A Madagascar, les politiques d’exploitation des ressources naturelles s’éloignent souvent des recommandations scientifiques. Selon le Professeur Jean Claude Omer, président du comité d’organisation du colloque scientifique de l’Ecole doctorale - Gestion des ressources naturelles et développement (ED-GRND), cette situation profite surtout aux investisseurs étrangers. Pendant ce temps, la population locale reste pauvre et l’environnement se dégrade rapidement. Pour inverser cette tendance, la quatrième édition du colloque de l’ED-GRND se tient du 16 au 18 décembre à l’Ecole supérieure des sciences agronomiques (ESSA). L’événement réunit chercheurs, doctorants, enseignants, décideurs, ONG et entrepreneurs. Ensemble, ils cherchent à mettre la recherche scientifique au service du développement durable. Le thème de cette année est explicite : « Une meilleure gestion des ressources naturelles peut-elle résoudre les problèmes environnementaux ? ». Cela reflète la volonté de replacer la vie et la biodiversité au cœur du développement.

 

Décisions

« La recherche scientifique ne doit plus rester confinée aux laboratoires », a insisté le Pr Omer. Elle doit guider les décisions économiques et politiques. Ainsi, les résultats scientifiques doivent se traduire en solutions concrètes pour les secteurs stratégiques comme les mines, l’agriculture ou l’énergie. Le colloque favorise également les échanges entre chercheurs et acteurs du développement. Il permet de partager les découvertes récentes et d’adapter les pratiques locales. L’objectif est d’harmoniser l’exploitation des ressources et la protection de l’environnement. 

Les organisateurs rappellent que le développement durable ne peut exister sans une gestion responsable des ressources naturelles. La science doit donc jouer un rôle central dans la gouvernance environnementale. A noter qu’à l’échelle mondiale, les défis restent considérables. Les pays du Nord investissent massivement dans la transition écologique, mais leurs émissions de carbone demeurent élevées. De leur côté, les pays du Sud, comme Madagascar, doivent faire face simultanément à la pauvreté, à la surexploitation des ressources et à des infrastructures limitées. Dans ce contexte, miser sur la recherche scientifique devient une nécessité vitale. Pour les participants, c’est la clé d’une exploitation équitable et respectueuse de l’environnement, capable d’assurer un avenir propice pour tous.

Carinah Mamilalaina

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mardi, 16 décembre 2025

La une du 17 décembre 2025

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Dans une déclaration officielle qui fait déjà des vagues dans le monde administratif malgache, le Syndicat du personnel de l’administration maritime de Madagascar (SYPAMM) a pris la barre pour dénoncer ce qu’il considère comme des dérives graves au sein de l’APMF. Dans un communiqué solennel, le syndicat, représentant la majorité des employés de l’administration maritime, met en lumière plusieurs manquements et menace de passer à l’action de manière massive.

Le SYPAMM réclame avant tout l’annulation immédiate de toutes les nominations jugées illégales, en violation du tableau des emplois en vigueur. Selon le syndicat, ces décisions fragilisent la structure même de l’administration et constituent un déni des règles qui régissent la gestion du personnel.

En outre, le syndicat exige le départ du directeur général, accusé de ne pas remplir ses fonctions de manière satisfaisante. Le communiqué dénonce également l’arrivée de ce que le syndicat qualifie de « mercenaires » venus de l’extérieur, supposés déstabiliser l’APMF.

Le syndicat appelle par ailleurs le ministère concerné à intervenir rapidement, soulignant que la situation est devenue un problème majeur, tant sur le plan administratif que social et sécuritaire. Il dénonce enfin l’usage du nom du Président de la République à des fins de pression ou de manœuvres internes, un procédé jugé inacceptable.

Pour le SYPAMM, si aucune mesure concrète n’est prise, il menace de déclencher une grève générale de tout le personnel de l’APMF à travers l’île dès jeudi prochain. Le syndicat insiste toutefois sur sa volonté de dialogue, précisant qu’il n’agit pas pour semer le chaos, mais pour défendre les droits des employés dans le respect de la loi. En tout cas, avec ce coup de semonce, le monde maritime administratif malgache retient son souffle.

 

La Rédaction 

 

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Des assises de partis politiques se sont tenues les 12, 13 et 15 décembre 2025. La publication officielle des résolutions est attendue incessamment. Néanmoins, les bruits de couloir qui filtrent sur ce que les premières ébauches de résolutions de ces travaux font déjà parler au sein du microcosme politique. En effet, l’idée centrale découlant de ces assises semble fortement être un partage de sièges et de pouvoir.

