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Délires d’une lettre !

Pour la énième fois Ravalomanana « frappe » à la porte d’un quelconque Organisme international ou  des partenaires techniques et financiers de Madagasikara pour faire part de ce qu’il croirait être des erreurs commises par le régime en place et dénigrer les dirigeants au pouvoir ou enfin  pour « se plaindre » en se pliant en quatre pour qu’ils interviennent. Pour Ravalo, c’est devenu un réflexe d’enfant gâté ! De l’enfantillage et du caprice d’un gros bébé toujours « insatisfait » qui réclame à la nourrice une ou deux tétées de plus. Au final, tel un petit  garçon mal élevé, se sentant toujours victime de quelque chose, Ravalo « rapporte » des ragots contre ceux qu’il considère comme adversaires auprès des « adultes ». En fait, « raconter des futilités » pour discréditer les tenants du régime en place s’érige en geste de seconde nature à Ramose. Drame, à travers un tel comportement, Ravalo ne se rend pas compte qu’il se ridiculise. 

7 milliards d’ariary. C’est le financement accordé par la Fondation pour les aires protégées et la biodiversité de Madagascar (FAPBM) pour cette année. Cette somme est allouée à onze gestionnaires d’aires protégées, entre autres Madagascar National Parks, Wildlife Conservation Society, Asity Madagascar ainsi que le Groupe d’Etudes et de Recherche sur les Primates (GERP). Selon le ministre de l’Environnement et du Développement durable (MEDD), Baomiavotse Vahinala Raharinirina, ce financement risque de diminuer étant donné que le capital de la FAPBM est placé sur le marché financier.

La menace plane toujours au-dessus du pays. Le ministre des Transports, du Tourisme et de la Météorologie a évoqué la semaine dernière qu’une reprise des vols internationaux pourrait se faire si toutes les conditions sanitaires sont respectées. Mais vu l’évolution de la situation actuelle que ce soit dans le pays, mais plus particulièrement à l’extérieur, cette idée reste non envisageable. En effet, bien que la pandémie soit un tant soit peu maîtrisée à Madagascar, c’est loin d’être le cas en Europe.

Le Président de la République de Madagascar a présenté en début de semaine dernière un remède à base d’Artemisia et d’autres plantes médicinales, élaboré par l’Institut malgache de recherches appliquées (IMRA), afin de lutter contre la pandémie de coronavirus. Suite au lancement de ce remède traditionnel amélioré dénommé Covid-Organics, il y a à l’heure actuelle une attaque en règle, concertée, par voie de presse, contre Andry Rajoelina, alors même que le traitement qu’il préconise est encouragé en Afrique. Alors que la priorité devrait être de travailler de concert pour trouver des solutions à la pandémie de coronavirus qui sévit, cette presse occidentale cherche plutôt à « abattre », au sens littéral, le Chef d’Etat malagasy. 

Ry Malagasy rahalahy sy anabavy ary Ray aman-dReny havako,

J'ai passé 10 bonnes années à Madagascar. Je peux vous affirmer que votre pays est séduisant par son charme et attachant par ses Hommes.

De ma position de Haut fonctionnaire des Nations unies, j'ai côtoyé les hautes sphères, fréquenté les décideurs dans tous les secteurs, parcouru le pays de Tuléar à Diego ou de Tamatave à Fianarantsoa. Je me suis aussi fait beaucoup d'amis dont certains parmi vous sont des frères et sœurs avec qui aujourd'hui l'appellation « Namana » est de rigueur.

De ces préalables, je pense,  sur la base de la réalité vécue mais analysée pouvoir éclairer l'opinion nationale malagasy et sur cette opportunité sans précédent qui permet ENFIN de VRAIMENT connaître Madagascar, plus seulement comme une île touristique mais désormais comme le "sauveur" de l'Afrique et de l'humanité face à cette pandémie du Covid-19.

Peuple Malagasy. Personne ne doit vous voler votre fierté, car vous êtes la fierté de l'Afrique. Vous devez protéger votre Président et surtout son courage de faire valoir aux yeux du monde une solution Malagasy  à la pandémie mondiale.

