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Des mesures répressives sur la vente ambulante des masques chirurgicaux. Depuis la fin de la période de confinement et l’obligation du port de masque à cause de propagation de la pandémie de coronavirus, une forte demande en la matière a été constatée sur le marché local. Beaucoup se ruent ainsi vers la commercialisation de ces masques chirurgicaux et respiratoires, si auparavant, les vendeurs ne font qu’écouler leurs stocks. Ces produits se vendent actuellement comme des petits pains dont le prix varie entre 500 à 1 000 ariary l’unité.

 

« Des élèves affamés qui disparaissent vers 14h pour aller chercher de la nourriture à la maison, et dont la majorité ne reviennent plus que le lendemain en ayant toujours ce même problème ». C’est à cela que se résume le quotidien des élèves en classe de 7ème de l’Ecole primaire publique (EPP) située à Ifaty, d’après leur enseignant. Depuis 2018, la dernière année de l’opérationnalisation de la cantine scolaire au sein de cet établissement scolaire, l’enseignement s’est plus ou moins compliqué.

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Appel entendu

Face à la gravité des impacts du Kere dont la famine dans le Sud et à l'urgence des actions à entreprendre, le Gouvernement malagasy s'adresse à la Communauté internationale. Le Chef de l'Etat, en personne, a convié au Palais d'Etat d'Iavoloha les pays amis et bailleurs de fonds traditionnels afin de leur exposer de vive voix la dramatique situation qui prévaut sur place et de solliciter leurs aides. Vu l'immensité des besoins, le Gouvernement ne peut pas, à lui seul, les supporter en totalité dont le montant a été évalué à 60 millions de dollars en besoins directs et immédiats pour soutenir la population en situation de précarité extrême. Et la Communauté internationale ne tarde pas à répondre. Les vrais amis se reconnaissent dans l'adversité.

 

Clap de fin pour la toute première édition de la Foire 4M-Madagasikara Mijoro, Miray hina, Mifaly. Au cours de ces quatre derniers jours, les exposants, les opérateurs et les producteurs issus de divers secteurs d’activité ont pu valoriser le savoir-faire et les produits « Vita Malagasy ». En effet, ils ont encore du chemin à faire pour dissuader les citoyens malagasy à consommer local. Cet événement est une étape dans ce long et pierreux périple, surtout que le développement de l’industrie malagasy dépendra de la consommation. Ce moment de partage et d’échanges a ainsi été bénéfique autant pour les exposants que pour les visiteurs.   

 

Concrétisation. Suite à la signature de la convention de partenariat avec seize opérateurs aurifères en fin octobre, la « Banky Foiben’i Madagasikara » (BFM) a commencé à acheter de l’or depuis maintenant trois jours. Bien que certains opérateurs aient émis des doutes avant, la viabilité du processus convainc plus d’un. L’initiative fait mouche pour de multiples raisons. Citons entre autres le prix d’achat proposé par la BFM qui s’aligne au cours international, moins les frais relatifs à la transaction. L’exonération de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est déjà entrée en vigueur et est effective lors des ventes de la semaine dernière. Et le dernier point qui enlève toute appréhension concerne le paiement qui peut se faire au plus tard 12 heures après la vente. Bref, des procédures qui font des deux parties contractantes des gagnants.  

 

L'affaire du père de famille qui a sévèrement puni son fils, suite à une mise à pied par son école, a continué d'alimenter les sujets de discussion sur les réseaux sociaux notamment. Accusé de maltraitance d'enfant, ce père de famille a été déféré au Parquet en fin de semaine dernière. A l'issue de son audition, il a été placé en détention préventive en attendant son procès qui serait prévu cette semaine. Un passage par la case prison que certains disent « mérité » tandis que d'autres affirment que cette sanction est disproportionnée.

Le Premier ministre Christian Ntsay a organisé son deuxième Conseil de Gouvernement délocalisé à l'Académie militaire d'Antsirabe, samedi dernier. Le principal sujet abordé était la mise en place des structures liées à la restructuration de l'Armée. Le Premier ministre Christian Ntsay a convié les membres du Gouvernement à l'Académie militaire d'Antsirabe pour tenir le Conseil de Gouvernement, samedi dernier. Il s'agit du deuxième Conseil de Gouvernement délocalisé. Un mois passé en effet, le Conseil de Gouvernement s'est tenu à l'usine militaire de Moramanga.

 

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LA UNE DU 21 DECEMBRE 2020

« Les risques d'incendie : prévenir et agir ». Tel a été le thème choisi par Galana Distribution, Pétrolière SA et Vitogaz, en collaboration avec le corps des sapeurs-pompiers, lors d'une conférence organisée à l'Hôtel de ville, Analakely, la semaine dernière. L'objet de la discussion s'est porté sur les exercices réguliers de simulation d'incendie.

Personne n’en revenait pas ! En un rien de temps, la vie d’un couple a été réduit à néant à la suite d’un drame ayant trait à un problème conjugal, probablement très grave.   Un gendarme de 2e classe ouvre le feu sur sa femme avant de retourner l’arme contre lui-même. Comble du malheur : il n’y avait que deux petits témoins à la scène, tellement petits pour assister à cette scène terrible et particulièrement violente. Il s’agit des enfants même du couple : l’un à peine un mois et le plus grand 6 ans ! Les faits se sont déroulés jeudi soir, non loin de la caserne de la gendarmerie de la localité de Fanjakana, dans le District de l’Isandra, ex-province de Fianarantsoa.

 

Fil infos

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  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
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  • Madagascar Airlines - Aucun pilote à bord

La Une

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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