Nos archives web
Super User

Super User

L’ultimatum de 72 heures depuis hier sur le compte des neuf associations pédagogiques à l’université d’Antananarivo est tout simplement malhonnête. D’après des informations, l’initiative serait destinée à fomenter des troubles et à torpiller la correction du bac dont le résultat sera attendu dans quelques semaines.

Le dessein des auteurs de l’ultimatum ou de leurs complices serait d’inciter indirectement la population estudiantine à la grève. Le plan serait au boycottage en séquestrant les clés des salles de classe pour en empêcher l’accès. Les concierges auraient reçu l’ordre de n’ouvrir aucune salle et de s’absenter au travail.

Le procès sur l'affaire se rapportant sur la diffamation sur la personne du Secrétaire d'Etat à la Gendarmerie ou SEG, le Général Serge Gellé, s'est déroulé à la salle 2 du Tribunal d'Anosy, hier. Contrairement à ce qu'il l'a annoncé et promis lors de l'éclatement de l'affaire, le SEG, qui est le plaignant n'a pas finalement assisté à l'audience. Il s'est contenté de se faire représenter. En réalité, c'est l'Etat malagasy qui s'est constitué en partie civile. Il a fallu une quarantaine de minutes pour que les 7 accusés dans l'affaire puissent s'exprimer, se défendre et répondre de leurs actes pour insulte, diffamation, atteinte à la souveraineté de l'Etat et de la Justice, enfin de troubles à l'ordre public, devant le juge.

%PM, %24 %920 %2023 %21:%Juil

La une du 25juillet 2023


La nomination de nouveaux archevêques continue dans les grandes villes de Madagascar. Ainsi, Mgr Gustavo Bombin Espino a officiellement rejoint son poste à Toliara, le week-end dernier si sa nomination par le Saint Père datait du 22 juillet dernier.
Après Tanà et Antsirabe, c’était le diocèse de Toliara qui a procédé au remplacement de son archevêque. Mgr Gustavo Bombin Espino succède ainsi Mgr Fulgence Rabeony qui a été fidèle à son poste depuis 1990. Ayant atteint l’âge de la retraite, sa démission de cette fonction a été acceptée par le Pape François.
Mgr Gustavo Bombin Espino était l’évêque de Maintirano avant cette nomination. Il est né le 24 septembre 1960 à San Llorente, Valladolid (Espagne). Il a fait ses études au Petit Séminaire de l’Ordre des Trinitaires dans son pays natal, puis à la Faculté de théologie de Grenade.
Il a énoncé ses premiers vœux à Cordoba, en Andalousie, dans le sud de l’Espagne, le 1er septembre 1979 et ses vœux perpétuels à Jaén, le 20 septembre 1986. Mgr Gustavo Bombin Espino a été ordonné prêtre le 21 mars 1987 et envoyé aussitôt à Madagascar.
Après son ordination, il a eu les charges suivantes : vicaire, curé, vicaire épiscopal puis vicaire général à Tsiroanomandidy, supérieur et curé du district de Maintirano.
Les nominations se poursuivent ainsi au sein de l'Eglise catholique à Madagascar, et ce, après le départ à la retraite de l’archevêque d’Antananarivo, Mgr Marie Arsène Razanakolona, succédé par Mgr Jean de Dieu Raoelison. On peut également mentionner le nouvel archevêque d’Antsirabe, Jean Pascal Andriantsoavina qui remplace le regretté Mgr Philippe Ranaivomanana, décédé le 6 septembre 2022 après la clôture de la célébration des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ Mada).
Nikki Razaf



