicet Andrianantenaina a été titularisé, dimanche soir, avec le Ludogorets Razgrad qui s'est opposé au CSKA Sofia, dans le cadre de la 6ème journée du championnat de Bulgarie de football. Les deux équipes ont fait match nul 2-2. Le capitaine des Barea était associé, au milieu du terrain, à Alex Santana. Après 6 journées, le Ludogorets Razgrad est deuxième du championnat. Pas plus tard qu'hier, l'équipe a enchaîné une belle victoire sur le score 2 buts à zéro devant le club Strum Glory.

 

Ampitatafika - Trois motos volées en une nuit

Publié le lundi, 21 septembre 2020

On assiste actuellement à une recrudescence sans précédent du vol de moto, notamment dans la périphérie de la Capitale. C'était le cas, hier matin, à Ampitatafika.  Des voleurs se sont emparés des trois motos de particuliers, malgré les moyens de surveillance du local comme les caméras de surveillance. Et pourtant, ces engins à deux-roues étaient garés dans l'enceinte d'une propriété. Ce n'est pas tout : les propriétaires les avaient bien arrimées avec des chaînes ou autres structures métalliques de sécurité.

 

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Editorial

  • Ragôva, aux cribles !
    Le gouverneur de la Région Analanjirofo limogé ! Ceux des Régions Vatovavy et d’Itasy « licenciés ». A qui le prochain tour ? Et les observateurs de s’interroger, « le locataire d’Iavoloha serait-il en train de passer aux cribles les Ragôva ? » De notre côté, on se pose tout bas la question « avions-nous été entendus ? » A travers nos colonnes, on n’a de cesse de réclamer l’évaluation périodique de nos « vice-rois ». Non pas par méchanceté à leur égard mais dans une démarche d’esprit qui se soucie de la sauvegarde de nos fragiles ressources publiques qu’il faille gérer à bon escient et aussi pour le bon fonctionnement des affaires nationales. Lesquelles évaluations périodiques permettront d’apprécier les travaux effectués sinon de constater les manquements itératifs des dits Gouverneurs ainsi que leurs impacts dans les Régions concernées. Un Gouverneur qui fait bien son travail contribue évidemment à l’essor…

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