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Le plus jeune des personnes testées positives au coronavirus, âgé à peine de 4 ans, est actuellement hors du danger. Hospitalisé au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Morafeno Toamasina, anciennement appelé Hôpital « Manarapenitra », cet enfant vient de remplir tous les critères de guérison. Joint au téléphone hier, le directeur régional de la santé publique Atsinanana, docteur Rakotoarimanana Raymond Geshlin, a confirmé que ce patient a décroché le ticket de sortie de l'hôpital avant-hier, notamment après deux tests négatifs au PCR. Il comptait donc parmi les 9 guérisons annoncées par le Professeur Vololontiana Marie Hanta Danielle, porte-parole du Centre de Commandement Opérationnel (CCO) - Covid-19, situé à Ivato, lors du rapport récapitulatif datant du 26 avril. 

Sans exception quant à l'application des sanctions. Tel est le propos du coordonateur général du Centre de commandement opérationnel (CCO) - Covid-19, le Général Elack Andriankaja et des autres responsables au sein des Forces de l'ordre, durant la première journée de l'application des sanctions dans le cadre du port de masque obligatoire. D'après le Général, tous ceux qui ne respectent pas cette mesure seront sanctionnés, quelle que soit leur couche sociale, haute personnalité ou non, malagasy ou étranger. D'ailleurs, les images et vidéos qui circulent dans les réseaux sociaux en témoignent. « Un mois, c'est suffisant pour la sensibilisation. Place actuellement aux sanctions ! », souligne-t-il. 

7 milliards d’ariary. C’est le financement accordé par la Fondation pour les aires protégées et la biodiversité de Madagascar (FAPBM) pour cette année. Cette somme est allouée à onze gestionnaires d’aires protégées, entre autres Madagascar National Parks, Wildlife Conservation Society, Asity Madagascar ainsi que le Groupe d’Etudes et de Recherche sur les Primates (GERP). Selon le ministre de l’Environnement et du Développement durable (MEDD), Baomiavotse Vahinala Raharinirina, ce financement risque de diminuer étant donné que le capital de la FAPBM est placé sur le marché financier.

La menace plane toujours au-dessus du pays. Le ministre des Transports, du Tourisme et de la Météorologie a évoqué la semaine dernière qu’une reprise des vols internationaux pourrait se faire si toutes les conditions sanitaires sont respectées. Mais vu l’évolution de la situation actuelle que ce soit dans le pays, mais plus particulièrement à l’extérieur, cette idée reste non envisageable. En effet, bien que la pandémie soit un tant soit peu maîtrisée à Madagascar, c’est loin d’être le cas en Europe.

Le Président de la République de Madagascar a présenté en début de semaine dernière un remède à base d’Artemisia et d’autres plantes médicinales, élaboré par l’Institut malgache de recherches appliquées (IMRA), afin de lutter contre la pandémie de coronavirus. Suite au lancement de ce remède traditionnel amélioré dénommé Covid-Organics, il y a à l’heure actuelle une attaque en règle, concertée, par voie de presse, contre Andry Rajoelina, alors même que le traitement qu’il préconise est encouragé en Afrique. Alors que la priorité devrait être de travailler de concert pour trouver des solutions à la pandémie de coronavirus qui sévit, cette presse occidentale cherche plutôt à « abattre », au sens littéral, le Chef d’Etat malagasy. 

Ry Malagasy rahalahy sy anabavy ary Ray aman-dReny havako,

J'ai passé 10 bonnes années à Madagascar. Je peux vous affirmer que votre pays est séduisant par son charme et attachant par ses Hommes.

De ma position de Haut fonctionnaire des Nations unies, j'ai côtoyé les hautes sphères, fréquenté les décideurs dans tous les secteurs, parcouru le pays de Tuléar à Diego ou de Tamatave à Fianarantsoa. Je me suis aussi fait beaucoup d'amis dont certains parmi vous sont des frères et sœurs avec qui aujourd'hui l'appellation « Namana » est de rigueur.

De ces préalables, je pense,  sur la base de la réalité vécue mais analysée pouvoir éclairer l'opinion nationale malagasy et sur cette opportunité sans précédent qui permet ENFIN de VRAIMENT connaître Madagascar, plus seulement comme une île touristique mais désormais comme le "sauveur" de l'Afrique et de l'humanité face à cette pandémie du Covid-19.

Peuple Malagasy. Personne ne doit vous voler votre fierté, car vous êtes la fierté de l'Afrique. Vous devez protéger votre Président et surtout son courage de faire valoir aux yeux du monde une solution Malagasy  à la pandémie mondiale.

