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La Plateforme des fédérations pour les personnes handicapées (PFPH) de la Région de Fitovinany rassemble plus de 600 membres. Ils travaillent dans plusieurs domaines comme la menuiserie bois,  la broderie, la vannerie, la couture, le dépannage électronique, la langue et l’informatique.
Cependant, ils sont confrontés à plusieurs difficultés comme l'exploitation et l’abus. En effet, selon Rakotoniaina Jean, président régional de la PFPH, ils ne disposent pas encore d'atelier de menuiserie bois bien que leur savoir-faire est reconnu dans toute la Région, sur ce ils sont contraintes de louer des matériels ou travailler avec des partenaires, faute de moyen. Pourtant, ils sont exploités par ces derniers. " Nous travaillons avec eux et nous leur transférons notre compétence, mais après cela, ils nous licencient", se plaint-il.
Pour les femmes qui travaillent dans la vannerie, elles ne peuvent pas participer à la foire à cause d'une mobilité réduite. Ainsi, elles sont contraintes de vendre leurs produits à moindre prix aux collecteurs.
Afin de clôturer la semaine des filets de sécurité sociale dans la Région de Fitovinany, une exposition s'est tenue depuis hier devant la Mairie de la Commune urbaine de Manakara. Des dizaines d'associations de personnes en situation de handicap ont participé à cet évènement. Tous les secteurs d'activités y sont représentés tels que les meubles, artisanats, agricultures et élevages, l’apiculture…ainsi que la santé maternelle et infantile.
Durant l'inauguration de cette exposition, le directeur de la protection sociale, docteur Rivomanana Gishbert, a réitéré que les personnes en situation de handicap ne sont pas laissées de côté dans le cadre de la protection sociale. Pour la Région de Fitovinany, elles ont reçu des soutiens et un accompagnement du ministère de la Population, de la protection sociale et de la Promotion de la femme ainsi que les partenaires comme l'UNICEF, le Programme alimentaire mondial (PAM), le Fonds d'intervention pour le développement (FID), l’Agence des Nations unies pour la population (UNFPA). Cette exposition est pour eux un moyen de montrer leurs talents et savoir-faire, malgré leur handicap. En parallèle avec cette exposition a eu lieu la remise de kit pour les intervenants de la protection sociale de cette Région ainsi qu'un véhicule pick-up pour la direction régionale de la population à Fitovinany.
 
Anatra R.


Récemment, deux hommes croupissent en prison, du moins provisoirement, pour escroquerie. Ils auraient empoché 17 millions d’ariary auprès de leur victime, qui est trop naïve. Cette dernière, qui est domiciliée dans la Capitale, s'était fait prendre plusieurs fois de suite par ces arnaqueurs sans qu'elle n'ait jamais pu réaliser jusqu'à quel point elle était dupe. En fait, les deux escrocs prétendaient avoir démarché des pierres semi- précieuses prétendument extraites d'un gisement, qui leur appartiendrait à Andilamena. Et qu'ils ont eu un gain de 41 000 euros à la suite de la vente de leur hypothétique minerai.
Voilà comment l'acheteur trop naïf était tombé dans le piège de ces escrocs.
Toutefois, on ignore comment ils ont pu glaner le numéro de téléphone de leur cible qu'ils ont finalement réussi à amadouer et convaincre à la fois. Mais le mal a été fait. Au bout de la ligne, les deux larrons ont trouvé les meilleurs arguments pour que l'acheteur naïf accepte leur machiavélique proposition. "Puisque vous êtes le seul à pouvoir échanger nos euros en monnaie locale, nous souhaitons vous rencontrer à Antananarivo", déclarent les arnaqueurs à leur interlocuteur, visiblement empressé d'avoir les euros.
Or, une heure à peine après ce premier contact téléphonique, les suspects ont de nouveau appelé leur victime lui disant qu'il leur faudra 2 millions d’ariary de façon urgente. En cause, la Gendarmerie les aurait arrêtés à un check-point pour port illégal d'armes, selon toujours les suspects. Et qu'il faudrait régler l'affaire avec le chef de poste en le soudoyant. Du coup, ils conseillent leur interlocuteur trop bênet de leur envoyer la somme indiquée via le mode de paiement mobile money.
Quelques moments à peine après cela, la victime de cet arnaque a de nouveau reçu un autre appel. Cette fois-ci, c'est le présumé chef de poste qui se trouvait au bout de la ligne. A son tour, ce dernier explique à la victime que le commandant de brigade et le commandant de compagnie de Gendarmerie de la localité, sans toutefois la préciser, et où ils se seraient fait arrêter, étaient au courant de l'affaire. Ce qui veut dire, à entendre dire les escrocs, que ces commandants voulaient aussi leurs parts.
Dans sa naïveté, la même victime dans cette affaire, a dû encore expédier de l'argent via mobile money. Mais c'était loin d'être fini car les arnaqueurs n'ont pas cessé de lui réclamer davantage d'une certaine somme sous prétexte de devoir résoudre toute une panoplie d'autres problèmes rencontrés tout au long du trajet les menant jusque dans la Capitale. Au final, les deux larrons ont empoché 17 millions d’ariary en abusant ainsi la confiance de leur victime totalement en méconnaissance de leur stratagème diabolique. Evidemment, toute cette histoire ne tenait pas la route car il n'y a jamais ce chef de poste, ni les commandants, encore moins les 41 000 euros avancés par les deux hommes à l'intention malveillante. A preuve, tous les deux ont éteint leurs portables et disparu. Mais la Gendarmerie a fini par les retrouver respectivement à Tsiroanomandidy et à Ankadinondry où ils ont été arrêtés. Après leur déferrement, ils ont été jetés en prison.
Franck R.



