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Clap de fin pour la quatrième édition de la Foire internationale de l’agriculture (FIA). L’évènement, devenu un incontournable pour les acteurs du secteur, a pu recevoir un peu plus de 20.000 visiteurs en seulement quatre jours d’exposition. L’édition de cette année a vu la présence massive des concessionnaires agricoles témoignant l’intérêt des acteurs à professionnaliser ce secteur clé.  D’ailleurs, près de 550 stands ont été érigés afin que les exposants puissent présenter au grand public leurs offres de services et de biens, sans oublier les produits agricoles bios et transformés, faisant la particularité de chaque Région.
Durant ces quelques jours d’exposition, les concepts d’« émergence agricole » et « autosuffisance alimentaire » étaient sur toutes les lèvres. En parlant de l’atteinte de l’autosuffisance, le riz est toujours en première ligne avec une prévision de production additionnelle de paddy de l’ordre de 500.000 tonnes par an, ainsi que la création de fermes agro-pastorales. Pour le ministère de l’Agriculture et de l’Elevage, partenaire public de l’évènement, une stratégie sur l’agrégation agricole a été mise en place avec la création de huit Zones d’émergence agricole dont quatre zones pour l’agriculture et le reste pour l’élevage. Cette agrégation agricole consiste à mettre en relation des entreprises de transformation avec les coopératives de producteurs. Toujours au niveau du secteur de l’agriculture, une nouvelle superficie de 100.000 ha sera aménagée, tout en renforçant l’adoption de la technique de production SRI, et en effectuant une extension des superficies de riziculture intensive pluviale.
Ces dispositifs permettent ainsi de faciliter l’implantation des investisseurs nationaux et étrangers dans ces Zones d’émergence agricole. Pour rappel, environ 80 % de la population malagasy, soit plus de 20 millions d’habitants vivent en milieu rural, et la Grande île dispose d’énormes potentiels de développement rural. Sur 36 millions d’hectares de superficie cultivable, seulement 8 % sont cultivés. Au-delà de 100.000 ha en cours dont 50.000 ha dans le Bas Mangoky, le régime vise dans l’immédiat 270.000 ha de terres à cultiver, et une production additionnelle d’au moins 500.000 tonnes de riz par an. La nécessité de trouver d’autres méthodes pour une meilleure production agricole s’impose afin de viser l’objectif du Plan émergence (PEM) qui entre dans le cadre de la vision de promotion du secteur arboré par la FIA.
Quoiqu’il en soit, les objectifs de l’évènement rejoignent l’esprit des plus hautes autorités qui avaient déjà organisé récemment une conférence nationale pour l’autosuffisance alimentaire, dans la mesure où le Chef de l’Etat reste convaincu que le monde connaît aujourd’hui une période de récession importante à la suite des deux années de pandémie de Covid-19, mais aussi de la crise inflationniste due au conflit en Ukraine. Il est donc primordial pour chaque Etat d’être indépendant en termes d’approvisionnement alimentaire. C’est d’ailleurs l’objet de notre « Velirano » numéro 9 qui consiste à assurer l’autosuffisance alimentaire et l’amélioration de la productivité agricole. Ainsi, pour améliorer les conditions de vie des paysans, l'Etat malagasy entend mener des négociations auprès des institutions de microfinance afin que les paysans agripreneurs puissent bénéficier d'une baisse des taux d'intérêt.







