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En déclin depuis des années. Bon nombre d’employés au sein du centre national de production de matériel didactique (CNAPMAD) ont misé sur le nouveau Directeur de l’établissement, nommé à ce poste il y a quelques mois de cela. Si les divers problèmes rencontrés par le centre sont liés notamment à une mauvaise gouvernance, voire une gabegie, cette situation semble s’empirer ces derniers temps, à en croire des employés. Ces derniers tiennent toutefois à garder leur anonymat par peur d’être victimes de représailles. « Rien ne va plus depuis la nomination du nouveau Directeur en 2018. Outre la nomination des Chefs de Départements qui ne disposent ni des compétences ni des diplômes requis pour de telles responsabilités, le premier responsable ont recruté une quarantaine de personnels étrangers. La majorité d’entre les nouveaux recrus viennent de la localité d’origine du Directeur, lequel favorise le népotisme au sein de l’établissement. A cela s’ajoute les affectations abusives et disciplinaires pour les employés qui osent critiquer la mauvaise gouvernance constatée auprès du centre », déplore l’un des employés, désappointé. « Nous craignons le pire si cette situation continue puisque le CNAPMAD n’a pas les moyens d’assurer à la fois son fonctionnement et le salaire de ses employés, notamment les nouveaux recrus. La preuve, le paiement de salaire du personnel accuse quelques jours de retard depuis des mois », ajoute un autre employé.

Parmi les mesures envisagées par les autorités de la Capitale pour résorber un tant soit peu les embouteillages, figure le déplacement ou la suppression de certains arrêts des taxis-be, notamment ceux à proximité des carrefours (ronds-point ou intersections). A la bonne heure !. Car le mauvais placement desdits arrêts est un fait déraissonnable que nous avions déjà pointé du doigt maintes fois dans nos colonnes mais, jusque là, la critique  -  pourtant constructive  -  semble avoir été ignorée par les responsables à différents niveaux. Pas plus tard que le 19 janvier dernier, nous avions  soulevé que « ceux-ci  (les arrêts de taxi-be) , par nature, sont déjà sources de ralentissement de la circulation, voire de bouchon. Les encombrer davantage avec des taxibe à l’arrêt est tout simplement aberrant ». A cette occasion, nous avions pris l’exemple du carrefour Ampefiloha-Ampatsakana (près du siège de la CnaPS) que nous avions alors qualifié d’ « infernal ». Pour en avoir le cœur net, les responsables de la circulation gagneraient à se rendre à l’endroit en question aux heures de pointe. Ils constateront immanquablement de visu  que notre qualificatif n’est pas exagéré, voire qu’il est en-decà de la réalité (voir encadré).
Puisque la question est déjà à l’étude, au cas où ils échappent à la vigilance de nos décisionnaires, ci-après quelques « points noirs » en matière d’emplacement aberrant d’arrêts de taxis-be qui méritent donc d’être revus. Des exemples parmi tant d’autres.