Selon les informations qui circulent, les participants se seraient accordés sur le principe d’une transition limitée à trois ans, qui serait marquée par une rupture institutionnelle nette. Les institutions actuelles — Sénat, Assemblée nationale, Gouvernement, mais aussi la HCC  la HCJ, la CENI etc. — seraient dissoutes pour laisser place à une nouvelle architecture de transition.

Au sommet de cette nouvelle organisation, la création d’une Haute autorité de la refondation (HAR) ferait office d’organe central. Elle serait dirigée par le colonel Michaël Randrianirina, en qualité de Chef d’Etat de la transition. Autour de lui, quatre conseillers militaires et douze conseillers civils, ces derniers étant répartis à raison de deux représentants par Province. Un schéma qui traduit clairement la volonté d’un partage territorial et politique des sièges, afin d’éviter toute concentration du pouvoir.

Dans le même esprit, un Gouvernement de consensus, volontairement réduit, serait mis en place pour limiter les dépenses publiques. Le pouvoir législatif serait provisoirement confié à une Assemblée constituante, appelée à refonder les règles du jeu institutionnel.

La Justice ferait également l’objet d’un sérieux toilettage. L’indépendance des magistrats serait renforcée, tandis que certains organes emblématiques de la lutte anticorruption, comme le BIANCO ou le PAC, seraient supprimés. La Cour suprême deviendrait l’organe judiciaire central, épaulée par une Haute Cour de la Refondation, nouvelle instance de régulation. Les lois devraient désormais être rédigées exclusivement en malagasy, au nom de la souveraineté linguistique.

Sur le plan électoral, la transition déboucherait sur une série d’élections échelonnées à partir de juin 2026, du Fokontany jusqu’à la présidentielle. Là encore, les règles envisagées sont strictes.  Par exemple, l’obligation de savoir lire et écrire et parrainage par un parti légal. La transparence serait renforcée par l’usage de la biométrie et un encadrement strict des financements de campagne.

Enfin, la concertation nationale viendrait valider l’ensemble du processus, avec une approche dite inclusive, partant de la base jusqu’au sommet. Les partis politiques, tout comme les leaders religieux, joueraient un rôle d’organisation, mais sans pouvoir décisionnel final — une autre manière de redistribuer les cartes. 

Selon les explications, à l’issue des trois jours d’assises, les résultats des travaux ont été envoyés auprès des partis participants pour des remarques éventuelles. Le processus prévoit par la suite le renvoi des remarques auprès des organisateurs des assises pour une compilation des données.  Suivra la signature d’un « Accord politique » lequel sera la feuille de route unique des partis signataires lors de la concertation nationale parrainée par les tenants du pouvoir actuel et organisée par le FFKM. 

La Rédaction 

 

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Dans la nuit du 5 décembre dernier, une famille résidant à Manjaka, Commune d’Ankadikely- Ilafy, a été l'objet d'une attaque menée par un groupe de sept hommes armés, selon les éléments rapportés par la Police. Quatorze jours après les faits, les Forces de l'ordre ont réussi à arrêter les cinq principaux suspects, qui ont depuis été placés sous mandat de dépôt.

L'efficacité de l'enquête policière peut être attribuée à l'intervention rapide de l'Unité d'intervention rapide (UIR). Alertés peu après l'agression, les policiers sont arrivés sur les lieux et ont réussi à appréhender l'un des assaillants à l'issue d'une course-poursuite.

L'interrogatoire du suspect a révélé qu'un proche des victimes figurait parmi les auteurs de l'attaque, ayant apparemment orchestré le coup et agi en tant qu'informateur pour le gang. Grâce aux informations fournies lors de cet interrogatoire, les enquêteurs ont pu localiser et arrêter les quatre complices de l'assaillant capturé. Actuellement, deux autres suspects demeurent en fuite et sont activement recherchés par les autorités.

Il est à noter que le soir de l'attaque, les victimes ont surpris les malfaiteurs en train de forcer l'entrée de leur domicile et ont immédiatement alerté le Commissariat de Sabotsy-Namehana, ce qui a permis une réponse rapide des Forces de police.

Franck R.

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Une vitrine des initiatives solidaires et durables. L’« Orange Digital Center », situé dans la gare de Soarano, accueilli depuis hier et pendant 2 jours la deuxième édition du « Village Engage for Change ». Ouvert au grand public, l’événement rassemble près d’une soixantaine de stands animés par des ONG, des entreprises et des acteurs de terrain engagés au service des communautés. « Le "Village Engage for Change" illustre notre capacité collective à créer un impact positif, durable et concret pour les communautés à Madagascar. Grâce à l’engagement de nos collaborateurs, cette ambition prend tout son sens », déclare Aminata Ndiaye Niang, directrice générale d’Orange Madagascar.

