Société

Education - Vers l’annulation de la pause Toussaint

Publié le mercredi, 15 octobre 2025
Un retour à la normale plane. Bon nombre d’établissements scolaires privés ont repris depuis mardi dernier leur emploi du temps normal. Les cours se font désormais dans la journée, du moins pour les élèves du primaire et du secondaire. Pour ceux en préscolaire, les cours se font encore dans la matinée, du moins jusqu’à ce que la situation s’améliore. Toutefois, des mesures ont été prises pour rattraper les quelques jours de suspension des cours, due aux manifestations populaires. « Les élèves n’auront pas la pause Toussaint, initialement prévue du 25 octobre au 2 novembre prochains. Cette semaine sera dédiée aux…
Madagascar est un pays vulnérable aux catastrophes naturelles comme les cyclones, l’inondation, ou encore la sécheresse. Par conséquent, la population est fragile. Afin de soutenir cette population, Madagascar dispose d’un Fonds national de contingence (FNC). C’est un mécanisme de financement dédié à la gestion des catastrophes à Madagascar. Ce fonds a été mis en place par le Gouvernement malagasy afin de renforcer la préparation et la réponse face aux catastrophes et situations d’urgence, tout en garantissant la disponibilité de ressources financières immédiates en cas de crise. Ainsi, le FNC a pour objectif de consolider une capacité de résilience et la…
Alors qu’une frange de militaires affirme désormais contrôler le pouvoir, l’incertitude politique continue de régner dans le pays. Les affrontements récents et les scènes de pillage nourrissent l’inquiétude des ressortissants étrangers présents sur le territoire, dont les Mauriciens, nombreux à vivre dans l’angoisse.
La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNaPS) dément les rumeurs véhiculées dernièrement sur les réseaux sociaux à propos d’un décaissement de plusieurs milliards d’ariary auprès de ladite institution. « Aucun décaissement ne peut être effectué hors cadre légal, vu que la Caisse nationale de prévoyance sociale est régie par des textes légaux. Toutes les décisions doivent être approuvées par le Conseil d’administration, composé par des représentants des employeurs, ceux des travailleurs et ceux de l’Etat », a-t-elle communiqué récemment.
A Fort-Dauphin, les lumières ne s’éteignent plus, de jour comme de nuit. Une avancée majeure rendue possible grâce à un partenariat solide entre la société QIT Madagascar Minerals SA (QMM) et la JIRAMA. En effet, le site minier de Mandena, exploité par QMM, produit une partie importante de l’énergie nécessaire à ses activités industrielles. Mais au-delà de ses propres besoins, l’entreprise va plus loin : le surplus d’électricité généré est injecté dans le réseau de la compagnie d’eau et d’électricité et alimente désormais l’ensemble de la Commune urbaine de Taolagnaro.
La crise politique déclenchée par la contestation du collectif des Gen-Z a fini par ébranler les Forces armées. Le week-end dernier, de vives tensions ont opposé la Gendarmerie nationale, engagée dans les opérations de maintien de l’ordre à Antananarivo, et l’Armée de terre, notamment le Capsat, perçue comme plus favorable au mouvement populaire. Pendant trois jours, les relations entre les deux Corps se sont détériorées, jusqu’à un affrontement meurtrier samedi. Hier, un geste d’apaisement a finalement eu lieu : les principaux responsables militaires et de la Gendarmerie se sont rencontrés à Ampahibe pour enterrer la hache de guerre.
Aucune communication officielle n’a été émise le week-end dernier. La décision de reprendre ou de suspendre les cours a été l’initiative des responsables d’établissements scolaires pour la journée d’hier. Ceci d’autant plus que les manifestants ont sollicité une grève générale, engendrant la suspension des cours et du travail. Alors que la majorité des établissements ont suspendu les cours dans la Capitale, d’autres ont enchaîné la classe de demi-journée, effective depuis maintenant quelques jours. « Nous sommes en concertation régulière avec les parents d’élèves avant de prendre une décision. La plupart d’entre eux ont opté pour la reprise des cours, pour…

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Editorial

  • Etat de droit (suite)
    Nous n’aurions pas un temps assez et suffisant pour décortiquer, décrypter et détaler dans son intégralité ce concept d’Etat de droit. Tellement vaste, tellement délicat et tellement basique, le sujet nécessite une analyse pointilleuse. Elle s’inscrit dans une logique rationnelle visant à essarter l’énorme chantier de la Refondation. Comme nous l’avions déjà eu auparavant, lors des précédentes communications, l’occasion de définir les règles de base relatives à la Refondation. Il nous est impératif d’insister à apporter notre part de brique dans cette œuvre si délicate et si compliquée de refondation de l’Etat et de la Nation malagasy. Nous jugeons, plutôt je le juge indispensable de bien créer une condition de visibilité maximale autour de l’Etat de droit. Une Refondation sans l’implication et l’interaction directe de l’Etat de droit claudique assurément. Elle avancera clopin-clopant.

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