Démarrage effectif. La 17eme édition de la Foire internationale de Madagascar a ouvert ses portes hier, au parc des expositions Forello, à Tanjombato. Edition marquant aussi la prise en main de direction de l’évènement par la société Hazovato. Pour Première Ligne, organisateur de l’événement, cette 17e édition confirme la pérennité de la FIM et de son influence sur le monde économique national. « La Foire internationale de Madagascar est tout simplement l’évènement économique de l’année. Elle regroupe les acteurs économiques de qualité, les investisseurs innovants, petits ou grands, nationaux ou étrangers, privés ou publics, tous persuadés qu’il existe un potentiel de développement pour leurs activités. Nous, organisateurs, sommes les premiers convaincus. Cette année marque le changement de direction de la FIM. Après le magnifique travail réalisé par Première ligne pendant 20 ans, c’est à nous Hazovato Forello-Expo qu’il revient de relever le flambeau et l’amener encore plus loin vers l’innovation et la promotion de l’activité économique. Toutefois, il faut savoir garder raison. A quoi cette énergie servira-t-elle si notre croissance n’est pas durable, si nous n’accompagnons pas notre développement avec celui de notre environnement naturel ? », avance Gérard Monloup responsable d’ Hazovato Forello-Expo. Même si tous les secteurs d’activité y sont représentés, cette édition s’axera un peu plus sur les innovations environnementales. Ainsi, en plus du côté écoresponsable, les organisateurs de la FIM ont tenu à souligner, vendredi dernier, que les produits Made in Madagascar seront toujours à l’honneur au salon. Ainsi, par ce principe de promotion des produits locaux, l’organisateur a investi dans l’accompagnement de ses exposants à travers des formations en force de vente pour leurs équipes. L’objectif étant que la FIM soit une plateforme pour les entreprises ou structures partenaires de toute taille de se faire connaître, de se positionner et d’être répertorier comme leader dans leurs domaines d’activité à Madagascar et au-delà de nos frontières. En même temps, la FIM compte accroître sa dimension internationale et travaille dans ce sens avec les différents groupements patronaux à Madagascar pour faire venir des investisseurs et autres acteurs, afin de partager leur expérience. Mais pour bien actionner le redémarrage économique, la FIM ne se limitera pas aux ventes- expositions. Elle favorisera aussi les échanges entre les différents acteurs afin de trouver des solutions concrètes nécessaires à la reprise des activités économiques dans la Grande île. Ainsi, la FIM est devenue au fil des années une véritable institution tant à Madagascar que dans le Sud-ouest de l’océan Indien. Cette année, de nombreux exposants reviennent en force.

