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Calvaire, parcours du combattant, … Les mots manquent pour décrire la galère des usagers qui daignent s’aventurer sur les routes nationales situées dans la partie Est du pays, en ce moment. Il est surtout question de la RN5 et de la RN2. Si la RN5 relie les villes comme Maroantsetra, Mananara Nord, Soanierana Ivongo, Fenoarivo Atsinanana, Foulpointe et Toamasina, la RN2 quant à elle dessert Antananarivo et la ville portuaire.  Des axes stratégiques qui se trouvent pourtant dans un état de ruine. Les habitants des localités qui bordent ces routes semblent souffrir en silence et prennent leur mal en patience quant à l’effectivité des travaux de réhabilitation de ces axes.

Des voies déchaussées, des routes boueuses, d’énormes trous à l’infini,… Tel est le spectacle désolant qui attend les usagers de la RN5 qui relie la ville de Toamasina et Foulpointe. Un parcours de seulement 59 km qui se fait pourtant en deux heures voire plus et qui fait davantage penser à une route secondaire qu’à une route nationale. En effet, tout dépend de la voiture utilisée. Même pour les véhicules 4x4 réputés pour leur capacité à parcourir tous les types de terrain (d’où l’appellation voiture tout terrain), le trajet s’avère déjà pénible et éprouvant pour les conducteurs. La situation est donc pire pour les petites voitures ou voitures de plaisir, de même que les taxis – brousse car ledit trajet peut s’étendre jusqu’à trois longues heures. Et encore, le climat est clément actuellement car cette partie de l’île enregistre souvent de fines averses. L’on n’ose donc pas imaginer ce que pourrait être l’état des routes durant la saison des pluies qui approche à grands pas. Les habitants ne manquent pas de tirer la sonnette d’alarme sur le cas du pont d’Antaratasy qui risque également de s’effondrer sous le coup de la pluie si des travaux d’urgence ne sont pas réalisés.
Cet axe de la RN5 enregistre pourtant une forte circulation des biens et de personnes entre la ville portuaire et le site balnéaire de Foulpointe. L’on peut notamment citer les vacanciers qui viennent des villes éloignées comme Antananarivo pour y passer des jours voire des semaines. La réputation de Foulpointe n’est d’ailleurs plus à présenter et ce, surtout pour l’accessibilité de ses bords de mer. Il n’est pas non plus rare d’y voir des visiteurs venus des quatre coins de l’île pour des congrès ou autres réunions religieuses. Autant de visites qui contribuent, sans nul doute, à faire tourner l’économie locale.
Le tourisme local à l’agonie
A l’heure où Madagascar s’engage fortement dans la promotion du tourisme international au même titre que le tourisme local, l’état des routes peut constituer un grand frein dans ce sens et risque fortement de mettre les opérateurs touristiques à genoux. Beaucoup de visiteurs sont tentés de choisir d’autres destinations comme Mahajanga rien que pour échapper à ce « massacre routier ». Il n’est plus à rappeler que Foulpointe est aussi un passage obligé pour les passagers qui souhaitent aller sur l’île Sainte-Marie sans emprunter les vols aériens.
 A défaut de travaux, la dégradation des routes fait les bonnes affaires de particuliers qui y passent leurs journées à effectuer des semblants de réfection contre de l’argent. Des solutions « tip – top » qui ne pourront jamais valoir de vrais travaux de réhabilitation. A priori, des travaux ont déjà été entamés en 2020 mais ces ouvrages, soit n’ont pu être menés à terme, soit ont été réalisés de façon hâtive voire médiocre. « J’ai souvent entendu parler de l’état de cette route mais je n’aurais jamais imaginé que cet axe soit aussi abîmé », confie un conducteur qui vient d’Antananarivo. De leur côté, les habitants de Foulpointe ne comprennent pas pourquoi les responsables étatiques tardent à réagir face à cette situation de délabrement avancé. « Les habitants semblent s’être déjà résignés et souffrent en silence car les travaux imminents promis n’ont jusqu’ici pas été effectifs », confie un autre usager et habitant à Toamasina.
Promesses présidentielles
 Il faut dire que l’état de la RN2 reliant Antananarivo et Toamasina laisse déjà quelques signes avant – coureurs de la situation qui attend les usagers souhaitant poursuivre le voyage depuis le Grand Port jusqu’à Foulpointe. Avec ses routeurs sinueux et à majorité troués, la route nationale 2 n’est pas non plus un terrain facile pour les conducteurs non aguerris.
Au cours d’une visite à Toamasina en 2021, le Président Andry Rajoelina avait constaté de visu l’avancée du projet « Miami » dans le Grand Port et procédé au lancement des travaux d’aménagement et d’asphaltage d’un tronçon de la RN5 reliant Soanierana-Ivongo et Mananara Nord.  Le Chef de l’Etat avait alors profité de l’occasion pour donner des consignes afin de mettre l’accent sur la nécessité de réhabiliter de manière urgente l’axe Toamasina – Foulpointe. Des consignes dont la concrétisation semble encore tarder du côté des autorités concernées. En tout cas, le régime aura tout intérêt à réfectionner au plus vite ces axes de la RN5 et la RN2 au risque de s’attirer la foudre des usagers. Avis aux responsables !
Dossier réalisé par Sandra Rabearisoa

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Confession de foi !

