Nos archives web
Super User

Super User

Le Président malgache Andry Rajoelina a atterri à l'aéroport Robert Gabriel Mugabe de Harare, Zimbabwe, hier dans l’après-midi. Il va participer au 44e sommet des Chefs d'État et de Gouvernement de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC). Accueilli avec les honneurs militaires par le ministre zimbabwéen des Mines, Soda Zhemu, cette visite officielle marque un tournant décisif pour Madagascar au sein de cette organisation régionale.

Le retard de la nomination du nouveau Gouvernement est source de supputations et de fantasmes inimaginables. Le juriste Herilaza Imbiki, ancien ministre de la Justice et actuellement député de Madagascar élu à Sainte-Marie, apporte des précisions nécessaires à la notion d’intérim qui tend à perdurer aujourd’hui au pays.
Rappel : le dernier Gouvernement a démissionné à la suite de la proclamation officielle du résultat des législatives du 29 mai. La mise en place de son successeur tarde à venir. « A lire la Constitution de la République, celle-ci est muette sur le principe de fonctionnement d’un gouvernement démissionnaire. La Constitution et la loi malagasy ne déterminent pas non plus ce que c’est l’expédition des affaires courantes », dit le juriste-parlementaire.

%PM, %15 %898 %2024 %20:%Aoû

La une du 16 aout 2024

%PM, %15 %898 %2024 %20:%Aoû

A vos marques !


Dès lors que le Gouvernement a donné le top, les états-majors politiques, toutes mouvances confondues, affûtent les armes. Des proches du pouvoir et des membres de l’Opposition, on s’apprête à se lancer  dans l’ordre de bataille. La date tant attendue est maintenant fixée, il va falloir mettre en œuvre toutes les stratégies pour gagner sans faute le pari.
Le Gouvernement entérine la date du 11 décembre proposée par la CENI pour le scrutin des communales et les municipales. La HCC a déjà donné son feu vert pour que le pays aille aux urnes malgré qu’on soit en pleine  période de pluie. En fait, la validation des juges constitutionnels est formellement requise sinon on enfreint la loi. D’après la Loi organique n° 2018 – 008 dans l’Art 52 : « Le scrutin doit se tenir durant la saison sèche de l’année, entre le 31 mai et le 30 novembre, sauf en cas de force majeure sur la saisine de la juridiction compétente par la Commission électorale nationale indépendante ».
Ce sera un énorme et compliqué défi et pour le Gouvernement et pour la CENI. Il faut prier que des intempéries (cyclone, dépression  tropicale ou autres) provoquant de grosses pluies ne viennent gâcher l’élection. En tout cas, c’est un gros risque à affronter, à prendre en considération ! Il sera question de maîtriser toutes les mesures d’anticipation, preuve de la capacité de tous les responsables concernés.
Les élections communales et municipales autrement appelées élections générales portent toujours en elles le caractère crucial sur l’échiquier politique du pays du fait que, primo, elles incarnent le poids politique que représente une formation politique ou un groupement de formations politiques dans le contexte national en supposant évidemment que le vote se passait dans les conditions normales selon les principes de base de la démocratie. Une élection sujette à critiques ou plombée de doutes fausse les analyses. Heureusement qu’une telle éventualité n’a jamais eu lieu à Madagasikara mises à part les élucubrations sinon les fantasmes de certains losers. En tout cas, au cas où la formation politique proche du pouvoir essuie un échec voire mise en minorité à l’échelle nationale cela représente un couac pour le régime en place. Tandis que si les partis d’Opposition raflent la majorité des sièges (maires ou conseillers municipaux) sur le plan national, c’est un grand risque pour les tenants du pouvoir. Deuxio, les enjeux pour la conquête des grands centres urbains, les six chefs-lieux de Province se trouvent au centre des convoitises. La mairie d’Antananarivo-Ville de par sa situation stratégique étant la Capitale de Madagasikara suscite des intérêts non négligeables. Des ténors de l’Opposition lorgnent l’Hôtel de ville d’Analakely. L’histoire récente du pays rappelle qu’être maire d’Antananarivo offrirait une forte chance de pouvoir faire un saut ou une  enjambée vers Iavoloha. Le phénomène s’était déjà produit et était vérifié à deux reprises. Et on craint quelque part qu’il y ait une troisième opportunité. L’adage « jamais deux sans trois » tient toujours !
Ceci étant, personne ne veut nullement bâcler cette échéance du 11 décembre. Surtout du côté du régime en place, on ne plaisante point, on ne minimise pas non plus. Il est hors de question pour Iavoloha de laisser la Capitale entre les mains des cadors de l’Opposition ou autre.
 Ndrianaivo