Bouleversements dans les transports en commun à Antananarivo. L'Union des coopératives de transport urbain  (UCTU) vient d’annoncer hier que le frais des taxis-be sera revu à la hausse dès le mardi 1er août. L’UCTU  a indiqué que désormais, il faudra débourser 800 ariary pour une course.
« Nous ne négocierons plus, cette décision est irrévocable », ont indiqué les membres de ces coopératives de transport. Parmi les raisons évoquées figurent le coût des pièces de rechange qui ne cesse d’augmenter. Les vendeurs font ce qu’ils veulent et il n’y a pas de prix fixe. Par ailleurs, le prix du gazole n’a plus connu aucune baisse. Ils ont avancé également que ce n’est qu’une suite de la hausse prévue en 2022 qui reflète la réalité à Madagascar. A cette époque, « à la demande du Président de la République, nous n’avons appliqué qu’une hausse de 100 ariary ».
« Nos véhicules sont en piteux état. Et si cela continue, on ne pourra pas assurer notre travail correctement. Le mauvais état des routes de ces dernières années n’a pas non plus arrangé notre cas. On a vu récemment des taxis-be qui ont fait des accidents à cause d’un dysfonctionnement au niveau du système de freinage. Beaucoup de véhicules ne sont plus aptes lors de la visite technique, car leurs propriétaires n’ont pas les moyens d’acheter des pièces détachées neuves », explique un chauffeur de bus de la ligne 119.
Néanmoins, cette décision d’augmenter les frais de transport a été très mal vue par les consommateurs. Ces derniers estiment qu’au vu de la prestation des taxis-be dans la Capitale, une baisse des frais serait plutôt honnête qu’une hausse. En outre, les consommateurs n’ont pas leur mot à dire dans ce « diktat » de l’UCTU.
Voitures ne respectant aucune norme de sécurité, sièges en bois, pas de vitre, portes qui tombent, pannes fréquentes, tels sont le lot quotidien des usagers. « Si l’on recense le nombre de plaintes qu’on peut déposer chaque jour, ce serait le double du nombre total des taxis-be exerçant dans la ville d’Antananarivo. Le non respect du cahier des charges et des clients sont légions dans ce secteur », a indiqué un usager.
Si certains soutiennent que la hausse des frais est justifiée, vu le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter, d’autres y voient simplement une occasion pour avoir plus de bénéfices au détriment des passagers.
Avec cette nouvelle hausse des frais de transport, la semaine prochaine risque d’être très chaude. Les usagers ont affirmé également qu’ils attendent de pied ferme les taxis-be, ce mardi 1er août.
On attend la réaction au niveau de l’Agence des transports terrestres (ATT) et du ministère des Transports qui n’ont pas encore émis leurs avis sur cette hausse à 800 ariary. On espère  qu’une issue favorable serait trouvée d’ici là.
Nikki Razaf


Ame sensible s'abstenir ! C'est ce qu'on peut dire à propos de cet effroyable accident de la circulation survenu en milieu de l'après-midi sur une portion de la la RN2 bis, à Tanandava Toamasina, hier. Le drame s'est produit devant Madauto, devenu un circuit pour camions. Là, une jeune mère au foyer de 20 ans s'est fait tuer de la manière la plus horrible au guidon de son scooter. Ce semi-remorque que l'on voit sur la photo l'aurait percutée par l'arrière dont on ignore la raison, du moins jusqu'à l'éclaircissement de l'affaire. Déstabilisée par ce choc, la motocycliste a alors fait une chute avant qu’elle ne passe, l'espace d'une seconde, sous le mastodonte qui a roulé dans son sillage. Du coup, les roues arrière du grand véhicule avaient littéralement broyé la motocycliste. La scène fut indescriptible et les mots sont insuffisants pour la décrire tant elle dépasse l’entendement.
Dire que quelques moments à peine avant cela, cette maîtresse de maison venait de ramener son mari sur son lieu de travail à Ambatovy.
Et pourtant, un jeune motocycliste venait de se faire également tuer sur ce même tronçon de la RN2 bis à Tanandava, au guidon de sa moto. En cause, la victime avait fait une pointe qui lui a alors coûté la vie, de façon tout aussi dramatique que cette jeune mère au foyer, hier.
L'une des raisons susceptibles d'expliquer la dangerosité de cette pratique, c'est-à-dire la pointe chez les jeunes motocyclistes de ladite localité, c'est que cet axe est plutôt réservé aux camions. Cela représente un danger potentiel pour les deux-roues qui s'y hasardent à disputer la chaussée à ces poids lourds.
La brigade de police de la route de Toamasina a démarré une enquête tandis que le chauffeur du poids lourd en cause, avait été placé en garde à vue dans les locaux de la Gendarmerie.
Face à cette multiplication de ces drames routiers, à un intervalle d'un ou de deux jours seulement, les habitants ont déjà tiré la sonnette d'alarme pour que ces jeunes motocyclistes cessent de faire ces “run” sauvages sur les lieux. Mais jusqu'à preuve du contraire, le phénomène perdure. Enfin, il faut cependant préciser que le décès tragique de cette jeune mère de famille n'a rien à voir avec la pointe, mais il découlait simplement d'un tragique accident de la circulation.
Franck R./Kamy