Un jeune dirigeant catholique pratiquant et convaincu confesse. De haut de son chaire de leader, il professe son intime conviction selon laquelle « la foi et l’amour sont les moyens efficaces pour nous unir ». Deux moyens qui ont déjà fait leurs preuves et leur efficacité depuis des millénaires. Ce « jeune dirigeant catholique pratiquant et convaincu » partage sa confession de foi à l’intention des jeunes comme lui lors de la grand-messe de clôture de la dixième édition des Journées Mondiales de la Jeunesse à Antsirabe ce dimanche 4 septembre. Un message fort adressé à l’endroit d’une frange  aussi importante que dynamique de la population, la jeunesse.
Rajoelina Andry Nirina, car il s’agit bien de lui, ce « jeune dirigeant catholique pratiquant et convaincu », Président de la République de son état, honorant de sa présence, aux côtés de son épouse Mialy Rajoelina Razakandisa, clamait haut et fort sur la tribune où il prononçait un discours très haut en couleur. Porteur d’un message fort qui prône la foi et l’amour, Rajoelina aimerait bien emmener et surtout mobiliser la jeunesse malagasy dans son sillage.
Dans un pays au cœur de certaines perturbations morales, comportementales et sociétales comme le nôtre conduisant vers la violence, l’implication de la foi et de l’amour (du prochain) s’avère une issue pertinente. Inculquer la foi et l’amour à autrui est une noble mission et un devoir sacré. La foi, cette conviction profondément intime émanant du for intérieur, peut conduire à une transformation efficace sur la personnalité de l’homme ou un groupe d’hommes et de femmes vivant dans une même communauté sinon dans un pays donné. Il est écrit quelque part dans un Livre sacré que « la foi peut déplacer voire soulever une montagne ! » Il fut un temps aux Etats-Unis où un jeune qui désirait postuler un emploi au sein d’une boîte quelconque devait répondre dans le formulaire à une question précise « Avez-vous de la foi ? » Une réponse négative écarte toute chance d’être embauché (e) ! Tous les efforts de redressement que l’on entreprend, ces temps-ci, nécessitent la foi.  La foi dans tout ce que l’on entreprend ! La foi en l’avenir meilleur ! En effet, la foi cette force intérieure et irrésistible, traduite en actes, aura la puissance et le pouvoir de redresser pour le long terme le pays.
L’amour (du prochain), ce feu intérieur qui brûle les mauvaises herbes, est le seul capable de prendre des ailes et survoler les débats stériles, les calomnies, les jalousies et le seul à même d’anéantir tous les vices qui polluent les relations entre les hommes. L’amour du prochain oublie et pousse les uns et les autres à se rapprocher !
Les responsables religieux, la société civile et les leaders d’opinion doivent sous la haute bienveillance des dirigeants de l’Etat accorder leur violon afin de mettre en œuvre une stratégie bien ficelée à inculquer une éducation allant dans le sens d’éveiller la foi et cultiver l’amour (du prochain) à nos jeunes. Il ne s’agit pas forcément d’une « évangélisation » ou d’une « catéchèse » ou encore d’une « école de dimanche » mais leur transmettre une culture générale propre à enrichir la foi et l’amour et ce en vue d’une unité nationale.