Seule le Première République faisait exception .Madagascar à l’époque disposait d’une image respectable dans l’espace africaine. La Grande île fraîchement sortie de la période coloniale se comportait comme leader incontestable en matière de développement socio-économique. On la classait à l’époque dans le peloton de tête en trio avec le Sénégal et la Côte d’Ivoire.
Complètement dépassés
 La deuxième République est une catastrophe. Une décennie d’errements idéologiques d’un jeune officier de la marine à la commande plongeait le pays dans les affres d’une crise sans précédente. Le mélange maladroit  d’un  socialisme de cœur et d’un capitalisme de raison  crée une contradiction interne inextricable, poussant très vite le régime à la sortie. Le populisme très  poussé de Zafy n’a rien donné sauf une descente un peu plus en enfer. Celui qui se qualifie d’homme nouveau n’était enfin qu’un roublard comme disait Zafy lui-même dans sa mémoire car Ravalomanana a très vite déçu tout un peuple. Rajaonarimampianina qui n’a jamais pu prouver durant son mandat qu’il portait le manteau de la magistrature suprême favorisait un laisser aller total dans son entourage  provoquant ainsi des préjudices incommensurables dans la vie socioéconomique du pays. Tous les trois anciens Présidents voulaient encore prendre leur revanche et se sont présentés  à la récente élection présidentielle mais ils étaient très vite  en face de l’évidence. Humiliés par les mêmes électeurs qui les adoubaient autrefois, ils sont tous enfin  sortis par la petite porte. Le peuple savait qu’on ne peut plus faire du neuf avec du vieux. Le temps a fortement changé et les exigences du moment présent sont contraignantes. Si Rajaonarimampianina et Ravalomanana qui sont considérés encore comme  les cadets du groupe pensaient à revenir au bercail, cela  ne relèvera  que de l’utopie. Ils ont fait leur temps sombre que le peuple n’est pas prêt à oublier. Un retard de deux siècles par rapport aux pays dits développés constitue pour Madagascar un fossé immense à colmater. Pendant plus d’un demi-siècle, la population malagasy était en quête d’un  vrai homme d’Etat apte à embrasser cette responsabilité titanesque. Les soubresauts douloureux et  répétitifs, tout au long de l’histoire des Républiques, sont à la fois des sonnettes d’alarme et des signaux forts pour conjurer le sort en provenance d’un peuple en détresse, victime tantôt de l’amateurisme de son  dirigeant  ou des forfaits des successifs princes qui le gouvernent.

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Tirs manqués

Le Président de la République et ses proches collaborateurs font l’objet, incessamment, des tirs croisés. Des apprentis-sorciers de la politique s’amusent, maladroitement, à lancer des piques ayant pour cibles les nouveaux tenants du pouvoir. Des « tireurs embusqués » qui ne savent même pas cadrer leurs  armes. Non seulement, ils ratent leurs cibles mais si par hasard les balles atteindraient leurs cibles, elles ne présentent aucun danger réel étant donné qu’il ne s’agit que des balles à ... blanc. Pétards mouillés ! Madagascar vient de franchir l’étape décisive pour revêtir l’étoffe d’une Nation libre et démocratique. L’alternance sous le respect de la voie des urnes n’est plus un rêve. Une réalité que chacun n’osait même pas espérer vivre un jour !  Sous la houlette d’un jeune intrépide, chevaleresque et plein d’ambition, un nouveau régime s’installe pour renverser la vapeur et débarrasser définitivement le pays du carcan de la misère. Rajoelina Andry Nirina, fondateur de l’Initiative pour l’Emergence de Madagascar (IEM), en dépit de son jeune âge (44 ans), mène la barque. Pour aboutir et mener à bon port le navire « Madagascar », il s’est donné librement l’occasion de choisir ses proches collaborateurs. Une pratique acquise à l’échelle universelle. Il mérite d’avoir les coudées franches dans la concrétisation des engagements (Velirano) pris devant la Nation. Et c’est ici que le bât blesse ! Abusant du principe de la liberté d’expression, des concitoyens mal famés, plutôt à la charge de certains candidats recalés, tout en niant la loi de l’alternance, dépassent les limites de l’acceptable. A visage couvert, ils émettent, à travers les réseaux sociaux,  des critiques voire des jugements qui n’ont, sur tous les plans, aucun fondement à l’endroit des proches collaborateurs du Président. Des bêtises énormes à ne jamais commettre pour un individu normalement et intellectuellement constitué. Pour le cas particulier de Stéphanie Delmotte, les critiques balancées sur la place publique à son compte outrepassent l’entendement. Dire que Stéphanie n’est pas une fille du pays relève d’une aberration ! Sachez pour votre gouverne que Mme le Directeur du cabinet civil de la Présidence, Stéphanie Delmotte, est belle et bien issue d’une fianakaviana malagasy. En effet, la famille feu Xavier Delmotte dont l’origine ancestrale se trouve à Ambohimanambola (une des collines sacrées de l’Imerina) habitait à Ambositra. En toute humilité, dois-je vous informer que nous, votre serviteur, sommes issus de la même souche (Ambohimanambola). Ainsi, on ne peut pas tolérer un tel écart. Les mêmes énergumènes formulaient également des appréciations absurdes sur la composition, du moins, la répartition des portefeuilles au sein du nouveau Gouvernement vue sous l’angle de la parité en genre. En fait, sur les 22 les membres 6 ont été confiés aux descendants d’Eve.  Certes, le Président avait laissé entendre qu’il ferait de son mieux pour équilibrer le nombre de femmes par rapport à celui des hommes au Gouvernement. Il fallait mettre les points sur les « i » que la formation d’un Gouvernement ne se résume point tout court à la recherche d’une égalité en nombre d’hommes et de femmes. D’autres paramètres dictés par la nécessité impérieuse d’efficacité entrent en jeu. D’autres facteurs relevant du pouvoir régalien du Chef de l’Etat sont aussi à considérer. D’ailleurs, les opportunités ne manquent pour les bonnes intentions.
Ndrianaivo

