Madagascar est encore dans la période d’intersaison. Cette période durera encore quelques jours, avant de laisser place à la saison de l’été. Si normalement, la période des pluies commence au mois d’octobre, ce n’est pas encore le cas actuellement. Ces derniers temps, la température à Antananarivo ne cesse d’augmenter. Hier, elle a atteint 33° C. D’après la prévision météorologique d’hier, c’est le régime du vent variable et sec qui influence actuellement le temps à Madagascar. Les valeurs maximales sur les Hautes terres centrales ont subi une hausse progressive, ayant atteint jusqu’à 30° C ce week-end.
Après la vérification d'un renseignement à propos de la circulation de faux billets de banque à Sambava, les éléments du Commissariat de Sambava ont interpellé trois suspects les 23 et 24 octobre derniers. En effet, la Police leur a tendu un piège. C'était dans ces circonstances que deux ont d'abord mordu à l'hameçon. Ce sont les présumés commanditaire et fabricant. Ils ont été arrêtés au cours de la journée du mercredi 23 octobre dernier à Antaimby, un quartier de Sambava.
« Je vous prie de ne pas bavarder ». Cette recommandation du chef du centre Lycée mixte Antsiranana a été à l’origine de son agression. L’agresseur étant un jeune candidat âgé de 21 ans, de la série D. L’histoire s’est passée dans la salle 4 dudit centre, jeudi dernier vers 15h 30, lors de la 2ème journée de la session exceptionnelle du baccalauréat. Mécontent suite à la remarque de la responsable, le candidat n’a pas hésité à lui donner un coup sur l’oreille et un grand coup de poing dans la figure, à la grande surprise de la victime.
La France montre son vrai visage, hypocrite et menteur. De Gaule, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande ou Macron, du pareil au même. La France d’aujourd’hui demeure la France d’hier, colonialiste, arrogante et provocante. Seuls les vocabulaires changent. Au tout début de la colonisation en 1896, Joseph Simon Gallieni, le premier gouverneur général à Madagasikara écarta sans ménagement la Reine Ranavalona III de son trône et imposa la France. « Il faut franciser les Malgaches », aima-t-il répéter.
Trouver des solutions pérennes. La semaine dernière, un atelier de réflexion a été organisé à Soaïegna, à Taolagnaro pour discuter des mesures à initier afin de développer la filière langouste dans le pays. Effectivement, selon les études menées par l’Unité de recherche langoustière (URL) du ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Madagascar enregistre aujourd’hui près de 129 tonnes de perte tous les ans, en matière de produits pour cette filière. « Pour cause, 29% des langoustes femelles capturées sont œuvées.
Une diminution de 1.1 point. Le groupe de la Banque mondiale a publié vendredi dernier le rapport du « Doing Business 2020 ». D'après ce document, Madagascar est classé à la 161ème place sur 190 pays. Notre pays a en effet gardé le même rang, comparé à l'année dernière. Toutefois, le score correspondant à la facilité de faire des affaires dans le pays s'est légèrement régressé, passant de 48.84 dans le rapport 2019 à 47.7 dans celui de 2020. « L'amélioration du climat des affaires est primordiale pour stimuler les investissements du secteur privé et la création d'emplois », déclare Marie-Chantal Uwanyiligira, représentante de la Banque mondiale à Madagascar.
Le Chef de l’Etat se retrouve parfois, voire souvent, ces derniers temps, obligé de jouer les pompiers de service, face à ce qui ressemble à l’incapacité de certains responsables à trancher face à ces difficultés. Face à la pénurie de carburants qui a perturbé le quotidien de la population la semaine dernière, le Président a dû intervenir et a ainsi convoqué les compagnies pétrolières pour une sévère mise au point. Devant les contestations du projet présidentielle de nouvelle Ville Tana-Masoandro, le Chef de l’Etat aurait donné comme consigne que les travaux ne débuteront qu’après un accord trouvé avec la population locale.
Les récents propos d'Emmanuel Macron sur l'île Glorieuse continue de faire des vagues. Le sujet relatif aux Iles Eparses continue d'alimenter la polémique sur les réseaux sociaux. Interrogé sur les ondes de la Radio France Internationale (RFI), vendredi dernier, le Premier ministre Christian Ntsay s'est exprimé sur le sujet. Une intervention qui s'est effectuée au lendemain de sa rencontre avec le Chef de l'Etat français, sur l'île de la Réunion.
75 à 80 familles composées d’environ 150 personnes. Tel est l’effectif des réfugiés enregistrés à Madagascar, selon les chiffres émanant du CDA, confirmés par le ministère de la Justice. Environ 50 % d’entre eux se composent de Pakistanais mais il y a également des réfugiés d’autres origines, comme des Syriens, des Afghans, des Iraniens, des Ethiopiens, des Somaliens, des Congolais, etc. La majorité d’entre ces réfugiés résident à Antananarivo et le reste se répartit dans les autres Régions, depuis Mahajanga jusqu’à Ampanefena, du côté de Morondava. « Environ 80 % de ces familles ne disposent pas de papiers d’identité. A la place, ils détiennent des attestations de demandeurs d’asiles ou celles de réfugiés. Dans la plupart des cas, ils vivent cachés et préfèrent rester loin des projecteurs, y compris les médias », informe Daniel Anaclet, directeur exécutif du CDA. Cette ONG bénéficie d’un financement du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) depuis 2015 pour mener un projet de protection et de prise en charge de ces derniers.