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Une scène d’horreur s’est déroulée dans la nuit de mercredi à jeudi sur la route du By-pass, à hauteur d’Imerimanjaka, non loin de l’entrée du stade Elgeco Plus. Il était aux alentours de 21h30 lorsqu’un violent accident de la circulation a bouleversé plusieurs vies. Une Hyundai i30, circulant à vive allure en provenance d’Iavoloha en direction du nord, a percuté de plein fouet une Renault Clio qui arrivait en sens inverse. L’impact a été d’une telle violence que la Clio a été projetée sur la chaussée et a effectué un tête-à-queue avant de heurter un SUV de la marque Suzuki qui la suivait. 

La Hyundai, quant à elle, a terminé sa course dans un étang voisin. Son conducteur, identifié comme étant un ressortissant chinois, aurait tenté de prendre la fuite juste après l'accident. Il a été rapidement rattrapé par des riverains, avant d’être interpellé par les Forces de l’ordre. Selon les premières informations, l’homme se trouvait en état d’ébriété au moment de l’accident et aurait très probablement dépassé les limitations de vitesse autorisées. Il était toujours en garde à vue au sein de la Police nationale, selon les informations qui nous sont parvenues à l'heure où nous écrivons ces lignes. 

Mais ce drame de la route a surtout coûté la vie à quatre personnes à bord de la citadine de Renault. Une personne serait décédée sur le coup, tandis que les trois autres n’ont pas survécu à leurs blessures, malgré une prise en charge rapide vers l’hôpital. Parmi les victimes figure une famille entière. Veve, son épouse Bakoly — chargée de mission au cabinet au ministère de la Population — et leur fille unique âgée de 13 ans. Ils laissent derrière eux deux enfants, désormais orphelins. Un quatrième passager, un jeune homme d'une quinzaine d'années, qui serait un proche de la famille citée plus haut, a également perdu la vie. La Clio aurait également eu à son bord un cinquième passager, dont ni l’état ni l’identité n’a été précisé. La conductrice de la Suzuki, impliquée malgré elle dans la chaîne de collisions, aurait également été blessée, sans que la gravité de ses blessures ne soit encore précisée.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de cette tragédie. Mais déjà, l’émotion est vive. Sur les réseaux sociaux, les réactions sont nombreuses, à la mesure du choc provoqué par cette nouvelle tragédie. « Bakoly était une femme dévouée, une vraie servante de l’Etat », peut-on notamment lire de la part de nombreuses personnes ayant côtoyé la défunte. D’autres fustigent la conduite en état d’ébriété. « Quand on tue en voiture, en état d’ébriété, ce n’est pas un accident. C’est un crime », selon eux. Certains s’interrogent de savoir  « combien de morts faudra-t-il encore ? ». Dans cette mer de tristesse et d’indignation, une demande revient avec insistance: que cette fois, la justice ne fléchisse pas.

Recueillis par L.A. 

De l'école publique, précisément du CEG de référence à Tanambe- Maintirano, il ne reste plus que ruine et cendres !

La nuit du mardi dernier, cet établissement scolaire public a pris feu sans qu'on puisse sauver les mobiliers se trouvant à l'intérieur tant les flammes étaient trop puissantes si bien que minuit était largement  passé sans que personne n'ait encore réussi à les mâter. Certes, des riverains ont tenté d'aider à les éteindre avec des moyens du bord, mais leurs efforts étaient malheureusement réduits à néant.  Puisque cette principale ville du Melaky n'a pas de service de pompiers, un problème auquel s'ajoute une grave pénurie d'eau,  le CEG de référence continuait encore de brûler, jusque vers midi, le 30 avril dernier.

De sources concordantes, le feu aurait démarré au rez-de-chaussée, qui est compartimenté en magasin de stockage et de dépôt. Tous les objets qui s'y trouvaient sont partis en flammes.

Pour le moment, les versions sont divergentes pour essayer de donner une explication sur l'origine du sinistre. Car si l'une avance un court-circuit, l'autre privilégie la thèse d'un sabotage, sinon d'un incendie criminel. La Police et la Gendarmerie ont démarré une enquête.

F.R.

