Beaucoup attendent avec impatience le « bus class ». Les véhicules qui devraient desservir Antananarivo Renivohitra à compter d'hier ne sont pas encore en exercice. Cependant, bon nombre de passagers aient tant attendu ce jour pour une expérience. Joint au téléphone, le responsable au sein de la coopérative Onja a avancé que les formalités sont encore au stade de la finition.
Veille toujours maximale ! Apparemment, le pays échappe à la contamination massive du redoutable variant indien Delta. A en croire aux bilans sanitaires de ces derniers jours, la Covid-19 bat retraite. En dépit de l'hiver qui nous frappe en pleine figure ces temps-ci, les nouveaux cas et les décès reculent. Les données chiffrées avoisinent le zéro.
Ras-le-bol des transporteurs. Ces derniers viennent d'annoncer qu'ils envisagent une hausse des frais de transport sur les lignes nationales, principalement à cause de l'état des infrastructures routières sur certains axes du pays. « Nous avons envisagés cette alternative depuis quelques mois.
Continuer ou en finir ? Telle est la question qui se pose actuellement concernant l’avenir de la compagnie aérienne nationale malagasy. Au mois de mai dernier, le Conseil d’administration d’Air Madagascar a décidé de mettre au chômage technique une bonne partie des employés car les charges sont devenues trop lourdes pour la compagnie aérienne, vu qu’elle n’a aucune rentrée d’argent depuis plusieurs mois.
La session parlementaire extraordinaire ouvre ses portes ce jour. La ratification des 4 conventions de partenariat, signées il y a une quinzaine de jours au palais d’Etat d’Iavoloha, sera à l’ordre du jour de cette session. En effet, sitôt la cérémonie de signature de l’accord de financement à hauteur de 490 millions de dollars entre la Banque mondiale et l’Etat malagasy effectuée dans la matinée du 21 juillet dernier, le décret de convocation des deux Chambres du Parlement a été pris en Conseil des ministres dans l’après – midi.
Fès - Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a adressé, samedi, un Discours à la Nation à l'occasion du 22ème anniversaire de l’accession du Souverain au Trône de Ses glorieux ancêtres.
Voici le texte intégral du Discours Royal :
"Louange à Dieu, Prière et salut sur le Prophète, Sa famille et Ses compagnons.
D'autres lots de vaccins anti-Covid arriveront à Madagascar après ceux reçus le mardi 27 juillet dernier. Il y a plus d'une semaine, l'Afrique a réceptionné un flux important de vaccins provenant de multiples sources dans le cadre du Mécanisme COVAX. Près de 4 millions de doses sont alors affluées sur le continent, en comparaison avec tout juste 245 000 doses envoyées par le Mécanisme au cours du mois de juin.
Avec la crise sanitaire, bon nombre de parents se ruent vers la circoncision collective. Outre la prise en charge durant et après l’opération en cas de complication, certains organisateurs utilisent la technique moderne de circoncision afin de diminuer la douleur de l’enfant et de préserver l’hygiène. Comme à l’accoutumée, le Groupe Sodiat, représenté par le Polyclinique d’Ilafy, organise une circoncision collective pour la Commune rurale d’Ankadikeky-Ilafy. Hier, 40 petits garçons âgé d’un à 5 ans ont été circoncis. Cette année, c’est la Commune d’Ankadikely qui a pris en charge l’opération, contrairement aux années précédentes. La participation du Groupe Sodiat concerne l’approvisionnement en médicaments nécessaires durant et après l’opération, ainsi que la distribution de jouets et friandises pour les enfants, selon le représentant de la Polyclinique d’Ilafy.
Cette année, le nombre des enfants circoncis a été limité à cause de la pandémie et l’urgence sanitaire. Et ce sont les parents qui ont déjà effectué l’inscription de leurs enfants l’année dernière qui ont été priorisés. En effet, cette circoncision de masse organisée par la Polyclinique est la plus attendue des parents. « Elle a été suspendue l’année dernière, mais nous avons préféré attendre, bien que d’autres opérations effectuées par d’autres organisations aient déjà réalisées dans notre Commune », soutient Ravao, parmi les bénéficiaires.
Le but de cette circoncision collective est d’alléger les dépenses des parents et de les soutenir en cette période de crise. Effectivement, la plupart d’entre eux se ruent vers la médecine traditionnelle à cause de la cherté de l’opération. Néanmoins, les enfants courent un grand risque avec cette pratique. Actuellement, le coût d’une circoncision varie aux alentours de 50 000 à 400 000 ariary selon la méthode utilisée.
Anatra R.