La rédaction


Fin de parcours pour la jeune malagasy en lice au championnat du monde des seniors de Doha Qatar. Laura Rasoanaivo a été sortie de la compétition du premier tour face à la Bosniaque Aleksandra Samrdzic, (56eme mondial), chez les moins de 70kg, lors de son entrée en lice sur le tatami.
Après avoir  obtenu trois shidos en seulement une minute de combat, la jeune malagasy est disqualifiée (Hansoku-make), ce qui a largement favorisé son adversaire.
« J’ai essayé de donner le meilleur de moi-même mais malheureusement, suite à des problèmes techniques, j’ai perdu le combat. J’étais éliminée au premier tour. Je tiens à remercier tout le peuple malagasy qui m’a soutenue jusqu’au bout, ceux qui m’ont disposée de sparring-partner, la diaspora malagasy à Doha Qatar ainsi que ceux qui sont venus nous accueillir à l’aéroport. Je suis très reconnaissante envers vous tous ».
Après sa sortie aux mondiaux  de Doha, la judokate malagasy lorgne déjà une autre compétition. Mais le parcours ne s'arrête pas à ce stade pour Laura Rasoanaivo. En effet,  la championne d'Afrique junior de judo se focalise déjà sur les prochaines échéances en Afrique, indique la fédération malagasy de judo. Elle a encore des chances de se rattraper dans d’autres compétitions pour gagner le maximum de points pour espérer une qualification aux Jeux olympiques de Paris 2024.
Rappelons que la marche est trop haute pour l’athlète malagasy. Car, sur 600 participants originaires d’une centaine de pays, seulement 7 titres sont mis en jeu chez les dames et 7 chez les messieurs et un pour le titre par équipe mixte.
 L'autre porte-fanion de Madagascar, Haingo Ramiandrisoa, dans la catégorie +78kg,  arrivera dans la nuit de ce jeudi à  Doha. Elle montera à son tour sur le tatami le samedi 13 mai prochain face à la Sud-coréenne, Park Saetbyeol, 82e au classement mondial,  au premier tour dans sa catégorie.
Elias Fanomezantsoa



Une grande première. Les représentants du secteur ont été invités à l’Assemblée nationale à Tsimbazaza, afin de participer aux travaux de commission concernant le projet de loi sur les investissements à Madagascar présenté par le ministère de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation.  « Nous étions partagés entre enthousiasme et préoccupation dans la mesure où l’invitation à débattre sur ce projet de loi nous a été envoyée par la Chambre basse à l’instant où les membres de la commission ont reçu le document. Nous espérons que cette bonne pratique se perpétue. Le sentiment de préoccupation résidait surtout dans le fait que nous n’avions qu’une journée pour pouvoir nous préparer avant de participer à ces travaux de commission. Un délai imparti où il n’a pas été simple de rassembler tous les représentants de chaque secteur d’activité concerné par cette loi sur l’investissement » déplore Thierry Rajaona, président du Groupement des entreprises de Madagascar. Ce responsable d’ajouter « Cela fait déjà plusieurs années que ce projet de loi sur les investissements aurait dû passer aux votes, vu que le document était déjà passé à la Commission de la réforme des droits des affaires (CRDA) où toutes les propositions de refonte, avancée par les représentants du secteur privé, ont déjà été communiquées ». Pour rappel, la loi actuelle date d’il y a plus d’une décennie et peine à répondre aux demandes des entrepreneurs actuellement. Les réformes, par rapport aux textes, seront ainsi élaborées de façon à mettre en place une égalité des investissements entre les ressortissants locaux et étrangers.