Dernièrement, s’est tenue aux îles Seychelles la 11ème session du Forum régional sur les prévisions saisonnières de la région sud-ouest de l'océan Indien (SWIOCOF-11). Neuf pays participaient à ce forum à savoir Comores, Réunion - département français d'outre-mer - Madagascar, Malawi, Maurice, Mozambique, Tanzanie, Seychelles et Afrique du Sud. Chacun des experts de ces pays se sont succédé pour partager leurs analyses en évoquant le phénomène la Niña qui pourraient éventuellement provoquer un important déficit hydrique dans ces quelques pays. La Niña est un phénomène climatique. Il est assez mal connu, mais dans l'ensemble, il se traduit par une diminution de la température à la surface des eaux de l'est de l'océan Pacifique, autour de l'équateur. Les zones qui seront touchées par la baisse des précipitations connaîtront des difficultés en termes de ressources en eau et d'irrigation à des fins agricoles. Les Seychelles, la Tanzanie, le nord du Mozambique et Madagascar seront touchés selon ces quelques spécialistes du climat. Les périodes d’étiage sont d’usage dans la Grande île mais à en croire ces spécialistes, la prochaine sera un peu plus difficile à passer. « La pluie ne tombe presque jamais dans notre village. La terre est sèche et nous n’avons pas d’eau à utiliser dans la vie quotidienne. On n’obtient qu’un bidon en un mois. On l’utilise pour cuire le manioc et le reste sera pour nous doucher ou laver notre visage et le linge », indique une mère de famille vivant dans le sud du pays. Le manque d’eau fait partie du train-train quotidien des habitants, qui sont contraints de s’adapter coûte que coûte.  En plus d’être rares, les bidons de 20 litres reviennent chers puisqu’ils sont vendus à des prix exorbitants quelquefois. D’ailleurs, en 2018, le mouvement des bidons jaunes a été lancé par les habitants d’un quartier de la Capitale qui ont exprimé leur mécontentement face à la pénurie récurrente d’eau. Et ce, malgré le ravitaillement en eau par des citernes de la JIRAMA à cause de la faible pression qui arrive à la pompe des usagers. « L’eau ne coule que la nuit et nous sommes obligés d’attendre que les bidons soient pleins pour aller dormir, sinon il n’y aura pas d’eau pour cuisiner, se doucher ou faire la lessive. Mais, il y a des moments où l’eau ne coule que deux heures de temps seulement la nuit », explique un habitant de cette périphérie sud de la Capitale. La faible production et distribution d’eau à cause du manque de matériels et d’infrastructures nécessaires ne permet pas à la JIRAMA de résoudre les problèmes d’eau à Antananarivo. Mais pour cette compagnie d’eau et d’électricité, les actions se focalisent dans la résolution des problèmes urgents, destinés à alléger le quotidien des habitants.  Le mouvement risque de s’étendre partout à Madagascar si jamais les prévisions des scientifiques sont avérées. Mais selon la JIRAMA, une diminution de 20% de l'eau est prévue en cette saison de sécheresse. D’ailleurs, la situation en septembre est meilleure qu'avant grâce aux actions qui ont été entreprises en préparation de la période d’étiage à ne mentionner que l’extension de la station Mandroseza II Bis (40 000 m3), les installations d'Unité de Traitement d'Eau Conteneurisées (UTC) 100m3/h x 8, le remplacement des anciennes canalisations, l’entretien de l'infrastructure de l'eau à partir de sa prise, en passant par le calcul de la station d'épuration, la production et l'amélioration de la distribution. Par ailleurs, des citernes points d’eau seront installées dans les zones fréquemment endommagée.

La Rédaction





Pas de vainqueur. Le match amical opposant l’équipe malagasy, les Barea de Madagascar, et Congo-Brazaville s'est terminé sur un score de parité de 3 buts partout. Une rencontre qui entre dans la fenêtre FIFA du mois de septembre lors du tournoi « Maroc Capitale du football africain ». Pas moins de neuf pays africains sont en stage à Casablanca dans le cadre de leur préparation pour la qualification à la CAN 2023 de Côte d’Ivoire. Madagascar prépare son match contre le Ghana au mois de mars 2023. Les pays participants dans ledit tournoi s’affrontent dans des matchs triangulaires.
Malmenés au début du match, les Barea se sont ressaisis pour reprendre la situation en main, dans la soirée du samedi 24 septembre au stade El Bachir Mohammedia Casablanca, Maroc.
« Au début on a perdu en milieu de terrain mais ensuite nous avons fait un match extraordinaire.  A l’issue de cette rencontre on a pu aussi conclure que le football malagasy évolue et on peut donc dire qu’on peut aussi s’appuyer sur les locaux », explique le coach Dupuis.

