mardi, 17 juin 2025

La une du 18 juin 2025

Publié dans La Une
mardi, 17 juin 2025

Une farce de plus !

Et voilà encore une comédie, une blague moche. Une farce de plus.

Les deux ex- locataires d’Iavoloha interpellent les dirigeants en place. A Paris, Ravalomanana Marc et Rajaonarimampianina Hery publient, ensemble, un communiqué adressé aux tenants du régime à Antananarivo, à l’intention de la presse locale, aux médias internationaux, en direction des chancelleries diplomatiques en poste à Madagasikara et également à l’intention des dirigeants de la SADC. Motif, ils font savoir leur profonde préoccupation sur la situation qui prévaut à Madagasikara et par la même occasion, les deux  ex-Chefs d’Etat jugent inopportune la tenue du sommet de la SADC qui devra se tenir à Antananarivo le mois d’août prochain et suggèrent le report sinon le déplacement de la rencontre des Chefs d’Etat vers une autre localité ou une autre capitale d’un pays membre de la SADC.

Certainement, le pays traverse en ce moment une de ces situations difficiles. La pauvreté est toujours présente partout, visible à l’œil nu, l’insécurité étouffante et les récurrents problèmes d’approvisionnement en eau et les délestages intempestifs sévissent encore et toujours, sans issue. C’est indéniable ! Le ton monté de quelque cran parfois violent qui frise les altercations durant le face-à-face entre les membres du Gouvernement et les députés à Tsimbazaza tout récemment illustre en grandeur nature le malaise social et économique qui prévaut dans le pays.

Mais lorsque les critiques proviennent d’anciens hauts dirigeants du pays — en particulier d’ex-chefs de la magistrature suprême — qui, durant leur règne sans partage, ont eux-mêmes contribué à la crise actuelle des conditions de vie, on ne peut que s’en indigner. Ils ont une énorme et certaine part de responsabilité de la décadence actuelle de la vie nationale, en général, de l’économie nationale en particulier. Tout cela pour ainsi dire que Ravalo et Rajao ne sont pas les mieux indiqués pour moraliser ni lancer des piques contre qui que ce soit ou en direction des dirigeants en place. Ils doivent, avec une dose minimale de sincérité et d’intégrité, reconnaitre leurs responsabilités et faire amende honorable devant le peuple. Un Ravalomanana Marc qui a été « chassé » du pouvoir par un peuple en furie signifie en soi qu’il ne mérite pas diriger la Nation. Un Rajaonarimampianina Rakotoarimanana Hery Martial qui n’a obtenu que 7,8 % des voix en 2018 au terme de son mandat ne pouvait rien faire, normalement, autre que se taire ! Cela dit tout. 

Et ce geste éhonté d’oser suggérer qu’il faudrait retirer de Madagasikara l’honneur d’accueillir le sommet des Chefs d’Etat de la SADC au mois d’août prochain relève d’une effronterie sans précédent. L’organisation d’un sommet de ce genre dans un pays donné se décide et se prépare des mois voire des années auparavant. Ce n’est pas parce qu’un ou deux dirigeants d’Opposition qui surgissent de nulle part et qui proposent qu’on doit changer le pays d’accueil que tout le monde va tout remettre en cause ce qui a été décidé. Quel chamboulement en résulterait-il ? Non, soyons sérieux et réfléchissons mûrement sur ce qu’on doit dire ! Assez d’enfantillages messieurs les anciens Chefs d’Etat. Avoir le cran de soumettre de telle proposition en public traduit une immaturité morale et politique. Une farce de plus !

Ndrianaivo

Publié dans Editorial

Les sénateurs malgaches s'accordent sur l'impératif d'établir une communication fluide et transparente avec les membres du Gouvernement, condition sine qua non pour dynamiser le développement national. C'est ce qu'a notamment souligné le vice-président du Sénat en charge de la partie Nord de Madagascar, Besoa Erick, lors du récent face- à- face entre les deux institutions. Selon ce dernier, une communication plus proactive de la part du Gouvernement est cruciale, en particulier concernant les décisions majeures prises en Conseil des ministres et dont la mise en œuvre traîne. Il a constaté que de nombreuses collectivités décentralisées éprouvent des difficultés à comprendre les modalités d'application de certaines décisions, parfois vieilles de deux ans. D'où la nécessité de fournir des explications précises sur les délais, les étapes de réalisation et les procédures à suivre. Cette clarté permettrait d'éviter les malentendus entre l'Exécutif, le Parlement et la population. Une collaboration fluide entre le Gouvernement et les représentants parlementaires est indispensable pour que ces derniers puissent relayer des informations fiables et adaptées aux réalités locales auprès des citoyens. Il a également rappelé que tous les projets n'ont pas le même calendrier de mise en œuvre, ce qui justifie une communication régulière pour gérer les attentes.