Standards internationaux

La nouvelle loi sur les investissements permettra à Madagascar de s’aligner sur les standards internationaux en matière d’investissement. En effet, la refonte des textes régissant les investissements vise à instaurer un climat d’affaire attractif pour tout type d’investisseur, qu’il soit local ou étranger à travers le garantie de sécurisation de leurs investissements. Ainsi, ce projet de loi sera aligné sur les normes internationales existantes et la transparence sera de mise dans le cadre de l’élaboration des processus administratifs nécessaires pour investir à Madagascar. Le principe qui régit ce projet de loi réside ainsi dans le fait d’assurer un traitement juste et équitable des investisseurs malagasy par rapport à leur investissement tout en visant à harmoniser cette loi en matière d’investissement avec les autres textes déjà existants et qui régissent les différents secteurs d’activités à Madagascar. Puisque l’industrialisation du pays est un travail de longue haleine, cette loi va permettre de tracer une feuille de route sur la durée pour ne pas changer de cap à tout bout de champ. Avec les objectifs, les moyens à mettre en œuvre. Avec la cohérence des actions comme fil conducteur. Ainsi, suivant les propositions du secteur privé, les cinq secteurs prioritaires pour l’industrialisation ont été fixés. L’agro-business, le textile, l’industrie de transformation minière, les huiles essentielles et les énergies renouvelables. A rappeler que ce projet de loi a été discuté depuis quatre ans avec les acteurs du secteur privé, les partenaires techniques et financiers, les bailleurs de fonds à l’instar de la Banque mondiale et l’Union européenne. Il a aussi déjà été décidé en commission de réforme sur les droits des affaires et débattu en Conseil de Gouvernement. Depuis, les avancées sur les efforts d’amélioration du climat des affaires locales dans le pays ont été constatées.

La rédaction



La terre entre en résonance. En plusieurs endroits, elle a tremblé sur la Grande île, leurs épicentres se concentrent surtout dans les environs de la Province d’Antananarivo durant les deux dernières semaines.
Le dernier en date a été celui du mercredi 10 mai 2023. Deux séismes en l’espace d’une heure dans l’Itasy. En effet, le premier a été ressenti vers 12h 40 avec une magnitude de 3.2 sur l’échelle de Richter (EdR) et a été localisé à Ankoririka, Anosibe Ifanja (au nord d’Analavory). La seconde réplique qui a suivi était plus forte et a été mesurée à une magnitude de 4 (EdR).
D’après l’Institut et observatoire de géophysique d'Antananarivo (IOGA), ces deux séismes ont été au même endroit et dont la profondeur est estimée à 11km pour le premier et 10 km pour le second. Jamais deux sans trois. Une troisième, cette fois-ci intervient au petit matin (1h30). Son épicentre était à 63 km à l'ouest du District de Manjakandriana, soit dans l’est de la Capitale.
Avant cela, la terre a également tremblé au petit matin dans l’Alaotra. Le séisme d’une magnitude de 3.9 sur l’échelle de Richter est survenu vers 1 h du matin le 9 mai 2023. Son épicentre se situait dans la Région d’Alaotra Mangoro (latitude -18.41, longitude 48.2) à une profondeur estimée à 250 mètres.
Le premier tremblement de terre qui a vraiment marqué les habitants de la Capitale a été celui du jeudi 27 avril vers 13h12. Il avait atteint la magnitude de 4.6 EdR et son épicentre se situait dans la Région d’Itasy. Le séisme a été ressenti à Antananarivo mais également jusqu’à Vatovavy.
Il est à noter qu’à 3, les secousses commencent à être perceptibles. A 4, elles sont nettement ressenties. Mais dans les deux cas, il n’y a pas de dégât.
La Région de l’Itasy est un champ volcanique, présentant plusieurs structures vestiges d'une activité ancienne et des failles. Ces failles, nombreuses sur la région centrale de Madagascar qui sont sources d’activité sismique, expliquent la forte sismicité dans l'Itasy. Il en est de même pour la Région du lac Alaotra ou du Vakinankaratra.
Madagascar, terre de petites secousses sismiques
Les séismes sont régulièrement observés à Madagascar. Ils sont généralement de magnitude faible à modérée et d’origine tellurique, autrement dit une rupture brutale des roches de la lithosphère (partie la plus externe de la terre).
Malgré sa stabilité en terme sismologique, Madagascar est tout de même un siège d’activités micro-séismiques (magnitude < 6). Les causes sont liées soient à des failles laissées par les volcans, soient à des failles tectoniques provoquées par la séparation de Madagascar avec le Gondwana, soit à l’orogenèse Pan Africaine.
Selon les études menées par G. Rambolamanana en 1997, ses conclusions finales montrent que la majorité des séismes proviennent d'une faille normale et d'une faille de décrochement. Ces deux failles majeures sont sur un même axe parallèle à l'axe du massif volcanique; il y a alors une extension Est-ouest dans la zone volcanique d'Itasy.
Un des plus forts séismes de l’histoire de la Grande île, depuis le début des relevés en 1898, a eu lieu le 12 janvier 2017 à 1 h du matin. Le phénomène qui avait une magnitude de 6 sur l’échelle de Richter n'avait causé aucun dégât majeur.
Nikki Razaf