La Grande île éliminée au premier tour. La phase éliminatoire de la Coupe d’Afrique de slam poésie s’est tenue en ligne le week-end dernier. Le slameur Hoptimus, de son vrai nom Olivier Tsisarotra, était notre représentant pour ce concours d’envergure. Malheureusement, suite à des problèmes personnels et de santé, notre champion ne pouvait pas continuer l’aventure. Notre vice-championne Fayanah avait alors pris le relais. Ainsi, elle n’avait que  24 heures pour préparer son discours si les autres candidats ont eu droit à 4 à 5 mois de préparation. « En ce qui concerne la Coupe d'Afrique, malheureusement on ne continue pas l'aventure. Ce n'est certes pas le résultat espéré, mais c'est loin d'être une défaite. Au tout début de l'aventure, un challenge se présentait pour moi. Et malgré mes 24 heures de préparation, contrairement à tout le monde qui en avait pour 4 à 5 mois, Madagascar a quand même fini en 5ème position avec la note de 47,5/60. Cependant, pour pouvoir accéder aux 8èmes de finale, il fallait obtenir 3 points de plus et disputer les 4 premières places. Ce qui implique qu'on en reste là. C'était tout de même un défi à relever et le résultat était satisfaisant pour ma part. On n’a pas démérité. Bref, le fait d’être arrivé à la 5ème position dans cette poule D m'a permis d'acquérir davantage d'expériences, surtout que c'était mon premier tournoi continental et une participation à l'improviste », annonce Fayanah.
Malgré son incroyable performance, la jeune candidate malagasy n’a pas pu convaincre le jury. Notre représentante quitte la compétition la tête haute après ses belles prestations en phase éliminatoire. La Grande île ne participera pas ainsi à la phase finale qui se tiendra à Bamako (Mali) en novembre prochain. A noter que ce concours a vu la participation de 31 pays du continent africain.  Madagascar était dans la poule D avec six autres pays, à savoir le Burkina Faso, la Guinée, le Malawi, le Bénin, le Gabon et l’île Maurice. A titre de rappel, depuis trois ans, la Coupe d’Afrique de slam poésie est un événement culturel marquant pour le continent africain.
Si.R


%PM, %24 %905 %2023 %20:%Juil

Qui risque … !


