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L'affaire se rapportant sur une suspicion de corruption mais aussi d'abus et liée à la sortie non autorisée d'une présumée narcotrafiquante de sa cellule de détention a été déférée au Parquet du Pôle anti-corruption (PAC) aux 67Ha, mardi dernier. Elle incrimine des agents pénitentiaires d'Antanimora. A l'issue des auditions des incriminés par le procureur du Pôle, deux agents pénitentiaires, un médecin-chef ont été placés sous mandat de dépôt à la prison d'Ambatolampy. Tous sont soupçonnés d'avoir touché un pot-de-vin pour faciliter la sortie temporaire puis la circulation de la prévenue hors de la prison. Par ailleurs, un infirmier le fut à la maison centrale d'Antanimora.

 

Soulagée. Tence Mena a quitté le Centre hospitalier universitaire (CHU) d'Anosiala, hier dans la matinée. Après 40 jours de confinement, du 19 mars au 29 avril, et avoir subi 10 tests, elle a enfin combattu le coronavirus et a pu rentrer chez elle. La chanteuse est parmi les 8 personnes qui sont guéries hier. Contrairement à son mari qui est guéri grâce à la Chloroquine, ce médicament n'est pas compatible avec son organisme. Sur ce, les médecins lui proposé une autre option qui est le Covid-Organics (CVO). « Je n'ai pas encore connu ce remède, mais j'ai accepté et a suivi un traitement durant 7 jours. Après, j'ai fait mon 9ème test avec un résultat négatif et le 10ème qui a confirmé ma guérison », raconte-t-elle durant son intervention à la Radio nationale malagasy (RNM). Or, jusqu'à sa guérison, elle n'a montré aucun symptôme.

Depuis mardi dernier,  le ministère de la Communication et de la Culture (MCC),  en collaboration avec le ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche  Scientifique (MESUPRES), programme une émission en direct du Centre de commandement opérationnel - Covid-19 vers 13 heures. Celle-ci consiste à répondre aux questions relatives au  Covid-Organics. Trois Professeurs d'université assurent l'éclaircissement des ambiguïtés autour dudit remède traditionnel amélioré à base d'artemisia. Il s'agit du Professeur Herintsoa Rafatro, spécialisé en pharmacologie et chercheur en médecine traditionnelle familiale malagasy ou "Raokandrom- pianakaviana » ; le Professeur Luc Rakotovao, biologiste  et  enseignant-chercheur, ainsi que le Professeur David Ramanitrahasimbola, pharmacologue et enseignant-chercheur à l'université d'Antananarivo. Ces porte-paroles répondront aux questions de la population à travers le numéro vert 910 et depuis la page Facebook du MCC. Dans cette interview, le Professeur David Ramanitrahasimbola apporte plus de précisions sur la prise du CVO. 

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Dans l’abîme de l’infortune !

 L’amour du prochain serait-il du domaine de l’utopie ? Le patriotisme, l’amour de sa Patrie et de ses compatriotes, de l’arnaque ? Négatif ! Il existe d’un vrai sentiment et d’une réelle compassion pour son pays. L’exemple des sacrifices de grands hommes de l’Histoire, ayant coûté parfois à leurs vies  tels Mahatma Gandhi, Vladmir Ilitch Lénine, Martin Luther King, De Gaulle, Nelson Mandela, Raseta Joseph et bien d’autres, nous en témoigne. Des acteurs politiques dignes qui de par leurs engagements ont conduit à la libération et au recouvrement de la dignité de la Nation.

 

Ingérable. Dans un communiqué paru lundi dernier, l’Alliance Voahary Gasy (AVG), une organisation de la société civile (OSC) luttant pour la protection de l’environnement, a dénoncé la recrudescence de la criminalité environnementale, et ce, dans plusieurs Régions de la Grande île. « Plusieurs alertes ont été reçues par l’Alliance Voahary Gasy durant ce dernier mois dans tout Madagascar. Nombreuses aires protégées sont victimes d’actes illégaux. Le phénomène prend de l’ampleur en cette période de confinement. (…) Les aires protégées de la Région de Diana font face à une recrudescence des méfaits. Rien qu’en ce mois d’avril, en l’espace d’une semaine, plusieurs cas ont été recensés.

Une légère variation pendant un mois. L’ariary a connu une stabilité malgré la crise sanitaire mondiale et les mesures de confinement adoptées par le Gouvernement. Selon le cours de change de la Banque centrale de Madagscar, un dollar américain coûtait 3 739 ariary en fin du mois de mars. Hier, cette monnaie étrangère s’échangeait à 3 797 ariary. En général, le taux de variation reste faible, allant de 0,5 à 0,7 %. Il en est de même pour l’euro. En fin du mois de mars, un euro équivalait à 4 121 ariary. Sa valeur n’a pas réellement fluctué malgré le confinement puisqu’il vaut actuellement 4 118 ariary. Sa variation oscille entre 0,15 à 0,20 %. 

La renommée du nouveau remède Covid-Organics, destiné à lutter contre le coronavirus, a bel et bien dépassé les frontières nationales. A preuve, hier, un avion spécial affrété par le gouvernement de la Guinée équatoriale a atterri Ivato et d’y repartir avec 1,5 tonne de Covid Organics (CVO).  

C'est un fait indéniable. Au vu des chiffres et des cas rapportés, les Malagasy résidant à Madagascar résistent mieux au Covid-19 que leurs compatriotes établis à l'extérieur du pays.

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La une du 30 avril 2020

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la une du 29 avril 2020

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Editorial

  • Souvenir douloureux
    Trois longues décennies après, le poids de la douleur pèse encore sur le cœur ! Le 6 novembre 1995, un implacable incendie réduit en cendres le Palais de Manjakamiadana. Trente ans plus tard, le 6 novembre 2025, la douleur reste vive et brise le cœur des gens notamment ceux ou celles étant originaires de l’Imerina. Une telle précision sert à survoler la susceptibilité des uns et à prendre soin de la frustration des autres. Le « Rovan’ny Manjakamiadana » que le feu a détruit sans pitié servait de domaine royal de l’Imerina. Les rois et reines des Hova, comme aimaient bien les étrangers et surtout les colons l’appeler ainsi, en guise de raillerie, vivaient dans ce Palais et ce depuis Andrianjaka. Certes, avant ce fils de Ralambo qui a investi la colline d’Analamanga qui sera le « Tananan’Iarivo », il y a le Rova d’Ambohimanga, le Rova d’Ambohidrabiby, etc. Le…

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