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Super User

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Triste histoire du meurtre sacrificiel d'une petite fille de 6 ans qu'on a voulu offrir à des chercheurs et exploitants en minerai, dans la Commune rurale de Fanjakana, District d'Isandra le 8 décembre dernier. Portée disparue pendant un certain temps, le corps de la fillette fut finalement retrouvé à une centaine de mètres de son domicile à Andoka, sis dans ladite Commune.

Cependant, d'autres enfants ont été les témoins de la scène du meurtre de l'enfant, selon la Gendarmerie. C'est grâce donc à leurs témoignages que les gendarmes ont pu tenir la piste des assassins de la petite fille qui fut aussi orpheline de mère.

 

Un bel hommage à son engagement pour une société solidaire. Le 50ème anniversaire du centre médico-éducatif « Les Orchidées Blanches » a été marqué par la célébration de la fête de Noël, honorée par la grande famille de ce centre pour handicapés et le Groupe SODIAT, à travers sa Fondation. L’évènement s'est tenu hier à Androhibe. 

 

Suite à l’inauguration de la Maison de la diplomatie verte, située à Ampandrianomby, mercredi dernier, un observateur a soulevé une question préoccupante. Il a attiré l'attention sur l’état du bâtiment de l'Office national de l'environnement (ONE) sis à Antaninarenina. Ce dernier est un organisme rattaché au ministère de l’Environnement et du Développement durable. Ce bâtiment emblématique, autrefois un symbole de l'Histoire de Madagascar, est toujours dans un état de dégradation.

Madagascar Airlines a introduit depuis le 2 décembre un nouveau système de paiement par carte bancaire. Ses objectifs consistent à renforcer l'expérience client et étendre sa distribution internationale. Selon le communiqué officiel, « ce dispositif, qui inclut les cartes Mastercard, Visa et American Express, est désormais opérationnel dans plusieurs pays européens. Il est disponible en France, en Espagne, en Italie, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Suisse et en Belgique ». Ce système est intégré au réseau BSP (« Billing and Settlement Plan »), géré par l'Association du transport aérien international (IATA). Il facilite ainsi les transactions financières entre les agences de voyages et la compagnie aérienne. 

Des retrouvailles joyeuses et prometteuses se profilent à l'horizon. Le groupe de chanteurs évangéliques « Tana Gospel Choir » (TGC) s'apprête à offrir au public de la capitale un spectacle enchanteur à l'occasion de la célébration de la Nativité. Noël, cette période enchantée de l'année, ne sera pas complète sans les traditions emblématiques : un sapin illuminé, des chants résonnants et un moments de partage en famille ou entre amis. 

 

A 19 heures tapantes du soir hier, le Président Andry Rajoelina a inauguré officiellement les illuminations de Noël qui, pour la première fois, sont installées au jardin d’Ambohijatovo. Vers la fin d’après – midi, une longue file a été déjà observée autour du jardin jusqu’au grand tunnel d’Ambohijatovo. Des familles déjà impatientes d’être parmi les premiers à visiter le long circuit préparé aux décors féeriques afin de laisser opérer la magie de Noël. Lors d’une brève cérémonie inaugurale devant l’entrée, le Chef de l’ Etat a insisté sur l’importance du partage et de fête que revêt cet événement qui porte sur le thème « Noelin’ny fitia ».

 

Harilala Ramanantsoa confirme son statut de favori pour la conquête de la Mairie de la Commune urbaine d’Antananarivo avec 17 269 voix d’écart sur le deuxième. Ainsi, il n’y avait pas de surprise du côté de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) au vu des dernières tendances lors de la proclamation des résultats provisoires hier. Ces résultats révèlent que la candidate N°7, représentant la plateforme IRMAR, est en tête avec un score de 43,24 % (106 643 voix) contre 36,24 % (89 374 voix) pour son principal adversaire, Tojo Ravalomanana, fils de l'ancien Président Marc Ravalomanana.

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La une du 20 décembre 2024

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Quid d’une volonté politique