Lors des 25 premières minutes du match, les Congolais ont déjà distancé les Barea de deux buts d’écart.
Mais Voavy Paulin réduit le score à la 27ème. En effet, les hommes de Nicolas Dupuis, assez maladroits dans le jeu et devant le but, réagissent et 2 buts à 1) à l’avantage des Diables rouges.
Au retour des vestiaires, les Barea reviennent de loin et égalisent à la 60ème grâce à une réalisation d’Ibrahim Amada (2-2), avant que le Congo ne repasse devant à la 69ème minute (3-2). Une erreur de la défense congolaise à la 85ème minute offre un penalty aux Barea, transformé par Marco Ilaimaharitra. Le score au tableau reste inchangé jusqu’au coup de sifflet final.
Elias Fanomezantsoa





Salaires impayés, maltraitance sous toutes ses formes, esclavage moderne, etc. Bon nombre de travailleurs migrants malagasy endurent ces cas dans divers pays. Les pays du Golfe se trouvent même dans la liste noire quant au non respect des droits de l’Homme, en particulier ceux des travailleurs. Raison pour laquelle l’Etat malagasy maintient l’interdiction d’envoi des travailleurs migrants dans ces pays à risque, une décision en vigueur depuis 2013. Toutefois, ceux qui sont en congé ou en vacances à Madagascar et qui veulent rejoindre leurs pays d’accueil peuvent y revenir, d’après le directeur de la migration professionnelle auprès du ministère de tutelle. Ceci à condition que leurs papiers sont en règle.
Quant aux travailleurs migrants qui continuent d’exercer dans les pays arabes, les ambassades ou consulats malagasy sur place se chargent de leur protection et d’assistance, notamment en cas de problèmes. Le ministère des Affaires étrangères s’en occupe en cas d’absence de représentation malagasy, d’après le directeur de la diaspora et des questions migratoires. Aussi, un service auprès du ministère de la Sécurité publique (MSP) mène d’abord des enquêtes spécialisées concernant la traite de personnes. « Des recoupements se font, entre autres sur la sortie légale ou clandestine du territoire des travailleurs. Leurs contrats de travail sont également examinés », informe le contrôleur général de Police, Herilanto Iangotiana Rakotondravelo, secrétaire général du MSP.
Pour le rapatriement, des organisations s’imposent et tiennent compte du nombre des travailleurs qui le demandent. D’autres partenaires comme l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et l’Organisation internationale du travail (OIT) entreront en scène si l’Etat ne dispose pas des moyens pour ce faire. Le rapatriement pourrait également se faire à la demande de leur pays d’accueil. 306 travailleurs migrants malagasy en provenance de Liban, Arabie Saoudite et Koweït ont, rappelons-le, été rapatriés en 2020. Le Gouvernement malagasy a pu le faire avec l’appui de l’OIM. Cette mesure a été adoptée face aux cas de maltraitance dénoncés par les travailleurs, outre l’absence de papiers en règle. Depuis, d’autres travailleurs migrants souhaitent une nouvelle vague de rapatriement, mais en vain...
P.R.