Je voudrais dire au peuple malagasy de ne pas se laisser perturber par les sirènes internes qui s'opposeraient à la démarche actuelle de faire du CVO une solution crédible pour la prévention voire la guérison du coronavirus.

Les opposants au processus sont dans leur rôle politique de ne pas applaudir l'adversaire. Très souvent, ils sont soutenus et financés par les lobbying étrangers qui ne voient pas d'un bon œil cette initiative malagasy. Et pour cause:

Madagascar a touché la fierté et l'orgueil des Grands pays.

Un "petit pays pauvre" - africain de surcroît- a pris une avance médiatique sur les grands  et annoncer en grande pompe une solution à leur problème. Ils n'acceptent pas cela. L'esprit de colonisation et des colons a toujours voulu laisser croire que les solutions aux problèmes africains doivent fatalement venir de l'Occident. Aujourd'hui, il y a une solution conçue par Madagascar pour les Malagasy et dont  l'Afrique et les Africains peuvent s'enorgueillir. Cette solution peut aider les pays du Nord s'ils laissent tomber leur orgueil scientifique légendaire.

Madagascar empêche les lobbying internationaux du médicament de glaner de l'argent grâce au Covid-19.

Le CVO met en lumière Madagascar pas seulement sur le plan médiatique mais cette solution permettra d'engranger d'énormes ressources financières damant ainsi le pion aux grandes multinationales pharmaceutiques.

Des prétextes sont avancées pour exprimer des réserves voire interdire la potion malagasy. Ailleurs, certains pays vaccinent leurs ressortissants avec des molécules qui n'ont pas respectées les délais cliniques. Mais parce que c'est des pays du Nord, ils ne sont pas frappés de la même réserve ni interdiction.

Peuple Malagasy. Tout n'a pas été parfait compte tenu de l'urgence. Mais la Planète entière sur les plans médical, scientifique et même médiatique est à tes pieds. C'est le moment pour toi de montrer ton ingéniosité déjà appréciée dans le textile, l'artisanat, l'agriculture et le tourisme. C'est le moment de te mobiliser pour soutenir les institutions techniques et scientifiques qui travaillent sur le Tambavy COV afin que  les étapes scientifiques et cliniques éventuellement encore nécessaires aboutissent rapidement.

ALEFA MADAGASIKARA, ALEFA AFRIKA

Souvenirs émus et fidèles amitiés

MISAOTRA TOMPOKO.

MIRARY SOA. SAMY HO TAHIAN' ANDRIAMANITRA.

Gabriel Djankou

Ancien haut fonctionnaire OIT 2004- 2014  à Madagascar.

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La une du 28 avril 2020

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la une du 27 avril 2020


Malgré la prolongation de 15 jours de la période d’urgence sanitaire, le Président Andry Nirina Rajoelina a décidé la reprise d’une manière progressive des activités économiques. Toutefois, la population doit se soumettre à des règles strictes dont l’horaire de travail fixé de 6 h du matin à 13 h.  Pourtant, samedi dernier, les marchands de rue opérant à Ampasika, dans la Commune de Bemasoandro Itaosy, n’ont pas suivi cette consigne et ont continué d’étaler leurs marchandises jusqu’à 16 h. Ce non-respect des mesures a requis l’intervention de la Police nationale, ayant conduit à un affrontement violent entre les deux parties. Les manifestants ont barré l’entrée du pont d’Ampasika avec des pneus brûlés et des grosses pierres. Les éléments des Forces de l’ordre dépêchés sur place ont eu droit à des jets de pierre. Afin de rétablir l’ordre, ils ont procédé à des tirs de sommation pour disperser la foule. « Vers 16h 45, le pont d’Ampasika a été encore occupé par des commerçants. L’arrivée des Forces de l’ordre n’a pas plu à ces marchands qui ont riposté à travers des lancements de pierres. D’un coup, d’autres individus fusent de toutes parts et ont mis des barrages, ce qui a mis à l’arrêt le trafic. Il nous a fallu 30 minutes pour rétablir la sécurité. Aucune arrestation n’a eu lieu, ni de dégâts matériels et aucun blessé », explique la Police nationale dans un communiqué.
Il n’y a pas de fumée sans feu. Dans une vidéo qui circule sur un réseau social, deux femmes ont reproché aux dirigeants de ne pas leur venir en aide en cette crise sanitaire. « Nous n’avons jamais bénéficié de ce plan d’urgence social, même pas un gramme de produit alimentaire distribué. Les habitants d’Ampasika n’ont rien reçu. Au contraire, ce sont les policiers qui viennent à nos trousses, et ils ont pris nos poissons destinés à la vente. Actuellement, nous mourrons de faim », ont martelé ces deux victimes.
Selon d’autres témoins, cette confrontationa été prévisible en voyant la situation depuis lundi dernier. Les commerçants continueront de travailler tant que les acheteurs se présentent. « Etant donné qu’il s’agit de leur gagne-pain quotidien, les commerçants ont toujours montré leur indifférence face aux mesures de confinement. Mais le fait de barrer la route d’une telle manière constitue par contre un acte agressif », souligne un habitant de Bemasoandro, l’une des victimes du barrage et qui a été contrainte de rebrousser chemin.
K.R.

