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Bonne impression !

Réactive. La nouvelle équipe du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES) semble sensible aux Le nouveau Gouvernement fait bonne impression ! D’un souffle nouveau et du sang neuf, le quatrième ou cinquième, tellement il y en avait eu assez qu’on se perd sur le tableau, le Gouvernement Ntsay offre au public une image positive du moins en apparence. 

Un nouveau chapitre s'ouvre pour la coopération de la « National Cooperative Business Association » (NCBA CLUSA) avec le lancement officiel du projet CESI (Ecosystème coopératif et inclusion sociale). Cette initiative ambitieuse, d'une durée de quatre ans, se poursuivra jusqu'en septembre 2028. Financé par l'Agence des Etats-Unis pour le développement international (USAID), le projet est mis en œuvre par l'Association internationale des coopératives NCBA CLUSA, visant à renforcer et améliorer les activités coopératives. 

Une nouvelle qui a plombé le moral des fans du groupe Mage 4. Ken Thierry Andrianaharinjato, le célèbre chanteur de ce groupe emblématique, vient d’annoncer  officiellement hier qu'il quitte ce groupe après plus de 15 ans de partage musical avec celui-ci. Ken a ainsi décidé de voler de ses propres ailes et veut se baigner dans d’autres aventures. Le groupe de rock témoigne sa reconnaissance à celui qui a été son lead vocalist et lui souhaite de réussir dans ses futurs projets, que ce soient musicaux ou personnels. 

Réactive. La nouvelle équipe du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES) semble sensible aux critiques. Hier en début d’après-midi, entouré de ses collaborateurs, le tout nouveau ministre, Dr Andriamanantena Razafiharison, a effectué une visite inopinée au Parc botanique et zoologique de Tsimbazaza (PBZT) qui se trouve juste à quelques pas du bureau du ministère.

Le motif du déplacement ministériel est de s’enquérir de la situation du site que le ministre lui-même qualifie de « patrimoine national ». Créé et ouvert en 1925, il était initialement destiné à conserver des espèces de plantes endémiques de Madagascar. En 1935, il était transformé en parc zoologique et botanique en accueillant des animaux nécessaires aux travaux de recherche scientifique. Des lieux de mémoire existent également à l’intérieur du parc.

 La population de la Cité de Dame Razaka craint d’être isolée : chaque crue inonde de boue la RN44, à  l’entrée sud, au niveau du village de Manakambola tandis que les mêmes pluies se prennent à former un lac, d’une telle profondeur, à l’entrée  nord.

A l’appel du gouverneur, opérateurs économiques, des membres de coopératives de transport, villageois locaux retrouvèrent la solidarité pour dégager, avec un engin de la Région, les tonnes de boue et de sable de cette rivière de Manakambola, samedi dernier.



La Politique nationale du sport (PNS) est le garant de développement du sport à Madagascar.  Des dizaines de techniciens se sont concertés pour établir la PNS. Elle a déjà été présentée mais il reste son application. En attendant, malgré les efforts  de développement de l'Etat malagasy par le biais du ministère de la Jeunesse et des Sports, les performances et les résultats de chaque discipline ne semblent pas au même niveau.
La réalité, c’est que la performance des athlètes malagasy laisse à désirer dans les échéances internationales.
Les fédérations ne considèrent que les ligues et les sections, et les clubs  sont  souvent délaissés par certaines instances. Les centres d’entraînement et de musculation pullulent dans les grandes villes pourtant, la majorité des matériels ne sont pas aux normes et les coachs ne sont pas qualifiés mais exercent par expérience.
Les anciennes gloires sont souvent oubliées après leur carrière et deviennent un fardeau pour leur famille.
« Les fédérations ne bénéficient pas la même considération aux yeux du ministère de tutelle. La majorité se trouve en difficulté pour la vulgarisation ou pour atteindre le haut niveau. Avec la recrudescence de la délinquance juvénile, l’insécurité s’installe partout dans le pays. Pour la restauration de la sécurité, tout dépend de la mise en place de la PNS et la considération des techniciens qui sortent de l’Académie nationale des sports et de l’Ecole normale supérieure», dénonce Michel Philippe Andriamihaja, technicien du MJS et chef d’unité de formation des animateurs en sport  à l’Académie nationale des sports à Ampefiloha.
Les acteurs du sport se culpabilisent, ne se font plus confiance et se suspectent de corruption notamment au niveau du ministère pour bénéficier des aides financières.
Toutes les structures travaillent indépendamment au lieu de collaborer ensemble. Le ministère, le comité olympique et le paralympique doivent travailler avec interdépendance et non le contraire avec la contribution des collectivités territoriales décentralisées.
Pour la détection des relèves, le MJS doit étroitement collaborer avec le ministère de l’Education nationale (MEN), avec celui de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES).
Pour le sport pour tous, les collectivités territoriales décentralisées doivent organiser des compétitions au niveau des Communes et Fokontany dans toutes les disciplines sportives que ce soit sur le sable , sur le gazon ou sur la surface dure.
Elias Fanomezantsoa