Ainsi se résume le Plan de développement régional (PRD) d’Atsinanana pour la période 2024-2029. Ce document de planification qui a fait l’objet de validation officielle au cours d’un atelier qui s’est tenu à Toamasina du 6 au 8 août dernier bénéficie de l’adhésion commune de tous les partenaires techniques et financiers avec les agences onusiennes en tête.
Les projets et programmes identifiés dans cet outil de travail important pour le développement régional seront réalisés selon l’esprit du triple « co » ou co-construction, co-financement et co-mise en œuvre. Le concept dénote l’élan collectif pour les objectifs communs contre l’ennemi commun : la pauvreté. Toutes les initiatives envisagées vont dans ce sens au profit des populations des sept Districts constitutifs de la Région.
La conception du nouveau PRD, sinon sa mise à jour, a suivi une démarche inscrite dans le cadre du partenariat quadripartite entre la Région d’Atsinanana, la Région-sœur Normandie en France, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et l’Institut international des droits de l’homme et de la paix (2IDHP).
Les grands axes du document sont en effet alignés sur les trois grands piliers de la Politique générale de l’Etat (PGE), qui a été récemment présentée devant le Parlement, et les dix-sept objectifs du développement durable (ODD). La mise en œuvre effective des projets et programmes contenus dans le document s’amorce dans un mois.
Lors de l’atelier de validation, tous les acteurs concernés ont reconfirmé leur détermination à adhérer pleinement au processus de développement local et régional. Ils se sentent impliqués et valorisés. Il en va ainsi de leur motivation. La preuve en est qu’ils ont été préalablement consultés contrairement à ce qui se passait auparavant.
« Cette consultation préalable des partenaires a constitué l’une des nouveautés introduites dans notre approche », devait souligner le gouverneur Richard Théodore Rafidison. La plupart du temps, les partenaires sont sollicités seulement après la conception et la présentation officielle du document de planification. Cette fois-ci, l’administration régionale d’Atsinanana est allée dans le sens inverse pour plus d’implication des acteurs.
Les bénéficiaires des initiatives ne sont pas non plus en reste. Les populations, leurs représentants et les élus locaux se sentent aussi honorés. En réalité, les propositions retenues ont en partie émané d’eux au travers des consultations à la base dans chacun des Districts visés. « La collecte de données nécessaires à la réactualisation du PRD a eu lieu en juillet », a dit le directeur des affaires financières Andry Rakotovao.
La première journée de l’atelier de validation qui s’est déroulé dans la capitale régionale la semaine passée a été consacrée aux discussions avec les partenaires. Les deux autres journées sont passées avec les acteurs par District. L’esprit du nouveau PRD de la Région d’Atsinanana reflète bien son slogan « Mandroso miaraka ho an’ny taranaka (Progresser ensemble pour les générations futures) ».
M.R.


Une nouvelle réjouissante. C'est ainsi que le  Président de la République Andry Rajoelina commente la nouvelle. En interview devant la presse mercredi du côté d'Anosy, le chef de l'Etat annonce en effet que « Madagascar devrait intégrer la Troïka de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) ». Et ce, lors du sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la SADC qui va se tenir à Harare au Zimbabwe à partir de ce vendredi, et auquel une délégation malgache qu'il conduira va assister. L’intégration de la Grande île au sein de cette Troïka signifie que le pays va présider la SADC. Information que le Président Andry Rajoelina lui-même a confirmée. " Madagascar sera président de la SADC  lors du prochain mandat de 2025", selon son annonce. Pour information, la Troïka de la SADC est un système de gestion qui comprend, le président en exercice, c’est-à-dire le pays actuellement en charge de la présidence, le président sortant, autrement dit le pays qui a précédemment exercé la présidence, ainsi que le président entrant, à savoir le pays qui assumera la prochaine présidence. Il appartient à cette entité de prendre les décisions à caractère urgent entre les sessions annuelles de la SADC.  De mémoire, ce sera la première fois que Madagascar va intégrer la Troïka de la SADC et donc siéger à la tête de la SADC depuis la formation de cette organisation régionale.
Cette nouvelle arrive avec une autre. Madagascar va accueillir le prochain sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de cette organisation qui aura lieu en août 2025. Un sommet pour lequel le pays se prépare, a indiqué ce mercredi le chef de l’Etat. A écouter le Président de la République, Madagascar est déjà habitué à accueillir ce genre de sommet. Il prend l’exemple de l’expérience de l’accueil des Jeux des îles par la Grande île en août 2023. Le numéro Un malgache indique par ailleurs que Madagascar va accueillir de nombreux sommets et que de nombreux présidents vont se succéder à Madagascar dans le cadre de visites d'Etat.  " Tout cela signifie et souligne la reconnaissance de la capacité du pays à jouer un rôle de leadership durant le premier mandat et marque un nouvel envol pour le second mandat ", commente le chef de l'Etat.

