Encore un bandit de moins ! La traque, visant les auteurs d’enlèvements des membres de la communauté indienne, se poursuit dans la Capitale. Pas plus tard que la nuit du lundi, c’était au tour de Sôla, un dangereux ravisseur recherché depuis 10 ans ou presque par les Forces de sécurité, d’être éliminé. La scène de cette neutralisation définitive du bandit est survenue vers 21h30 sur une portion du By-pass à la hauteur d’Ankadindratombo. Le concerné a roulé en moto. Il savait que les Forces de l’ordre l’ont pris en filature.
Devant l'interdiction d'entrée et d'utilisation à La Réunion - et cela pour des raisons de santé - des marmites « made in Madagascar » et d'autres ustensiles dont les poêles et louches fabriquées à partir de l'aluminium, les consommateurs malagasy sont en alerte. Pour les utilisateurs de longue date, ils émettent des inquiétudes par rapport à leur état de santé et celui des membres de leur famille. « Nombreux sont les ménages malagasy qui utilisent quotidiennement des marmites en provenance d'Ambatolampy. Ce qui fait que c'est surtout la population locale qui subira en premier les conséquences si les différentes opérations de contrôle, réalisées par la Direction des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIECCTE) à La Réunion, sont infirmées ou confirmées par une contre-étude de la part des autorités malagasy.
La bataille sur plusieurs fronts que mène le jeune Président des Malagasy ne fait pas que des heureux. Des éléments issus de divers horizons et de différents secteurs de l'Administration s'opposent, en sourdine, aux mesures de redressement effectuées. En fait, ils s'inquiètent de l'avenir incertain de leurs intérêts occultes.
Une renommée de plus pour la Grande île. La filière haricot vert porte haut le nom du pays sur le commerce international. Le groupe Basan à travers sa société Lecofruit se trouve au deuxième rang en matière d’exportation de cette variété de légumes dans le monde et premier exportateur à Madagascar. Avec une exportation de 8000 tonnes par an, l’entreprise se trouve derrière le Kenya. « Nous écoulons chaque année 8000 tonnes de haricot vert sur le marché européen notamment en France.
Un investissement sur le long terme. Faisant partie du plus grand groupe hôtelier en Europe, le groupe Accor, à travers l’Ibis Hôtel & Spa, se doit de maintenir un certain niveau de standing et de qualité des services. A cet effet, l’établissement investit constamment dans la formation de ses employés. « La formation est un élément clé du développement de notre hôtel. Elle contribue en effet à la professionnalisation pour le développement national du secteur mais aussi et surtout au développement individuel de chacun de nos employés.
L'ambassadeur Giovanni di Girolamo a réaffirmé hier la volonté de l'Union européenne à coopérer avec Madagascar, s'interrogeant notamment comment « une lettre interne » est arrivée sur les réseaux sociaux. « L'Union européenne veut et continuera à construire des routes », a renchéri le diplomate italien, à la presse, hier dans la matinée. L'ambassadeur de l'UE réagissait ainsi après la diffusion sur les réseaux sociaux d'une lettre qu'il a signée et adressée au ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Habitat et des Travaux publics, Hajo Andrianainarivelo.
Situation déplorable dans un foyer du quartier d’Anosipatrana. Le corps sans vie de Herizo Rajaonarivony, de son vivant cadreur au sein de la chaîne de télévision privée MBS, était retrouvé dans son propre domicile à Anosipatrana, hier matin. Selon un constat sur place, le corps est pendu dans des circonstances non élucidées. Le mystère reste entier qu’on n’hésite pas à parler aussi d’une mort suspecte. C’est ce qu’a d’ailleurs confirmé le Commissariat du 4ème Arrondissement dont ses éléments ont fait la constatation sur place à côté de leurs collègues de la Brigade criminelle, précisément la BC1 et du médecin légiste. « Nous ne pouvons prononcer davantage sur la situation, l’équipe sur place étant encore en plein travail », confie une source auprès de la Brigade criminelle.
Un marché régional bloqué. Les autorités réunionnaises interdisent l’entrée et l’utilisation sur leur territoire des marmites malagasy. La raison invoquée expliquant cette interdiction en vigueur depuis vendredi dernier a trait au taux de plomb sur ces produits malagasy fabriqués à partir de l’aluminium. Cette interdiction concerne non pas uniquement les marmites « made in Madagascar », mais également les autres ustensiles (poêles et louches…) créés à partir de ce métal.