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La une du 19 janvier 2024



Menés dans le grand Antananarivo. Le Projet de développement urbain intégré et de résilience (PRODUIR) va entamer de grands chantiers cette année, dont la deuxième phase des travaux urbains et d'autres appuis institutionnels. A cela s’ajoutent les travaux de confortement partiels des berges du canal C3, lesquels commenceront d’ici peu. Ces travaux consistent à construire des murets pour les berges, à aménager les bordures et les bassins tampons se trouvant le long du canal. Les murets de protection en maçonnerie seront d’une longueur totale de 6 km. Des batardeaux ou barrages destinés à la retenue d'eau provisoire seront mis en place ainsi que quelques travaux confortatifs liés aux travaux de berges, tels que les exutoires ou divers dalots cadres. Au total, 6 tronçons seront réhabilités.
Ces chantiers d’envergure nécessitent un engagement des parties prenantes, mais également un dialogue permanent avec les populations riveraines. Des mesures d’accompagnement pointues seront déployées durant les travaux comme les mesures environnementales, le maintien de la circulation, l’entretien de la route existante et l’organisation des chantiers. Pour faire face à diverses problématiques qui pourraient se poser, ledit projet, financé par la Banque mondiale et ses parties prenantes, met en avant la transparence et le dialogue. « Le dialogue et les échanges permanents font partie des priorités de PRODUIR à chacune des étapes ou face aux problèmes qui peuvent survenir au vu de l’ampleur des chantiers qui seront menés », confie Mamy Reine Razanadrafara, experte en sauvegarde sociale dudit projet. D’ailleurs, la maison du Projet, récemment ouverte, vise cet esprit d’ouverture et de transparence. La réhabilitation du canal C3 s’avère être une priorité pour la protection de la plaine d’Antananarivo. Ceci notamment face aux problèmes hydrauliques constants qui menacent des milliers de Tananariviens à chaque saison des pluies.
Recueillis par P.R.
 
 






Au lendemain de la directive du Président de la République de débarrasser la Capitale de ses montagnes d’ordures, le gouvernorat d’Analamanga a immédiatement réagi en prenant les devants. En effet, Hery  Rasoamaromaka reconduit à la tête de la Région d’Analamanga a effectué le curage du canal C3 au niveau des 67 ha sud avec son équipe. 15 camions, des tractopelles et autres engins ont été ainsi utilisés afin d’optimiser le travail et d’accélérer le processus. D’autres secteurs comme Behoririka, Ampefiloha, Ampatsakana ont été également l’objet de nettoyage.
Après les festivités, les déchets se sont accumulés dans la Capitale, bloquant même la voie publique et les routes dans certains quartiers. La Société municipale d’assainissement (SMA) indique travailler sans relâche avec les camions à sa disposition pour débarrasser la Capitale des déchets. « Cette dernière engendre 600 tonnes de déchets par jour en temps normal, mais avec les fêtes de fin d’année cela augmente à 1 600 tonnes. En plus, la route qui mène au site de déversoir des déchets est en très mauvais état causant la panne de plusieurs véhicules de la SMA. Ces facteurs combinés sont à l’origine de la situation actuelle », indique la société d’assainissement.
Un mois de travail sans relâche
La Présidence a donné un mois aux acteurs pour nettoyer la Capitale. En plus de l’aide précieuse de la Région d’Analamanga, les autres forces font aussi leur possible pour réaliser l’action d’assainissement dans les plus brefs délais. La Commune d'Antananarivo recevra un coup de pouce de la part du BNGRC et du ministère de l’Assainissement et de l’Hygiène. Un appel envers le secteur privé et autres départements ministériels a été également lancé dans cette collaboration.
Selon le Conseil des ministres de la semaine dernière, il est prévu de recevoir rapidement les camions-bennes offerts par le gouvernement japonais. Ces véhicules seront mis en service dans les prochains jours pour renforcer les capacités de collecte des déchets dans la Capitale. Ils sont actuellement au port de Toamasina et en partance pour Antananarivo. Bien que leur nombre exact n'ait pas encore été précisé, cette contribution du gouvernement japonais sera d'une grande aide pour l'assainissement de la Capitale.
Nikki Razaf


Quelques jours après d'intenses recherches, RaTonton ou encore Jhonny, le présumé assassin et égorgeur de Fifaliana Nathalie Mahavavy, alias Zàzah, cette jeune fille de 14 ans, a été finalement apréhendé par la Police à Faravohitra, mercredi dernier. Loin d'être un suspect ordinaire, l'homme est également pointé du doigt d'être un devin ou "mpimasy", selon ses propres explications. De toute façon, il aurait fait l'aveu d'avoir décapité, non sans qu'il ne s'était d'abord abusé de la pauvre adolescente, pour le besoin de ses rites prévus pour un sacrifice dans un sanctuaire ou "Doany" de la banlieue nord de la Capitale. "Il se rendait souvent dans ce Doany. D'ailleurs, c'était dans les environs de ce sanctuaire que le crâne de la victime a été retrouvé. Et c'est Johnny lui-même qui a indiqué à la Police l'endroit", disait une voisine de quartier de la victime.