 

“ Nous sommes environ 700 employés inscrits dans un groupe de concessionnaire, mais la plupart d’entre- nous ne sont inscrits ni à l’OSTIE ni à la CNaPS et ce depuis des années. Nous en avons fait des plaintes, mais en vain”. “ La majorité des travailleurs œuvrant dans les chantiers de BTP ne portent pas d’équipements de protection individuelle, alors qu’il s’agit d’un secteur à haut risque concernant les accidents de travail. Récemment, un ouvrier a perdu la vie à Mahajanga suite à sa chute depuis le 3è étage...” Ces témoignages de travailleurs interpellent les autorités compétentes sur le fait que des salariés restent encore privés de leurs droits fondamentaux en 2025. Pourtant, la promotion du travail décent fait partie des priorités dans la politique générale de l’Etat. “Promouvoir le travail décent est le meilleur moyen de sortir de la pauvreté, la clé du développement durable et le fondement d’une plus grande justice sociale et paix. Cela doit être un objectif explicite de la politique économique qui intègre l’emploi, les droits et la croissance, pour une économie mondiale plus juste et plus résiliente”, confirme Gilbert Houngbo, directeur général de l’OIT.

Pour leur part, le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Fonction publique (MTEFoP) ainsi que les divers partenaires misent sur l’application du code de travail révisé afin d’améliorer les conditions des travailleurs. Cette nouvelle loi N° 2024-014 du 14 août 2024, s’adaptant au contexte actuel, est désormais mise en vigueur, d’après la ministre de tutelle, Hanitra Razakaboana. La sécurité et santé au travail ainsi que la protection sociale des travailleurs, y compris la couverture sanitaire, y sont mises en exergue. A partir de ce mois de mai, les syndicats des travailleurs bénéficieront d’une formation relative aux changements apportés dans le code du travail révisé. Les inspecteurs et contrôleurs du travail en ont déjà reçu. 

La journée internationale du travail, commémorée chaque 1er mai, constitue une occasion pour les syndicalistes de faire une marche pacifique. Hier, les membres du “Randrana sendikaly” ont sillonné la ville, depuis 67ha jusqu’à Ankazomanga, en passant par Ampefiloha, Petite Vitesse, Soarano et Antanimena. Ils ont érigé des banderoles sur lesquelles les maux et les requêtes des travailleurs sont mis en exergue. L’élaboration et la mise en œuvre d’un nouveau contrat social ainsi que la révision à la hausse du salaire minimum d’embauche en font partie. Ils interpellent également les autorités compétentes à respecter les droits des travailleurs...

Recueillis par Patricia R.

 

 

 

Optimiste. La participation active de Madagascar au 15e forum « Investir en Afrique », organisé récemment à Paris par le Conseil des investisseurs français en Afrique (CIAN), marque une nouvelle étape dans la stratégie de positionnement économique du pays sur la scène internationale. Conduite par le ministre de l’Industrialisation et du Commerce, David Ralambofiringa, et accompagnée par l’Economic Development Board of Madagascar (EDBM), la délégation malagasy a pris part aux échanges de haut niveau autour des grandes mutations économiques africaines. Les discussions ont notamment porté sur les opportunités liées à l’industrialisation, à la transition énergétique, à l’accélération du numérique et à la valorisation des minerais stratégiques. Lors d’une table ronde centrée sur l’agrobusiness, secteur prioritaire pour Madagascar, le ministre Ralambofiringa a réaffirmé l’engagement du pays à faire de l’agriculture un levier d’industrialisation, de sécurité alimentaire et de lutte contre les effets du changement climatique. « L’agriculture durable est au cœur de notre stratégie nationale. Elle répond à des besoins régionaux croissants, tout en offrant de solides perspectives de transformation industrielle », a-t-il souligné. Cette prise de parole a permis de conforter la crédibilité de Madagascar comme acteur clé dans la région de l’océan Indien, à la croisée des enjeux alimentaires africains et des objectifs de développement durable.

Transformation régionale

En tant que partenaire officiel du forum, Madagascar a également profité de cette tribune pour procéder au lancement du YEARBOOK Madagascar 2024-2025, une publication stratégique qui met en lumière les opportunités économiques du pays. Ce document met en avant les réformes entreprises en matière de climat des affaires, les projets structurants portés par l’Etat dans les secteurs industriels, miniers, agricoles ou encore numériques, et s’aligne sur la volonté de créer un environnement attractif et stable pour les investisseurs. Madagascar ambitionne ainsi de devenir un véritable hub de production et de transformation dans la région, en capitalisant sur sa position géographique, son potentiel en ressources naturelles et ses récentes avancées institutionnelles. Cette dynamique s’inscrit dans un contexte plus large où plus de 5 000 entreprises françaises sont déjà présentes en Afrique, avec des flux commerciaux estimés à 100 milliards d’euros annuels. En renforçant ses relations avec la France, deuxième investisseur sur le continent, et en multipliant les partenariats globaux, Madagascar entend saisir pleinement les opportunités qu’offre la redéfinition des priorités économiques mondiales. Le forum aura ainsi servi de tremplin pour affirmer une vision claire : faire de Madagascar un acteur incontournable d’un développement africain plus équitable, durable et ouvert aux investissements responsables.

