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Maintien de l’emploi. Un peu moins d’un millier de salariés de l’enseigne de grande distribution Shoprite peuvent, à présent, exprimer un ouf de soulagement. Le groupe Habibo annonce officiellement la reprise des activités du géant sud-africain à travers la collaboration de Habibo avec l’enseigne de Magasins U qui est une coopérative de distribution d’origine française. Cependant, ce ne sont pas seulement les employés de Shoprite qui peuvent être rassurés. Les premiers bénéficiaires, qui sont les consommateurs habitués ou non aux services de Shoprite depuis plus d’une vingtaine d’années pourront encore, ainsi profiter de ce savoir-faire qui sera même amélioré à travers la collaboration du groupe Habibo et de l’enseigne de Magasins U. Les futurs « anciens » magasins Shoprite à travers tout le territoire national resteront ainsi ouverts avec les mêmes offres en plus des nouveaux produits apportés par ce nouveau partenariat. Forts de leurs expériences, les deux nouveaux collaborateurs vont ainsi parfaire les offres de ces quelques dizaines de grandes surfaces. A rappeler que le groupe Habibo est le leader dans la production de lait UHT, de jus de fruits et de pâtes alimentaires à Madagascar. En plus de leurs activités industrielles, le groupe est aussi un important importateur et le distributeur exclusif d’un large portefeuille de marques internationales de produits alimentaires, de boissons et de produits d’hygiène.
Réseau élargi
Habibo commercialise plus d’une cinquantaine de marques de première qualité qui sont soit produites dans leur usine localement, soit importées depuis une trentaine de pays. Fort d’une équipe de plus de 700 personnes, le réseau du groupe couvre les 22 Régions du pays pour assurer le meilleur service aux consommateurs. Par ailleurs, pour compléter un système de distribution locale affirmée, Habibo Group exporte plusieurs produits « Made in Madagascar » dans l’océan Indien et vers d’autres continents. D’un autre côté, la Coopérative U qui est le quatrième acteur majeur de la grande distribution en France, regroupe les enseignes Hyper U, Super U, U Express et Utile. Peu de groupes de distribution sont capables de gérer avec un même professionnalisme un hypermarché de 10 000 m² et un magasin de proximité de 400 m². Du cœur de ville au bourg rural, de la supérette à l’hyper, la Coopérative U déploie une stratégie multi-formats qui lui permet de répondre à tous les besoins et d’être présent sur tous les terrains. Bien plus qu’un distributeur, sa spécificité est d’avoir à la tête de chaque magasin un commerçant indépendant associé qui s’appuie sur la force d’une coopérative. Autant dire que la pérennité des emplois et des services de Shoprite Madagascar est assurée avec l’expérience de ces deux protagonistes.
Hary Rakoto


Opportunités à profusion. Les 24 et 25 août derniers a eu lieu à Paris (France) la Rencontre des Entrepreneurs Francophones (REF). Une délégation d’opérateurs malagasy dirigée par le Président de la République, Andry Rajoelina, a représenté le pays pour l’occasion. La fameuse Chocolaterie Robert et Vaniala, une entreprise à l’origine du célèbre baume « Fosa », ont figuré parmi les participants. Les représentants de ces entreprises ont ainsi bien voulu confier en quelques lignes à la Rédaction de La Vérité leurs attentes, leurs ressentis vis-à-vis de ces rencontres mais surtout les résultats concrets obtenus pour l’occasion.