La Rédaction


L'affaire s'est produite le 7 août dernier à Ankadikely -Ilafy où l'on a signalé la subite disparition des radars de deux femmes, la mère et sa fille de Farafangana, collecteurs de produits locaux de leur état. En réalité, elles étaient tombées entre les mains de 4 bandits qui ont, non seulement volé leur marchandise, soit 6 tonnes de café, mais qui ont également abusé d'elles.
Après l'arrestation des 4 larrons en cause le 10 août dernier à Ankadikely- Ilafy, ces derniers ont été déférés au Parquet, puis finalement placés sous mandat de dépôt à Tsiafahy, avant-hier soir même.
Cette affaire a été en étroite relation avec celle concernant la saisie aux 67ha des 6 tonnes de café provenant de Farafangana, il y a une semaine de cela.
Tout a démarré lorsque ces bandits ont annoncé sur Facebook  leur intention d'acheter le café. Une fois que la propriétaire de la marchandise ait mordu à l'hameçon, les malfaiteurs lui ont donné rendez-vous, à la dame accompagnée de sa fille,  à Ikianja- Ambohimangakely, pour la soi-disant transaction.
C'est durant le marchandage que les 4 larrons ont mis en exécution leur plan machiavélique. Ils ont offert une nourriture empoisonnée à leur interlocutrice d'affaires et sa fille.  Une fois que les victimes ont perdu connaissance, ils les ont violées avant qu'ils ne volaient le café, ainsi que les téléphones.
Par la suite, ces bandits écervelés ont revendu le café à Andravoahangy et à Andohatapenaka pour 55 millions d’ariary.  Heureusement, la marchandise volée avait été restituée aux propriétaires victimes.


F.R.

Trop, c’est trop. Les usagers de la Route nationale n°2 (RN2) reliant Antananarivo et Toamasina ont exprimé leur ras- le- bol quant à la situation sur place. “Cela fait maintenant près de 24 heures que nous sommes bloqués ici. Il a fallu environ 5 heures pour passer de Marozevo jusqu’à Moramanga. Les embouteillages sont monstres et les passagers n’y peuvent rien”, témoigne Lovaniaina R., frustrée. “Nous voulions passer des belles vacances à Toamasina mais apparemment cela a mal commencé, à cause du trafic et des impacts occasionnés. L’état catastrophique de cette route nationale gâche tout”, ajoute Tojo A.R., bloqué dans les embouteillages du côté de Moramanga avec sa famille.
“ L’on nous pointe toujours du doigt en étant la cause de la dégradation de la RN2. Pourtant, c’est la vétusté de la route et l’absence d’entretien qui favorisent les accidents de circulation, les pannes des véhicules et le trafic”, se défend R.A., camionneur. La grogne monte de jour en jour, non seulement sur place mais aussi sur les réseaux sociaux. C’était le cas depuis mercredi après-midi jusqu’à hier, avec les kilomètres d’embouteillages à cause d’une panne d’un camion du côté de Maromizaha, à l’entrée d’Andasibe.
Une infrastructure vétuste
Le ministre des Travaux publics, le colonel Andrianatrehina Livah, reconnait la vétusté des infrastructures routières à Madagascar, notamment sur la RN2. Lors d’une descente sur place, en début de cette semaine, ce ministre de tutelle a confirmé que la RN2 a été construite il y a des dizaines d’années. Son état actuel ne répond plus au nombre de véhicules qui l’empruntent quotidiennement. Plus de 700 camions y font le va- et -vient chaque jour, selon les informations recueillies. Outre la vétusté, le climat humide ainsi que la surcharge des camions aggravent la situation sur place.
Pour faire face à cette situation, le Gouvernement avec le soutien des partenaires techniques et financiers mènent régulièrement divers projets de réhabilitation des routes nationales. Des travaux ont débuté la semaine dernière, sur le financement des ressources propres internes. Ils se focalisent sur les travaux d’enrobage entre Antananarivo et Manjakandriana et le traitement des points noirs, entre autres entre Moramanga et Antsampanana et entre Brickaville et Toamasina. Ils se poursuivront par les travaux de revêtement de la chaussée, dont les procédures techniques, sociales et environnementales sont en cours...
L.R.


