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Régulièrement privés d’électricité et d’eau depuis quelques jours, les usagers évoquent leur exaspération face à la situation. Ces derniers jours, une colère froide gronde auprès des usagers de la compagnie nationale malagasy de distribution d’eau et d’électricité. La raison : les coupures répétées de l’approvisionnement en électricité et les problèmes de fourniture en eau potable. Le week-end dernier, plus de cinq coupures d’électricité par jour ont été enregistrées dans de nombreux quartiers voire la quasi- intégralité des quartiers de la Capitale. Ces délestages, petites coupures d’électricité ou coupures d’électricité, la conséquence est la même, perturbent fortement les activités quotidiennes des usagers. Par ailleurs, ces coupures de courant répétées détériorent le matériel électrique.

Après 05 années de fermeture, la société SUCOMA pourra bientôt rouvrir ses portes. La relance de cette usine de transformation figure parmi les grands projets annoncés par le Président Andry Rajoelina, lors de son déplacement à Morondava pendant le week – end. D’ailleurs, le Chef de l’Etat en personne s’est déplacé sur les lieux accompagné du ministre de l’Industrie, entre autres personnalités. « Nous produisons 90 000 tonnes de sucre alors que notre besoin s’élève à 200 000 tonnes. Il faut donc produire davantage », a soutenu le Président Andry Rajoelina. Et lui d’annoncer qu’avant la fin de cette année, des experts internationaux vont faire le déplacement à Morondava pour constater l’état des travaux à faire.

LA UNE DU 11 NOVEMBRE 2019

Publié le dimanche, 10 novembre 2019

L’Afrique pour l’Afrique. Des mots qui résument le onzième forum de secteur privé. En marge de l’événement organisé au Centre de Conférence international (CCI) Ivato, l’Institut National en Science comptable et Administration des entreprises (INSCAE) a dispensé une formation intitulée « Empowering women and youth with entrepreneurial skills ». Ce séminaire destiné aux jeunes entrepreneurs africains s’est tenu au Nexta Andranomena pendant trois jours et ce depuis dimanche jusqu’à mardi dernier. En effet, face à la révolution industrielle qui attend l’Afrique notamment dans la transformation productive, il est indispensable de donner aux femmes et jeunes du continent les moyens d’acquérir les compétences entrepreneuriales. Les 87 participants vont alors devenir un grand acteur dans cette dynamique qui est en train de se développer en Afrique. « Un grand marché nous attend sur le continent africain. En 2017, l’Afrique a importé 17 millions de tonnes de riz. Désormais, nous allons transformer nos matières premières et cela à travers la promotion du secteur privé. 87 jeunes africains ont ainsi bénéficié d’une formation pour qu’ils développent leur capacité entrepreneuriale », explique le professeur Victor Harison, commissaire aux affaires économiques de l’Union Africaine, lors de son discours.

Issus des 6 lycées publics de la Capitale. La campagne de sensibilisation sur les droits des enfants, la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) et contre le mariage précoce a pu toucher un millier de lycéens. Les 3 jours de campagne ont été une occasion pour l’association Fitia et ses partenaires de renforcer leurs activités dans cette lutte de longue haleine. D’ailleurs, cette action de ladite association, présidée et fondée par la Première Dame Mialy Rajoelina et non moins ambassadrice du Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) dans la lutte contre les VBG, se fait chaque début d’année scolaire.
Hier, les élèves en classe de seconde et première auprès du lycée Jules Ferry Faravohitra (LJF) et ceux du lycée Andohalo (LAA) ont reçu leur part de conscientisation et de sensibilisation. « C’est la première fois que j’assiste à ce genre de campagne. Désormais, je connais les formes de violence et de non respect des droits de l’enfant ainsi que les autorités à consulter pour signaler des cas », avance Niriantsoa, lycéen du LAA. « Je suis surprise du fait qu’une personne témoin d’un cas de violence mais qui ne fait aucun signalement soit considérée comme un complice.

En réalité, nous ignorons si tel est vraiment le titre de la chanson. Celle-ci, à notre connaissance, n’a été immortalisée dans aucun album de Mahaleo et de mémoire, sauf lorsqu’elle a été enregistrée en live, elle n’a plus été incluse dans les playlist des concerts du groupe auxquels nous avons assisté. Il s’agit pourtant, à notre avis, de l’une des plus belles compositions du regretté Dadah, l’artiste ayant su parfaitement traduire dans la mélodie et son accompagnement, les sentiments exprimés par les paroles. Dans la version dont nous avions pu nous procurer dans les années 80, « Manina anao ‘nge aho » a été interprétée en medley avec deux autres titres mythiques, à savoir « Andro ririnina » et « Hanaraka anao » (entre les deux, plus précisément). Malheureusement, à force d’être repassée, la cassette qui renfermait cet enregistrement inédit a fini par rendre l’âme. Par la suite, nos recherches auprès de nombreux inconditionnels du groupe Mahaleo sont restées vaines. Si certains avouent avoir un vague souvenir de la chanson, d’autres n’en connaissaient pas l’existence. Gageons que si « Manina anao ‘nge aho » est ressuscité, il connaîtra autant de succès  -  sinon plus  - que les deux autres titres avec lesquels il était enchaîné, même s’il est dommage que l’on ne puisse plus l’apprécier avec la voix inégalable de son auteur, à laquelle s’ajoutait dans les refrains celle du non moins regretté Fafah.
Hery M.