Le matin du 30 août dernier, alors que la ville d’Ikongo était encore dans la tourmente après une jacquerie des villageois cherchant à faire la peau à 4 suspects gardés à vue à la caserne de la Gendarmerie, car accusés de meurtre et d’enlèvement d’un enfant albinos, 167 prisonniers ont alors profité du chaos total pour s’évader de la maison de détention. Récemment, l’administration pénitentiaire, par le truchement de son contrôleur, en l’occurrence Gabriel Jacquelin Maharitra, est sortie du silence pour dresser une sorte d’état des lieux à la suite de cette évasion massive de prisonniers. Actuellement, 72 détenus sont retournés dans leurs cellules de détention. 45 d’entre eux ont fait ainsi ce retour volontaire au bercail tandis que 27 autres ont été arrêtés au cours de leur fuite, depuis. Cette série de redditions a débuté dès le soir même du 30 août dernier. Cependant, un fugitif, pour un motif non élucidé, a trouvé la mort au cours de sa cavale. Enfin, sur un total de 232 prisonniers que compte le centre de détention d’Ikongo, 65 font de la main-d’œuvre pénale, donc bénéficient d’une liberté relative.
Plus d’une semaine après ces évènements brûlants qui ont secoué Ikongo, l’heure est donc au retour progressif à l’ordre, notamment au niveau de la prison locale. Au contrôleur de l’administration pénitentiaire de dire que tous les prisonniers actuellement en cavale sont désormais activement recherchés, du moins à compter de ce jour. En cause, le délai à respecter pour que les fugitifs soient finalement conscients de leur erreur, et devront être poussés à retourner de leur propre gré à la prison, aurait déjà largement expiré. A cet effet, ces avis de recherche, contenant les différents renseignements à propos de chaque fugitif, seront placardés sur les locaux de la Gendarmerie et de la Police de cette cité, mais aussi celles de ses environs.
Pour y parvenir, une coordination des actions communes s’impose auxquelles devra s’ajouter une intensification de la sensibilisation des maires, du Fokonolona, et ce, en sus des arrestations des fugitifs, selon toujours le contrôleur.
En marge de tout cela, ce responsable est persuadé qu’il faudra accélérer la construction d’un nouveau centre de détention conforme aux normes à Ikongo. L’objectif est d’obtenir la possibilité chez les agents pénitentiaires d’optimiser leur propre sécurité, mais aussi celle des prisonniers. D’autant plus que cette recherche d’innovation serait loin d’être superflue par le fait qu’Ikongo est une ville particulièrement prompte à ce genre de violente et sanglante rébellion, et qu’on y enregistre au moins 3 ou 4 troubles dans l’année. Enfin, il est temps de réviser la procédure d’affectation d’agents pénitentiaires où beaucoup refusent de travailler à Ikongo, alors que des prisonnières ont notamment besoin de gardes du même sexe. Bref, il n’y a que 13 gardes, en tout et pour tout pour surveiller les détenus, tous sexes confondus, à la prison d’Ikongo.
F.R










 



Dans le contexte du marché du travail actuellement, les jeunes ont de plus en plus des difficultés à trouver d’emploi digne et juste. C’est ainsi que le défi, « un jeune, un travail décent » a été lancé par l’Etat malagasy. Le projet est financé par l’OIT, ONUDI, PNUD, UNFPA et a été discuté lors du forum pour l’emploi et le développement des jeunes », le 5 et 6 mai 2022. 
À l’issue de ce forum, plusieurs résolutions ont été adoptées, et ce divisées en 2 volets. Les jeunes attendent la concrétisation de ces résolutions en actions. Pour l’accès des jeunes à un emploi décent et productif, la chaîne de valeur « agricole » va être valorisée dans les formations. Des centres de formation professionnelle en adéquation avec les réalités sur place seront installés dans les 23 Régions. Et les actions menées sur place adaptées aux réalités régionales et locales. Aussi, les jeunes seront sensibilisés à la formation technique et professionnelle. Par ailleurs, la mise en place d’un système d’information d’appui à l’orientation, l’insertion des jeunes sera effective au niveau des collectivités décentralisées.
D’un autre côté, la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes concerne les formations techniques, professionnelles et entrepreneuriales en milieu rural éloigné, lesquelles seront renforcées et prodiguées en malagasy. Les droits d’enregistrement de la création d’entreprise seront gratuits. Un centre d’incubation sera mis en place dans les 23 Régions. L’accès au financement (IMF, venture capital, fonds pour l’entrepreneuriat des jeunes avec un volet dédié aux femmes, PVH) sera grandement facilité. La politique de mise en valeur des produits locaux sera développée.
L’Observatoara Tanora intervient
Faire un suivi de la réalisation de ces résolutions afin qu’elles se concrétisent sur le terrain. Tel est l’objectif fixé par l’Observatoara Tanora. Dans cette optique, les jeunes et les partenaires ont le devoir d’effectuer un contrôle soutenu du projet. Les réalisations, l’avancement, les informations sur le projet feront l’objet d’un rapport effectué chaque trimestre par les jeunes dans les localités cibles afin que les participants et les bénéficiaires d’« un jeune, un emploi décent » ne se découragent pas et croient à l’initiative. La présentation des premiers résultats a été faite le 29 août et continuera chaque trimestre.
Dans le bon déroulement du projet, 5 recommandations ont été avancées par Observatoara Tanora, à savoir le basculement du comité d'organisation en un comité de suivi, la revue des politiques et programmes existants en matière d'emploi et d’entreprenariat, l’établissement d’une convention entre les jeunes, le Gouvernement et le secteur privé pour une vision commune plus adéquate quantitativement (emplois à créer) et qualitativement (travail décent) ainsi que le moyen financier. L'Etat doit prendre en charge les coûts du suivi, de gestion des données et de la diffusion périodique (trimestrielle et annuelle) du rapport et enfin sensibiliser et accompagner les collectivités (23 Régions et 1 696 Communes) à l'élaboration de plan emploi et entreprenariat à leur niveau respectif.