Rapprochement économique. C’est de cette manière que les politologues et économistes décrivent la stratégie de charme adopté par les autorités malagasy en emmenant une forte délégation de chefs d’entreprise à la dernière Rencontre des Entrepreneurs Francophones. Il faut dire qu’après une ou deux années de relation diplomatique plus ou moins houleuse, sans compter la crise sanitaire mondiale, l’Hexagone et la Grande île se devrait de raffermir cette relation historique. Effectivement, à travers ce voyage officiel d’une délégation composée d’une quarantaine de chefs d’entreprise et quatre ministres, les autorités visent loin en présentant Madagascar comme une terre idéale d’investissement. Elles entendent ainsi mettre en exergue les opportunités économiques que Madagascar est en mesure de proposer aux investisseurs, en mettant l’accent sur l’attractivité et les produits d’exception.
Pour renforcer la relation diplomatique franco-malagasy, il serait par conséquent approprié de parler de partenariat public-privé. Il s’agit d’accentuer l’importance de ce dernier sur l’équité et l’esprit de partage entre les entreprises de part et d’autre dans la mesure où la Francophonie, au-delà de la simple relation linguistique, est également un formidable levier qui permet à tous ces membres de coopérer en termes de développement. En effet, il ne s’agit pas uniquement d’une relation bilatérale entre la France et Madagascar. Grâce à cette communauté francophone, le secteur privé malagasy a pu aussi ouvrir d’autres horizons en rencontrant le patronat marocain. Une initiative qui signifie, bien évidemment, une énième opportunité de marché à l’extérieur pour les opérateurs malagasy.

« Les produits "Vita Malagasy" bientôt labélisés CE (Union européenne)», Jean Claude Ratsimivony, président-directeur général de Vaniala

« A l’occasion de la Rencontre des Entrepreneurs Francophones, nous avons pu assister à diverses rencontres et conférences. Le plus gros avantage est que les consommateurs mais aussi les opérateurs, venus des quatre coins du monde entier, ont pu approfondir leurs connaissances sur les produits "Vita Malagasy". A l’origine, les gens ne connaissent Vaniala qu’à travers le Baume " Fosa ". Ils étaient étonnés de l’existence d’une large gamme de produits dont nous disposons, fabriqués essentiellement à partir des ressources naturelles du pays. Quant aux rencontres "Business to Business", elles nous ont permis de trouver des nouveaux partenaires, en partant de la logistique à la distribution et la commercialisation de nos produits, pas seulement en France mais aussi dans toute l’Europe. De plus, nous avons pu discuter de près avec un laboratoire qui sera en mesure de certifier les produits "Vita Malagasy" au label CE de l’Union européenne. Cela va radicalement modifier le statut de nos produits, notamment sur le marché européen mais aussi sur le marché international. Les débouchés ne se limitent certainement pas à l’Europe. Plusieurs autres pays s’intéressent également à nos produits et il faut savoir exploiter cette opportunité. Par la suite, nous allons les améliorer suivant les recommandations reçues et nous allons revenir pour concrétiser nos collaborations avec ces nouveaux partenaires. Pour ma part, les rencontres de ce genre devraient être multipliées pour augmenter les opportunités à notre portée ».

Chocolaterie Robert
« Promouvoir l’excellence du concept "Vita Malagasy" »
Nous étions présents principalement pour trouver d'autres opportunités de marché au-delà de ce que nous avons déjà, même si nous sommes déjà implantés en France. Par ailleurs, les rencontres nous ont permis de nous rendre compte que le concept d'excellence de nos produits doit être impérativement maintenu à ce même niveau si nous voulons conquérir d'autres marchés. Nous ne devons pas uniquement se reposer sur nos lauriers. Nos prix et la reconnaissance déjà acquis au niveau international favorisent déjà les possibilités d'opportunité. Et grâce à la tenue de la REF, nos chances ont été multipliées. Cependant, il est impératif de toujours maintenir cette culture d'excellence que peu d'opérateurs locaux recherchent alors qu’ils sont en quête de marchés internationaux dont le suivi des normes est éxigé d’un cran par rapport aux attentes des consommateurs locaux.

Dossier réalisé par Rova Randria et Hary Rakoto

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Au pas de course !