Durant les deux jours, les participants proposent des actions concrètes à fort impact social. Hier, les stands « santé » ont attiré une forte affluence avec des dépistages et consultations gratuites  du VIH/Sida, diabète, cancer du col de l’utérus, du sein et de la prostate, ainsi que des campagnes de don de sang et de sensibilisation au cancer de l’utérus. D’autres exposants ont également mis l’accent sur la lutte contre la corruption, la protection de l’environnement et l’adaptation au changement climatique, tout cela à travers des solutions locales et innovantes. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) en fait partie.

L’éducation, l’entrepreneuriat ainsi que l’autonomisation des femmes et des jeunes occupent également une place centrale, avec des démonstrations, des formations pratiques et des échanges directs avec les bénéficiaires. D’ailleurs, un mémorandum d’entente a été signé entre Orange Madagascar, Orange Solidarité Madagascar et le ministère de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, en marge de l’ouverture du village. Les objectifs consistent à valoriser les formations professionnelles et faciliter l’accès des jeunes et des femmes aux compétences et métiers techniques et numériques.

« Village Engage for Change » met en lumière les initiatives solidaires et durables de l’entreprise et de ses partenaires, et affirme le rôle d’Orange comme acteur engagé du développement social, économique et environnemental à Madagascar.

 

E.F.

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A l’approche des fêtes de Noël et de fin d'année, le comité de gestion de la gare routière « Fasan’ny Karàna » (KMMTF) a annoncé hier une hausse des tarifs pour les taxis-brousse desservant la Route nationale (RN7). Cependant, les détails par rapport à ces nouveaux tarifs n’ont pas encore été publiés, mais devraient être communiqués au plus tard à la fin de la semaine, selon le président du KMMTF, Martin Randriamparany. « Nous sommes encore en phase d’élaboration concernant cette augmentation des tarifs. Elle s’appliquera à partir de cette semaine jusqu’au 15 janvier 2026 uniquement. Après cette date, les frais reviendront à la normale », a-t-il expliqué.

 

Cette décision a été prise afin de soutenir les transporteurs et les propriétaires de véhicules face au coût élevé de l’entretien des véhicules servant aux transports publics, aggravé par la dégradation avancée de la RN 7. Le président du comité a d’ailleurs souligné que les exploitants de taxis-brousse enregistrent actuellement des pertes importantes, et cela en raison du prix élevé des pièces détachées et souvent peu durables.

 

Actuellement, le trajet Antananarivo-Antsirabe dure au moins huit heures, contre quatre heures auparavant, tandis que le trajet Antananarivo-Toliara, pourraitt atteindre jusqu’à 30 heures. « L’état de la route, notamment entre Ilempona et Antsirabe, est alarmant. Les véhicules doivent être réparés après chaque voyage. Ce qui est incompréhensible, c’est que des travaux de réfection de cette route nationale ont été envisagés. Mais malheureusement, le projet a ensuite été laissé à l’abandon », se plaint un chauffeur.

 

A l’approche de ces fêtes de Noël et du Nouvel an, une forte augmentation des déplacements est attendue, tant vers la capitale que les autres Régions. Par conséquent, le président du comité de gestion de cette gare routière a exhorté les chauffeurs à assurer un entretien rigoureux des véhicules afin de prévenir les accidents et de garantir la sécurité des passagers. Il a également insisté sur la nécessité d’éviter la consommation d’alcool et les allers-retours sans repos pour les chauffeurs, tout cela pour prévenir la fatigue et les risques de somnolence au volant, souvent à l’origine des accidents sur les routes nationales.

 

Anatra R. 

 

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La 12e édition de l’International Tourism Fair Madagascar(ITM) se tiendra du 11 au 14 juin 2026 au Centre de conférence international d’Ivato, confirmant la place centrale de cet évènement dans l’agenda économique du secteur touristique à Madagascar. Organisé conjointement avec la 3e édition de l’International Handicraft Fair Madagascar, le salon réunira professionnels du tourisme, artisans, investisseurs et grand public autour des enjeux de développement et de valorisation de la destination. Selon les organisateurs, au moins 400 exposants et plus de 20 000 visiteurs sont attendus, avec l’appui de plus de 50 sponsors et partenaires. Pour de nombreux acteurs économiques, l’ITM représente un levier concret de visibilité et de création d’opportunités. « Chaque édition nous permet de conclure de nouveaux partenariats et de mieux positionner nos offres sur le marché régional », confie un responsable d’hôtel basé sur la côte est. Les retombées économiques sont également attendues du côté de l’artisanat, mis en avant à travers l’IHM. Une artisane venue des Hautes terres explique que ce type de salon « ouvre des débouchés réels, surtout pour l’exportation et les commandes en volume ». Avec les rencontres B2B, les eductours destinés aux tours opérateurs et les animations ouvertes au public, l’évènement génère une dynamique commerciale qui profite à l’ensemble de la chaîne touristique, même si certains professionnels soulignent encore des défis logistiques à améliorer.