Les 16 nouveaux cas de Covid-19 enregistrés entre le 17 et le 23 septembre dernier à Madagascar se trouvent tous dans la Région d’Analamanga. Le pays compte actuellement 24 cas actifs de la maladie. Les premiers cas de coronavirus à Madagascar ont été identifiés le 20 mars 2020, suite à l’arrivée des deux vols en provenance de la France. Depuis, 66.660 cas confirmés ont été recensés dont 65.971 à l’issue des tests et 689 par scan. Le nombre de personnes ayant recouvré la santé est de 65.230, soit un taux de guérison de 97,85 %. 1.410 patients sont décédés. Durant les cinq dernières semaines, aucun décès dû au coronavirus n’a été enregistré.
Selon le ministère de la Santé publique, d’ici le mois de décembre prochain, près de 9 millions  de personnes âgées de 18 ans et plus sont ciblées par la vaccination contre la Covid-19 dans le pays. Jusqu’au 19 septembre dernier, 1.553.733 personnes ont été vaccinées à Madagascar. L’objectif est d’immuniser 10,29 % de la population d’ici juin 2023. Le taux de couverture vaccinale varie entre 3,08 % pour la Région d’Atsimo-Atsinanana et 22,4 % pour Analamanga. En Afrique, Madagascar fait partie des 6 pays dont ce taux de couverture  vaccinale est inférieur à 10 %. Il faut savoir que le vaccin est conçu pour protéger les individus contre la sensibilité à l’épidémie de Covid-19, et surtout pour éviter les  formes graves. C’est l’une des stratégies du Gouvernement pour protéger la population, en plus de préconiser la prise des CVO et CVO+. Afin de renforcer la lutte contre le coronavirus, 79.200 doses de vaccin Janssen ont été offertes par l’Afrique du sud dernièrement. Cette donation fait partie des mécanismes AVAT et COVAX.
Anatra R.

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Fia…ble !

On ne peut pas passer inaperçu l’évènement majeur de la semaine dernière, la FIA. En fait de jeudi à dimanche, la Foire internationale de l’agriculture (FIA) s’est tenue au Parc des expositions à Tanjombato. Quand on parle d’Agriculture, ce grand ensemble qui englobe toutes les activités du monde rural dans tous ses états.
Sont inclus à l’intérieur de ces activités dites agricoles la culture, la pêche et l’élevage qui se souscrit au sein de l’économie « verte » et « bleue ». Avec l’évolution des activités exigées par la demande sans cesse croissante des besoins de l’homme, l’agribusiness apparait et commence à occuper du terrain. De toute façon, l’agriculture représente un domaine de priorité surtout pour un pays comme Madagasikara. L’initiative entrant dans le cadre pour l’épanouir est toujours très appréciée et fiable. Les actions de l’Agence Première Ligne font partie des stratégies à encourager. En principe, l’agriculture est un ensemble inséparable nécessitant d’une politique générale cohérente au niveau d’un seul département ministériel comme c’est le cas dans les pays développés et riches. Dommage à Madagasikara, un pays pauvre, pour satisfaire les besoins de la politique, le grand ensemble « Agriculture » est morcelé et ce afin de pouvoir partager le gâteau aux amis sinon camarades combattants.
Sur le plan général, le monde agricole a pour vocation première de nourrir d’abord les hommes et les animaux d’élevage après. Logiquement et normalement, toute politique visant à développer l’agriculture doit contribuer à améliorer l’autosuffisance alimentaire. Dans un pays comme Madagasikara où plus de 80% de la population vivent dans le milieu rural et s’occupant des activités agricoles, les insuffisances alimentaires et les malnutritions ou sous-alimentations sont une aberration. Des contradictions humiliantes auxquelles le pays ne parvient à en découdre en soixante ans d’indépendance. La situation se détériore au fil des années !
La « Foire internationale de l’Agriculture » de Tanjombato s’inscrit dans la ligne droite des actions utiles et efficaces pour le pays dans la mesure où elle contribue à booster l’entrain vers l’autosuffisance alimentaire. Nul n’ignore que la Grande île se bat corps et âme pour atteindre le niveau nécessaire en quantité et en qualité en termes de nourriture pour les 25 millions d’âmes qui vivent dans ce beau pays. Il s’agit d’un défi vital que tous les régimes qui se sont succédé n’ont pas réussi à relever. Tous les dirigeants des régimes différents depuis la Deuxième République ont promis la … lune.  Au final, zéro balle, zéro point ! Le pays s’enfonce ! La situation s’empire !
Dans le Point IX du Velirano, le Président Rajoelina promet d’apporter du sang nouveau à l’agriculture dans le but d’atteindre justement l’autosuffisance alimentaire en ces termes « Augmenter la production de riz, développer l’élevage et la production halieutique, soutenir les agriculteurs et innover dans de nouvelles productions agricoles, améliorer les capacités de productions agricoles ». Il s’agit réellement d’un défi que le jeune dirigeant du régime Orange est en phase de concrétisation. Un enjeu politique de taille pour la sauvegarde des intérêts supérieurs de la Nation mais aussi pour la survie du régime. On n’est plus loin de 2023, personne n’a pas le droit de tergiverser.
D’autres initiatives de la part des groupements d’opérateurs agricoles débouchant vers le développement du secteur agricole sont les bienvenues.