Une bouée de sauvetage en pleine crise sanitaire ! Comme annoncé par le Président de la République, Andry Rajoelina, les familles nécessiteuses obtiendront un soutien de l’Etat à partir d’un plan d’urgence social. Un plan qui comprend plusieurs mesures destinées à alléger l’impact de la crise liée à la lutte contre le coronavirus et qui consiste notamment à la distribution d’une aide financière de 100 000 ariary pour chaque ménage.
Pour la ville d’Antananarivo, le programme « Tosika Fameno » a été ainsi lancé officiellement samedi dernier par le Président Andry Rajoelina et son épouse, au lycée technique d’Alarobia. Le maire d’Antananarivo, Naina Andriantsitohaina  et son épouse, ainsi que le ministre des postes, des télécommunications et du développement numérique, Andriamanohisoa Ramaherijaona étaient également présents.
Les familles démunies de la Capitale sont les premières à bénéficier de cet appui de l’Etat étant donné qu’Antananarivo figure parmi les Régions touchées par le COVID-19 et qui ont vu l’application des mesures de confinement. 3270 ménages issus de 04 Fokontany dans le 5ème Arrondissement ont bénéficié de cette première dotation. Il s’agit des habitants d’Alarobia Amboniloha, Ivandry, Morarano, et Ambodivoanjo. A part Antananarivo, les familles les plus vulnérables de Toamasina et Fianarantsoa vont jouir du « Tosika Fameno ».En tout, 189 400 foyers percevront cette aide de l’Etat au niveau de ces 03 ex – chefs - lieux de province.
Sélection
Les bénéficiaires ont été soigneusement sélectionnés à partir d’une enquête menée par le FID (Fonds d’intervention pour le développement) au niveau de chaque Fokontany. Ils pourront toucher les allocations qui leur sont destinées via le système Paositra Money, un service de la Paositra Malagasy qui est à la disposition de tous incluant les personnes dépourvues de téléphone mobile sur présentation d’une carte d’identité nationale. Rappelons que dans la mise en œuvre de ce plan d’urgence social, l’Etat malagasy reçoit l’appui de la Banque mondiale.
Cette journée fut aussi l’occasion pour le couple présidentiel de procéder à la distribution du Covid- Organics. Le Chef de l’Etat a rappelé les vertus de cette tisane bio dans la prévention des symptômes du coronavirus. Tous les ménages sans exception vont recevoir leur part de ce remède traditionnel à base d’Artemisia. Aux dernières nouvelles, plusieurs pays africains ont déjà contacté Madagascar et annoncé leur intention de passer des commandes de Covid -Organics.
La Rédaction

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Aux quatre murs !

