L’augmentation des frais de transport, allant jusqu’à 150 %, n’a pas empêché les personnes bloquées dans la Capitale de rejoindre leur foyer respectif. D’après le directeur de la gare routière Maki à Andohatapenaka, les coopératives sont obligées d’augmenter leurs tarifs pour combler la perte durant les voyages et pouvoir respecter les barrières sanitaires. Pour un véhicule de 18 places, seules 13 d’entre elles peuvent être utilisées. Et pour un véhicule doté de 22 places, seules 16 d’entre elles peuvent être occupées. Pour le trajet Antananarivo-Toamasina, le prix du ticket est de 40 000 ariary au lieu de 25 000 ariary…