L’image forte qui vient du Nord, transmise à la Nation, montre un Président de la République au pas de course. En visite de travail dans la partie septentrionale du pays le week-end passé, le Chef de l’Etat accompagné de son épouse Mialy Rajoelina conduit une délégation pour constater de visu les réalités sur terrain. Une tournée qui entre, dans un premier temps, dans la ligne droite de ce qu’il annonçait comme cadre de travail à Iavoloha le 15 août lors de la présentation officielle des nouveaux membres du Gouvernement Ntsay. En effet, Rajoelina Andry Nirina a bien voulu signifier les « nouveaux élus » que la raison d’être de leur mission respective consiste à descendre sur terrain et s’enquérir des réalités sur place pour y étudier les issues des problèmes au lieu de « s’engraisser » entre les quatre murs de leur bureau. Un recadrage nécessaire dans la mesure où les ministres ont la tendance de se contenter à des travaux sur table loin des « zava-misy » pour se faire du poids sur leur fauteuil doré.
A Antsiranana et environs, le Président Rajoelina, aux côtés de son épouse, tenait à voir sur place les problèmes qui engluent la Société d’études, de construction et réparation navales (SECREN) créée en 1975, ce fleuron de l’économie nationale et le symbole de la fierté de la Grande île.  Il discutait avec les employés de l’ex-DCAN, Direction des constructions et armes navales (1945) à l’issue de laquelle le Chef de l’Etat s’est engagé à régler progressivement les arriérés de salaire du personnel. Il lançait, par ailleurs, le coup d’envoi des travaux de réparation de la RN 6 reliant Antsiranana à Ambanja, long de 233,8 km. Et il inaugurait le tronçon bitumé de la route menant à Ramena (18 km) au pas de course sur au moins 3 km suivi par une foule de gens enthousiasmés et entièrement acquis à la cause. En fin de parcours dans le grand Nord, le couple présidentiel donnait le coup de pioche inaugural pour la construction du « Centre Akany Fitiavana » .  Un déplacement chargé et complet dont l’objectif affiché est de donner un coup de fouet à l’essor de cette Région riche potentiellement parlant mais qui attend depuis des années son décollage !
Le second volet de l’image, qui n’est pas des moindres et symbolisant le message central du déplacement dans le Nord, repose sur l’idée de l’urgence des actes à entreprendre. A travers cette image de course aux pas mesurés, le Chef de l’Etat voulait véhiculer le concept que « tout est urgent ». Il ne suffit pas de marcher mais il faut courir sans se précipiter. Il y a quelque part une course contre la montre. Il faut aller vite ! Le temps presse ! Ainsi, pour certains le « jogging » de Ramena fut une démonstration de force. En partie vrai mais pour d’autres il s’agit essentiellement d’un message clair selon quoi les dirigeants de ce pays ne doivent pas perdre leur précieux temps à répondre verbalement les critiques des détracteurs, il leur faut au contraire s’atteler au travail et travailler vite.
Allons-y au pas de course ! Les tergiversations des années écoulées nous ont causé des torts. Il faut rattraper le retard.
Ndrianaivo


A deux doigts de déclarer forfait. Le CFFA, vainqueur de la Telma Coupe de Madagascar, a failli rester à quai et rejoindre la Zambie dans le cadre du match retour du tour préliminaire de la Coupe de la Confédération. A cette rencontre prévue se tenir ce dimanche, les dirigeants du CFFA ont dû frapper à toutes les portes afin de boucler le budget nécessaire pour les 30 membres de la délégation. Une démarche devenue incontournable suite à la décision de la Confédération africaine de football (CAF) de faire disputer le match- aller qui s’est soldé sur un score de parité (0-0) à huis clos. Cette imprévue a privé l’équipe malagasy de recettes habituelles qui pourraient alléger les dépenses pour le match retour. Sollicité par le club CFFA pour combler « le vide », le Président de la République, Andry Rajoelina, est venu à la rescousse de la formation malagasy qui est l’unique représentante des clubs de la Grande île aux compétitions africaines. D’après un dirigeant du CFFA, le Président de la République a décidé de prendre en charge les frais de déplacement de la délégation sportive d’Antananarivo à Lusaka via Addis-Abeba. « C’est plus qu’un bol d’oxygène pour nous d’avoir ce soutien du Président de la République à qui nous adressons les sincères remerciements du club. On fera tout pour avoir de bons résultats ce dimanche et de qualifier l’équipe malagasy à la prochaine étape », promet ce dirigeant du CFFA.
Le CFFA, rappelons-le, est une équipe de la Commune d’Andoharanofotsy. Vainqueur de la coupe de Madagascar, cette formation participe, pour la première fois de son histoire, à une compétition continentale. La délégation sportive malagasy quitte le pays ce jour à destination de Lusaka où elle est attendue demain après un arrêt d’une nuit dans la Capitale éthiopienne.
Rata