La Région d’Ambatosoa, un exemple concret

Cette exigence de clarté et de suivi se manifeste concrètement dans plusieurs Régions du pays. Le vice-président du Sénat a ainsi mis en lumière le cas de la Région d'Ambatosoa, où la nomination d'un chef de région est perçue comme un préalable urgent pour impulser le développement local. Il a cité une liste de projets d'envergure, validés en Conseil des ministres mais toujours à l'arrêt : la création d'un Tribunal de première instance, une prison à Mananara Nord, un bureau des domaines, une université régionale, ainsi que diverses infrastructures hydrauliques à Mananara et Maroantsetra. Le démarrage effectif de ces chantiers est crucial pour le désenclavement durable de cette partie de l'île. Réaffirmant la mission du Sénat, Besoa Erick a conclu : « Les sénateurs ont le devoir de proposer, de conseiller et de défendre les intérêts des collectivités décentralisées auprès du Gouvernement ». Cette action est, selon lui, fondamentale pour le renforcement de la démocratie et l'atteinte d'un développement équilibré sur tout le territoire malgache.

Nikki Razaf 

Publié dans Politique

L’affaire d’intoxication alimentaire – ou d’empoisonnement, selon certaines hypothèses – survenue lors d’un anniversaire à Ambohimalaza samedi dernier prend une tournure de plus en plus dramatique. Le dernier bilan fait état de 17 décès, cinq nouveaux morts ayant été enregistrés hier. Le nombre de personnes hospitalisées continue donc d’augmenter. 

A l’ HJRA Ampefiloha, 51 patients auraient été admis depuis dimanche. Parmi eux, 14 seraient décédés, 19 lutteraient entre la vie et la mort, et 4 auraient pu sortir de l’hôpital. D’autres victimes auraient également été signalées dans divers établissements : trois à Andohatapenaka, une à l’HOMI, et une dans une clinique privée, portant le total à 17 décès à la date d’hier.

Selon des informations non officielles, deux femmes ayant assuré le service traiteur lors de la fête auraient été placées en garde à vue. Cette mesure n’a toutefois pas encore été confirmée par les autorités compétentes contactées par nos soins. Leur éventuelle implication dans le drame ne serait à ce stade ni établie ni écartée. 

Aucune preuve formelle ne permettrait pour l’instant de les incriminer directement. Il resterait à déterminer si les mets incriminés figuraient parmi ceux qu’elles auraient préparés, ou s’ils proviendraient d’autres sources. Les résultats des analyses toxicologiques, menées par les autorités sanitaires, n’ont pas encore été officiellement rendus publics. 

Cellule de crise

Le ministère de la Santé aurait, de son côté, a appelé toute personne ayant consommé des plats provenant de cette fête – y compris ceux rapportés à domicile – à se rendre à l’HJRA Ampefiloha pour un suivi médical.

La Gendarmerie a tenu une conférence de presse hier pour annoncer la poursuite de l’enquête. Une cellule de crise a été mise en place afin d’identifier la cause exacte de l’intoxication, de prévenir d’éventuels décès supplémentaires et de déterminer les aliments potentiellement dangereux.

Selon les déclarations du Général Ravoavy Zafisambatra, directeur de la sécurité et du renseignement au sein de la Gendarmerie nationale, toutes les mesures nécessaires devraient être prises pour faire la lumière sur cette affaire qui bouleverse l’opinion publique.

La Première dame, Mialy Rajoelina, a exprimé publiquement son soutien aux familles endeuillées ainsi que ses vœux de prompt rétablissement aux victimes encore hospitalisées. Dans un message publié sur les réseaux sociaux, elle a fait part de sa peine et de sa solidarité en ces heures sombres.