La circulation a été bloquée pendant des heures sur la RN2, depuis mercredi après-midi jusqu’à hier. Suite aux pluies, la route boueuse et glissante au PK 139+400, à Maromizaha, a entraîné le patinage d’un camion, lequel a fini par bloquer la route. Il a fallu une intervention des techniques du ministère des Travaux publics pour tirer le véhicule et organiser la circulation, avec l’appui des éléments de la Gendarmerie. Des travaux de purge et de scarification pour le traitement du point noir s’en sont suivis. La circulation a finalement été rétablie vers 13 heures.




Au pied du mur, Ron Weiss, l’homme fort de la compagnie nationale de l’eau et de l’électricité, s’est tourné avant-hier aux usagers. Et pour cause, depuis plusieurs semaines, ces usagers subissent, de plein fouet, les impacts de tous les problèmes auxquels la JIRAMA fait face. Délestage tournant, incessant et en constante augmentation ou encore des problèmes de distribution et de ravitaillement d’eau potable pour presque la totalité des zones couvertes par la compagnie. Autant de soucis qui poussent à l’explosion sociale à l’image des quartiers populaires tels qu’aux 67ha où les habitants ont élevé la voix en se faisant entendre par des émeutes et des manifestations.
« Nous sommes conscients du fait que le public attend de nous des résultats immédiats. Nous sommes conscients du fait que le public n’a pu jouir d’un service de qualité depuis bien longtemps tant au niveau de l’eau que de l’électricité. Cependant, le public doit aussi comprendre que pour relever la compagnie de la situation où elle se trouve actuellement, il faudra plus qu’un jour », avance le directeur général de la JIRAMA. Une façon pour ce responsable d’appeler à la patience, la compréhension et au calme des usagers malgré tout ce qu’ils sont en train de subir. Pour rappel, il y a encore quelques semaines, la JIRAMA a prétexté des problèmes logistiques, notamment sur l’approvisionnement en fioul lourd, pour expliquer l’accentuation des délestages d’eau et d’électricité. En effet, la JIRAMA avait annoncé, au début du mois de juillet, un délestage tournant de près de deux heures par jour dans tout Madagascar, suite au retard de l’approvisionnement en fioul lourd qui alimente les centrales thermiques. Une dizaine de jours après, le navire de transport a accosté à Toamasina, mais le délestage n’était pas encore suspendu.
Contrainte
La JIRAMA a justifié cette persistance de pannes de courant par l’insuffisance de camions citernes transportant le carburant jusqu’à Tana. Tandis qu’à présent, l’explication provient, cette fois- ci de la période d’étiage qui impact lourdement sur la production d’Andekaleka. Selon les explications fournies par la compagnie nationale de distribution d’électricité et d’eau, le barrage hydroélectrique d’Andekaleka, dont le niveau ne cesse de diminuer, de 2,2m par rapport à son niveau d’exploitation, en ce début de la période d’étiage, doit être rempli pour atteindre le niveau normal à l’exploitation. Aussi, la JIRAMA indiquait être contrainte de baisser la pression d’eau vers les centrales de production, ce qui diminuera également la production d’énergie. « On ne peut faire fonctionner que deux groupes sur les quatre opérationnels dans la centrale hydroélectrique d’Andekaleka qui, rappelons-le, fournit le tiers de la production électrique du réseau interconnecté d’Analamanga. Si l’on force cette production en faisant fonctionner les deux groupes restants, cela reviendra à assécher plus rapidement le niveau d’eau d’Andekaleka et au final cela mettra la centrale hors service », détaille Ron Weiss avant de rajouter « Les solutions existent bel et bien pour sortir de cette situation. Des solutions à court terme comme la collaboration avec le secteur privé afin de provoquer des précipitations artificielles pour augmenter le niveau d’eau aux environs d’Andekaleka ou encore la mise en place de centrale solaire pour combler le gap de la production électrique. Mais ce qui serait le plus intéressant sur le long terme reste encore d’augmenter le nombre de centrale hydroélectrique dans tout le pays ». Et sur ce plan, le directeur général de la JIRAMA précise que tant que le besoin est en constante augmentation au niveau nationale, il n’y aura de solution que d’augmenter l’offre afin de ne plus faire subir les aléas du délestage aux usagers.  