Mais toute la nuit du dimanche dernier où Nathalie a commencé à ne plus donner signe de vie, ses proches et les voisins du quartier n'ont pas cessé à la rechercher partout. "En rentrant chez moi le soir, je n'ai pas vu ma fille alors que ce n'était pas dans ses habitudes de s'absenter ainsi. Mes enfants m'ont alors informé que RaTonton a emmené Nathalie. Ce que je trouvais à la fois bizarre et inquiétant", disait la mère de l'adolescente.
De source officieuse, et en marge de l'arrestation de Johnny, ce dernier aurait dénoncé ses 4 complices. Les enquêteurs seraient actuellement sur le point de les retrouver. Car le bruit circule que ses victimes seraient déjà nombreuses.
Lors de l'arrestation du principal suspect à son domicile à Mangarivotra- Faravohitra, les Forces de l'ordre ont procédé à la saisie de toute une panoplie d'amulettes, par panier entier, mais surtout aussi des couteaux.

La propre sœur de RaTonton, cette autre voisine de quartier de la victime, l'avait dénoncé et indiqué son domicile à Mangarivotra- Faravohitra. Mais revenons aux circonstances qui ont conduit à l'arrestation de Jhonny.
Sitôt après la découverte macabre de l'ancienne et jeune habitante d'Antsalovana- Antohomadinika au lot UVP 7 Bis, mardi dernier, la Brigade criminelle a démarré une enquête.
C'était au cours de celle-ci qu'on a appris davantage sur le compte du suspect. C' est un familier des Mahavavy et il leur rend souvent visite, la proximité du domicile de sa propre sœur à Antsalovana, aidant. Et, c'était par piège que RaTonton a réussi à emmener Nathalie jusqu'à Faravohitra, dimanche soir dernier où la victime fut trouvée vivante pour la dernière fois. "Il proposait à la jeune fille de la suivre lui promettant de trouver un emploi", a-t-on appris de différentes sources, policière incluse.
RaJohnny a perdu son emploi il y a quatre ans de cela et sa femme l'a quitté. "Depuis, mon frère a changé. Il était devenu fou, comme possédé par le démon, et suit un régime sans porc. Or, il n'est pas dans la tradition familiale d'adopter un tel régime alimentaire. Il ne supporte pas non plus qu'on le contredise. Le Nouvel an dernier, il a failli trancher ma tête avec un grand couteau, et d'un grand coup de pied, il a balayé la marmite du mets du Nouvel an composé de viande de porc et de poulet. J'ai dû me sauver et me refugier chez une voisine, de crainte pour ma vie", raconte la sœur du suspect. Et de poursuivre : "J'ai eu tellement pitié de Nathalie, cette fille douce, casanière et croyante que j'ai dit à la Police d'en finir avec mon frère si elle le souhaite. J'ai donné mon feu vert aux policiers pour lui ôter la vie".
Autre anecdote le concernant, il a failli tuer des militants d'un parti lors de la récente propagande présidentielle.
Pour la maman de Nathalie, tout comme tout le reste d'ailleurs, il faut que justice soit faite et qu'elle s'en remet complètement aux dirigeants en place et surtout à la Justice pour châtier, selon la loi en vigueur, celui qui a tué sa fille. "Normalement, c'est œil pour œil et dent pour dent pour la famille.Mais puisque les Forces de l'ordre ont pris l'affaire en main, nous ne souhaitons qu'une chose : la plus lourde sanction pour l'auteur des faits", clame un frère de la défunte Nathalie. Aux dernières nouvelles, la dépouille de la victime devrait quitter la morgue de l'HJRA pour être rapatriée à Ambovombe- Androy.
Franck R.




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Editorial

  • A quoi bon !
    Des nouveaux membres de la Haute Cour de justice (HCJ) ont prêté serment. Du coup, des observateurs s’interrogent sinon s’exclament « à quoi bon ! » Une remarque quelque peu désobligeante à l’égard d’une prestigieuse et haute institution judiciaire, soit. Mais, la réalité est là. Et elle s’entête. Les précédents membres de la HCJ ont terminé leur mandat respectif sans avoir pu faire valoir leur compétence dictée par la loi et ce à cause d’un blocage à l’Assemblée nationale de la mandature précédente. Rappelons que le manquement à la mise en place de la Haute Cour de justice avait valu à Hery Rajaonarimampianina, Président de la République, au moment des faits, des mesures disciplinaires de la part de la Haute Cour constitutionnelle du fait que le Président Rajaonarimampianina n’a pas respecté le délai de douze mois prescrit par l’article 167 de la Constitution pour la mise en place de la…

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