Madagascar sur une pente glissante. Cet énième incendie au sein du parc national d’Ankarafantsika amène à se poser une question cruciale : peut-on encore le qualifier de zone protégée ? Cette réserve naturelle fait face à de nombreux crimes environnementaux. Et cela ne date pas d’hier. En plus des feux de brousse, cette réserve naturelle subit de plein fouet les impacts de la culture sur brûlis mais aussi de l’exploitation illégale de maïs. Sauf que les autorités n’ont jusque-là pris de décisions concrètes pour mettre fin à ces pressions. Pourtant, ces trois dernières années, le gestionnaire du parc national, à savoir le Madagascar National Parks (MNP), mais aussi les communautés locales ont déjà lancé des appels de détresse, face aux difficultés qu’ils rencontrent. « Des migrants, venant du Sud, arrivent en masse au parc national d’Ankarafantsika pour cultiver du maïs. Ils coupent les arbres pour en faire du charbon.  Ils brûlent la terre pour y semer ensuite les semences de maïs. Une fois que la terre devient infertile, ils passent à d’autres zones pour répéter le même schéma de destruction. Ces actions à répétition finissent par menacer les noyaux durs de la réserve » ont-ils confié à la presse, l’année 2019, durant une descente sur les lieux pour constater de visu les actes barbares faits à l’environnement.
A cette époque, le ministère de l’Environnement avait déclaré que : « Cette situation ne relève pas seulement du domaine de l’environnement. Plusieurs domaines sont touchés par cette migration climatique. Un comité interministériel sera ainsi mis en place pour étudier de près la question et solutionner au plus vite ce problème menaçant nos ressources naturelles». Deux ans plus tard, ce comité interministériel n’est pas toujours en place. Pourtant, Ankarafantsika continue de perdre des hectares et des hectares de forêts, d’année en année. D’autre part, les enquêtes menées par les autorités en trois ans n’ont toujours pas permis de désigner l’entreprise à l’origine de la dégradation des réserves naturelles dans le pays. Ankarafantsika n’est qu’un exemple parmi tant d’autres comme Menabe-Antimena et ses zones protégées mais aussi menacées non connues de tous. De même que les forêts, les espèces qu’elles abritent sont également menacées. Certains animaux, notamment les lémuriens, subissent le braconnage et la chasse illégale, pourtant 90% d’entre eux sont déjà menacés d’extinction à cause du réchauffement climatique. Le Président de la République ambitionne de reverdir Madagascar. Malheureusement, au rythme où la situation environnementale du pays évolue, le pays risque de se noircir, et non de se reverdir.  Et la Grande île perdra alors tous ses attraits qui le permettaient de se distinguer des autres pays du monde. 
Le ministère de l’Environnement et du Développement durable actuel essaie déjà de mettre en place les stratégies adéquates pour renverser la situation, avec la Météo des feux, la campagne de reboisement et la stratégie de lutte contre les feux, mais il manque sérieusement de moyens. Il n’y arrivera alors pas tout seul. Des mesures draconiennes doivent être mises en place pas seulement dans le domaine environnemental pour espérer une protection efficiente de l’environnement du pays. Et ces mesures doivent être définies et appliquées dès aujourd’hui, car demain sera déjà trop tard.
La Rédaction

Le ministre de la Jeunesse et des Sports Hawel Mamod’Ali vient de s’offrir un retour aux sources dans sa ville natale. Pour sa première visite officielle dans les régions après sa nomination, le nouveau patron de la place Goulette à Ambohijatovo était en visite dans la Région Menabe. Plus précisément, il était de passage dans la ville de Morondava en fin de semaine dernière.  

