Economie

Un exemple à suivre. Chaque année, depuis 2002, l’initiative Equateur - dirigée par le Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD) - lance le prix « Equateur » pour identifier les solutions locales exceptionnelles pour le climat, les personnes et la planète. A l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, célébrée hier, le PNUD a donc annoncé les dix pays lauréats du prix « Equateur ». Ces organisations présentent des solutions innovantes basées sur la nature pour lutter contre la perte de biodiversité et le changement climatique.
Cette crise sanitaire a considérablement nuit aux entreprises existantes à Madagascar. Afin d’évaluer ces répercussions, la Cellule de veille économique et stratégique de l’Organisme Economic Development Board of Madagascar (EDBM) a mené une enquête auprès des entreprises du pays, tout secteur confondu. Cette enquête a ainsi permis de quantifier les impacts de la pandémie de coronavirus sur les activités économiques. A l’issue de cette investigation, l’EDBM déterminera notamment les actions qu’il devra entreprendre, que ce soit en termes d’analyse, de planification ou encore de facilitation afin de soutenir au mieux le secteur privé pendant et après la crise.
D’après le Rapport Planète Vivante de 2018, à l'échelle mondiale, la nature fournit annuellement des services d'une valeur d'environ 125 milliards de dollars, tout en contribuant à garantir un apport d'air frais, d'eau propre, de nourriture, d'énergie, de médicaments et d'autres produits et matières. Ces chiffres justifient ainsi l’importance de conserver, préserver mais aussi d’exploiter durablement les ressources naturelles. Pour cette année, la valorisation de l’environnement ne se limitera pas seulement à la célébration de la Journée mondiale de l’environnement tous les 5 juin. Ainsi, la célébration se prolongera tout au long du mois. Le mois de juin sera alors…
Une enveloppe dédiée aux secteurs sociaux. Alors que les recettes de l’Etat diminuent, les dépenses sociales augmentent de 18% durant cette période de pandémie. L’Union européenne a alors octroyé un don de 11,6 milliards d’ariary, mercredi dernier afin d’appuyer le Gouvernement malagasy. D’après le communiqué de la délégation de l’Union européenne à Madagascar, cette somme soutiendra deux projets des Organisations non gouvernementales (ONG) internationales et malagasy. Les ONG Action contre la faim, Médecins du monde, Care et action socio-sanitaire et Organisation Secours appuient le secteur santé et atténuent l’impact économique et social de la pandémie sur les populations vulnérables. Tandis…
166 millions de dollars. C’est le montant débloqué par le Fonds monétaire international (FMI) pour Madagascar au début de la pandémie. Malgré les financements extérieurs déjà reçus dont le dernier montant s’élève à 440 millions de dollars, le ministère de l’Economie et des Finances Richard Randriamandrato a fait savoir que son département négocie en ce moment un autre financement auprès de cette institution de Bretton Woods. Et ce, dans le cadre du Facilité de crédit rapide (FCR). L’objectif étant de combler le déficit budgétaire.
Au bénéfice des consommateurs. Les abonnés auprès de la JIRAMA se sont plaints de la facture salée qu’ils ont reçue ces deux derniers mois. Pour remédier à cela et alléger ainsi les lourdes consommations des clients en confinement, notamment dans les Régions d’Analamanga, Atsinanana et désormais dans l’Alaotra Mangoro, la société nationale d’eau et d’électricité a décidé d’élever la limite de la première tranche de consommation à 50 KwH, au lieu de 25 KwH, pour les clients du tarif 14. « Pour nos clients, cela impliquera notamment qu’ils paieront moins. Effectivement, cette nouvelle disposition leur sera particulièrement avantageuse étant donné…
Amélioration des services. L’installation de compteur, que ce soit en eau ou en électricité, figure aussi parmi les services de la JIRAMA les plus critiqués par les consommateurs. Les critiques se concentrent surtout sur la lenteur de ce service. Effectivement, des clients attendent aujourd’hui depuis près de deux ans, et même plus, leurs branchements. « Nous avons déposé notre demande en 2018, et jusque-là nous n’avons pas eu de réponse. Nous sommes donc obligés d’utiliser d’autres sources d’énergie pour avoir de l’électricité dans notre maison. L’année dernière, nous étions obligés de faire l’acquisition de panneaux solaires pour avoir le strict…

Fil infos

  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…
  • Fausses et illégales perquisitions - Des auteurs toujours en circulation
  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff