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Une guerre froide entre les membres. L’association du Grand Sud Est à Toamasina, rassemblant les natifs des Régions de Nosy varika, Mananjary, Ifanadiana, Ikongo, Manakara, Vohipeno, Farafangana, Vondrozo, Vangaindrano, Befotaka, Midongy Atsimo, Taolagnaro est divisée en deux camps à cause de la couleur politique. Afin de dissimuler les malentendus, les conservateurs des us et coutumes de cette association, notamment les Ampanjaka, ont effectué une déclaration officielle, mercredi dernier.

 Dans la nuit du mercredi dernier, un gang composé de plusieurs individus armés a attaqué une propriété privée appartenant à un grossiste dans le quartier de Soamahatamana, à Antsirabe. Des coups de feu ont été entendus, histoire chez les assaillants d’intimider les voisins des victimes, et surtout les terroriser. Ils ont également lancé une volée de débris de pierre, ces objets qui sont transformés en de redoutables armes. Les cibles : des voisins des victimes ou autres curieux, qui ont tenté de regarder la scène depuis leurs maisons.    Les bandits ont fait la main basse sur une somme de 15 millions d’ariary, et ce, au prix d’un forcing sans précédent. Puisque l’endroit se trouve un peu en retrait du centre-ville, les assaillants ont pris leur temps pour dévaliser les locataires.

Une bonne nouvelle. Après l’alerte lancée sur les réseaux sociaux, tous les acteurs concernés se sont mobilisés. Leur priorité a été d’y acheminer des aides d’urgence alimentaire. Différentes images partagées sur Facebook entre autres démontrent que les autorités locales avec l’aide de l’Etat ont déjà distribué des vivres notamment du riz aux communautés locales. Dans un communiqué publié également par le Programme alimentaire mondial (PAM), une assistance d’urgence à 150 ménages représentant 750 personnes dans les Fokontany de Marovahatse et Ifotaka a été apportée. Des vivres composés de riz, de haricot, de l’huile et de farine de maïs/soja fortifiée en vitamines et minéraux y ont été distribués. 

Une légère amélioration par rapport aux résultats de 2019. 51,74% des candidats qui se sont présentés à l’examen pour l’obtention du Brevet d’étude de premier cycle (BEPC) dans la Circonscription scolaire (CISCO) d’Antananarivo- ville viennent de décrocher leur diplôme. Ce taux de réussite a augmenté de 14,83% par rapport à celui de l’année dernière, lequel était de 36,91%. Il a tourné autour de 48% en 2017 et 2018. « Malgré les semaines de suspension des cours à cause du confinement lié à la pandémie de coronavirus, les candidats ont quand même eu le temps de réviser chez eux et de revenir en classe pendant quelques semaines, avant de passer à la session. D’un autre côté, les sujets uniques dans tout Madagascar étaient plus ou moins faciles à traiter, d’après les candidats.

Naina Andriantsitohaina, essai concluant !

Publié le jeudi, 01 octobre 2020

Dans toute grande entreprise digne de son rang, le recrutement pour un poste quelconque en particulier celui d’un cadre respecte un processus d’évaluation strict et parfois même sévère. Les jeunes postulants, frais et émoulus sortants d’école à même bradés de diplôme, subissent obligatoirement une série de tests d’embauche qu’ils doivent passer nécessairement avec succès entre autres l’implacable « entretien d’embauche ». Ceci étant, il va falloir entamer l’incontournable « période d’essai ». Une période délicate durant laquelle le prétendant n’a pas le droit de rater. Les réalités sur les bancs de l’école diffèrent totalement de celles du travail. On pourrait bien réussir en classe mais échouer dans les applications au travail. D’où l’importance de la période d’essai de six mois en général. Eventuellement, pour une fonction spécifique, le postulant doit subir le « grand oral » après quoi, la direction se prononcera.

Enthousiasme. La compagnie aérienne sud-africaine, Air Link, reprendra bientôt ses vols à destination de Nosy Be. Les responsables au niveau de la compagnie ont, en effet, effectué une descente à l’île aux parfums et aux fleurs hier, à l’occasion de la reprise limitée des vols internationaux. «Ils ont voulu constater de visu les dispositions sanitaires mises en place afin de contenir la propagation de la pandémie de coronavirus dans le pays mais aussi pour discuter avec les autorités sur place. Ils prévoient alors un retour sur la desserte au début du mois de décembre prochain.

Une base de données nationale d’identité. La Banque mondiale a approuvé, mardi dernier, un crédit à hauteur de 140 millions de dollars du mécanisme de financement complémentaire de l'Association internationale de développement (IDA) ainsi qu’une subvention de 3 millions de dollars du Mécanisme de financement mondial (GFF) pour digitaliser les registres de l’Etat civil du pays. Selon les explications reçues, un département auprès de la Présidence de la République se chargera du projet. Il faut savoir que sur 26 millions d’habitants, 25% ne sont pas enregistrés pour diverses raisons. Mais dans la majorité des cas, ces personnes naissent dans des zones éloignées de l’administration publique et des centres de santé.

 

Après les sorties des organisations de la Société civile qui n’ont eu de cesse de réclamer une soi-disant transparence dans l’utilisation des fonds destinés à la lutte contre la Covid-19, la porte-parole du Gouvernement Lalatiana Andriatongarivo sort de son silence et réplique. 

Dans un communiqué publié mardi dernier, des membres de la Société civile affirment, en effet, d’avoir constaté l’opacité sur les fonds Covid-19, « notamment sur les caisses d’avance uniques et exceptionnelles mises en place au niveau du Centre de commandement opérationnel ». « La Société civile est invitée à prendre connaissance en profondeur les textes en vigueur sur certains principes de la caisse d’avance avant de se livrer à de telles accusations », a répondu d’emblée la ministre de la Communication et de la Culture.

Après plusieurs mois de préparation, l'usine PHARMALAGASY voit enfin le jour. L'inauguration de ce nouveau- né de l'industrie pharmaceutique se tiendra ce jour à Tanjombato sous la houlette du Président, Andry Rajoelina. Il y a quelques mois de cela, cette usine n'était encore qu'au stade de projet. Aujourd'hui, le projet se concrétise. Ce que plusieurs malagasy connaissaient sous le nom d'OFAFA (Orinasa Fanamboarana Fanafody) renaît de ses cendres à travers l'usine « PHARMALAGASY ». Cette unité de production sera des plus sophistiqués puisque les matériels utilisés pour sa mise en place ont été importés depuis l'Allemagne et la Chine. 

La une du 02 octobre 2020

Publié le jeudi, 01 octobre 2020

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Editorial

  • Au beau fixe !
     Le Président de la République de Madagasikara Rajoelina Andry NIrina a reçu en audience au Palais d’Etat d’Iavoloha la ministre des Affaires étrangères du Japon Yoko Kamikawa. Une rencontre que certains observateurs qualifient d’historique sinon d’inédite.Le Japon faisait partie des pays ayant noué une relation diplomatique avec la jeune République malagasy. L’empire du Japon était ainsi présent dès les premières heures du retour de la Grande île à l’indépendance en 1960. Seulement voilà, en soixante ans de relation diplomatique, c’est la toute première fois qu’une haute personnalité japonaise du rang de chef de la diplomatie ait pu effectuer une visite officielle au pays. Une grande première que nous, Malagasy, nous ne voulions pas passer inaperçue traduisant ainsi une relation au beau fixe entre les deux Nations voire entre les deux peuples.Le pasteur Ravelojaona, 1879 – 1956, fasciné par le parcours fulgurant de l’économie japonaise à partir du début du siècle…

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