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LA UNE DU 04 OCTOBRE 2021

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Fabien Boyer - Enfin un bonne nouvelle

« Enfin une bonne nouvelle », lâche le défenseur central réunionnais, plus de six mois après sa rupture des ligaments croisés du genou droit intervenue durant la préparation estivale. C'était au cours d'un match amical contre Luxembourg. « Là où mes belles espérances sont parties en fumée », enchaîne-t-il.

 

 Le rock est une vie. L’Art Original Pro organise un concours « Mini Miss & Mister Rock 2021 ». En effet, cette fois, le concours est ouvert aux enfants et est divisé en deux catégories : les enfants de 5 à 9 ans et ceux de 10 à 15 ans. L'objectif est de mettre en lumière l’habillement rock, puisqu’il ne s’agit pas tout simplement de la musique mais la vie elle-même, selon les organisateurs.

L’affaire autour d’un meurtre suspect d’un Suisse âgé de 69 ans à Mahajanga a pris une autre tournure. Les informations apportées hier se sont avérées comme une mauvaise piste. Selon une source sûre, il s’agissait de la présumée personne qui est déclarée disparue le samedi précédant la découverte de son cadavre. Les investigations menées ont révélé que l’étranger en question se trouvait bel et bien à Nosy Be au moment de la découverte d’un corps sans vie. « Certes, il a été avancé que c’est le corps d’un Suisse, le mari disparu depuis quelques jours que l’on a retrouvé.

Un défi relevé pour la Première dame. « Aujourd’hui est un jour important pour moi car c’est la concrétisation d’un projet qui me tient à cœur, et qui permettra à une grande partie des enfants du Sud de Madagascar de sortir de la malnutrition », lance-t-elle. Le container-usine baptisé « NUTRISUD » est désormais opérationnel. Il s’agit d’un projet de l’association Fitia, présidée par Mialy Rajoelina, en collaboration avec la Fondation Mérieux et le groupe Nutriset.

Les œuvres de Georges Andriamanantena, connu sous son nom de plume Rado, commencent à disparaître sur le marché du livre. Cependant, elles ont bercé toute une génération et ont été la source de l'inspiration pour plusieurs artistes et écrivains, entre autres « Voninkazo Adaladala », « Hafatra », « Raha ho avy Ralala ny taona hodiako », «  Tsy maintsy mipoaka ny sarom-bilany ».

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Entre de bonnes mains !

Qui dit que le pays va mal, pire qu'il y a seulement quelques années ? Qui ose proférer que les conditions de vie des malagasy se détériorent, que tout est sombre et que l'avenir se noircit ? Certes, tout n'est pas rose ! Et que certains écueils résistent ! Mais, il faut indécemment faire preuve de mauvaise foi manifeste pour oser crier que l'IEM meurt à petit feu et que le « Velirano » agonise ! Un minimum d'objectivité à travers une analyse sensée et une observation raisonnable nous poussent à reconnaître toutefois que les choses sérieuses commencent. Les ténors du RMDM et les radicalisés du TIM, obnubilés par les rancœurs contre Zandry Kely, broient noir.

 

Le ministère de l'Environnement et du Développement durable (MEDD) vient de lancer un projet de lutte contre l'envahissement des crapauds asiatiques, communément appelés en malagasy « Radakaboka ». Ce projet a été mis en place car cette espèce classée comme dangereuse et envahissante a connu une croissance exponentielle en seulement cinq ans.

L'étau se desserre. Hier, l'île Maurice vient d'officialiser la réouverture de ses frontières à l'international en laissant débarquer un peu plus de deux mille passagers à l'aéroport international Sir Seewoosagur Ramgoolam, après près de dix-huit mois de confinement. Les nouveaux arrivants doivent ainsi se conformer aux normes imposées par les autorités sanitaires mauriciennes.

Affirmations gratuites. C'est l'expression choisie par la ministre de la Communication et de la Culture pour répondre aux insinuations de mauvaise gouvernance dans son département et particulièrement au niveau de l'Office de la radio et de la télévision malagasy, de la Télévision nationale et de la radio nationale malgache. Des affirmations qu'elle juge sans fondement.

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La Une

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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