Je voudrais dire au peuple malagasy de ne pas se laisser perturber par les sirènes internes qui s'opposeraient à la démarche actuelle de faire du CVO une solution crédible pour la prévention voire la guérison du coronavirus.

Les opposants au processus sont dans leur rôle politique de ne pas applaudir l'adversaire. Très souvent, ils sont soutenus et financés par les lobbying étrangers qui ne voient pas d'un bon œil cette initiative malagasy. Et pour cause:

Madagascar a touché la fierté et l'orgueil des Grands pays.

Un "petit pays pauvre" - africain de surcroît- a pris une avance médiatique sur les grands  et annoncer en grande pompe une solution à leur problème. Ils n'acceptent pas cela. L'esprit de colonisation et des colons a toujours voulu laisser croire que les solutions aux problèmes africains doivent fatalement venir de l'Occident. Aujourd'hui, il y a une solution conçue par Madagascar pour les Malagasy et dont  l'Afrique et les Africains peuvent s'enorgueillir. Cette solution peut aider les pays du Nord s'ils laissent tomber leur orgueil scientifique légendaire.

Madagascar empêche les lobbying internationaux du médicament de glaner de l'argent grâce au Covid-19.

Le CVO met en lumière Madagascar pas seulement sur le plan médiatique mais cette solution permettra d'engranger d'énormes ressources financières damant ainsi le pion aux grandes multinationales pharmaceutiques.

Des prétextes sont avancées pour exprimer des réserves voire interdire la potion malagasy. Ailleurs, certains pays vaccinent leurs ressortissants avec des molécules qui n'ont pas respectées les délais cliniques. Mais parce que c'est des pays du Nord, ils ne sont pas frappés de la même réserve ni interdiction.

Peuple Malagasy. Tout n'a pas été parfait compte tenu de l'urgence. Mais la Planète entière sur les plans médical, scientifique et même médiatique est à tes pieds. C'est le moment pour toi de montrer ton ingéniosité déjà appréciée dans le textile, l'artisanat, l'agriculture et le tourisme. C'est le moment de te mobiliser pour soutenir les institutions techniques et scientifiques qui travaillent sur le Tambavy COV afin que  les étapes scientifiques et cliniques éventuellement encore nécessaires aboutissent rapidement.

ALEFA MADAGASIKARA, ALEFA AFRIKA

Souvenirs émus et fidèles amitiés

MISAOTRA TOMPOKO.

MIRARY SOA. SAMY HO TAHIAN' ANDRIAMANITRA.

Gabriel Djankou

Ancien haut fonctionnaire OIT 2004- 2014  à Madagascar.

La une du 28 avril 2020

Publié le lundi, 27 avril 2020

la une du 27 avril 2020

Publié le dimanche, 26 avril 2020


Malgré la prolongation de 15 jours de la période d’urgence sanitaire, le Président Andry Nirina Rajoelina a décidé la reprise d’une manière progressive des activités économiques. Toutefois, la population doit se soumettre à des règles strictes dont l’horaire de travail fixé de 6 h du matin à 13 h.  Pourtant, samedi dernier, les marchands de rue opérant à Ampasika, dans la Commune de Bemasoandro Itaosy, n’ont pas suivi cette consigne et ont continué d’étaler leurs marchandises jusqu’à 16 h. Ce non-respect des mesures a requis l’intervention de la Police nationale, ayant conduit à un affrontement violent entre les deux parties. Les manifestants ont barré l’entrée du pont d’Ampasika avec des pneus brûlés et des grosses pierres. Les éléments des Forces de l’ordre dépêchés sur place ont eu droit à des jets de pierre. Afin de rétablir l’ordre, ils ont procédé à des tirs de sommation pour disperser la foule. « Vers 16h 45, le pont d’Ampasika a été encore occupé par des commerçants. L’arrivée des Forces de l’ordre n’a pas plu à ces marchands qui ont riposté à travers des lancements de pierres. D’un coup, d’autres individus fusent de toutes parts et ont mis des barrages, ce qui a mis à l’arrêt le trafic. Il nous a fallu 30 minutes pour rétablir la sécurité. Aucune arrestation n’a eu lieu, ni de dégâts matériels et aucun blessé », explique la Police nationale dans un communiqué.
Il n’y a pas de fumée sans feu. Dans une vidéo qui circule sur un réseau social, deux femmes ont reproché aux dirigeants de ne pas leur venir en aide en cette crise sanitaire. « Nous n’avons jamais bénéficié de ce plan d’urgence social, même pas un gramme de produit alimentaire distribué. Les habitants d’Ampasika n’ont rien reçu. Au contraire, ce sont les policiers qui viennent à nos trousses, et ils ont pris nos poissons destinés à la vente. Actuellement, nous mourrons de faim », ont martelé ces deux victimes.
Selon d’autres témoins, cette confrontationa été prévisible en voyant la situation depuis lundi dernier. Les commerçants continueront de travailler tant que les acheteurs se présentent. « Etant donné qu’il s’agit de leur gagne-pain quotidien, les commerçants ont toujours montré leur indifférence face aux mesures de confinement. Mais le fait de barrer la route d’une telle manière constitue par contre un acte agressif », souligne un habitant de Bemasoandro, l’une des victimes du barrage et qui a été contrainte de rebrousser chemin.
K.R.

