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La semaine dernière, la disparition puis finalement la réapparition d’une jeune fille de 12 ans prénommée Stéphanie a mis en ébullition la localité d’Ambohitrimanjaka. En cause, un « mpimasy », littéralement devin. D’après le maire Ihajason Randriamanalintsoa, alias Zàzà, qui rejette l’allégation de kidnapping de la fille, ce devin, qui était le présumé responsable de l’émeute du 6 juin dernier, est toujours en cavale et recherché actuellement. Car pour tenter de retrouver les traces de leur fille, les parents auraient sollicité la prestation, sinon le service de ce devin, démarche qu’ils ont prise en parallèle avec les investigations de la Gendarmerie.

 

En exécution de la déclaration du Président de la République, Andry Rajoelina, du 30 mai 2021, et des mesures prises en Conseil des ministres, concernant le traitement des cadavres en cette période d'urgence sanitaire, la Police nationale a effectué une déclaration hier. Selon le contrôleur général de police, Dany Marius Rakotozanany, les mesures concernant le transport des dépouilles en dehors de la Région ne s'appliquent pas aux cas de décès survenus avant le 30 mai dernier.

La grosse frayeur liée à un séisme survenu mardi dernier du côté de Tsiroanomandidy n’a heureusement pas laissé beaucoup de traces. Joint au téléphone hier, le député élu de cette ville, Hajanirina Ramaherijaona a avancé qu’aucun dégât matériel important n’est à déplorer pour le moment.

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Embarquement immédiat !

Le bilan global de la pandémie de Covid-19 continue sa descente. En dépit d'un certain sursaut ou saute d'humeur du virus, une tendance générale à la baisse ravive l'optimisme. Dans tous les cas de figure, le pays doit s'accommoder à vivre avec. Ce n'est pas le premier cas de virus ni le dernier à avoir pu s'infiltrer dans la vie quotidienne des malagasy, le citoyen lambda a réussi tant bien que mal à s'y faire. Son organisme s'adapte naturellement à lutter et à le repousser.

Pour tous, 2021 devait signifier le retour à la vie normale. Mais les nouveaux variants du coronavirus sont de nouveau sortis et malheureusement, les avis sont partagés entre une réouverture totale des frontières et le renforcement des mesures déjà existantes pour protéger le pays des risques d'une reprise de la pandémie. Autant, tous les secteurs ont une reprise planifiée à différents stades, tandis que nous n'avons pas de visibilité sur la durée de la fermeture des frontières. Les points de vue se suivent mais ne se ressemblent pas sur les campagnes de vaccination et les sensibilisations sur le renforcement des mesures de sécurité sanitaire et des gestes barrières.

Comme annoncé, le colloque régional pour l' « Emergence du Sud de Madagascar » a démarré hier à Taolagnaro, dans la Région Anôsy sous la houlette du Président de la République, Andry Rajoelina. Prévue s'étendre sur deux jours, cette concertation régionale se penchera sur les différents projets de développement qui devront être mis en œuvre dans cette partie de la Grande île.

«Gifi, des idées de génie ! ». Les amoureux de la décoration et des bonnes affaires connaissent cette phrase par cœur. C’est celle d’une grande enseigne de magasins en France qui a décidé, l’année dernière, de s’implanter à Madagascar en collaboration avec Sodim Madagascar. Les recrutements du futur personnel se sont faits depuis le mois de janvier dernier.

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LA UNE DU 12 JUIN 2021

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La une du 11 juin 2021

Les corps des personnes non décédées de la Covid-19 sont, dorénavant, autorisés à sortir de la Région. Depuis le 30 mai dernier, où le Président de la République, Andry Rajoelina, a déclaré l’ouverture des Régions, des familles ont espéré pouvoir enterrer leurs proches dans leur caveau familial. Elles ont alors gardé les dépouilles mortelles dans la chambre froide de l’hôpital Joseph Ravoahangy Andrianavalona (HJRA), en attendant la décision du Gouvernement.  Et le Conseil des ministres, qui s’est tenu mercredi, a donné son aval. Il autorise l’enterrement en dehors de la Région d’Analamanga.
Par contre, quelques documents sont exigés et devront être présentés à la Police durant les fouilles sur les routes nationales. Il s’agit du certificat de décès et une attestation sur les causes du décès : une épidémie ou non. Ces deux documents sont délivrés par le Bureau municipal d'hygiène (BMH). Pour le transport, la famille devra disposer d’une autorisation de circulation de dépouille mortelle et un permis d'inhumer, qui sont délivrés par le délégué administratif d'arrondissement. Au cas où le défunt serait décédé dans un hôpital, une attestation d'hospitalisation devrait être délivrée par l’établissement.
Le Conseil des ministres prévoit aussi la mise en place d'une base de données sur les personnes décédées de la Covid-19. Cette décision est valable pour toutes les personnes décédées après la déclaration du Président de la République, le 30 mai dernier.
Toute fraude liée au transport de dépouille en dehors de la Région et passible de sanction, selon toujours ce Conseil des ministres.
Pour rappel, la dépouille, s’il est confirmé que l’individu est décédé de la Covid- 19, devra être enterrée le jour même de son décès. Ainsi, le corps ne devra pas être déplacé que lorsque l’endroit pour son inhumation soit préparé. Seulement 10 personnes pourraient assister à l’inhumation.
Recueillis par Anatra R.

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Editorial

  • Noble cause
    Madagasikara persiste et signe! La Grande île maintient sa position inébranlable et non négociable relative à sa souveraineté sur les îles Eparses. Il s’agit d’une légitime voire une noble cause. En effet, les îles Ampela (Europa), Bedimaky (Bassa da India), Sambatra (Glorieuses), Loza (Tromelin) et Kely (Juan de Nova) appartiennent intrinsèquement au territoire de la République malagasy. La Grande île reste fidèle, jusqu’au bout, à sa position qu’elle a défendue sur la tribune des Nations unies. L’assemblée générale approuva par deux reprises, deux résolutions de 1979 et 1980, l’appartenance des îles Eparses dans le giron du territoire malagasy. Des résolutions non contraignantes mais, tout de même, demandent à la France d’engager la négociation pour les procédures de restitution avec le Gouvernement malagasy.

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