Tous les moyens sont bons pour protéger les ménages vulnérables. Cela fait maintenant un mois que les prix des produits de première nécessité (PPN) ont enregistré une augmentation alors que Madagascar n’entre pas encore dans la période de soudure. Le sujet a d’ailleurs fait l’objet d’une discussion lors du dernier Conseil des ministres mercredi dernier. Outre la réouverture des « Tsena Mora » et la fixation du prix de référence, le Gouvernement actuel se tourne également vers une politique monétaire.
Rattraper les cinquante ans de retard sur le développement. C’est dans cette optique que le Président de la République s’est rendu dans la Région de Haute Matsiatra, en fin de semaine dernière, pour procéder aux lancements de plusieurs projets pour le développement de la Région. Le premier d’entre eux est le nouvel établissement carcéral dans la Commune de Volamena dans le District de Lalangina. Construit sur une surface de 9000m2, le nouvel établissement carcéral, aux normes, aura une capacité d’accueil de 900 détenus.
Feux de brousse, actes des immigrants ou crime tout court ? C’est la question sans réponse, suite au vaste incendie qui a ravagé plus de 100 ha au parc national d’Ankarafantsika. Mais quelle que soit la réponse donnée, les conséquences sont néfastes tant pour l’environnement que pour l’économie malagasy à travers le tourisme. Les bonnes nouvelles, si on peut les qualifier ainsi, c’est que les feux sont maitrisés et complètement éteints depuis mercredi dernier et ce contrairement aux informations véhiculées sur les réseaux sociaux.
30 ans de combat pour la dignité, l’insertion et la justice en faveur des enfants, des femmes et des personnes âgées de la décharge d’Andralanitra. « Le Père Pedro a démontré qu’il est faisable de convertir la pauvreté en un espoir et le centre Akamasoa en est la preuve», avance le Président de la République, Andry Rajoelina, dans le cadre de la célébration du centre Akamasoa hier à Andralanitra. Actuellement, l’histoire de ce centre est devenue une référence à Madagascar et dans le monde entier.
Des réformes structurelles et sectorielles de grande envergure. Ce fut en ces termes que le Premier ministre, Christian Ntsay a résumé les grands chantiers qui seront menés à Madagascar pour rattraper le retard de développement du pays, devant l’assemblée générale des Nations unies, samedi dernier. Le numéro deux de l’Exécutif a représenté le Président de la République lors de ce grand rendez – vous international à New York.
Des volutes de fumée et des langues de flammes qui ont jailli d’une maison à étages située dans les dédales du quartier, ont créé un moment de panique et ont vivement alerté les riverains à Ambatonakanga. Cela s’est produit vers 10h du matin, hier. En réalité, c’était une aile située dans la partie ouest du bâtiment occupé par deux familles, qui a été ravagée ainsi. Des meubles ont été également endommagés. Le comble, c’est que le sinistre s’est déclaré en l’absence de la locataire, une femme âgée qui y vit seule, qui n’était pas à l’endroit au moment des faits.
Un autre baobab, plus grand que « Tsitakakoike », issu de la famille de baobab Andansonia Grandidierie est découvert dans le Fokontany Andombiry, District de Morombe. Appelé « Tsitakakantsa », il est dorénavant le plus grand baobab de Madagascar et celui de la planète. D’une circonférence de 28,90m, « Tsitakakantsa » se traduit littéralement par si l’on chante dans l’une des faces de baobab, on n’entend pas le chant dans l’autre.
A la fin de l'année dernière, l'exposition de Pierrot Men au Musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris s'est démarquée. Ce qui fait qu'il revient aujourd'hui à Paris pour la 8ème édition de Photo Saint Germain, du 6 au 23 novembre prochain. Effectivement, retenu par un jury composé d'experts de la photographie, il exposera ainsi une vingtaine de ses photos à la Galerie Lee, au quartier Saint-Germain-des-Prés. Ce dernier étant le quartier des artistes, écrivains, musiciens, chanteurs comme l'a chanté Jérôme Randria dans son titre « Alina Paris ».
Qu’il nous admette, pour peu qu’il soit, de s’émanciper des échauffourées des élections et les tiraillements voire des tensions autour de la vie politique, et cela, pour se donner l’occasion de faire une petite escapade et scruter la vie du terroir. En réalité, si en villes les attentions sont obnubilées par les enjeux des élections et accaparées par les actions du Gouvernement, dans les campagnes par contre notamment dans le pays profond, dans le terroir, du moins sur les Hautes Terres, le souci et les préoccupations sont ailleurs.