Une urgence aucunement prise en compte. Selon le projet « Global Forest Watch », en 2017, Madagascar a été en quatrième position en termes de déforestation avec plus de 510 000 hectares défrichés. Et jusqu’à aujourd’hui, la Grande île a encore du mal à redresser cette tendance. La Coalition nationale de plaidoyer environnemental (CNPE) a ainsi débattu de la question, la semaine dernière à La Résidence, Ankerana. Ce débat a ainsi réuni les représentants des organisations de la société civile et les communautés de base, sans oublier les ministères en charge de l’Environnement et de l’Agriculture. Il a donc été dégagé qu’une action commune, engageant toutes les parties prenantes, est plus que nécessaire pour pouvoir lutter efficacement contre le défrichement et la déforestation.  Le travail à l’unisson n’est pas encore suffisant. De ce fait, le renforcement des sensibilisations et des patrouilles contre le défrichement figurent parmi les grandes lignes des solutions proposées par les participants, notamment la Fédération « Miara-dia » représentée par son vice-président, Emile Rakotoarison. Cela permettra de mobiliser plus de personnes pour rejoindre la lutte. « Nous devons conscientiser la population sur l’importance des aires protégés.

Ensemble retrouvons Ando. Après une vingtaine de jours de recherches, la famille et les proches n’ont pas encore trouvéde bonne nouvelle que la disparition de Andriamampianina Andotiana l’étudiante en master 1 en sociologie à l’université Paris Nanterre âgée de 23 ans. Faisant suite à cette disparition inquiétante, une cagnotte en ligne a été lancée par son cousin Andriamampianina Aina, qui représente sa seule famille en France. En effet, dans l'espoir d'accélérer les démarches et les recherches, il aprojeté de faire venir l'un des parents de la jeune fille disparue. D’après les informations publiées sur la page Facebook « Alerte disparition Ando », son père est actuellement arrivé en France. Son avion a atterri à l'aéroport Paris Charles de Gaulle hier matin vers 10 heures. Avec l’aide du nouveau gouvernement Malgache, ce père de famille désespéré a pu rejoindre la ville parisienne. « Un visa exceptionnel  lui a été accordé grâce à  l'intervention du ministre des  affaires étrangères Malgache auprès de l'ambassade de France à Madagascar. Nous remercions l'État malgache pour son aide » a-t-on communiqué. Les soutiens moraux, physiques ainsi que financières ne seront pas de refus. La famille et ses proches sollicitent ainsi la générosité des Malgaches et toutes personnes qui peuvent les aider, notamment en participant à la cagnotte en ligne.