Après le passage de plusieurs cyclones, notamment Anna, Batsirai et Emnati à Madagascar, le canal d’irrigation GR a connu plusieurs dégâts et des ensablements. Ainsi, le curage du canal d’irrigation a été lancé afin de rétablir son bon fonctionnement.

« Le type de sol en Egypte, sableux et désertique, ressemble à celui dans le Sud de Madagascar. Pourtant, ce pays de l’Afrique du Nord développe une culture de la canne à sucre, du sorgho, du riz, des dattes et autres, au point d’exporter ces produits agricoles ». Fidiniavo Ravokatra, ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène (MEAH), l’a constaté lors de sa récente visite en terre égyptienne, du 27 août au 2 septembre dernier.

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En route …

On est en droit de dire que le sport malagasy, du moins le basketball et le football, retrouve le chemin de la réussite. Le parcours qui reste à faire afin de ravir le graal est encore loin et plein d’embûches mais on peut escompter d’ores et déjà y arriver.

Reprendre du poil de la bête. C’est de cette manière que Roland Ranjatoelina, actuel ministre des Transports et de la Météorologie, décrit l’obligation à la compagnie aérienne nationale de réintégrer le BSP (Billing and Settlement Plan). Le BSP qui peut se traduire par « organisation et régulation des paiements et des facturations » est une filiale de l’Association du transport aérien international (IATA) qui propose ce service à tous ses partenaires agréés, à savoir, les compagnies aériennes, les agences de voyage, les voyagistes et autres revendeurs agréés afin de réguler et d'organiser les transactions financières entre les fournisseurs qui sont les compagnies aériennes et les revendeurs de titres de transport aérien ou tout simplement les billets d'avion. Le BSP collecte de la part des agents de voyage accrédités les montants dus par ces derniers aux compagnies aériennes IATA et les transfère ensuite à ces dernières.

« Les travaux de construction du musée avancent à grand pas », a martelé Francis Alexandre Razafiarison, directeur général de la Culture, lors d’un entretien hier. Il a confirmé que le chantier sur lequel se déroulent les travaux de construction de « Havoria », l'auditorium et musée du patrimoine de l'audiovisuel de Madagascar, lequel s'édifie dans la cour à ciel ouvert de l'Office de la radio et de la télévision de Madagascar (ORTM) situé à Anosy, est en cours de finition.

Une tournée régionale. Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se trouve actuellement aux Seychelles, première étape de sa tournée dans la région indianocéanique. Elle y effectue une visite officielle depuis dimanche jusqu’à ce jour à l’invitation du Président Seychellois, Wavel Ramkalawan. 

Fil infos

  • Huile impropre à la consommation - La traçabilité de "Roots" confirmée
  • Actu-brèves
  • Conseil des ministres décentralisé - Cap sur l’île Sainte-Marie
  • Stade Barea - Homologation, aux calendes grecques
  • ACTU-BREVES
  • Coliseum de Fianarantsoa - Un projet présidentiel devenu réalité  
  • Système d’identification des personnes - L’Assemblée et le Sénat valident la réforme  
  • Atteinte à la sûreté publique - Le colonel R. Patrick condamné à 20 ans de travaux forcés
  • Série d’inaugurations à Fianarantsoa - Andry Rajoelina au plus près de la population
  • Conseil des ministres décentralisé  - 27 milliards pour la réhabilitation de la RN7

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Editorial

  • L’autre Sommet !
     « Un train peut cacher un autre ! » Au mois d’août prochain, le pays s’apprête à accueillir un autre Sommet, celui de la SADC (South African for the Development Community), Communauté pour le développement de l’Afrique australe. Madagasikara, de sa situation géographique, fait partie intégrante de l’Organisation sous-régionale regroupant les Etats de la partie australe de l’Afrique. La SADC, créée en 1992, regroupe 16 Etats membres dont la République de l’Afrique du Sud, l’Angola, le Botswana, Comores, la République démocratique du Congo, Eswatini, Lesotho, Madagasikara, Malawi, Mozambique, Namibie, Seychelles, la République Unie de Tanzanie, Zambie, et Zimbabwe. C’est une organisation régionale à vocation économique et politique. Elle vise à promouvoir le développement économique, la paix, la sécurité et l’intégration régionale des pays de la région australe de l’Afrique. A ses débuts, la SADC incarnait la lutte contre la ségrégation raciale, contre le colonialisme et l’impérialisme de l’Occident. Presque les…

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