 

Espace de réflexion 

 

Au-delà de l’aspect commercial, l’ITM 2026 se positionne comme un espace de réflexion économique sur l’avenir du tourisme à Madagascar. La tenue de la 10e édition des Assises internationales du tourisme durable, avec la participation de cinq experts internationaux en collaboration avec Tourisme sans frontières, devrait alimenter les débats sur la compétitivité et la durabilité du secteur. La transformation numérique figure parmi les priorités affichées, avec la poursuite de la digitalisation des échanges entre organisateurs, exposants et visiteurs. Pour un tour opérateur local, « le numérique n’est plus une option, c’est une condition pour rester visible face à la concurrence régionale ». L’évènement entend aussi renforcer l’attractivité de la destination sur les marchés internationaux, tout en valorisant les richesses locales et la préservation de l’environnement. Le programme sera structuré autour de deux journées professionnelles et de deux journées grand public, afin d’équilibrer enjeux économiques et sensibilisation des visiteurs. L’accueil d’un pays invité d’honneur viendra compléter cette ouverture internationale, favorisant les échanges d’expériences et l’innovation. Pour un économiste du tourisme, l’ITM agit comme « un catalyseur, capable d’orienter les investissements et de dessiner les priorités du secteur pour les prochaines années », même si la concrétisation de ces ambitions dépendra aussi des politiques publiques et de l’implication durable des acteurs privés.

 

 

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A partir de ce samedi 20 décembre, le Musée de la photographie ouvrira ses portes à une immersion exceptionnelle dans la vie et les traditions du sud-est de Madagascar. L’exposition « Au pays des sept rivières », signée par le photographe, historien et anthropologue Philippe Beaujard, invite les visiteurs à un voyage visuel et humain au cœur de trois communautés emblématiques : les Tanaladu du mont Ikongo, les Antambahoaka du District de Mananjary, et les Antemoro de la vallée du fleuve Matatàna. 

Ce projet photographique ne se limite pas à une simple collection d’images. Il constitue également une véritable ode à la relation profonde que Philippe Beaujard a tissée avec ces peuples au fil de ses vingt-cinq années de terrain, entre 1970 et 1995. A travers ses clichés, il raconte une histoire d’échanges, de partage et de respect mutuel, rendant hommage à ces communautés paysannes dont il a partagé le quotidien. Ces photographies, mêlant souvenirs personnels et témoignages ethnographiques, offrent une fenêtre sensible sur leur mode de vie, leurs rituels et leurs liens avec la nature. 

L’exposition s’inscrit dans le cadre du Café-histoire, un rendez-vous régulier du Musée de la photographie de Madagascar qui vise à explorer les sociétés malgaches sous un prisme à la fois historique et humain. En clôture de l’année 2025, cet événement offrira une occasion privilégiée d’aborder la richesse culturelle du sud-est de l’île, tout en découvrant le regard d’un chercheur passionné. Philippe Beaujard, qui sera également présent pour partager ses expériences de terrain, évoquera ses rencontres humaines, ses moments de partage, mais aussi les défis rencontrés lors de ses missions ethnologiques. 

Ingénieur agronome, anthropologue et historien, Philippe Beaujard est une figure incontournable dans l’étude des sociétés malgaches. Directeur de recherche émérite au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), situé à Paris (France), il a publié une dizaine d’ouvrages consacrés à Madagascar, abordant des sujets aussi variés comme la circoncision Antambahoaka, les calendriers anciens ou encore les pratiques de guérison traditionnelles. Son travail, reconnu au niveau international, constitue aujourd’hui une référence essentielle pour quiconque souhaite comprendre la complexité et la richesse historique et culturelle dans la partie sud-est de Madagascar. L’entrée dans l’exposition sera libre et gratuite, et se déroulera dans le cadre enchanteur des jardins du Musée de la photographie.

Si.R

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Editorial

  • Double test !
    Selon le programme établi et publié à la presse, il y aura ce jour du lundi 15 décembre un premier face-à-face officiel entre les députés et les membres du Gouvernement. Une première séance officielle de « questions – réponses » entre les parlementaires de l’Hémicycle et les ministres et cela en vertu de l’art. 102 de la Constitution précisant le cadre global du rapport entre l’Assemblée nationale et le Gouvernement, entre les membres du Législatif et ceux de l’Exécutif.

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