LA UNE DU 11 MAI 2023

Publié le mercredi, 10 mai 2023

La confédération africaine de karaté a tranché sur le problème du karaté malagasy. «Nous avons le plaisir d'annoncer la levée totale de la suspension de la Fédération de karaté de Madagascar par le bureau exécutif de l'UFAK et notifiée par une lettre le 12 décembre 2023», lit-on dans le courrier de l'UFAK (Union des Fédérations Africaines de Karaté) signé par son président Mesbahi Mohamed Tahar, le 7 mai dernier et adressé au ministre de la Jeunesse et des Sports André Resampa, au président de la World Karate Federa¬tion (WKF) Antonio Espinos, et le président du Comité olympique national, Siteny Randrianasoloniaiko, en copie du courrier, et de même, Solofonirina Andriana-vomanana.

Au moins, trois plaies occasionnées par un objet tranchant furent recensées sur son corps. Il s'agit de cet homme de 32 ans domicilié à Ambohitrony, Ambohimanambola gara, et qui a reçu des coups de couteau d'un agresseur ayant cherché à l'assassiner la nuit du mardi dernier sur place. En réalité, la victime serait dans un état critique en les recevant à la fois à la tête, à la nuque et au ventre. Le malheureux est actuellement encore sous soins à l'HJRA.

Une véritable tentative de meurtre si l'on se réfère à l'intention de l'agresseur qui a agi à visage découvert. Mais ayant profité de l'obscurité pour agresser la victime dans la cour de sa propriété. En vérité, le trentenaire a fait un acte héroïque qui a failli lui ôter la vie. Il a voulu secourir sa femme et sa belle-sœur qui furent attaquées en premier par le même bandit.

Après les motos et scooters, c’est au tour des bicyclettes de se muer en transporteur. Ces derniers commencent à gagner du terrain et continuent leur parcours jusqu’à Analakely, Isotry et Antanimena.

De fait, leur mobilité, le coût du trajet à partir de 500 ariary et leur nombre ont fait des taxis-bicyclettes le nouveau moyen de transport des tananariviens. Ces véhicules à deux roues ; auparavant réservés seulement à l’axe Anosibe-Anosy-Anosizato sont actuellement aperçus en masse, spécialement du côté de RITZ Analakely et ses environs.

« Nous sommes en quête de nouveaux clients, car celui de l’axe Anosy-Anosizato est presque saturé. En plus, de nouveaux conducteurs de bicyclettes s’introduisent sur le marché chaque jour fuyant la pauvreté dans les zones rurales », selon un taxi-bicyclette.

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  • ACTU-BREVES
  • Ve sommet de la COI - Des engagements solides pour l'avenir de l'océan Indien
  • Obsèques du pape François - Le Président Rajoelina attendu à Rome
  • Visite d’Etat - Madagascar et la France scellent six accords
  • Commission mixte sur les îles Eparses - Un second rendez-vous le 30 juin prochain à Paris 
  • Ve Sommet de la COI - Mobilisation exceptionnelle des Forces de l’ordre
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Editorial

  • Vème Sommet !
    Clôture du Vème Sommet de la COI ! Effectivement, la cinquième édition de la rencontre au Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement des îles sœurs indianocéanie dans le cadre de la COI au CCI – Ivato s’est tenue le 24 avril dernier. Dois-je rappeler que c’est le troisième Sommet à Madagasikara après celui du 16 mars 1991 et du 27 juillet 2005. Le premier Sommet de la COI a eu lieu à Antananarivo le 16 mars 1991. A peine quelque mois seulement avant la crise politique qui devait déboucher, après une « longue grève », vers la chute de l’Amiral Didier Ratsiraka. Le second à Saint-Denis de La Réunion (France), le 3 décembre 1999. Le troisième à Antananarivo le 27 juillet 2005. Et le 4ème Sommet avant celui d’aujourd’hui, à Moroni en 2014.

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