Le bilan est effrayant. 10 000 tortues de Madagascar ont été exportées illégalement en 2018. C'est le chiffre du rapport d'enquête mené par Transparency International-Initiative Madagascar sur le trafic de tortues radiées. Les luttes contre les trafiquants ont été nombreuses, mais cela n'a pas empêché l'exportation. Les pays asiatiques, friands de viande de tortue, sont les principaux demandeurs. Les tortues sont utilisées en restauration mais aussi comme remède.

 

Travaillant dans l'exploitation textile. 250 travailleurs migrants malagasy résident en Jordanie et œuvrent dans ce domaine, notamment auprès d'une société dénommée « Century Miracle Jordan » (CMJ). Certains d'entre eux y travaillent depuis une dizaine d'années, à en croire Hanitra Razakaboana, directeur général du travail (DGT) auprès du ministère de tutelle. Ladite société compte étoffer ses collaborateurs, en recrutant 250 nouveaux travailleurs migrants malagasy.

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Inqualifiable !

 Microcebus Berthae disparait ! Le primate le plus petit du monde, dont le poids avoisine les 30 grammes, serait périlleusement menacé de disparition. Un petit bout de primate qui ne se trouve nulle part ailleurs autre que dans la forêt protégée de Menabe - Antimena (Madagasikara). Impardonnable ! Injustifiable ! Inacceptable ! Quel est le terme exact pouvant qualifier un tel drame sinon un tel crime. A défaut d’un crime contre l’humanité, il s’agit d’un drame contre la nature ! C’est une honte nationale !

 

« Garantie pour le développement du secteur agricole » : c’est dans cette optique que s’est exprimé le ministre de l’Eau, de l’Assainissement et de l’Hygiène, Fidiniavo Ravokatra dans le magazine Info Event sur la Foire internationale de l’agriculture (FIA). Il a humblement parrainé cette quatrième édition de la FIA.

 

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Editorial

  • Incertain !
    Un lendemain incertain. Les couacs et le cafouillage ayant terni la séance inaugurale de la Concertation nationale ce mercredi 10 décembre laissent planer le doute sur la réussite, en final, de la Concertation nationale. Le premier pas compte beaucoup sur l’avenir d’une quelconque entreprise et d’une importance cruciale. Un premier pas réussi présage un dernier pas de gagner, un avenir de bon augure. Listing des invités mal conçus ! Des cartes des invités truffées de fautes d’orthographes etc. Des absences trop remarquées ! Une crédibilité des principaux organisateurs remise en cause!, etc. Bref, une cérémonie mal organisée. Plus d’un, observateurs ou simples citoyens profanes dans les analyses ou observations, paraissent constater le manque de sérieux de la préparation de cette Consultation nationale par le biais duquel la Nation toute entière espère en découdre vivement avec ce « cercle vicieux » qui résonne comme une malédiction. Forcément, le doute plane !…

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