Face à l’ampleur de la tragédie, plusieurs voix s’élèvent pour demander l’instauration d’un deuil national. En attendant les conclusions de l’enquête, l’émotion reste vive et les interrogations nombreuses.

La Rédaction

 

Publié dans Politique

L'affaire s'est produite récemment dans le District d’Ambatondrazaka, Région d’Alaotra-Mangoro. Là, un élu local était venu porter plainte au Commissariat de police à cause des agissements d'un suspect le concernant. Ce dernier, un homme de 47 ans, et qui prétend être magistrat siégeant au Tribunal d'Ambatondrazaka, contacte fréquemment le plaignant, pour ne pas dire le harcèle au téléphone. Dans les arguments du suspect afin de faire pression sur la victime, il lui explique qu'il est trempé dans un dossier sale au Tribunal. Et qu'il faudra ainsi blanchir l'élu vis-à-vis de la Justice, sinon il risque d'aller directement en prison. Pour que ce dernier ait donc l’esprit tranquille, il faudra qu'il paie 56 millions d’ariary.

Loin de céder aux menaces et à la pression du suspect, l'élu a décidé de porter plainte contre celui-ci. Sitôt informée, la Police, travaillant de concert avec la victime, a préparé un guet-apens.

C'était dans ces circonstances que le pseudo-magistrat en cause fut arrêté dans le quartier d'Avaradrova. Car en se rendant au rendez-vous que l'élu lui a fixé afin de lui remettre la somme demandée, le suspect s'est jeté dans la gueule du loup. Car au lieu d'espérer rencontrer l'élu en tête-à-tête, il ne s'attendait pas à ce que ce dernier se faisait accompagner par des policiers. Ceux-ci l'ont arrêté sur-le-champ. Pendant qu'ils le fouillent, les Forces de l'ordre l'ont surpris avec une arme à feu, un revolver de fabrication italienne, 12 munitions de calibre 22 LR et 6 autres de calibre 12. Le suspect sera bientôt déféré après sa garde à vue.

Franck R.

Publié dans Société

Une agitation en mer. Des vagues intenses sont attendues sur une bonne partie du sud-ouest de l’océan Indien. Vers la fin de la semaine, une houle australe sera à surveiller de près. Les activités maritimes devraient de nouveau être perturbées par un nouvel épisode d’une houle australe, le long des côtes sud-ouest et sud du pays A partir de vendredi, un premier train de houle pourrait toucher les côtes sud de Madagascar. Elle sera d’intensité modérée avec des vagues comprises entre 3 et 3,5 mètres de hauteur, tandis qu’à compter de dimanche, une houle significative est prévue, selon Météo Madagascar.

 

« Les modélisations actuelles laissent entrevoir un deuxième épisode, potentiellement plus impactant. Pour la journée de dimanche, certains scénarios évoquent une houle pouvant atteindre les 5 mètres de hauteur dans le sud et le sud-ouest de l’île. Ce type de configuration est typique des grosses tempêtes australes qui balayent les quarantièmes, et qui par effet de train d’onde, déclenchent ces longues houles venues du large », décrit le site Cyclone océan Indien.

 

A tout moment, la situation pourrait dégénérer. Par conséquent, les habitants des zones côtières, les pêcheurs et les navigateurs sont sollicités à suivre régulièrement les bulletins météorologiques, notamment à l’approche du week-end prochain.

 

Le vent d’alizé devrait s’intensifier après le passage du nouveau front froid au sud du pays, en milieu de semaine. Des brouillards matinaux seront présents sur les hautes-terres centrales et la partie sud-est du pays. En fin de semaine, des pluies alizéennes seront de retour sur les régions orientales, avec un risque de crachins locaux sur le versant Est des hautes-terres. Les températures maximales connaîtront une tendance à la hausse sur la majeure partie de l’île, en milieu de semaine. Par contre, elles devraient de nouveau connaître une baisse en fin de semaine, particulièrement sur le grand Sud, la partie Est, ainsi que les hautes-terres centrales. Les températures maximales varient de 18 à 35° C, tandis que les minimales avoisinent les 4 à 23° C.

 

Anatra R.