Une bouée de sauvetage en pleine crise sanitaire ! Comme annoncé par le Président de la République, Andry Rajoelina, les familles nécessiteuses obtiendront un soutien de l’Etat à partir d’un plan d’urgence social. Un plan qui comprend plusieurs mesures destinées à alléger l’impact de la crise liée à la lutte contre le coronavirus et qui consiste notamment à la distribution d’une aide financière de 100 000 ariary pour chaque ménage.
Pour la ville d’Antananarivo, le programme « Tosika Fameno » a été ainsi lancé officiellement samedi dernier par le Président Andry Rajoelina et son épouse, au lycée technique d’Alarobia. Le maire d’Antananarivo, Naina Andriantsitohaina  et son épouse, ainsi que le ministre des postes, des télécommunications et du développement numérique, Andriamanohisoa Ramaherijaona étaient également présents.
Les familles démunies de la Capitale sont les premières à bénéficier de cet appui de l’Etat étant donné qu’Antananarivo figure parmi les Régions touchées par le COVID-19 et qui ont vu l’application des mesures de confinement. 3270 ménages issus de 04 Fokontany dans le 5ème Arrondissement ont bénéficié de cette première dotation. Il s’agit des habitants d’Alarobia Amboniloha, Ivandry, Morarano, et Ambodivoanjo. A part Antananarivo, les familles les plus vulnérables de Toamasina et Fianarantsoa vont jouir du « Tosika Fameno ».En tout, 189 400 foyers percevront cette aide de l’Etat au niveau de ces 03 ex – chefs - lieux de province.
Sélection
Les bénéficiaires ont été soigneusement sélectionnés à partir d’une enquête menée par le FID (Fonds d’intervention pour le développement) au niveau de chaque Fokontany. Ils pourront toucher les allocations qui leur sont destinées via le système Paositra Money, un service de la Paositra Malagasy qui est à la disposition de tous incluant les personnes dépourvues de téléphone mobile sur présentation d’une carte d’identité nationale. Rappelons que dans la mise en œuvre de ce plan d’urgence social, l’Etat malagasy reçoit l’appui de la Banque mondiale.
Cette journée fut aussi l’occasion pour le couple présidentiel de procéder à la distribution du Covid- Organics. Le Chef de l’Etat a rappelé les vertus de cette tisane bio dans la prévention des symptômes du coronavirus. Tous les ménages sans exception vont recevoir leur part de ce remède traditionnel à base d’Artemisia. Aux dernières nouvelles, plusieurs pays africains ont déjà contacté Madagascar et annoncé leur intention de passer des commandes de Covid -Organics.
La Rédaction

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Editorial

  • Uniquement, des résultats !
    Seuls les résultats qui comptent. Le reste, de la littérature, de belles paroles vides de sens et d’engagements creux ! Rien ne sert de faire de belles promesses volatiles. Uniquement, les résultats qui vaillent la peine d’être considérés et tenus pour être sérieux. Les gouverneurs de Région se sont retrouvés à Mahajanga les 26 et 27 août 2025 pour une conférence nationale. Dix-huit des vingt-trois gouverneurs que compte le pays s’étaient vus déplacer dans la Cité des fleurs. La rencontre marque le début d’un rassemblement stratégique visant à renforcer le rôle des représentants régionaux dans l’exécution de la Politique générale de l’Etat (PGE). Les gouverneurs sont appelés à devenir de véritables « militaires » du Chef de l’Etat, le commandant en chef de la bataille. Dire « militaires » suppose discipline, rigueur, fidélité, etc. Chaque gouverneur est soumis à une discipline stricte dans l’exécution des programmes présidentiels. La rigueur suppose…

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