Portail d’entrée dans la ville d’Antananarivo. L’entourage du grand rond-point d’Ambohimangakely sert pourtant de stationnement pour les camions, notamment ceux provenant de la RN2. Un stationnement sauvage qui ternit l’image de cette localité ainsi que celle de la Capitale, d’autant plus que la prostitution y gagne de l’ampleur. Le maire et les habitants d’Ambohimangakely confirment cette « triste réalité ». Raison pour laquelle le ministère de la Communication et de la Culture (MCC) a répondu à la demande des riverains, en y organisant samedi dernier la 10ème édition du projet « Tagnamaro, andron’ny olom-pirenena ».
Les dirigeants des Communes composant la Région de Bongolava, ont constaté des anomalies dans la gestion de la finance de ladite Région. Ces irrégularités supposées ont été observées entre avril et décembre 2019, selon l’information. Dans le viseur des plaignants : le chef de Région par intérim. D’après toujours un renseignement, ce dernier aurait été déjà convoqué au Pôle anti-corruption ou PAC au 67ha, et ce, au moins par deux fois pour qu’il puisse répondre de ses actes. Cependant, le concerné était loin de se plier à l’ordre. D’après toujours ces responsables communaux, le Bureau anti-corruption (BIANCO) a également été saisi de l’affaire. Dans une pétition, les plaignants ont rapporté au BIANCO, par le biais de celle-ci, la pression qu’ils auraient subie. De toute façon, cette entité a déjà ouvert une enquête auprès de la Région.
A l'approche de la Nativité, chacun s'apprête à la célébrer à sa manière. Les têtes brulées du Rodoben'ny mpanohitra ho an'ny demokrasia eto Madagasikara (RMDM) et le Mouvement des citoyens contre les irrégularités et les fraudes électorales (MCIFE), quant à elles, s'amusent à perturber « l'ambiance ». La « trêve des confiseurs », une tradition acquise dans les pays libres et démocratiques au sein desquels l'opposition digne de l'être joue le jeu correctement, cette trêve risquerait d'être compromise. Mais le conditionnel est de rigueur. Les divagations sur la place publique de la plateforme losers ne focalisent pas l'attention!
Insaisissables ! Quatre personnes frappées d'avis de recherche depuis deux, cinq mois et douze mois courent toujours dans la nature et hument encore l'air libre. Ces recherchés ont défrayé la chronique policière et judiciaire malagasy de ces derniers mois en accomplissant des actes répréhensibles, meurtre et arnaque. En dépit des avis, les Forces de l'ordre n'arrivent pas à appréhender les fugitifs faisant ainsi naitre le doute au sein de l'opinion et notamment de leurs victimes sur la volonté réelle de les mettre à l'ombre. Alain Zaheraly Rostand, Eric Mario dit Rambo, Ramangasoavina Gérald et Jo Willy Rabe, telles sont les identités de ces personnalités qui se sont versées dans des affaires lugubres.
Stop ! Le porte-parole du Gouvernement, Lalatiana Andriatongarivo, ministre de la Communication et de la Culture, a dénoncé les mensonges à l'origine de la polémique autour de la loi sur la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). Une polémique qui doit dorénavant s'arrêter là. Pour mettre un terme à la polémique née dans le microcosme politico-social, sur la loi sur la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG), adoptée dernièrement par le Parlement, Lalatiana Andriatongarivo a dénoncé des mensonges colportés pour des raisons politiques, dans une déclaration publiée samedi dernier.