 

 

 

 

 

Agenda du week-end

Publié le jeudi, 01 mai 2025

Levelo

Le groupe Levelo fait son grand retour sur scène, pour le plus grand plaisir de ses fidèles admirateurs. Ce soir, ces derniers auront l'opportunité d'apprécier en direct quelques-uns des grands classiques de cet artiste bien-aimé qui nous a quittés en 2009. La soirée se déroulera au Piment Café Behoririka dès 20h30. A la voix et à la percussion, sa compagne Lolona n'a jamais cessé d'être à ses côtés lors de ses performances. Et étant donné que pour Levelo, la musique est toujours une affaire de famille, ses filles seront là pour insuffler une nouvelle vie aux chefs-d'œuvre de leur père.

Mr Sayda 

Le chanteur Mr Sayda continue de parcourir les scènes à travers la Grande île et au-delà. Ce soir, il se produira au restaurant Les Cygnes d'Ivato. C’est une occasion rare d'entendre ses nouveaux titres. Ce concert est incontournable, notamment pour les fans résidant vers Talatamaty et le quartier de l'aéroport international, qui n'ont pas encore eu la chance de le voir en live. Au menu, des morceaux tels que « Tia anao aho », « Vokatry ny foko », « Bisous kely aloha », ainsi que son tout nouveau titre « Malilo », qui résonneront dans la salle à partir de 21 heures.

 

SAMEDI

Elsie

Elsie, figure incontournable de la scène musicale malgache, a choisi récemment de se retirer un peu de la lumière, laissant ses fans dans l'attente fébrile de son retour sur les planches. Mais son talent n’a jamais été aussi resplendissant. Elle revient avec une passion débordante pour un concert exceptionnel au Fara West de Faravohitra, demain soir à partir de 20 heures. Une soirée inoubliable s'annonce, non seulement grâce à un programme de haute qualité, mais aussi par l'envoûtement qu'Elsie insufflera à chaque morceau. Flanquée de virtuoses comme Samy Andriamanoro, Tahiry Andriamanoro et Tsitohaina Ratsimba, Elsie promet une expérience musicale vigoureuse et fascinante. La symbiose entre les artistes sur scène assurera une harmonie parfaite, magnifiant l'intensité de chaque note et chaque mot chanté.

Doublenn 

Un des rappeurs les plus vénérés de la scène underground, qui se produit rarement sur scène, a choisi de faire un retour dans la Capitale. Demain, dès 20h30, il prendra le micro au No Comment Bar d'Isoraka pour une soirée dédiée au hip hop, avec en prime un concert à but caritatif. Un événement qui devrait ravir les puristes, renforcer les liens avec les passionnés et contribuer à une bonne cause. Par ailleurs, l’ambiance du No Comment Bar est idéale pour vivre une expérience musicale immersive. Lors du spectacle, le rappeur électrisera le public avec ses morceaux intemporels tels que « Liona » et « Elixir de Jouvence », tout en dévoilant quelques titres inédits de son futur album « Fitia » et d'autres surprises. Au platine, Diojay qui promet d’enflammer la scène avec son talent.

 

DIMANCHE

Kiaka & Iraimbilanja

Ce dimanche, la Capitale se prépare à vibrer au rythme du métal lors d'un événement mémorable : « Mozik'Iray ». Organisé par La Mozika en partenariat avec Airtel Madagascar, ce rendez-vous promet une soirée remarquable pour les amateurs de métal et de rock. Le rassemblement se tiendra au théâtre de verdure d’Antsahamanitra, le 4 mai prochain dès 15 heures. Ce concert célèbre la scène rock locale en mettant en lumière deux figures emblématiques de l'histoire musicale de l'île : Raimbl et Kiaka. Ces groupes légendaires de la musique métal malgache partageront la scène pour la première fois en 30 ans, leur dernière collaboration remontant à trois décennies, ajoutant une touche de nostalgie à cet événement.