Publié dans Société

La douane a officiellement tourné une page numérique de son histoire en lançant, hier, au Novotel & Spa Ivandry, son nouveau système d’information des ressources humaines : IKOLO. Acronyme de « Informatika Kolo OLOmbelona », cet outil témoigne d’une volonté claire de replacer l’humain au centre de la performance administrative. Dans un contexte de transformation numérique accélérée, cette initiative marque un tournant dans la gestion des talents et compétences au sein d’un corps de métier longtemps resté prisonnier de ses lourdeurs bureaucratiques. « Reconnaître les décalages entre les besoins réels et nos capacités internes a été le point de départ de profondes remises en question », a souligné Lainkana Zafivanona Ernest, directeur général de la douane. Selon lui, l’administration douanière n’a pas seulement besoin de contrôleurs ou d’agents de saisie, mais aussi de profils variés allant des data scientists aux pilotes de drone, en passant par les spécialistes en IA. Grâce à IKOLO, ces nouveaux métiers peuvent enfin être intégrés, cartographiés, suivis et valorisés dans un cadre structuré et équitable. Ce système, fruit d’une coopération technique avec la douane sud-coréenne, permet une gestion fine des affectations, des actes administratifs, de la formation continue et des performances. A cela s’ajoutent quatre piliers RH déjà finalisés dont un référentiel des emplois, un référentiel des compétences, des descriptifs de postes et un dictionnaire des compétences, tous conformes aux standards internationaux de l’Organisation mondiale des douanes. Un écosystème complet, pensé pour l’efficacité.

 

Levier

Au-delà du simple outil technologique, IKOLO est aussi un levier politique et humain. Il incarne un changement culturel où la compétence, le mérite et la transparence deviennent les nouveaux piliers de la gestion publique. « Un agent bien formé, affecté à un bon poste et disposant d’un bon environnement s’épanouit. Et un agent épanoui, c’est un service public renforcé », insiste encore Lainkana Zafivanona Ernest. Pour Marie Ange Rakotoarisoa, directrice du projet 29 qui chapeaute la réforme, « IKOLO vient concrétiser un travail de fond entamé dès 2019, avec l’accompagnement des partenaires européens, et validé par plusieurs missions d’expertise internationale ». La plateforme numérique ICURU, complémentaire d’IKOLO, a aussi été présentée. Elle assurera la gestion digitalisée des parcours professionnels, avec un tableau de bord RH en temps réel. Bien sûr, tout n’est pas encore parfait : certains syndicats pointent déjà la fracture numérique au sein des agents les plus âgés, ou les risques de centralisation excessive des données. Mais une chose est sûre : l’administration douanière semble enfin sortir du pilotage à vue. 

 

 

 

 

 

Publié dans Economie

La ville d’Antananarivo se prépare à accueillir une édition spéciale de la Fête de la musique, ce samedi 21 juin 2025, dès 16h, à l’Institut français de Madagascar (IFM), situé à Analakely. L’événement mettra à l’honneur la créativité et la diversité des femmes qui illuminent la scène musicale malagasy, dans un véritable hommage à leur contribution artistique essentielle.

Depuis plusieurs années, l’IFM fait de cette fête universelle un rendez-vous où s’entrelacent genres, artistes, styles et générations pour offrir une expérience musicale riche et singulière. En 2024, cela s’était traduit par une programmation audacieuse réunissant une fanfare de rue, un groupe de jazz et des musiciens électro, tous revisitant des classiques intergénérationnels dans un esprit de communion populaire. Pour l’édition 2025, la lumière sera portée exclusivement sur les talents féminins de la scène musicale locale. Ce concert exceptionnel mettra en valeur leur créativité, leur force et leur rôle crucial dans la musique contemporaine.

Mais il ne s'agira pas seulement d'une programmation exclusivement féminine car l’objectif est de créer un dialogue artistique entre les musiciennes, où chacune interprétera les œuvres des autres. Ce processus collaboratif donnera naissance à un spectacle collectif inédit, empreint d’énergie et d’émotion partagée. Parmi les artistes qui prendront part à cet événement, le public retrouvera Dee Andriambelo - chanteuse et bassiste, Lock - chanteuse et guitariste, la rappeuse Fitia, la saxophoniste Amboara, Fara aux « steel drums », la Réunionnaise Dilo à la batterie, ainsi que la slameuse Navalona. En s’unissant, ces femmes talentueuses délivreront un message puissant. 