Faravavy Aurélie  est prévue  étant l'unique athlète malagasy aux Jeux paralympiques de Paris. Malheureusement, le départ de l’athlète malagasy reste incertain.  Jusqu'à ce moment, elle est toujours dans l’attente de son wild card, annonce Ghislain Lahiarivelo directeur technique national de Madagascar Paralympic Committee ( MPC). «  Nous avons prévu d’être représentés par deux athlètes. Le premier était Félix Tovondrainy, mais malheureusement la vie a décidé autrement, car il est décédé dans une noyade le lundi de pentecôte dernier. Le deuxième athlète est Aurélie mais son wild card n’est toujours pas arrivé. Nous sommes déjà prêts financièrement rassure le ministère mais le petit bémol ne vient pas de nous. Elle a déjà son accréditation avec tous les autres membres de la délégation,  avec son guide, le président de la fédération et moi-même », explique le directeur technique national.
Aurélie devrait s’aligner sur la distance reine du 100 m et du 200 m avec son guide Ny Aina Randrianarisoa. Athlète non-voyante à ne plus présenter, Faravavy Aurélie est à sa deuxième participation aux Jeux paralympiques après Tokyo 2020.

Dans 13 jours, les Jeux paralympiques d'été de Paris 2024, les tout- premiers organisés en France, s'ouvriront et les compétitions se dérouleront dans leur grande majorité dans des lieux déjà utilisés pour les Jeux olympiques récemment clôturés.
Les Jeux paralympiques qui se dérouleront du 28 août au 08 septembre 2024 comprennent 549 épreuves dans 22 sports et 23 disciplines, réparties sur 269 sessions et onze jours de compétition. Il y a 23 disciplines : le basket fauteuil, la boccia,  le cécifoot, l’escrime fauteuil, le goalball, le para-athlétisme, le para- aviron, le para- badminton, le para - canoë, le para- cyclisme sur route, le para- cyclisme sur piste, la para- équitation (dressage), le para -haltérophilie, le para- judo, la para- natation, le para- taekwondo, le para- tennis de table, le para- tir à l'arc, le para- tir sportif, le para- triathlon, le rugby fauteuil, le tennis fauteuil et  le volleyball assis.
Recueillis par E.F.

Fil infos

  • Vœux de Nouvel an - Les institutions et les confessions religieuses à Iavoloha
  • Inscription sur la liste électorale - Tojo Ravalomanana bénéficiaire d’une ordonnance
  • Feux de brousse et de forêt - Gérer, c’est prévoir
  • Déclaration des partis et élus pro – Rajoelina - Non à la déstabilisation
  • Flambée des prix du riz - L’Etat s’attaque aux spéculateurs
  • ACTU-BREVES
  • Exécutif - Un Conseil des ministres diffusé en direct ce jour
  • Gendarmerie - Témoin d’un grand respect envers le Zoky
  • Actu-brèves
  • Sécheresse à Antananarivo - Les pluies provoquées comme solution ?

La Une

Recherche par date

« January 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Pub droite 1

Editorial

  • Défis et enjeux !
    L’année 2025 qui débarque il y a à peine dix jours expose le pays au- devant de la scène internationale. La Grande île intègre de plain- pied dans le concert des Nations libres et souveraines. C’est bien loin l’époque où Madagasikara fit l’objet d’interminables interventions délicates et difficiles de l’ONU par l’organisation sous régionale, la SADC, pour régler la crise politique issue des soulèvements populaires de 2009. L’ancien Président mozambicain Joachim Chissano, haut représentant de l’ONU – SADC, fit des pieds et des mains afin de débloquer la situation.

A bout portant

AutoDiff