Do Rajhonson & Melky

Ce week-end, une voix bien connue des amateurs de musique fera son retour. Le chanteur et compositeur Do Rajohnson, célèbre dans les années 90 et 2000, revient sur le devant de la scène après une période de discrétion. Ses chansons continuent de résonner dans les fêtes de famille et les karaokés, même si l'artiste ne fait plus autant parler de lui. Do Rajohnson n'a pas abandonné pour autant. Ce dimanche après-midi, il fera vibrer le New Para d'Ivato aux côtés de la chanteuse Melky. Ensemble, ils offriront aux chanceux spectateurs des moments chaleureux en interprétant en solo ou en duo des classiques intemporels comme « Miaraka aminao », « Tiako », « Ianao no tiako ». Ce concert promet d'être riche en souvenirs et émotions.

Si.R.

Un vent de fierté souffle sur le football malgache. Le président de la Fédération malagasy de football (FMF), Alfred Randriamanampisoa, a été officiellement intégré sans passer par une élection au sein du comité exécutif de la COSAFA (Conseil des fédérations de football d’Afrique australe), une décision approuvée lors de la réunion du comité tenue le 17 avril dernier.

Conformément à l’article 15.4 des statuts de la COSAFA, le comité exécutif a la prérogative de coopter jusqu’à deux membres sur proposition de son président. C’est dans ce cadre que Saïd Athouman, président en exercice de la COSAFA, a proposé la nomination de Randriamanampisoa. La proposition a été adoptée à l’unanimité par les membres présents.

Cette intégration d’Alfred Randriamanampisoa représente une reconnaissance internationale pour la contribution croissante du football malgache au niveau régional. Figure incontournable du sport national, le patron du COGELEC a su dynamiser la FMF par des projets ambitieux, une gouvernance modernisée et un engagement ferme envers la professionnalisation du football à Madagascar.

La ratification officielle de sa nomination est prévue lors de la prochaine assemblée générale ordinaire de la COSAFA. En attendant, l’annonce de cette intégration a déjà été saluée par de nombreuses personnalités du monde du sport malgache et africain, voyant en elle une opportunité de renforcer la voix de Madagascar dans les instances régionales du football.

Avec cette nouvelle responsabilité, Alfred Randriamanampisoa aura l’occasion de peser sur le football en Afrique australe, tout en continuant à porter haut les ambitions sportives de la Grande île.

Elias Fanomezantsoa 

 

La UNE du 300425

Publié le mardi, 29 avril 2025

Un forum national sur l'intégration des jeunes femmes dans la politique et le renforcement de la paix à Madagascar s'est ouvert le 28 avril 2025 et prendra fin ce jour, au Novotel Ambodivona. C’est le fruit d'une collaboration entre le Centre de l'Union africaine pour la reconstruction et le développement post-conflit (CUA-PCRD) et le bureau de l'union africaine dans le pays.

Il a emporté son secret dans Sa tombe ! C'est le moins qu'on puisse dire à propos de cette scène à la fois horrible et pitoyable, et qui a tant  ému les passants, hier vers 9h 50 du matin à Anosizato, près du « Fasan'ny Karàna ». Les faits. Car pour une raison qui échappe encore au commun des mortels, un homme d'une quarantaine d'années se serait suicidé en se jetant délibérément sous la roue avant droite d’un camion semi-remorque en pleine marche, de marque Renault, et qui roulait en provenance du rond-point d'Ankadimbahoaka, selon la Police. Le résultat fut effroyable : le malheureux s'est fait littéralement broyé au niveau du crane, lequel a été soufflé par le terrible choc. La mort était sans appel.

Le corps de Fifaliana Harisoa est arrivé hier à Ivato, après un mois et cinq jours d’attente. La jeune mère, âgée de 20 ans, est décédée en Allemagne, le 24 mars dernier. Sa mère, Hortense, indique que la cause de sa mort serait une crise cardiaque liée à des problèmes conjugaux. Fifaliana vivait en Allemagne depuis deux ans. Elle y travaillait comme jeune fille au pair, tout en poursuivant des études et des activités bénévoles. « Avant sa grossesse, son compagnon lui avait demandé d’avorter, mais elle avait refusé », a déclaré Hortense, une amie à elle. Son enfant, Harisoa Ares, n’avait que deux mois au moment de son décès.

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  • Akamasoa - Une école inaugurée par les Présidents malgache et slovène  
  • Fuite d’informations  - La CENI condamne la convocation de son 1er vice-président par la cybercriminalité  
  • Centre Akamasoa - La Présidente de la Slovénie rend hommage au Père Pedro
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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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