« Qui risque, gagne ! » Un adage populaire propre essentiellement aux joueurs-parieurs. L’équivalent  de « sésame ouvre-toi » pour bercer les enfants, en début de soirée. Une phrase magique pour, dans la plupart des cas, attirer les naïfs vers les précipices. En effet, « qui risque, gagne » n’est pas dissociable avec « qui risque, perd ! » Combien de joueurs dans les paris n’ont-ils pas risqué leur avenir, ainsi que leurs familles suite aux déboires des jeux sinon des paris mal tournés. L’inverse est toujours vrai, des parieurs chanceux ont pu renverser la vapeur du parcours de leur existence en jours heureux ! Toujours est-il que les parieurs gagnants qui ne savent pas s’arrêter au moment opportun finiront toujours par déchanter.
Les états-majors de différentes formations politiques cogitent. Conclave sur conclave depuis des mois, les ténors de chaque camp peaufinent et parachèvent les conduites à tenir face aux échéances électorales en vue. Présentera ou ne présentera un candidat. Telle est la question qui prédomine l’attention. On connait les dates officielles de la présidentielle. Neuf novembre 2023 pour le premier tour. Vingt-trois décembre pour le second tour, au cas où …
La décision à prendre n’est facile ni évidente. D’abord, qui ? Pour certains, le choix du leader d’endosser la couleur du parti va de soi. D’ailleurs, il y en a qui s’est déjà prononcé publiquement. Mais pour d’autres, il va falloir bien réfléchir car le candidat d’en face, celui du poulain du régime en place, ne se fera pas battre facilement. Ainsi, les écuries se consultent, se débattent.
Il n’y a pas que le choix du challenger qui fait hésiter, la caution à payer fait jaser. Une coquette somme de 200 millions d’Ar ( 1 milliard de Fmg) ne s’obtient pas à la légère, soit le quadruple de la caution à s’acquitter en 2018. Cette fois-ci, les dirigeants en place ont mis la barre trop haut pour certains. En tout cas, les habitués aux aventures rocambolesques doivent réfléchir mille fois avant de s’engager. Pour les éventuels candidats grosses pointures, un tel droit à payer ne représente pas un gros souci. Mais dans l’ensemble, c’est tout de même un parcours du combattant de pouvoir le réunir. Déjà, il fallait avoir les possibilités de disposer les sommes nécessaires et suffisantes pour les frais de campagne. Pour ainsi dire, cette échéance de novembre serait un risque gros pour les candidats… farfelus. Peut-être que ceci explique cela !
« Qui risque, gagne » est à démontrer arithmétiquement. Il n’y a qu’une place à offrir. Vu la faramineuse somme à débourser pour pouvoir participer à la course, le prochain scrutin de novembre ne verra pas, peut-être, un nombre de prétendants en … abondance. La formule magique « sésame ouvre-toi » ne sera pas de mise. Pour la majorité des futurs candidats, on n’oserait pas s’aventurer. Ce sera pour eux un « qui risque, perd » !
Dans un sens, le Gouvernement tente visiblement de moraliser la pratique politique en matière d’élection à Madagasikara. En effet, pour une meilleure organisation, il faudrait limiter le nombre de postulants. Mais, pour les opposants, fixer le montant de la caution à 1 milliard de Fmg serait une tentative du pouvoir à restreindre une large participation.
Ndrianaivo



Un jubilé est organisé dans la ville natale de l’ancien président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad, en reconnaissance de son exploit dans l’histoire du football malagasy. Le natif de Tambohorano, Mahajanga,  célèbre cette année ses 45 ans d’activité en tant que joueur, arbitre, entraîneur puis président de la Fédération, jusqu’à la tête de la CAF. Ahmad a  beaucoup donné au sport roi de la Grande île. Mais il a déjà occupé le poste de président de la Fédération internationale de football (FIFA). Lui en personne est le fondateur de l’Union des fédérations de football de l’océan Indien (UFFOI).
Dans le cadre de cette célébration, deux événements seront organisés cette semaine à Mahajanga. Entre autres, deux matchs amicaux des Barea et un dîner dansant. A noter que les deux rencontres entrent dans le cadre de la préparation des Barea en vue des Jeux des îles dans la ville des Fleurs.
Par ailleurs, la présélection au regroupement dans la capitale a commencé depuis de ce lundi 24 juillet. De plus, un match contre la sélection de Mahajanga a été organisé et s’est soldé par la victoire des Barea (2 -1).
Les Barea affronteront en match amical, d’une part, la sélection de Mayotte toujours en préparation aux Jeux des îles, le mercredi 26 juillet. Et de l’autre,  la sélection de Mahajanga défiera la sélection de Mayotte. Cette dernière affrontera aussi la sélection nationale malagasy, un match prévu le samedi 30 juillet au stade Rabemananjara.
 « Nous avons organisé ce jubilé en honneur de ce grand homme natif de Mahajanga pour ce qu’il a fait et ce pour le bien du football malagasy.  On ne va pas attendre sa disparition pour lui rendre hommage », a évoqué le commissaire divisionnaire de Police Lebiria Rifin Tolojara, du comité d’organisation du jubilé d’Ahmad. «Un dîner dansant est programmé le samedi 29 juillet et les festivités seront bouclées en beauté par cent coups de feux d’artifice, probablement au bord de la mer dans la soirée du dimanche après la remise des trophées», souligne le responsable de l’organisation.
Rappelons que Ahmad a occupé le poste de président de la CAF du 17 mars 2017 au 12 mars 2021 durant lequel il a été élu aussi vice-président de la FIFA et ce, après avoir dirigé la Fédération de 2003 à 2017.
L’homme de 63ans a déjà occupé des postes politiques dans le pays, en étant ministre de la Pêche en 2014-2016, vice-président du Sénat (2016-2017). Il était également vice-président du Comité olympique entre 2005-2011 et secrétaire d’Etat chargé du sport (1994-1995).
A noter que Les Barea ont rallié la ville des Fleurs depuis le 23 juillet.
 Gagner la médaille d’or aux Jeux sera un défi pour le coach Romuald Rakotondrabe dit Rôrô.
La dernière fois que Grande île a remporté la médaille d’or, c’était il y a trente ans, en 1993 aux Seychelles. Pour rappel,  Madagascar s’est contenté de la médaille de bronze en 2015 à La Réunion, et était éliminé en phase de groupe en 2011 aux Seychelles et en 2003 à Maurice.
E.F.