En l’espace de quelques jours seulement, Tsaratanàna défraye la chronique à cause de multiples faits en lien avec les kidnappings. Celui de l’infirmier Maxime R., enlevé depuis une semaine, n’a cessé de nourrir le suspense total. Ce kidnapping est à l’origine du crash d’un hélicoptère de l’Armée lorsque des hauts gradés de la Gendarmerie et une personnalité de la Région, ont voulu rejoindre Tsaratanàna pour encadrer les troupes au sol engagées dans l’opération en vue de délivrer justement l’infirmier. L’autre développement en date de l’affaire remonte mardi soir lorsque les ravisseurs l’ont finalement relâché contre le paiement de 20 millions d’ariary à titre de rançon. Rappelons que les bandits ont initialement exigé 80 millions d’ariary.  L’otage était ainsi remis en liberté après que les proches de la victime en étaient convenus à un compromis, qui demeure  pourtant dans le domaine du secret avec les ravisseurs.

Commencé la veille à Beloha Androy et Ampanihy Atsimo Andrefana, le périple du Président de la République Andry Rajoelina s’est poursuivi hier à Toliara II, toujours dans l’Atsimo Andrefana. La délégation menée par le Chef de l’Etat était composée de quelques membres du Gouvernement, l’Ambassadeur de la République Populaire de Chine, ainsi que les élus et les autorités locales. Dans la matinée, le nouveau Président de la République s’est rendu dans la Commune rurale d’Ankililoaky qui a accueilli hier la cérémonie de lancement du projet 200 forages pour Toliara II.  Faciliter l'accès à l'eau potable et améliorer les conditions de vie représentent les objectifs de ce projet, affirme l’ambassadeur de la Chine, Yang Xiaorong. D’un coût de 28 millions yuan soit approximativement 4,17 millions de dollars, dons du gouvernement chinois, ce projet concerne deux régions notamment  Atsimo Andrefana et Menabe. Entrepris par une société chinoise, les travaux devront bénéficier à terme à 40 Communes et environ 200 000 ruraux.  Le projet va devoir débuter le 15 avril 2019 et se terminer le 15 octobre 2019.  Par cette aide, la Chine met en avant sa volonté de renforcer la coopération avec le Gouvernement de Madagascar, sur la base de l’amitié et de la fraternité, annonce l’ambassadeur de Chine. « Il ne s’agit que d’un début. Nous ferons en sorte que chaque fokontany ait accès à l’eau potable », a pour sa part commenté le Président de la République Andry Rajoelina.

Malheureusement c’est la triste réalité, le jardin d’Antaninarenina n’appartient plus aux contribuables, ni à l’Etat encore moins à la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Désormais, cet unique espace vert bien entretenu devenu au fil des temps aire de repos, source d’inspiration des artistes, lieu d’exposition des peintres et auparavant lieu de représentation de la fanfare gouvernementale, appartiendrait à un particulier.  Des informations circulent selon lesquelles la CUA a vendu le jardin d’Antaninarenina.  L’acquéreur s’est déjà manifesté auprès  de certains occupants en les demandant de plier bagage d’ici peu. L’heureux élu par la CUA serait un Malagasy mais il y a de forte chance que celui-ci n’est qu’un prête-nom, le véritable propriétaire n’ose pas encore montrer son visage. Néanmoins, ce dernier, le vrai propriétaire, aurait entamé les études pour la réalisation de son projet d’ériger au lieu et à la place de ce jardin historique, un grand immeuble à vocation commerciale ou habitation. Avec un prix de cession certainement au plus bas, l’investisseur pourrait se frotter les mains d’avoir réalisé de bonnes affaires avec des autorités vulnérables.  Le même cas et le même profit qu’à l’achat de la villa Elisabeth à Ivandry, vendue officiellement par l’Etat à 1.000 ar le m2. Cette fois-ci, ce n’est pas le ministère qui est l’initiateur de la vente mais la Commune urbaine d’Antananarivo, étant donné que le jardin lui appartient. « Nous avons eu vent de la cession du terrain mais apparemment, elle n’a jamais été discutée à notre niveau. Or, toute vente des biens de  la Commune devrait avoir en principe notre aval », rétorque un conseiller municipal sur la véracité ou non de cette vente décidée  unilatéralement ainsi par l’exécutif de la CUA.Cette cession du jardin d’Antaninarenina s’avère ainsi le summum de la vente en catimini réalisée par l’équipe de la commune urbaine, soit celle  d’aujourd’hui, soit des précédentes. 

