Le vent de changement qui souffle au sein de la direction générale de la Cnaps risque d'emmener avec lui la section sportive au sein de cet établissement, notamment l'équipe de football. Evoluant dans la division supérieure nationale, la Cnaps sport représentait depuis son retour dans la catégorie de l'élite Madagascar dans les compétitions africaines ou de l'océan Indien. Ce qui veut tout simplement dire que la formation d'Ampefiloha a toujours remporté au moins un titre national à chaque saison, coupe ou championnat.
Deux prisonniers, Alain Zaheraly Rostand, alias Karana et Eric Mario dit Rambô, se sont échappés, vendredi dernier, de la prison de Vohitany, dans la Commune d’Ejeda à Toliara. Depuis, les autorités ont perdu toutes leurs traces et ignorent où les fugitifs peuvent-ils bien se trouver en ce moment, ce qui a rendu les recherches plutôt compliquées pour bien de raisons. Les fugitifs sont issus de familles riches. Ce qui laisse supposer qu’ils ont des moyens pour fuir et ne pas rester dans la Région.
Aversion contre les tracasseries administratives, peur de l’inconnu. Telles sont, entre autres, les raisons qui poussent les simples citoyens à choisir la solution de facilité de recourir à la corruption lorsqu’ils s’adressent à un service public. Une situation que les préposés peu scrupuleux ne manquent pas d’exploiter sans état d’âme pour soutirer le maximum aux usagers.
S’il suffisait de monter dans un avion, s’envoler pour la France serait un jeu d’enfant. Seulement voilà, dans la vraie vie, c’est plus compliqué. Pour un Malagasy, partir pour l’Hexagone ressemble parfois au parcours du combattant. Car avant d’embarquer à l’aéroport d’Ivato, il faut obtenir le droit d’entrer sur le territoire français en décrochant le fameux et précieux visa pour la France. Or, beaucoup ont déjà connu des difficultés sur cette étape obligatoire qui n’a rien d’une simple formalité. Les plaintes sur Internet et sur les réseaux sociaux ne cessent aujourd’hui de se multiplier. Plusieurs demandes sont refusées. Et pourtant, les dossiers fournis sont déjà en règle.
A quelques encablures de la date fatidique du 27 mai, il faut mettre le paquet. Le régime IEM doit concentrer tous les efforts pour que le pays ne rate pas le coche. Un tournant décisif pour tous les Malagasy et une étape cruciale pour les tenants du pouvoir ! Tout dépend du choix intime de chacun dans le secret de l'isoloir. Cette fois encore, le verdict des urnes impactera sur l'avenir des 25 millions de Malagasy. En effet, un bon choix dans les urnes comblera le pays de la sérénité et de la prospérité.
Très attendue. Depuis quatorze ans, la Foire internationale de Madagascar (FIM) est le lieu de rendez-vous annuel des opérateurs économiques nationaux, mais aussi régionaux et internationaux. Pour chaque entreprise, cet évènement est ainsi une occasion pour se mettre en avant autant auprès des consommateurs qu’auprès des entreprises partenaires potentielles. La FIM ouvrira ainsi ses portes aujourd’hui à la Zone Forello, Tanjombato. En plus, pour cette édition, le comité d’organisation de l’évènement a initié des innovations au niveau de la présentation des entreprises participantes pour le plus grand plaisir de tous.
Organiser la conférence internationale sur la violence basée sur le genre et sur les Objectifs du développement durable l'année prochaine à Antananarivo. Tel est le défi posé par la Première Dame, et non moins ambassadrice de la lutte contre les violences basées sur le genre avec le soutien de l'UNFPA. L'initiative a été annoncée au cours de la rencontre entre Mialy Rajoelina, la Première Dame malagasy et le directeur général adjoint de l'Agence norvégienne de coopération pour le développement (NORAD), Marit Brandtzaeg, hier à Oslo en Norvège. Aucune précision n'est pour le moment connue sur la date à laquelle pourrait se tenir cette conférence ni avec quels participants.
Le Président de la République Andry Rajoelina a effectué une descente dans les bas quartiers de la Capitale, en début de semaine, pour voir de visu notamment l'état d'avancement des travaux de réhabilitation des routes RN2 et RN3. Une descente qui balaie définitivement d'un revers de la main toutes les récupérations de certaines gens, au sein de la mairie d'Antananarivo, qui tentent de s'approprier la paternité de l'initiative de construction de ces routes. Avant-hier, alors que les responsables étatiques ainsi que les partenaires ont été aperçus aux côtés du Chef de l'Etat, aucun dirigeant au niveau de la Commune urbaine d'Antananarivo n'a été présent pour ces visites.
Une fois de plus, le Président Andry Rajoelina a démontré à qui de droit qu'il tient parole. Hier à Antsiranana, devant une foule en liesse et acquise, il a déclaré que les travaux sur les projets qu'il a promis pour la capitale du Nord débuteront dans un mois. « Je suis un homme de parole. Vous m'avez donné votre soutien, c'est à mon tour de vous rendre la pareille », lance le Président de la République à la population. Il s'agit de la construction des logements sociaux, la finition du stade, mis aux normes du marché Scama, la réhabilitation du « bazary kely » et des rues, l'aménagement du jardin du centre-ville en le dotant d'un boulodrome et le remplacement de tous les bancs publics existant.