A l’approche du mois d'août, summum de la période des vacances, nombreux sont ceux qui aspirent à rénover et embellir leur intérieur. Dans ce contexte, les magasins Baolai sis à Analakely, Soarano et Bazar Be Toamasina proposent des offres alléchantes à l’endroit de leurs clients potentiels. « Pour satisfaire la demande grandissante, nous avons choisi de continuer la giga promotion sur nos modèles de Smart TV, téléviseurs Led allant de 32 à 85 pouces, ainsi que les Laser TV de 100 pouces (avec une garantie de 12 mois). Il faut rappeler également que nous sommes désormais le représentant officiel de la marque japonaise de renommée internationale Toshiba. A cet effet, des modèles de téléviseurs allant de 32 à 75 pouces de marque Toshiba sont disponibles chez Baolai », d'après un responsable.
En bonus, Baolai propose une multitude d’articles électroménagers et de premier choix, notamment les synthétiseurs, Laser TV 120 pouces (avec une garantie d’un an ), panneaux solaires mono et polycristallins - très utiles en ce moment pour pallier les longues coupures de courant, climatiseurs de toutes sortes, tables de mixage, machines à café à capsule, subwoofers, machines à laver transparents, congélateurs (froid actif 135 heures après le délestage), … Les détails sont à découvrir sur la page Facebook et le site web de Baolai, ou en téléphonant au 033 37 188 88 (en heures de bureau). Une fin de mois haut en couleur se profile à l’horizon avec la société Baolai.








Fil infos

  • Opposants sans scrupules - Des putschistes en puissance
  • Administration - Le passeport biométrique disponible dans toutes les Régions !
  • Accord de Paris - « Le retrait des Etats-Unis est dramatique »
  • Développement du pays - L’Etat et le FFKM se tendent la main
  • Carburants - L'Opposition souhaite une hausse vertigineuse 
  • Critiques contre le projet « Lac Iarivo » - La société civile conforte sa position tendancieuse 
  • ACTUS BREVES
  • Interception de 53 kg d’or à Ivato - Une prime de 97 millions d'ariary pour des douaniers exemplaires
  • Partenariat stratégique - Les Emirats arabes unis réaffirment leur intérêt d’investir à Madagascar
  • Ankoay interceptés sur la RN2 - Des oiseaux dressés par son propriétaire depuis 2023

Recherche par date

« January 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Pub droite 1

Editorial

  • La bonne semence
    La culture, une activité de base utile pour l’homme ! Comme il y a une mauvaise culture, nuisible pour les êtres humains, il existe une bonne culture nécessaire à la meilleure condition de la vie humaine. La culture peut s’agir aussi de l’entretien minutieux et continu de quelque chose, et ce, pour le bon rendement d’une production quelconque, pour une bonne qualité. Il peut y avoir une culture de maïs, de manioc, de riz, de vanille dont le métier est exercé par un cultivateur ou cultivatrice. On parle aussi de culture physique, l’entretien du corps humain, effectué par un culturiste, le « bodybuilding ». Un agriculteur est celui qui s’occupe en tant que métier, à plein temps, d’un ensemble d’activités culturales liées aux activités productives rurales.

A bout portant

AutoDiff