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Mais que se passe-t-il dans le nord-ouest avec tous ces meurtres de petits innocents ? Récemment, l’on signale le meurtre d’un petit garçon de 3 ans à Bealanana. Les faits sont survenus mardi dernier dans le quartier dit des Sihanaka où résidait d’ailleurs la victime. Le malheureux avait été non seulement étranglé, mais on lui trouve aussi plusieurs traces de coups sur le crâne. Son corps avait été retrouvé près d’un canal. Il se trouvait dans une position, on dirait comme recroquevillée sur lui-même dans un endroit isolé du secteur. « La victime avait été étranglée à l’aide d’une ceinture, et le(s) assassin(s) l’ont roué de coups, précisément au niveau du crâne », confie une source locale d’information.

 

Antananarivo est actuellement le foyer épidémique du coronavirus. Outre le Gouvernement, la Municipalité joue un rôle primordial dans la protection et l'appui à la population. En mars dernier, confrontée à l'urgence sanitaire et sociale, la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) a développé un plan d'urgence dans le contexte lié à cette pandémie, intégrant des aspects de protection sociale et de communication, en plus des domaines logistiques. D'après la constatation de l'Agence française de développement (AFD),  partenaire de la CUA dans le cadre de ce projet, l'augmentation substantielle des cas positifs depuis la deuxième quinzaine de mai pourrait faire craindre un emballement qui incite à agir au plus vite.

Dimanche dernier, les limiers de la Police de l’air et des frontières (PAF) de Nosy Be, ont arrêté un couple. Ce dernier aurait commandité et organisé un voyage clandestin de nationaux vers l’île de La Réunion, la destination finale de ces voyageurs. Initialement, le couple avait déclaré son projet d’effectuer un circuit touristique dans la partie Nord-est du pays. Mais à la fouille du bateau, les éléments de la PAF y ont découvert 14 personnes. Lors de l’enquête, la Police a appris leur projet de regagner en cachette l’île voisine.

 

D'autres syndicats sortent de leur silence. La Confédération syndicale des travailleurs malagasy (CSTM), le SEKRIMA ainsi que le CTM contestent l'opposition de l'USAM sur le remboursement des subventions venant de la CNaPS, sur proposition du Président de la République. « Les travailleurs ont besoin de ce prêt sans intérêt pour faire face à la crise actuelle, d'autant plus que leur situation risque de perdurer dans les 6 ou 7 prochains mois, le temps d'un redressement. Nous sollicitons toutefois la  facilité de remboursement des subventions, par exemple 5% par mois au lieu de 10% tirés du salaire de l'emprunteur.

Covid-19 - Un taux de contamination en baisse

Publié le mercredi, 12 août 2020

De moins en moins de cas positifs au coronavirus. Le bilan quotidien sur la situation de l’épidémie de coronavirus à Madagascar évolue dans le bon sens. Depuis vendredi dernier, le Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19 Ivato n’a enregistré qu’environ une centaine de cas positifs en 24 heures, contre les centaines de cas confirmés recensés habituellement. En 5 jours, l’on a recensé 707 personnes testées positives. Et au cours de ces dernières 24 heures, il n’y avait plus que 80 nouveaux cas à l’issue des 215 tests PCR et 185 analyses utilisant la technique GèneXpert.

Récupérer mais non … !

Publié le mercredi, 12 août 2020

La Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) reprend son droit.  Naina Andriantsitohaina, le nouveau magistrat, dûment élu, de la ville des Mille corrige les dérives du passé. Il redresse les torts infligés par certains élus indélicats aux dépens de sa circonscription et de ses habitants. Il est de son droit le plus absolu de récupérer le patrimoine de la Commune entre les mains des responsables ou des élus sans foi ni loi.

 

Après une période difficile due à la pandémie de Covid-19, les activités économiques et commerciales reprennent progressivement dans le pays. Dans ce contexte, la société Baolai renouvelle ses offres auprès de sa clientèle. « Un nouvel arrivage d'appareils électroménagers et électroniques de premier choix, adapté à tous les goûts et tous types de budget, est disponible au niveau de nos show-rooms. Conjoncture actuelle oblige, tous nos magasins sont ouverts au public, toujours dans le respect des règles d'hygiène sanitaire, comme le port du masque, la distanciation sociale d'au moins un mètre.

Une chute continue. La valeur de l'exportation est passée de 820 à 426 milliards d'ariary entre le mois de janvier et juin derniers, selon la statistique publiée par la Direction générale de la Douane (DGD). Elle est donc réduite de moitié en espace d'un semestre. Cette diminution est compréhensible vu le ralentissement des activités économiques mondiales. Que ce soit l'offre ou la demande ont connu une baisse à cause des mesures de restriction liées au confinement. Les données fournies par cette institution rattachée au ministère de l'Economie et des Finances sont marquées par l'absence totale des exportations des produits miniers, entre autres le nickel et le cobalt durant ces deux derniers mois.

Cette pandémie de coronavirus a démontré la valeur des huiles essentielles dans le quotidien des gens, mais plus particulièrement pour l’économie de Madagascar. Cette filière représente en effet un fort capital économique pour le pays ainsi que pour les zones productrices. La Région Haute Matsiatra en fait partie. Le Géranium et le Ravintsara y croissent très bien. Le principal frein au développement de l’exploitation d’huiles essentielles reste l’inexistence de laboratoire d’analyse. « Les huiles essentielles doivent se soumettre à un certain niveau de qualité.

Rétablir la dignité de la ville des Mille mise à terre. Telle est la mission que s'est lui-même assigné le maire de la Capitale de Madagascar lors de son accession à la première magistrature de la ville. Naina Andriantsitohaina, puisqu'il s'agit de lui, met en place tous les ingrédients pour atteindre les points illustrés dans son « Veliranon'Iarivo », annoncé durant la campagne électorale.

 

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  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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