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Un oiseau rare !

Vraiment, Ntsay Christian, le Premier ministre nouvellement reconduit ne cesse de nous éblouir ! Après avoir remis sa démission, comme le veut la  tradition républicaine, auprès du Président Rajoelina Andry Nirina, nouvellement investi, le Premier  ministre s’est de nouveau  vu confier la formation du Gouvernement. Ntsay Christian se succédant à  lui-même, retourne, pour de bon à Mahazoarivo et dirige le premier Gouvernement du régime IEM. Nommé le 4 juin 2018, Ntsay Louis Christian,  58 ans (le 27 mars), à l’issue du mouvement de contestation initié par le collectif des «73 députés pour le changement », entend mener une remise en ordre de l’Administration.  Pour rappel, le 25 mai 2018, la Haute Cour  constitutionnelle (HCC) prit une Décision ordonnant le Chef de l’Etat, Hery Martial Rajaonarimampianina à dissoudre son Gouvernement et à procéder à la nomination d’un nouveau Premier ministre tout en respectant, stricto sensu, l’Art. 54 de la Constitution selon quoi c’est le parti ou le groupe de parti ayant obtenu la majorité à l’Assemblée nationale propose le nom du Premier ministre sur la base des résultats des législatives de 2013. Et ce droit revient au MAPAR. Etant parmi les trois noms proposés par le MAPAR, Ntsay Louis Christian, fonctionnaire international pour le compte du BIT à Madagascar en  tant que chef de Mission a été choisi pour diriger le Gouvernement de consensus. Un oiseau rare que le pays cherche depuis. Aussitôt qu’il débarqua à Mahazoarivo (juin 2018), les tout premières mesures qu’il avait prises consistaient à mettre le holà au gaspillage du patrimoine de l’Etat, en premier lieu, la mise aux normes de l’usage des véhicules administratifs.

Fil infos

  • ACTU-BREVES
  • Ve sommet de la COI - Des engagements solides pour l'avenir de l'océan Indien
  • Obsèques du pape François - Le Président Rajoelina attendu à Rome
  • Visite d’Etat - Madagascar et la France scellent six accords
  • Commission mixte sur les îles Eparses - Un second rendez-vous le 30 juin prochain à Paris 
  • Ve Sommet de la COI - Mobilisation exceptionnelle des Forces de l’ordre
  • Actu-brèves
  • Décès du Pape François - Andry Rajoelina salue la mémoire d’un homme de paix
  • Intégration régionale - Andry Rajoelina plaide pour la libre circulation dans la COI
  • Visite d'Etat d'Emmanuel Macron à Madagascar - Des signatures d'accords en perspective

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Editorial

  • Vème Sommet !
    Clôture du Vème Sommet de la COI ! Effectivement, la cinquième édition de la rencontre au Sommet des Chefs d’Etat et de Gouvernement des îles sœurs indianocéanie dans le cadre de la COI au CCI – Ivato s’est tenue le 24 avril dernier. Dois-je rappeler que c’est le troisième Sommet à Madagasikara après celui du 16 mars 1991 et du 27 juillet 2005. Le premier Sommet de la COI a eu lieu à Antananarivo le 16 mars 1991. A peine quelque mois seulement avant la crise politique qui devait déboucher, après une « longue grève », vers la chute de l’Amiral Didier Ratsiraka. Le second à Saint-Denis de La Réunion (France), le 3 décembre 1999. Le troisième à Antananarivo le 27 juillet 2005. Et le 4ème Sommet avant celui d’aujourd’hui, à Moroni en 2014.

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