En panne d’une réelle volonté politique, la lutte contre la corruption fait du surplace à Madagasikara.
Un décalage flagrant s’interpose entre ce qui a été dit et ce qui est fait ! Le pays stagne. Les Indices de perception de la corruption (IPC) éprouvent les peines du monde d’évoluer vers le sens du positif. Plutôt, ils reculent. Quid d’une volonté politique pour cerner ce « mal », la corruption, qui sape le fondement de l’essor de l’économie nationale.
Créé le 17 décembre 2004, le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) fête ses 20 ans d’existence. Immédiatement, la question qui surgit : « quel bilan ? » BIANCO, de par son nom, ambitionne de combattre la corruption à Madagasikara. Après 20 ans, où en sommes-nous ?
D’un avis généralement partagé, on hésite. Ecartelée entre une appréciation tranchée de réussite et d’un constat amer d’échec, l’opinion publique vague à l’âme. Le bilan mitigé semble dominer la partie. A cent jours de sa nomination, Gaby Nestor Razakamanantsoa, le nouveau directeur général du BIANCO tente de positiver la situation. Le patron de la Piscine Ambohibao ne cache pas sa fierté de pavoiser du haut son « butin » en 100 jours. En effet, le BIANCO a saisi durant les cent premiers jours d’entrée en fonction du nouveau DG des objets de valeur d’un montant de 3 milliards d’ariary sur les 7,6 milliards d’ariary saisis en 2024. Eh oui, il y a de quoi à être fier !
Mais, n’en déplaise à Monsieur le DG Gaby Nestor Razakamanantsoa, à quoi représente cette somme au montant des objets de valeur insaisissables ou des liquidités détournés grâce à la magie de la Dame corruption dans le pays. Les gros bonnets qui tiennent de main de fer le réseau de corruption sont, jusque-là, non inquiétés. Ils sont là dans le pays sinon se coulent des jours heureux sous d’autres cieux car on les avait laissés disparaitre en dehors du territoire. D’autres analystes ou observateurs n’hésitent pas de cracher en face que le BIANCO cafouille. Qu’il peine à convaincre de son efficacité !
A l’Assemblée nationale, la commission spéciale d’accusation, du moins de l’ancienne mandature, n’arrive à s’en débarrasser de sa paralysie. Les anciens hauts dirigeants du pays visés par des allégations de détournements des biens sociaux, de la finance publique et toute sorte de délinquance « haut de gamme » et qui doivent être jugés par la Haute Cour de Justice (HCJ) circulent à l’air libre. En cause, la commission spéciale de l’AN tergiversait à acter les accusations. Et par la force des choses, on hésite à espérer que la nouvelle commission dirigée par le député élu de Morondava, Haja Resampa du MAPAR fasse le nécessaire. On verra !
Sans vouloir minimiser les blocages des avantages statutaires jouis par certains Corps des grands commis de l’Etat et des parlementaires, la lutte pour éradiquer la corruption à Madagasikara devra réussir à surmonter les obstacles, à relever les défis et à déjouer les enjeux politiques, notamment, qui entourent cette bataille. Une lutte complexe !
N’empêche que le plus important à relever consiste à faire valoir une réelle volonté politique. Une volonté indiscutable et inaltérable capable d’affronter toutes les attaques aussi subtiles soient-elles de l’ennemi, la corruption.
Ndrianaivo



La lumière au bout du tunnel. C’est en tout cas ce qu'espère le Président Andry Rajoelina, qui a inauguré hier les travaux de construction de la centrale hydroélectrique de Ranomafana, dans la Région d'Ankazobe. Cette centrale, d'une capacité de 64 MW, est bien plus qu'un simple projet d’infrastructure. Elle fait partie d’un plan global qui vise  à transformer la production d’électricité à Madagascar. Le but est de résoudre les éternelles coupures de courant qui frappent la population.
En effet, le Président ne manque pas de rappeler durant son discours qu’avant 2019, la production d’électricité en hydraulique plafonnait à 99 MW. Depuis, un changement radical de cap s’est opéré. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. A son arrivée au pouvoir, Rajoelina a mis les bouchées doubles. Son premier mandat a permis d'ajouter 62 MW supplémentaires au Réseau interconnecté d’Antananarivo. Avec son second mandat, la centrale de Ranomafana (64 MW) et des projets comme Sahofika (192 MW) ou Volobe (120 MW) vont faire passer la production totale à 438 MW d’ici la fin de son mandat. Tout cela grâce à l’hydroélectricité. Si l’on rajoute d’autres initiatives en cours, comme les centrales solaires ou la reforestation pour protéger les ressources en eau, on peut dire qu’une révolution énergétique est sur les rails.
Le projet de Ranomafana, mis en œuvre par l’entreprise chinoise SINOHYDRO, représente à lui seul 25 % des besoins en électricité du Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA). Le Président Rajoelina, en bonne figure de proue, a fait de ce projet une priorité. Il a déclaré : "Dieu nous a donné le soleil, l'eau et le vent. Il est de notre responsabilité de transformer ces ressources en énergie pour développer chaque foyer et tout le pays." L’ambition du régime actuel est de diminuer le coût de l’électricité. Ce serait un pas de géant pour la JIRAMA et pour le budget de l’Etat, obligé de financer des déficits abyssaux pour compenser la vente d'électricité à perte.
Patience
Le Président Rajoelina a également évoqué les difficultés actuelles. "Nous travaillons dur, mais construire Madagascar n’est pas facile. La coupure fréquente d'électricité et la production insuffisante sont des obstacles que nous cherchons à surmonter", a-t-il reconnu. Il a aussi appelé à la patience du peuple malgache. Le Chef de l’Etat a d’ailleurs rappelé que des solutions à court terme, comme des centrales solaires, seront opérationnelles dès 2025.
Outre l’électricité, le Président a aussi abordé la question du développement agricole, en insistant sur la nécessité d’aider les agriculteurs à améliorer leur productivité. Cela reste un maillon essentiel de la croissance nationale.
Les promesses de réformes et d’infrastructures s’empilent donc. La vision de Rajoelina semble être en bonne voie. Mais en attendant, il faudra patienter encore un peu. Le chantier de la centrale de Ranomafana est prévu pour se terminer d’ici fin 2027, ou au plus tard avant les festivités de l’indépendance en juin 2028.
L.A.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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