Sur scène, la femme musicienne n’est pas juste une présence secondaire mais bien une créatrice accomplie, qu’elle soit chanteuse, instrumentiste, compositrice, productrice ou cheffe d’orchestre. Avant le concert principal, une scène ouverte sera dédiée aux jeunes talents émergents grâce à l’initiative « Cultiver demain ». Sous les arcades de l’IFM, ces groupes débutants auront l'occasion de se produire devant le public, démontrant leur potentiel et affirmant l’engagement de l’institution envers la jeunesse ainsi que le développement de la scène musicale locale. Cette Fête de la musique 2025 reflète l’engagement profond de l’IFM à soutenir une scène artistique féminine innovante, connectée aux enjeux sociaux et culturels contemporains.

Si.R

Publié dans Culture

Le week-end des 14 et 15 juin 2025 a permis aux passionnés de football d’Ambatondrazaka d’avoir un aperçu du niveau de l’élite locale dans la discipline reine, à savoir le football.". En effet, le samedi 14 juin, le stade Rasolonjatovo a été le théâtre de la première demi-finale aller ayant opposé l’Association sportive tanoran’Andilamena miray (ASTAM)  à  l’Olympique de la Mangoro(OM). « Chaque club n’a rien à envier à l’autre. Le score de 2-1 reflète parfaitement le niveau de jeu des 22 acteurs ».        

Dimanche 15 juin, dans le cadre de la deuxième demi-finale aller de la ligue, deux clubs d’Ambatondrazaka se sont affrontés : le 3FB et le Club Saint-Pierre. Le Club de la Santé l’a emporté sur le score de 2 à 0.         Les deux rencontres ont été, force est de l’admettre, l’une des rares occasions pour la population du Chef-lieu — et plus largement pour la Région — de se faire une idée du niveau des footballeurs locaux. Un niveau qui, somme toute, n’a rien à envier à celui des joueurs des grands clubs de la Grande île — tant au regard des prestations individuelles (valeurs athlétiques, technique, engagement…) que sur le plan collectif (relances, occupation stratégique du terrain selon les circonstances…).

Ceux qui prendront la peine d’assister aux demi-finales retour en seront témoins !

Le football se porte bien dans notre Région. Dieu merci !

Nandrasana

 

Publié dans Sport

Fil infos

  • Sénat – Exécutif - Une communication optimum entre les deux institutions réclamée par les sénateurs
  • Intoxication alimentaire ou empoisonnement à Ambohimalaza - Le traiteur placé en garde à vue
  • Lutte contre la corruption - Le sénateur Ndremanjary Jean André plaide pour la fin des immunités  
  • Ntsay Christian - « Il faut dénoncer toute forme de dérive ! »
  • Actu-brèves
  • Ravalomanana et Rajaonarimampianina - Une honte pour le pays
  • Rapports entre l’Exécutif et le Parlement - Tokely Justin écarte les rumeurs de tension
  • Région Itasy  - Le parti TGV « redynamise » ses troupes  
  • Actu-brèves
  • Andry Rajoelina à l’ITM - Cinq hôtels cinq étoiles en projet

La Une

Recherche par date

« June 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
            1
2 3 4 5 6 7 8
9 10 11 12 13 14 15
16 17 18 19 20 21 22
23 24 25 26 27 28 29
30            
Pub droite 1

Editorial

  • Une farce de plus !
    Et voilà encore une comédie, une blague moche. Une farce de plus. Les deux ex- locataires d’Iavoloha interpellent les dirigeants en place. A Paris, Ravalomanana Marc et Rajaonarimampianina Hery publient, ensemble, un communiqué adressé aux tenants du régime à Antananarivo, à l’intention de la presse locale, aux médias internationaux, en direction des chancelleries diplomatiques en poste à Madagasikara et également à l’intention des dirigeants de la SADC. Motif, ils font savoir leur profonde préoccupation sur la situation qui prévaut à Madagasikara et par la même occasion, les deux ex-Chefs d’Etat jugent inopportune la tenue du sommet de la SADC qui devra se tenir à Antananarivo le mois d’août prochain et suggèrent le report sinon le déplacement de la rencontre des Chefs d’Etat vers une autre localité ou une autre capitale d’un pays membre de la SADC. Certainement, le pays traverse en ce moment une de ces situations difficiles. La pauvreté…

A bout portant

AutoDiff