 

Stupeur chez les proches d’une jeune formatrice au sein d’une Organisation non gouvernementale, âgée d’une vingtaine d’années et domiciliée à Anosizato-Est. Vers les premières heures de la matinée, samedi dernier, son corps sans vie avait été retrouvé sur le lit d’une chambre de sa maison située dans ce quartier. Des blessures probablement occasionnées à l’aide d’objets tranchants, et qui ont été observées à la fois sur son visage et certaines parties de son corps, laissent supposer qu’elle aurait été assassinée.

Une activité qui n’est pas conforme au statut de la ville. Après que le Conseil municipal ait confirmé son refus de l’autorisation des taxi-motos à exercer dans la Capitale, la Mairie passe à l’action. Dans la matinée d’hier, les agents de la Police municipale et nationale ont effectué une descente inopinée  à Ivandry. Ils ont ramassé environ cinq taxis-motos, garés à côté du stationnement des taxis-ville. Les matériels ont été saisis, tandis que leurs propriétaires ont été sollicités de monter à bord du véhicule de la Police pour subir une enquête.

 

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Incroyable mais vrai !

Impossible ! Incroyable mais vrai ! La Nation hyper armée, hyper riche, bref superpuissante dans tous les domaines s'agenouille ! L'Amérique pleure ! Elle pleure de l'illusion de super puissante qu'elle se berce d'être depuis. Les Etats-Unis d'Amérique se nourrissent l'idée selon laquelle ils sont inaccessibles, inattaquables. Seulement, ce 11 septembre 2001, le monde s'écroule devant eux. Ce « septembre noir » sévit brutalement.

 

De 600 à 3 000 et au-delà de 10 000 dollars dans certains cas, le taux de fret maritime au niveau mondial ne cesse de croître ces derniers temps. Par le caractère insulaire du pays, la Grande île subit de plein fouet un phénomène qui commence à faire grincer les dents des opérateurs, qu'il soit importateur ou exportateur. « Nous étions stupéfaits des résultats de la simulation de fret que nous avons effectuée sur le site d'une compagnie maritime avec laquelle nous avions l'habitude de travailler.

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  • Développement - Andry Rajoelina érige Sainte-Marie en modèle
  • Tensions à la JIRAMA - Le Président Rajoelina tend la main aux employés
  • Développement de Sainte-Marie - L’Etat appuie sur l’accélérateur 
  • Disparition du bateau AW - L’hypothèse d’un acte de piraterie privilégiée
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Editorial

  • Déficit de confiance
    Les investisseurs boudent. Apparemment, ils hésitent mille fois et réfléchissent soixante-sept fois avant de débarquer sur la Grande île pour placer sinon fructifier leurs précieux capitaux. La directrice générale de l’Economic development board of Madagasikara (EDBM), Josielle Rafidy, devait avouer récemment et publiquement que les investisseurs, du moins les vrais et potentiellement importants, tardent à venir au pays. L’EDBM est l’agence nationale chargée de promouvoir les investissements à Madagasikara. De ce fait, l’EDBM a pour objectif de renforcer la compétitivité du secteur privé, d’accroître l’investissement privé et étranger direct et d’accompagner les investisseurs. A ce titre, l’EDBM propose des services qui pourraient être utiles aux investisseurs tels que des conseillers spécialisés et un guichet unique dans l’objectif précis de faciliter l’implantation et l’expansion des entreprises. En somme, tout y est pour accueillir, comme il se doit, les investisseurs ayant choisi la Grande île pour placer et pour fructifier leur argent.…

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