Plus de deux-tiers de la population mondiale sont tenus de rester à la maison et pour cause, la pandémie du nouveau coronavirus Covid-19.
Covid-19 autrement connu sous l’appellation SRAS-COV-2, fit son apparition en Chine centrale dans la ville de Wuhan le 17 novembre 2019. Une personne a été contaminée en 24 heures mais la maladie se propageait à une vitesse telle qu’en quelques mois seulement, elle atteint plusieurs pays.  La propagation effrénée du Covid-19 entraine l’arrêt temporaire des cours dans plusieurs pays des activités sportives, politiques et économiques tandis que la population mondiale touchée mène une vie limitée aux quatre murs et cela afin de contenir la propagation de la maladie. Bref, c’est le monde à l’arrêt. Parmi le tout dernier bilan dans le monde, le tableau fait état de 2.704.676 cas de contamination, de 738.568 personnes guéries et 190.549 cas de décès.
Après la maitrise de la pandémie en Chine continentale, l’épicentre de Covid-19 se déplace de la Chine continentale (Wuhan) en Occident (USA, Espagne, Italie, Allemagne, France,…). Les pays asiatiques à l’instar de l’Iran, de Corée du Sud, des Philippines, de Thaïlande, de Japon, etc. sont aussi durement touchés. Madagasikara, en comparaison aux catastrophes enregistrées partout ailleurs, semble généralement épargné avec seulement 124 cas testés positifs et traités dans tout le territoire national dont un cas nouveau seulement à la date d’hier (dimanche 26 avril). Le nombre des rétablis (171) augmente continuellement avec 9 nouveaux cas et aucun décès. N’empêche que toutes les mesures de base de prévention entre autres confinement, port de masque à bouche (nez), geste barrière, lavage des mains demeurent en vigueur. La bataille contre le Covid-19 n’aura de répit que lorsque la pandémie soit définitivement terrassée.
En effet, l’Etat sous la conduite de Rajoelina Andry, le Chef d’Etat incontesté, la guerre impitoyable menée contre le Covid-19 va encore se durcir davantage cette semaine qui vient. Le contrôle au manquement du port de masque sera renforcé. Toute personne qui, pour des raisons inévitables ou impérieuses, doit sortir de chez elle et prise en flagrant délit d’irrespect à la loi, port de masque, sera punie et soumise à une peine liée aux Travaux d’intérêt général (TIG). C’est dur plutôt humiliant mais il faudra passer par là car il s’agit ici d’une question de vie ou de mort pour tout le pays. Et la vie des 25 millions de Malagasy prime de très loin avant toute autre considération.
Toutes les précautions ayant trait à la grande sensibilisation ont été déjà prises, au préalable, de telle sorte que personne ne puisse prévaloir une quelconque excuse. Tous les membres du Gouvernement ainsi que des plateformes associatives, des bénévoles s’étaient mobilisés et s’impliquaient  la semaine dernière dans une large démarche pédagogique d’expliquer en long en large les consignes prises en même temps distribuer gratuitement des masques à bouche et nez de telle façon que personne ne soit « excusée » lors des contrôles. Parallèlement, le Gouvernement procède en collaboration avec les partenaires nationaux et internationaux  à la répartition des mesures d’accompagnement telles le « Vatsy Tsinjo » et les subventions en numéraires destinées à soutenir financièrement les personnes vulnérables vivant dans des conditions de précarité. 
Dans tous les cas de figure, la meilleure option se résume à se confiner aux quatre murs.
Ndrianaivo

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Editorial

  • Reprise !
    Certains symptômes témoignant la reprise se profilent à l’horizon. Le redressement de l’économie nationale se dessine en surface. A tout seigneur, tout honneur, le tourisme. Après la terrible pandémie de 2019, le tourisme, ce grand secteur d’activité, pourvoyeur d’emplois et de devises peine à se frayer un chemin. La pente a été très raide voire à-pic, que les opérateurs évoluant dans l’industrie touristique éprouvent toutes les peines pour pouvoir remonter. Rappel, en mars 2020 le coronavirus SRAS-Cov2 débarque à Madagasikara. Apparue le 6 novembre 2019 à Wuhan, province de Hubei (Chine centrale), la maladie infectieuse émergente dite Covid-19, se propage à travers le monde à une vitesse astronomique. La maladie atterrit à Madagasikara à l’issue des contacts directs avec des passagers qui débarquent à Ivato. Et ça y est, c’est le commencement de la galère ! Le Chef de l’Etat Rajoelina, en personne, prend en main la gestion de la…

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