Une touche de nouveauté dans le monde de l’artisanat malagasy. Les artisans seront désormais dotés d’une carte professionnelle numérique. La nouvelle carte a été présentée au cours d’une réunion des acteurs dans le secteur de l’artisanat hier au bureau de  la direction régionale de l’industrie, du commerce et de l’artisanat à Antsirabe.Ladite réunion – à laquelle a participé les hauts responsables du ministère de tutelle et une centaine d’artisans – a permis d’aborder les nombreux avantages dans la possession de cette nouvelle carte. En premier lieu, elle servira de moyen de reconnaissance des artisans mais constitue également un critère de professionnalisation. La carte permet aussi aux artisans d’obtenir des offres de formation et facilite leur participation aux foires. A cela s’ajoutent d’autres formes d’appui dont pourront bénéficier les titulaires de cette carte.

Les cinq candidats à l’élection municipale à Antananarivo ont croisé le fer, hier, lors d’un débat à l’Hôtel de ville d’Analakely. Organisé par les employés de la commune, ce premier débat de la campagne électorale intitulé « Donak’afon’Analakely » a réuni Eliace Ralaiarimanana, Rina Randriamasinoro, Alban Rakotoarisoa, Naina Andriantsitohaina, Feno Harison. Durant près de trois heures, ces candidats-maires ont débattu des principaux enjeux de l’actuelle campagne électorale, soit le ramassage des ordures, la gestion des marchés, la circulation et les transports, les inondations et la collaboration avec l’Etat central. Durant les quelque 18 minutes des temps de parole impartis à chacun, chaque candidat a essayé de mettre en avant son programme concernant ces points précis.  Si les échanges entre les débatteurs ont été relativement courtois, quelques échanges musclés entre eux ont été quand même notés.  Les petites phrases lancées entre le candidat de l’Isika rehetra miaraka amin’i Andry Rajoelina et celui du Tiako i Madagasikara ont notamment le plus retenu l’attention.

La une du 09 novembre 2019

Publié le vendredi, 08 novembre 2019

Tana-Masoandro, l’indispensable !

Publié le vendredi, 08 novembre 2019

Un quotidien de la place publia, à travers ses colonnes, une importante interview accordée par un éminent architecte-urbaniste Mamy Rajaobelina dont le thème central porte sur le projet présidentiel  « Tana-Masoandro ». Un sujet, en dépit des débats et des commentaires suffisamment prolifiques, continue toujours de défrayer les chroniques et de focaliser les esprits. Une interview qui offrira l’occasion à l’opinion d’avoir une perception plutôt technique sur Tana-Masoandro de la part d’un expert en la matière Mamy Rajaobelina. Il n’hésite pas de déclarer que « Tana-Masoandro est vital pour le futur de la Capitale ». Mamy Rajaobelina fait partie de l’un des rares experts malagasy maitrisant sur le bout du doigt l’architecture axée sur l’urbanisme. Un certain Guy Willy Razanamasy, le Premier ministre nommé par le Président Didier Ratsiraka des suites des mouvements de contestation en 1991, lui confia le portefeuille du développement de la ville dans son Gouvernement.  Mamy, pour les intimes, accompagna et supervisa sans interruption, en tant que DG ou PCA, les activités de l’Agence d’exécution des travaux d’intérêt public et d’aménagement (AGETIPA), créée en 1993 et précurseur de l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (APIPA). Pour ainsi dire que Mamy Rajaobelina est un fin connaisseur et technicien relatif aux tenants et aboutissants du traitement des dossiers concernant le développement de la Ville des Mille et  l’avis qu’il émet sur la nécessité de l’éventuelle extension de Tanà relève de la plus haute importance. A rappeler à juste titre que le bulletin d’information de l’AGETIPA, à l’époque, porta le titre de « Ville nouvelle ».

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Editorial

  • Visite d’Etat
    Le pays s’apprête à accueillir une visite d’Etat. Dans une ambiance effervescente, la Grande île se prépare à recevoir sur le sol malagasy, en visite d’Etat, le Président français Emmanuel Macron le 23 avril. Ce sera le 5ème voyage officiel d’un Chef d’Etat français à Madagasikara mais il s’agit cette fois-ci d’une visite d’Etat. On entend par « visite d’Etat, un voyage officiel d’un Chef d’Etat souverain dans un pays souverain suite à l’invitation officielle du Chef d’Etat d’un pays souverain. C’est le plus haut niveau protocolaire d’un voyage officiel qu’effectue un Chef d’Etat à l’extérieur. Selon le protocole français en matière de visite ou voyage du Chef d’Etat, il existe trois sortes de voyage : le voyage officiel (d’Etat éventuellement), le voyage de travail et le voyage privé. Le général de Gaulle effectua un voyage officiel à Madagasikara en 1958. Il ne s’agissait pas d’une visite d’Etat du fait…

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