Société

Le caboteur battant pavillon malagasy, baptisé Azfardath & Windio ou A.W. entame son quatorzième jour de disparition, et ses 30 passagers, ce jour. Les recherches, bien qu'elles ont été intensifiées, restent toutefois infructueuses, du moins jusqu'à ce jour. Non seulement, on a perdu toute trace de l'A.W., mais il n'a également laisse aucun débris, indice qui est susceptible de croire à son éventuel naufrage, bref rien de tout cela. Cette disparition inexpliquée de l'A.W. laisse donc plus d'un perplexe. Face à cette situation, la thèse comme quoi ce petit bateau aurait été la cible d'un acte de piraterie, commence à…
La scène de violence meurtrière suivante s'est produite durant le podium, à Fenoarivobe, dans le District de Tsiroanomandidy, le soir du 26 juin dernier. Cela s'est traduit par l'agression d'un gendarme stagiaire qui a succombé des suites de ses graves blessures. Il a reçu un coup de machette sur le crâne. Les faits. Il était 21h passé de quelques minutes ce jeudi soir-là lorsque deux groupes rivaux de jeunes spectateurs étaient entrés dans de violentes altercations, selon une source au niveau de la compagnie de Gendarmerie de Fenoarivobe.
Un engagement durable dans le développement sanitaire de la zone océan Indien. Une délégation du Centre hospitalier universitaire (CHU) de La Réunion vient de clôturer une mission sanitaire à Madagascar. Durant son séjour dans le pays, plusieurs activités ont été menées avec le personnel médical ainsi que des spécialistes, selon le bilan effectué par le CHU de La Réunion. A part les soins médicaux, ils ont partagé leurs expériences avec leurs homologues malagasy.
Touchant non seulement les familles démunies mais aussi celles ayant des connaissances nutritionnelles limitées. La pauvreté alimentaire constitue un phénomène qui prend de l’ampleur ces derniers temps. Il s’agit de l’incapacité à accéder régulièrement à une alimentation suffisante, équilibrée et de qualité. Elle combine l’insécurité alimentaire, la pauvreté monétaire et la pauvreté nutritionnelle. Selon les statistiques émanant de l’ONG HAFA, 24 % des enfants sont en pauvreté alimentaire sévère à Madagascar, c’est-à-dire qu’ils ne consomment que 2 des 8 groupes alimentaires essentiels à leur développement. Ces groupes alimentaires se composent de lait maternel, céréales, racines, tubercules et bananes plantains, légumineuses,…
La Commune d’Anjahana, dans le District de Maroantsetra, Région d’Ambatosoa, a accueilli une visite de terrain effectuée par le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage, Hajarison François Sergio, suite au face-à-face avec les députés à l’Assemblée nationale. Ce déplacement s’inscrit dans le cadre d’une stratégie gouvernementale visant à réhabiliter les infrastructures hydrauliques agricoles, notamment les barrages, aujourd’hui en ruine.
Suite aux intoxications alimentaires qui s’enchaînent ces derniers jours dans le pays et notamment à Ambositra, les évêques et prêtres de ce diocèse ont effectué une déclaration, mercredi dernier. Ils ont présenté leurs condoléances aux familles des victimes et aux patients qui suivent encore des traitements à l’hôpital. “ Ces dernières semaines, une série d'intoxications alimentaires ont eu lieu à Madagascar. Les familles se sont rassemblées pour manger et célébrer mais ces heureux événements ont tourné en cauchemar, tuant des dizaines de personnes laissant de nombreuses personnes sans voix”, soutiennent les évêques dans leur déclaration. Et de poursuivre : “…
Une trentaine de cas par jour. L’épidémie de paludisme dans le District d’Ikongo, Région de Fitovinany, continue de mettre à rude épreuve les communautés et les structures de santé locales. Selon les chiffres émanant de “Médecins Sans Frontières” (MSF), laquelle intervient sur place depuis mi-mai, les équipes ont assuré 5 141 consultations à travers des cliniques mobiles déployées dans les zones les plus affectées. “Sur 4 361 personnes testées en 35 jours d’activités, plus de 3 567 cas positifs ont été diagnostiqués, confirmant la sévérité de la flambée”, communique ladite organisation médicale humanitaire internationale, intervenant à Madagascar depuis 1987. Concrètement,…

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Editorial

  • Signal fort (III) 
    Jean louis Andriamifidy bouscule ! Le président du Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) secoue le « système établi » afin d’éveiller la conscience et l’âme des premiers responsables dont en premier lieu les parlementaires notamment ceux de Tsimbazaza pour enfin mettre le holà à la corruption et l’impunité. Sur ce point, le président du CSI ne s’est pas trompé d’adresse. Il sait très bien à quelle porte frapper. Jean Louis Andriamifidy, président du CSI, en chair et en os, se présente devant les députés à la tribune de l’Assemblée nationale, leur demandant de prendre leurs responsabilités devant la nation. Concernant la lutte contre la corruption, il ne fallait jamais méconnaître qu’il existe deux catégories de corruption c’est-à-dire deux types de corrupteurs : le commun des mortels, les menus fretins et les membres du pouvoir à savoir élus parlementaires, anciens ministres ou en exercice, chefs d’institution anciens ou en…

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